JACK L’ ÉVENTREUR DÉMASQUÉ
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Ayant lu mon article portrait dans le magazine le MONDE INCONNU
N°347 de décembre 2010 et suite à mes précédentes
sollicitations, Madame Sophie HERFORT m’a contacté récemment
pour que je lui donne mon « ressenti » concernant l’identité de
JACK THE RIPPER et voir si celle-ci coïncide avec sa propre
thèse contenu dans son passionnant ouvrage.
Je vais donc prochainement me mettre sur la « PISTE » du plus
célèbre criminel de tous les temps et je vais tenter de le
démasquer.
Parmi les nombreux mystères qui hantent l’humanité, il y en un
qui a fai trembler l’Angleterre Victorienne et qui fascine
encore de nos jours.
De très nombreux livres et films lui ont été dédiés. Dans
ceux-ci, je note surtout l’excellent livre de l’écrivain Sophie
HERFORT, fruit d'un très long et méticuleux travail de recherche
: son titre « JACK L’ÉVENTREUR DÉMASQUÉ ».
Dans celui-ci, Madame HERFORT apporte, en regroupant des années
de recherches sur le terrain même et dans les archives de
Scotland Yard, sa propre thèse, qui est très plausible à
mes yeux, sur la véritable identité du personnage qui se cache
derrière le « masque » de la terreur de WHITECHAPEL .
Août 1888 nous sommes sur la fin de l’été quand commence l’«
affaire de JACK L’ÉVENTREUR » dans le quartier misérable de
WITHECHAPEL dans le Londres Victorien. Je débute sur cette
exceptionnelle enquête extrasensorielle en « analysant » la
missive que l’infâme personnage a adressé à Scotland Yard et
qu’il débute par l’énigmatique phrase de « FROM HELL ».
Je pose avec quelques appréhensions ma main sur celle-ci. Et je
suis quasi-immédiatement happer par un « froid glacial »: je me
retrouve » psychiquement » dans une maison dans ce qui semble
être un studio personnel. Il y a un homme assis en train
d’écrire un courrier : je sens son odeur » une eau de Cologne
goût de miel. J’observe attentivement les moindres détails dont
une chevalière à l’annuaire de la main gauche ainsi qu’une
blessure au niveau de la tête qui n’est pas récente.
Je plonge mon « regard » au-dessus de l’épaule de l’individu et
je peux « noter » le courrier qu’il est en train d’écrire et je
constate qu’il s‘agit bien de celui reçu par la suite par les
services de Scotland yard et qui est qualifié d’authentique : la
fameuse missive « FROM HELL ». À ce point, je reste « figer »
car je me trouve en « présence » du tristement célèbre « JACK
THE RIPPER » je suis dans l’antre du « CHACAL ». Il est très
important que je ne perde pas la concentration car je dois
tenter de « voir » son visage.
Je profite de l’occasion pour cerner d’autres détails dont un
sac de cuir marron déposé sur une chaise d’où dépasse un foulard
rouge : ce fait a une très grande importance car l’un des
témoins de cette affaire a perçu un homme au foulard rouge près
des méfaits du « CHACAL DE WHITECHAPEL .
Je retourne sur ma « cible » qui vient maintenant de se lever
pour déposer son courrier dans un dossier situer dans une
armoire vitrée qui est composée d’autres éléments très
compromettants. Ce fait me permet d’évaluer son physique : un
homme d’environ 1.70-1.75 m, ses cheveux sont châtains foncés
mais grisonnants sur les tempes je tente le tout pour le tout
pour « fixer sont visage. Je commence à l’entrevoir quand
soudainement l’individu est » appelé » par une voix féminine :
il quitte promptement son studio et là je perd sa trace.
Ma première tentative m’a apporté des éléments très intéressants
dans la recherche de la vérité. Je vais donc « persévérer
» dans ce sens car pour la première fois depuis 120 ans le «
vrai visage » de la terreur de WHITE CHAPEL est très proche
d’être révélé. Mon retour « psychique » sur le Londres
Victorien, cadre des méfaits de « Jack the ripper », me
transporte de nuit sur une route pavée : j’y retrouve « notre »
individu qui marche d’un pas pressé au loin, je peux entendre
carillonner BIG BEN, il doit être environ sur les 23h00.
Ce qui me saute en premier lieu au « yeux » c’est le foulard que
l’individu porte autour de son cou et qui est de couleur rouge.
Je le « suis » dans son périple nocturne. Voilà qu’il s’arrête
maintenant dans une taverne ; que cherche-t-il ? Boire
certainement, puisque il se fait servir une chope de bière ; je
le sens très tendu et anxieux, il respire difficilement.
C’est le moment ou jamais : il retire une casquette et je peux
finalement entrevoir son visage. Je bondis sur mon crayon et
esquisse à l’instant ses traits. Ces yeux sont tristes et il
démontre physiquement entre 40-45 ans, cheveux châtains,
mi-claires mi-foncés et tempe légèrement grisonnantes : ses yeux
sont de couleur bleue, et il arbore une moustache très à la mode
à cette époque. Un visage en soit « banal », perdu parmi
la foule londonienne. Je continue à l’« observer » : il retire
maintenant de sa poche droite une montre à gousset et la
consulte.
D’un pas décidé, il quitte brusquement la brasserie : je le vois
partir en « chasse ». Il dissimule sous son manteau de couleur
beige « l’instrument » de ces méfaits. Subitement, il stoppe net
; il est pris d’un violent mal de tête sans doute causé par la
blessure que j’ai noté lors de mon précédent « sondage ». Le
temps s’est écoulé : nous devons être environ entre 1h 00 et
2h00 du matin : je note que la température doit être encore
estivale car aucune buée ne s’échappe de la bouche de
l’individu.
