Vendredi 19 juillet 1999: un petit avion PIPER SARATOGA vient
de décoller de New York, destination HYANNIS PORT.
À son bord, trois personnes, dont celui que le peuple
américain a baptisé le Prince de l’Amérique, John John
KENNEDY, le fils unique du regretté président JFK, à ses côté
ont pris place son épouse Carolyn BESSETTE et sa sœur Lauren
BESSETTE.
Les conditions de vol sont bonnes, rien ne laisse présager une
éventuelles issue dramatique, et pourtant à 22h00, les
occupants du PIPER ne donnent plus aucun signe de vie,
l’avion, inexplicablement, vient de se crasher en pleine mer
causant la perte de ses occupants.
L’enquête officielle fera assumer à John John KENNEDY la quasi
responsabilité du tragique accident. Pourtant, de nombreuses
zones d’ombres persistent, dont celle d’un éventuel complot
pour l’abattre, car John John avais émis le souhait de se
présenter au poste de sénateur. Il était donc un potentiel
candidat à la présidence des États-Unis et souhaitait
l’éventuelle réouverture de l’enquête sur l’assassinat de sont
père, le Président JFK, assassiné en novembre 1963 à DALLAS.
Je vais remonter le temps pour enquêter et élucider les
circonstances de cette tragique disparition. Je visualise la
dernière journée de vie de John-John KENNEDY. Nous sommes le
vendredi 16 juillet 1999.
M’« accrochant » aux dernières heures de John-John, je le
localise dans sa voiture où il se dirige vers l’aérodrome pour
s’embarquer à bord de son avion, un PIPER SARATOGA: sa
destination, HYANNIS PORT pour assister au mariage de sa
cousine RORY.
Ma première constatation est le dossier en cuir déposé sur le
siège passager et auquel il jette de fréquents coups d’œil; il
semble très important! Mais, que contient-il? La réponse à ma
question se trouve quelques heures dans le passé de John-John.
Je « remonte » le fil du temps pour « stopper » dans la
matinée du 16 juillet dans son appartement de NY. Une
rencontre a lieu. John-John reçoit la visite d’un individu qui
lui remet un lourd dossier concernant l’assassinat de son père
le 22 novembre 1963 à DALLAS. Il détient maintenant les
preuves du complot organisé contre son père et il est bien
décidé à faire éclore la vérité. Je note aussi qu’il a préparé
la documentation nécessaire pour se présenter comme candidat
au poste de sénateur de NY et il n’est pas le seul à le
savoir, car je cible une surveillance mise en place à son
égard.
De retour sur le moment précédent, je le vois appeler,
depuis son véhicule, son épouse Carolyn pour lui demander de
s’activer pour le rejoindre avec sa belle-sœur Lauren
directement au petit aérodrome où l’attend son avion, un PIPER
SARATOGA. Je le précède dans l’action pour constater
curieusement que son formateur habituel est absent et
d’étranges personnages s’affairent à l’arrière de l’avion où
je les vois déposer un objet de métal dans la queue de
l’appareil. Je « zoom » dessus pour évaluer l’engin: il y a un
timer(une minuterie) dessus; cela ressemble à une machine de
destruction à retardement!
Il est 18h35 PM quand je perçois l’arrivée de John-John
qui est surpris et énervé de l’absence de son formateur. Il
hésite à rebrousser chemin, mais il ne souhaite pas ramener
L’important dossier chez lui: son but est de le placer en lieu
sûr chez ses parents, auprès du sénateur Edward KENNEDY.
La nuit commence à tomber quand finalement le véhicule,
transportant Carolyn BESSETTE et sa sœur Lorraine,
arrivent à l’aérodrome. Lorraine BESSETTE tient dans ses mains
également un important dossier concernant la finance; elle
semble nerveuse et inquiète! Après une vive discussion,
Carolyn ne souhaitant pas voyager de nuit. Il est 20h30 PM
quand l’aéronef commence son envol avec John-John au pilotage.
Malgré son pied encore plâtré, le décollage se déroule
parfaitement. L’ambiance à bord du PIPER est tendue. John-John
ne cesse de demander s’il est vraiment nécessaire de déposer
Lauren en route: il est très impatient de rejoindre la terre
ferme de HYANNIS PORT. Il sent comme un danger dans l’air.
À 22h05 PM, une violente déflagration arrache brutalement la
queue de l’appareil, rendant impossible tous contrôle de
celui-ci. Il plonge maintenant vers l’océan Atlantique:
l’impact avec la mer ne laisse aucune possibilité de survie.
Ainsi se termine, à 38 ans, la courte vie de John- John
KENNEDY, de son épouse et de sa belle soeur morts tous
ensembles pour avoir voulu découvrir la vérité sur
l’assassinat du président JFK et pour cacher certains secrets
financier. Avec la disparition de John John KENNEDY
disparaissait un potentiel candidat à la succession de son
père à la présidence, et cela permettait aussi l’enfouissement
de nombreux secrets.