LA BETE DU GEVAUDAN LE TERRIFIANT SECRET DU 1Er LYCAN

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De juin 1764 à juin 1767,  un fait divers horrible a défrayé la chronique de la région du Gévaudan en France. Une énorme et fantastique « bête » a attaqué des humains faisant plus de 120 victimes.

Abattue par le chasseur Jean Châtel le 19 juin 1767, sa mort ne fut pas le terme de cette énigme, mais le début d’une autre encore plus grande et qui n’est pas résolue à ce jour.

L’autopsie et les témoignages de l’époque font apparaître les contours d’un « animal » hors du commun doté d’une force, d’une vivacité et d’une quasi-invulnérabilité. Il fut tué par des balles en argent précédemment bénie !

M’aidant des documents de l’époque, je vais « analyser » cette époustouflante  histoire et résoudre le mystère du plus étrange « animal » qui n’ait jamais existé.

Il y a de cela plus de trois siècles, un fait divers effrayant défrayait la chronique dans le pays du GÉVAUDAN. Une  incroyable « bête », surgit de nulle, part sema la mort attaquant plus de 120 personnes, entre juin 1764 et juin 1767, avant que le chasseur Jean CHATEL ne l’abatte d e deux balles. L’enquête, menée à l’époque,  n’a pas pu déterminer exactement son origine.

Juillet 2011, je décide de reprendre à mon compte l’enquête sur la Bête du Gévaudan. Me voici, retourné « psychiquement », dans le passé de la France. Nous sommes en juin 1764.
Je débarque dans le pays du Gévaudan, dans la bourgade de LANGOGNE : c’est là que la « bête » a frappé la première fois.

Devant moi, se trouve une femme qui garde son troupeau de bœufs, tout semble normal aux alentours, mais cela est une erreur car derrière moi, surgit une énorme « bête ». Elle mesure certainement plus d’un mètre quatre vingt dix, se tient  debout,  ses yeux sont d’un bleu d’acier, ce qui m’impressionne le plus est l’expression de son visage, il est à moitié « humain » !

La scène est terrible et insoutenable, je m’éloigne de la « zone », je ne veux pas voir cela. Je garde néanmoins un œil sur la « Bête » qui vient de terminer son attaque ; elle s’éloigne très rapidement en effectuant un bond de plus de dix mètres ! Je peux la suivre, n’étant pas lié par une présence physique, je me déplace aussi rapidement qu’elle. Elle plonge dans la forêt après plus d’une dizaine de kilomètres ; elle trouve refuge dans une habitation bien dissimulée. Je vais sans le savoir découvrir un incroyable secret : je m’attendais à tout en abordant cette  enquête, mais ce qui se présente sous mes yeux dépasse tout entendement !

La « Bête » semble épuisée par sa sanglante excursion, elle s’affaisse sur le sol de la bâtisse et là, lentement, elle commence à se « transformer ». L’aspect canidé laisse peu à peu place à un physique humain. Oui, vous avez bien entendu ! La personne, qui a pris la place de notre animal, est humaine, un homme d’environ la trentaine, au visage doux, insoupçonnable. Je prends le soin de faire le tour du propriétaire qui me fait apprendre que j’ai à faire à un scientifique et que ce dernier provient de l’étranger.

J’interroge le vécu de cet individu qui me fait apprendre qu’il provient de Pologne et qui a du sang « bleu » dans ses veines. Il  s’est enfui de son pays pour emporter avec lui son « secret ». Il y a déjà quelque temps qu’il vit terré comme un ermite. Il ne semble pas pouvoir se contrôler. Désespérément, il cherche un remède à son mal sans pouvoir, semble-t-il, le trouver; sa famille lui manque cruellement. Il culpabilise de ce que lui fait faire son alter ego. Je pensais qu’il ne pouvait exister des cas de Lycanthropie qui cause ce genre de métamorphose, mais là, je dois  reconsidérer ma position et l’envisager: mais quel a été le facteur qui la causé ?

La seule façon de le savoir est d’« interroger » la personne elle-même : les réponses me portent dans une autre vie, dans un autre temps. Un petit garçon blondinet est chéri par les siens et envié par d’autres. Dans le château familial où il réside, son père se livre à d’étranges expériences ; durant l’une d’elle un des ses cobayes canidés s’échappe et mord, sauvagement au bras, le petit garçon. Cela est  l’élément(l'évènement) qui provoque ses « transformations » ?