Je le « vois » aborder une femme: il discute pendant un cours
laps de temps. Selon la description de cette dernière je peux
noter qu’il s‘agit de Mary Ann NICHOLS, la première
victime. Maintenant j’en ai la pleine certitude, j’ai bien à
faire à « JACK L’ÉVENTREUR
»; à ce point je « décroche » pour éviter de « voir » l’œuvre de
ses méfaits. Quand je le retrouve, tout est terminé et il vient
de s’enfuir dans les ruelles sombres et misérables de
Whitechapel.. Il entre maintenant dans un bâtiment que je situe
dans MULBERRY STREET où il loue une chambre sous un faux nom.
Il se défait de l’ensemble de ses vêtements et se lave. L’aube
se levant, il quitte sa « tanière » et rejoint ce que je pense
être sa demeure principale où je l’ai déjà aperçu. Devant moi,
se présente un homme d’un certain rang marié et père d’un jeune
enfant.
Sur son bureau, un courrier est bien en évidence : il est
estampillé de Scotland Yard et daté d’août.1888. Surprenant !
Quel lien peut-il y avoir eu entre « JACK » et ceux qui le
pourchasse ? Ceci sera le thème de ma troisième enquête
extrasensorielle : découvrir sa véritable identité.
Dans le Londres Victorien des années 1880, les quartiers
insalubres comme WHITE CHAPEL étaient des endroits de non lieux
où sévissait la violence à tous les niveaux : celle-ci atteint
son paroxysme sous les méfaits de « Jack l’ éventreur ».
En seulement quelques mois, il a bouleversé à jamais l’histoire
des faits divers. Mais aujourd’hui finalement, je vais pouvoir
vous révéler sa véritable identité : le plus grand criminel de
tous les temps est démasqué ; le mystère de « Jack l’éventreur »
est terminé. Les nouvelles « images » qui s’étalent sous mes
yeux sont celles d’un homme d’âge moyen soignant ses fleurs dans
une serre familiale. Je le reconnais immédiatement : il
s’agit bien de l’individu que j’ai « traqué » dans mes
précédents « sondages. Je le vois entourer de ses enfants, une
famille bien aisante de Londres. J’observe attentivement son
domicile que je peux situer maintenant dans le quartier de
WARWICKS SQUARE au N°32.
Notre individu est gaucher et très imbu de sa personne
n’admettant aucune contradiction. Il est cultivé et issu d’une
famille riche mais pas noble. Il possède une vive intelligence
contrastée par son côté « obscur ». Je peux observer qu’il s‘est
forcé d’écrire de sa main droite la fameuse lettre de FROM HELL
pour brouiller les pistes.
Je suis au pas notre homme dans cette demeure cossue sur deux
étages. Je le sens tourmenté par des fréquents cauchemars liés à
un récent passé : il « crie » dans ceux-ci « I am not a coward
». Je ne suis pas un lâche. En poussant plus loin mon «
introspection psychique », je vois un pays lointain qui semble
l’Inde où notre homme a vécu et où il a subi une violente
agression qui justifie la blessure déjà notée à la tête.
À l’étage, je retrouve son studio personnel où il a écrit la
missive FROM HELL. Je retrouve également l’armoire vitrée
contenant « ses secrets » de ses ballades nocturnes dans les bas
quartiers londoniens. Je « cible » des photos représentant notre
homme et sa famille.
Mais surtout je « visualise » sa montre à gousset (qu’il égarera
lors de son dernier méfait du vendredi 09.11.1888 et qui lui
sera discrètement rendu par l’inspecteur et ami James MONROE:
donc Scotland Yard savait la vérité !) elle est ouverte sur son
bureau; cette fois-ci sa véritable identité ne pourra m’échapper
: j’accroche les mots écrits à l’intérieure WITH LOVE DORA
SANDERSON MACNAGTHEN, je suis chez SIR LESLIE MELVILLE
MACNAGTEN.
Sous cette apparence de respectabilité se cache la terrible
vérité « DU CHACAL DE WHITECHAPEL » Sir
MELVILLE MACNAGTEN et JACK L’ÉVENTREUR NE FONT Q’UNE SEUL ET
UNIQUE PERSONNE ! .
La chasse est terminée ; récapitulons les preuves essentielles
de l’affaire
Selon mon enquête extrasensorielle J’ai « vu »
1) Son visage et son physique d'homme d’environ 35-40 ans,
Moustache,
taille environs 1,75 ms
2) Durant ses méfaits
3) Son habitation et son adresse
4) Le foulard rouge
5) La montre gousset avec la chaîne en or avec l’inscription
6) La casquette style Gavroche ou Marin
6) Écrire la fameuse missive From Hell de la main droite alors
qu’il est gaucher
Selon le témoignage des deux principaux témoins, Joseph Lawende
et George Hutchinson, recueilli par Scotland Yard en 1888
1) homme d’environ 35- 40 ans, moustache brune
2) taille environ 1,75 cm
3) manteaux gris et foulard rouge
4) Casquette style marin
5) Montre gousset en or
Conclusions
Les 5 points du témoignage des deux principaux témoins concorde
parfaitement avec mon « enquête extrasensorielle »
Personnellement, je n’ai aucun doute : la preuve de ce que j’ai
« vu psychiquement » est en concordance avec la réalité des
faits advenus durant les derniers mois de l’année 1888.