Je ne suis pas vraiment un passionné d’aéronautique, mais j’ai
souvent entendu parler de la célèbre aviatrice américaine des
années 1930 Amélia EARHART qui était surnommée affectueusement
« la fiancée de l’Amérique ».
Par ses exploits, la première femme à traverser l’océan
atlantique en 1928, elle fut comparée à l’équivalence féminin
de Charles LINDBERGH. Elle disparut mystérieusement lors d’une
tentative du tour du monde au–dessus de l’archipel des
KIRIBATI (Nouvelle Guinée) le 2 juillet 1937. Malgré d’énormes
moyens de recherche, mis en œuvre par le président Franklin D.
ROOSVELT, ni elle ni son copilote, Fred NOONAN, ne furent
jamais retrouvés. On ne retrouva aucune trace de leur
avion.
Beaucoup d’hypothèses ont été émises à ce jour sur cette
énigmatique disparition qui, par la forte et charmante
personnalité d’Amélia, fascine encore de nos jours les
américains. Comme pour les affaires précédentes que j’ai
traitées sur mon BLOG, je vais « tenter » de porter[trouver]
des réponses et de « voir » ce qu’il s’est passé. Car je dois
avouer que je partage, avec le peuple américain, une certaine
fascination pour Amélia EARHART, une jeune femme des temps
moderne en avance sur son époque.
La région de la Nouvelle Guinée était , vers 1937, une zone
stratégique pour l’expansion de l’armée japonaise. D’ailleurs
les services secrets des États-Unis surveillaient de près sa
situation géopolitique. C’est dans cet endroit particulier du
monde qu’Amélia devait atterrir sur la minuscule île de
HOWLAND dans l’océan pacifique. Son avion, le bimoteur
ELECTRA, était pourvu de tout le nécessaire pour ce genre
d’aventure, mais l’imprévisible attendait les deux aviateurs
au tournant de l’histoire. Leurs disparition n'a jamais été
éclaircie et pourtant plusieurs témoins, des années après, ont
apporté des « indices » très troublant pouvant expliquer
celle-ci.
Je vais donc reprendre à zéro cette « enquête » et tenter de
trouver, si possible, une réponse à cette intrigante
interrogation: que sont devenus, le 2 juillet 1937, Amélia
EARHART et son navigateur Fred NOONAN? L’Amérique attends
cette réponse avec passion depuis plus 73 ans. Car la majorité
des Américains n’a pas oublié le joli sourire de « Miss Lindy
» tant aimé. C’est pour moi un très grand challenge
d’essayer de leur apporter une réponse.
Je commence donc mon « investigation » en m’« invitant
psychiquement » dans le passé à bord du bimoteur dans le
cockpit à côté d’Amélia et de Fred NOOLAN, en cette journée de
l’été 1937, et pour essayer de trouver la raison de leurs
disparitions. Ont-ils périt dans l’immensité de l’océan?
Ont-ils été capturés et fusiller par l’armée du Soleil Levant?
Ont-ils atterri en catastrophe sur un atoll avoisinant l’île
de HOWLAND? La réponse doit se trouver plausiblement parmi ces
trois hypothèses: maintenant à moi d’essayer de trouver la
bonne.
LE BIMOTEUR ÉLECTRA; UN « LABORATOIRE VOLANT »
Chaque « sondage « est pour moi un vrai « investissement »,
mais, celui-ci particulièrement, est de toute évidence très «
chargé » émotionnellement. J’ai à faire à quelque chose de
vraiment très envoûtant; certainement dû au très fort « AURA »
de la personnalité d’Amélia EARHART.
Je la « perçois » à plusieurs phases de sa vie; les « images »
semblent s’affoler tout va très vite. Il y a un évènement qui
est très prononcé: un terrible accident dans un avion ayant
appartenu à Amélia. Deux personnes y ont trouvé la mort: ce
fait est très marquant dans son vécu. Je peux « voir » cet
aéronef: il est de couleur jaune canari, je perçois que ce
drame est un vrai « secret » dans le cœur d’Amélia.
Je reprends le file des « flashs visuelles », des soirées
mondaines au exploit aéronautique. Je « vois » de tout avec une grande
précision, comme si Amélia continue à briller très puissamment
plus de 73 ans après sa disparition. Comme j’essaie de «
visualiser » cette funeste journée de juillet 1937, puisqu'il
s’agit bien là le but principal de ma « recherche »: quelques
détails que je juge très importants retiennent mon attention.