La vie de l’enfant se déroule normalement, je le vois même se marier et enfanter deux beaux enfants. Et puis, vers ses 25 ans, tout bascule : il commence à se métamorphoser, causant de grands dégâts.
Je vois qu’il est chassé de ses terres. Après un long périple à travers l’Europe, il trouve refuge dans notre pays. Et maintenant, tout à recommencer, pour lui rien n’arrête plus ses fréquentes transformations. En le suivant dans ses périples, je croise la route de ses chasseurs.

 Le capitaine des Dragons DUHAMEL, de Jean Pierre POURCHET, Antoine de BAUTERNE, et surtout de Jean CHATEL. Rien ne semble pouvoir l’abattre ! Je ressens chez cet homme une grande souffrance, il veut arrêter cette « malédiction » Le temps s’écoule autrement pour moi qui ne suis qu’un simple spectateur, je rejoins facilement juin 1767, où, par une soirée pluvieuse, notre « lycan » s’introduit furtivement dans la maisonnée de Jean CHATEL qui est surprit de la « visite ».
Je lis son angoisse sur sont visage.

Une étrange conversation s’amorce entre eux : je tends l’oreille, « CHATEL, qui êtes-vous que voulez-vous ? « je vous prie Monsieur CHATEL, écoutez-moi cela est très important, vous chassez actuellement la terrible bête du Gévaudan qui vous a causé tant de malheurs. » CHATEL: Oui, cela est vrai et je le jure au nom de notre roi je l’abattrais. « Cela vous semblera inconcevable, mais je suis celle-ci » « CHATEL: comment ? expliquez-vous Monsieur. » « Cela serait trop long et vous ne me croiriez pas, mais sachez qu’il n’y a rien de diabolique en moi. »

« CHATEL:
Je vous crois. » « Mais, les méfaits de la bête doivent cesser; voici pour vous deux balles d’argent fabriquées de ma main: portez-les chez votre curé et faites les bénir. » « CHATEL: Que me dite vous là ? » « Je vous donne la solution de m’abattre. » « CHATEL: Mon Dieu, Monsieur vous voulez dire que vous êtes vraiment cet animal ? » « oui, je le suis et je dois mourir pour que d’autres de vos gens ne périssent sous ma main. »

Il quitte maintenant furtivement la demeure de CHATEL et retourne dan sa modeste demeure, dans les bois. Là, je constate qu’il brûle tous ses dossiers, il sait pertinemment qu’il va mourir et, avec lui, s’éteindra sa malédiction ; il pleure dans un dernier sursaut de courage, il quitte les lieux et se précipite vers son destin : il n’est pas encore « transformé », mais cela ne saurait tarder car je le sens très tendu ; il sue, il commence à se crisper, ses traits commencent à se déformer pour laisser place à un faciès d’une forme mi-humaine, mi-animal. L’instinct sauvage reprend le dessus, il se précipite à la recherche de ses proies.

Nous sommes le vendredi 19 juin 1767 ; je suis l’émérite chasseur Jean CHATEL et ses fils aux aguets : ils attendent certainement la « Bête ».
Je vois CHATEL  rencontrer le curé local, je saisis leur conversation : « Monsieur le curé, puis-je vous demander un service au nom du roi ? » « LE CURE : Dites, mon fils. » « CHATEL: Je dois abattre une créature du Seigneur qui devient maléfique et pour cela, vous devez bénir ces deux balles présentes ». Leurs conversations sont brutalement interrompues car l’un des fils de CHATEL entre en furibond dans l’église :

 il crie « Père il arrive ». Le curé se précipite pour bénir les deux munitions  d’argent ; immédiatement, Jean CHATEL charge la première balle dans son arme et sort pour affronter l’animal. J’assiste à une scène hallucinante ; la « bête » est là debout, menaçant, le premier coup de feu éclate: la balle lui traverse le torse et elle s’écroule dans la minute qui suit, une deuxième balle l’achève en pleine tête. Tout est fini.

Jean CHATEL s’approche avec précaution de l’animal qui gît au sol, mortellement blessé. Et là, l’incroyable se produit : de ce corps gigantesque, qui a tant effrayé le Gévaudan, sort le corps d’un homme. Le Curé renonce à le croire et s’enferme dans son église. CHATEL prend immédiatement la décision de mettre à l’abri des regards le corps et là, un souffle de vie persiste encore en lui. J’accompagne CHATEL et ses enfants porter le corps à l’intérieur de leur bâtisse.

À cet instant, celui qui était un monstre lève le bras et agrippe CHATEL et lui parle: « Je vous en prie, faite
s de sorte que personne ne sache jamais. » CHATEL  décide de faire diversion, je le suis où il enterre le corps du prince dans la forêt et  le remplace par celui d’un loup qu'il a abattu les jours précédents.

Le secret du 1er LYCAN qui ait jamais vécu est enterré à jamais dans les bois du Gévaudan.