Le château de GISOR et son Donjon renferment-ils un terrifiant
secret?
Il y a un château en France qui cache bien des mystères. Je
veux parler de celui de GISOR situé dans le Vexin Normand et
bâtis sur une motte féodale.
En 1946, son gardien Roger LHOMOY effectua des fouilles et
celui-ci dit avoir trouver dans le puits, situé sous le
Donjon, une nef contenant une chapelle Romane. À son intérieur
se trouvait des statues du Christ et des apôtres, ainsi que 19
sarcophages, en pierre de 2 mètres, posés à même le sol. De
nombreux coffres, pouvant renfermer des pièces d’or, étaient
également renfermés dans les lieux.
Roger LHOMOY ne put jamais porter à terme sa découverte et le
puit fut refermé. Durant les années 1960, le ministre de la
culture d’alors, André MALRAUX, ordonna des recherches très
poussées qui ne débouchèrent sur rien de concret.
Encore de nos jours, le Donjon du château de GISOR n'a pas
livré son secret. Certains disent que les sarcophages
pourraient contenir des documents secrets amassés par l’ordre
du temple.
Je vais donc « inspecter » le fameux Donjon et constater s’il
existe, éventuellement au-dessous, la soi disante nef
découverte par LHOMOY et un éventuel Trésor mineur ou une
inavouable vérité?
Une chapelle, un trésor et une inavouable vérité
Me voici de retour sur mon enquête que je dédie au secret du
Donjon polygonal du château de GISOR.
Je reprends les « fouilles » entreprises par le regretter
Roger LHOMOY il y a de cela 65 ans. Me voici « psychiquement »
dans les lieux. Je
concentre toute mon « énergie » sur la partie la plus
importante: le Donjon. Des réminiscences de scènes se jouent
devant moi. Je
capte son histoire qui est réellement fascinante.
En « plongeant » dans les méandres de l’édifice, je note que
le passage conduisant aux fouilles, entreprises dans les
années 1946 par LHOMOY et 1964 par André MALREAUX, est
irrémédiablement obstrué et donc impraticable. J’ai un
avantage: je peux me « déplacer » sur un plan « virtuel »,
cela me permettant d’accéder à l’endroit désiré. Je descends
dans les profondeurs; le passage est très étroits, un vrai
coupe gorge!
À une profondeur, que je juge approximativement, de 20-25
mètres, je perçois une petite cavité. Je m’en approche pour
l’inspecter. Un coup d’œil me permet de visualiser une nef:
serait-elle celle explorée par LHOMOY? À première vue ils
s‘agit d’une crypte abritant une chapelle: cela confirme les
dires de LHOMOY. Je pousse plus en avant mon inspection des
lieux. Une ambiance lugubre sature l’atmosphère. Je ressens des
présences négatives. Il me faut bien observer, car je ne vais
pas traîner dans cet endroit!
Je peux voir des statues de corbeaux le long des parois ainsi
que celle du Christ et de ses apôtres, mais ce n’est pas tout!
Il y a également, alignés au sol, 19 sarcophages et surtout
une trentaine de coffres en métal. Donc Roger LHOMOY avait dit
vrai!
Mais que contiennent-ils? Dans les sarcophages, je constate la
présence de reliques humaines richement décorées; les corps
semblent intactes comme s’ils n’avaient pas été altérer par le
temps! On dirait même qu’ils dorment! Il y a dans les coffres
des pièces en or et des bijoux ainsi que de nombreux
documents: est-ce là les archives inédites de l’ordre du
temple, riches en informations? Je le suppose.
Au centre de la chapelle se trouve un hôtel où siège un YSE:
une tête d’or renfermant un crâne noir avec une inscription
que je lis comme CAPUT SIDON VIII. Il s’agit d’une espèce de
BAPHOMET. Incroyable! donc les accusations portées par
l’église contre l’ordre du temple, lors du procès pour
sorcellerie de 1307, avait en partie une base véridique!
Certainement, il est plausible de penser que seul une partie
minoritaire de l’ordre se donnait à ce genre de pratique. Mon
« inspection » touche à son terme. Je quitte les lieux en
empruntant une autre route qui me fait déboucher dans la motte
médiévale. Je vous livres mes impressions: Roger LHOMOY avait
bien trouvé le chemin qui porte à la chapelle située au
dessous du Donjon.
À son intérieur, il y a un trésor dit secondaire composé
d’archives et de pièces d’or. Il y a également la présence de
19 corps d’humains, intactes, enfermés dans des sarcophages et
n’ayant pas subis les ravages du temps!
La présence d’un hôtel et d’un BAPHOMET laisse à penser que
des messes noirs étaient pratiqués. Il est impossible, de nos
jours, de rejoindre ce lieux en passant par le même chemin
emprunté par LHOMOY. Mais, il reste un espoir de pouvoir y
accéder en passant par un passage secret situé dans la motte
et portant[allant] directement à la nef.