Ils concernent la structure du pare brise du cockpit du
Bimoteur ELECTRA, je « cible » une fissure une toute petite
fissure.
Je la « vois » clairement: je peux la décrire. Ce fait anodin
en soit va avoir des conséquences dramatiques. C‘est le
principal « coupable » dans la catastrophe qui a emporté
Amélia et son copilote, Fred NOONAN, car il y a bien eu un
tragique crash de l’avion. Le mystère de leur disparition
commence, à cet instant précis, à se dissiper sous mes yeux:
je touche au cœur de cette énigme.
JE DESSINE MA « VISION » DE LA DAGUE ET DE L’AIGLE
Je retrouve Amélia et son compagnon de vol dans une ville «
exotique » et, là, « je ressens » immédiatement quelque chose
de très étrange: il s’agit d’un objet qu’Amélia vient
d’acquérir. Je peux le percevoir, je m’empresse de le dessiner
pour en garder une image stable. Il s’agit d’une dague: une
très étrange sensation me met mal à l’aise et cela provient de
cet objet.
Je note que, depuis son contact, le comportement d’Amélia à
changer: elle commet des erreurs incompréhensibles pour une
aviatrice de son acabit et également son copilote se remet à
boire, mettant ainsi en grand péril le reste de l’expédition.
Pourquoi diable laisse-t-il à terre l’ensemble de leurs
matériels de secours? Je peux également « percevoir », lors de
leur passage dans une autre ville (que je pense être KARICHI
en Inde), d’un étrange aigle noir qui effraie Amélia et qui
vient se poser délicatement sur le « nez » de l’appareil: il
semble vouloir délivrer un message?
Je perçois de très nombreux « signes » que quelque chose
d’étrange est entrain de se dérouler. Mais déjà, l’avion
re-décolle pour sa dernière traversée: les 11 000 derniers kms
et la gloire au bout. Je suis de nouveau à « côté » d’Amélia
au poste de pilotage: j’observe attentivement le cadre de la
situation, mais encore une fois je « ressens une étrange
présence à l’arrière: je tente de la repérer et ma « vision »
tombe sur l’objet de la dague, car c'est bien lui qui émet ces
« ondes négatives ».
Amélia et Fred ne semble pas s’en apercevoir, concentrés sur
les manoeuvres de pilotage pour essayer de centrer l’île
d’HOWLAND où ils doivent se ravitailler. Je sens Amélia très
inquiète pour la 1er fois de sa vie, elle a « peur en avion »:
elle semble totalement perdue; l’influence néfaste de l’objet
dois y être pour beaucoup.
Moi-même, je ne peux le cibler trop longtemps car il est «
chargé » trop négativement. La nuit commence à tomber. Je «
cible » le pare brise, côté gauche: d’un coup, je vois la
fissure que j’avais notée: le pare brise éclate. Amélia est
sérieusement blessée au visage, elle perd le contrôle de
l’avion. NOONAN se précipite à son aide. Trop tard l’aéronef
est hors de contrôle, il plonge vers l’océan pacifique. Je
vois le joli visage d’Amélia en sang, l’arcade sourcilière
droite est touchée par les débris de verre du pare brise. Dans
une dernière tentative, NOOAN tente de poser le Bimoteur qui
se disloque en touchant lourdement la surface de l’océan, à
proximité d’un récif d’une île. Je ressens l’eau glaciale, qui
envahit l’habitacle, emportant ce qui en reste. Mais je peux
constater que NOOAN, gravement blessé à une jambe, a trouvé la
force d’en sortir en emmenant, dans un dernier effort, Amélia,
semi-inconsciente, dans la nuit glaciale, je les « vois »
échouer comme par je ne sais quel miracle sur une plage de
cette île.
J’en tire une constatation très importante: Amélia EARHAET et
FRED NOOAN ne sont pas mort noyer dans les profondeurs de
l’océan pacifique, seul leurs avion a bien coulé après
l’impact, mais ils ont réussit à rejoindre la terre ferme
d’une île qu’il me reste à définir.
