LES DEUX VIE DE CLAUDE FRANÇOIS

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Vendredi 10 mars 1978, le taxi file dans la nuit. À son bord, Claude François et deux de ses collaboratrices. Ils viennent de quitter la station Suisse de LEYSIN où le chanteur vient d’enregistrer ce qui sera son dernier show.

Paris et le Studio des Buttes-Chaumont l’attendent pour l’enregistrement d’une émission de Michel DRUCKER. Sa fiancée Américaine KATHALYN, avec qui il parle de mariage et d’enfant, l’attend également dans leur appartement au 46 Bld Exelmans.

Le brouillard, à couper au couteau, ralentit la bonne marche du véhicule qui roule en direction de Genève ; Claude s’impatiente : l’autorisation de décoller en Suisse s’arrête à 22h00. Je « rejoins » Claude dans son dernier voyage et je vous livre une autre vérité concernant son tragique « accident » qui, dans à peine quelques heures, va lui couter la vie.

Pour cela, remontons le temps et transportons-nous au 46 Bld Exelmans à PARIS, début des années 1960. Une visite au futur appartement de Claude m’apprend qu’un drame vient de se jouer : la femme du propriétaire vient de se donner la mort, par suicide, dans la salle de bain. J’inspecte minutieusement les lieux et je note immédiatement une étrange applique placée, je ne sais pour quel motif,  au-dessus de la baignoire.

En me concentrant dessus, je peux remonter le fil de son histoire. Je constate qu’elle a été subtilisée dans un manoir et revendue par la suite à des marchands de pièces électriques qui en ont subi les premières « foudres » ; arrivée à Paris par je ne sais quel chemin, elle est intégrée dans la construction de la résidence du 46 Bld Exelmans où elle « agit » négativement sur les résidents, les poussant vers la mort.

Il est maintenant clair pour moi que cette applique est « vivante » et très dangereuse. Cela, naturellement, Claude François l’ignore ; après tout, il « vit » auprès d’elle depuis de nombreuses années sans vraiment aucun problème sérieux à déplorer. Je « quitte » les années 1960 et retrouve notre chanteur : nous sommes le vendredi 10 mars 1978, il est passé minuit, le voilà chez lui auprès de son amoureuse. Je me « précipite » directement dans la salle de bains pour « vérifier » l’applique: de suite, je perçois qu’elle émane une étrange lumière et qu’une fantomatique présence se trouve à proximité : je peux l’identifier sous l’aspect de « La dame blanche » que Claude dit avoir aperçue de nombreuses fois.

Je vois qu’elle m’indique avec sa main l’applique ; je comprends la signification  de son geste. L’applique vient chercher une autre vie en remplacement de celle qu’elle devait prendre, une semaine auparavant, quand l’électricien s’était présenté pour réparer le système électrique. Je ne peux rien faire pour changer le cours du passé mais je peux essayer d’observer le déroulement des faits.

Il est 14h10 le samedi 11 mars 1978 quand Claude décide de prendre une douche avant de partir pour le studio TV. Je le suis en direction de la salle de bains, il est détendu, il pense déjà à ses futurs projets : celui de vivre aux USA avec KATHALYN et sa future carrière au pays de l’Oncle Sam. Il s’ait qu’il réussira également là-bas. Je « fixe » l’applique qui va jouer son rôle dramatique. L’eau coule dans la baignoire, Claude hésite, il est prêt à renoncer à cette douche ; son destin se joue en cet instant: il revoit sa vie depuis son enfance en Egypte, la mort de son père Aimé et la prédiction de la voyante qu’il avait jadis consulté en 1960 et qui lui avait prédit qu’il aurait eu du succès mais qu’il mourait jeune.

Il a traversé durant sa courte vie des drames où il aurait dû maintes fois mourir. Alors, pourquoi pense-t-il en ce jour à sa mort ? A-t-il perdu sa fameuse Baraka ? Pour se rassurer, je le vois « tester » les lieux, toujours maniaque à souhait. Il fixe intensément l’applique toujours pas réparée, cette fichue applique, mais à cet instant ne la touche pas.

Il entre dans l’eau tout en tenant d’œil l’applique. Je fixe les derniers instants de vie de Claude. Je peux maintenant « entendre » une voix provenant directement de l’applique : elle dit « Il me faut une vie, ce sera la tienne » : à ce moment là, la lumière s’éteint et nous sommes plongés dans le noir ; j’entends KATHALYN qui attend au-dehors, elle demande si tout va bien. Soudainement, la lumière revient. Claude s’apprête à quitter le bain ; il ne reste plus qu’un filet d‘eau au fond de la baignoire où trempe ses pieds, mais soudainement, comme « propulsée »  l’applique lui tombe quasiment dessus. Instinctivement. Claude lève la main pour se protéger et la touche: ce qui le foudroie à l’instant.

En cet instant, tout est terminé : la MORT vient de frapper. Je sens Claude lutter de toutes ses forces : il refuse de mourir; ses enfants, sa famille, ses amis ont besoin de lui. Il ne veut pas flancher, non cela est trop injuste. La forme fantomatique le rejoint et lui caresse les cheveux comme pour le rassurer et lui parle « Il faut partir Claude, prends ma main et suis moi ». Malgré l’intervention rapide du SAMU et des pompiers, une embolie pulmonaire l’emporte.

Je reviens dans la salle de bain « maudite » pour vérifier ce qui reste de l’applique dans la paroi.

Je constate des fils usés et quasi dénudés: ce qui explique le court-circuit. Mais il y a
un autre paysage qui apparaît: une famille se trouve dans une propriété, elle m’indique une chambre de leur propriété où je peux apercevoir la fameuse applique et, dessus, il est inscrit MEKTOUB: « c’est le destin ». Celui de Claude François la rejoint dans cette funeste journée de mars 1978.

Mais ce n’était pas un banal accident car Claude n’a commis aucune imprudence. :l n’a pas cherché à toucher l’applique volontairement, c’est cette dernière qui a été « poussée » contre lui, l’obligeant de se protéger le visage et causant ainsi son électrocution.