Une brise chaude caresse délicatement le visage meurtri
d’Amélia ; cette « image » me bondit aux yeux dès ma
reconnexion psychique. Les deux aviateurs sont vivants, mais
dans quel état? La blessure au visage d’Amélia lui a fait
perdre beaucoup de sang. Affaiblie déjà par la fatigue de la
longue traversée du monde, le physique d’Amélia est dans un
triste état et celui de NOOAN n’est guère mieux. Ils sont,
certes, sauvés de la noyade mais d’autres dangers les guettent
sur l’île où ils viennent de trouver un refuge temporaire. Je
« vois » Amélia qui sert contre elle un porte-document de cuir
contenant des cartes et des documents. J’élargis mon champ de
vision et je peux noter des indigènes qui s’approchent,
intrigués par ces deux étrangers échoués depuis les airs. Je
constate que le petit groupe de personnes veut aider nos deux
aviateurs, ils ne sont pas Japonais mais je suppose être des
habitants de cette île.
Ils transportent délicatement Amélia et Fred NOOAN dans leurs
villages, à l’intérieur des terres. Nous devons être le 03
juillet 1937. C’est alors qu’apparaît un détachement de
l’armée japonaise à la recherche des pilotes de l’avion qu’ils
ont observé s’écraser quelques temps auparavant. Je « centre »
dessus et peux voir environ 4 à 5 hommes d’environ 25 à 35
ans, ils portent bien l’uniforme de l’armée de l’Empire du
Soleil Levant.
Je confirme ce que beaucoup de témoignages recueillis, après
le 2ème conflit mondial, ont déjà avancé, ils sont bien tombés
dans les mains de l’armée japonaise. Ce qui va suivre
maintenant est ce que j’ai « vu ». Les soldats japonais
entrent dans le village: ils obligent les habitants à leur
remettre Amélia et Fred, la tension est extrême. Je peux «
voir » les yeux d’Amélia reflétés une grande peur. Le plus
gradé des soldats parle l’anglais: il commence une
conversation avec Amélia et Fred.
Et le plus extraordinaire est le fait que les soldats japonais
(n’oublions pas que nous étions en 1937 et que l’Empire du
Japon n’était pas encore en guerre contre les États-Unis; donc
aucune raison de maltraiter des aviateurs égarés
américains) soignent les blessures d’Amélia et de Fred
sans pour autant les laisser libres de leurs mouvements. Après
un laps de temps que j’évalue à 48h, Amélia et Fred NOONAN
sont transférés par bateau sur une autre île: je peux
visualiser le bateau qui les transporte .
Donc Amélia et Fred sont encore vivants dans la journée du 04
juillet 1937. Ils sont enfermés dans un camp militaire. Je me
projette plus loin dans le futur: nous sommes maintenant
durant l’année 1944. Cela fait 7 longues années qu’ils sont
maintenus prisonniers. Je peux apercevoir Amélia qui fixe
intensément le visage d’une petite fille d’environ 11 ans, je
peux « capter son nom: elle s’appelle Joséphine AKIYAMA.
Cela confirmerait le témoignage de cette dernière qui aurait
affirmé avoir croiser le chemin d’une prisonnière américaine
dans ce camps militaire japonais sur l’île de SAIPAN qui
ressemblait à Amélia EARTH. Et cela, environ, à la même
époque. Et voilà le drame qui arrive avec le fracas d’un
bombardement américain sur l’île, Amélia, qui en profite pour
tenter de s’échapper de ce long cauchemar: la fuite vers la
falaise avoisinante, je sens son souffle, les battements de
son cœur. Elle court le mieux qu’elle peut, un soldat japonais
se lance à sa poursuite, il la rejoint au bord de la falaise,
la situation est dramatique. Amélia ne veut pas retourner dans
cette enfer, mais elle ne peut s’enfuir, le soldat lui barrant
la route. Alors je regarde dans ces yeux et l’instant d’après
Amélia n’est plus. Elle vient de sauter de la falaise,
préférant la mort. Tout est terminé.
Je quitte Amélia, mais ici ne s’arrête pas mon « enquête ».
Car j’ai « visualiser », dans le bureau du chef du camps
militaire, le porte document d’Amélia. Lequel le soldat Robert
WALLACK le retrouvera lors de la libération de l’île
confirmant de fait mes « visions ».
La vie d’Amélia EARTH à été un vrai comte de fée « la fiancée
de l’Amérique » restera à jamais dans le cœur de ses
compatriotes et dans ceux qu’elle a fait rêver par ses
exploits. Pour ma part, je lui dédie cette chanson avec toute
mon affection et mon estime pour cette formidable personne.