LES ROSES ROUGES DE DALLAS

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 « Un jour, quelque part, quelqun aura accès à la vérité  » : Jimmy GARRISON, procurateur de la Louisianne,  septembre 1969.

Une des particularités de mon « Don » est de pouvoir me « transporter psychiquement » dans l’espace et le temps en touchant les images du passé.

Dans le cas de l’assassinat du président Kennedy, il me faut me « déplacer » sur la grande place de DALLAS DEALEY PLAZA, où a eu lieu le drame, pour arriver à « capter » la « vérité » que je recherche. Je dois donc sonder les endroits et personnages suivants 
:

LEE HARVEY HOSWALD

Il est le principal accusé et, par lui, je devrai apprendre ces déplacements et son emploi du temps dans la matinée du 22 novembre 1963 jusqu’à l’heure fatidique du complot, soit 12h30

LES AGENTS DU SECRET SERVICE ESCORTE DU PRÉSIDENT KENNEDY

Leurs rôles sont d’une égale importance même sur un point différent : pourquoi n’ont-il pas protéger efficacement leur président ? Au 1er coup de feu (à l’exception de l’agent Clinton HILL), aucun d’eux ne s’est précipité, depuis la voiture suiveuse, pour couvrir de leur corps le président et le protéger, alors que cela étaient leur mission principale ! Leur apathie, ce jour-là, a facilité grandement la tâche des snipers sur DEALY PLAZA. Je sonderai plus attentivement l'agent secret et chauffeur de la limousine présidentielle Williams GREER qui a ralenti et quasiment stoppé la limousine en se retournant pour observer le tir fatale; est-ce juste une maladresse de sa part ( il avait 53 ans à l’époque âge quasi canonique pour un agent secret ) ou alors une éventuel participation au complot ?

LYNDON B JHONSON VICE PRÉSIDENT SUCCESEUR DE KENNEDY


Vice-président Texan de surcroît, il détestait cordialement le président et son frère Robert F Kennedy. Était-il au courant du complot ?

LES SUSPECTS PRÉSENTS SUR DEALY PLAZA

Umbrella man et son ami le « cubain » qui, lors du passage de la limousine, ont gesticulé d’énigmatiques « signaux en direction de la limousine.

LES DEUX SNIPERS REPÉRER DERRIÈRE  LA PALISSADE DU GRAZNY KOLL

Sur une des photos faites par Mary MOORMAN et sur le film de Oliver NIX, deux étranges silhouettes apparaissent derrière la palissade : ils sont munis de fusils et semblent tirer de face sur le président ; il est très intéressant d’aller « voir » de plus près ces derniers, car de là semble provenir le tir fatale qui a coûté la vie du président.

CONCLUSION

Tous les pions sont en place sur l’échiquier : mon « enquête extrasensorielle » peut commencer. Je « rejoins » notre principal suspect à Dallas dans les heures qui précède l’attentat contre Kennedy.

Ma première image sur OSWALD me transporte dans sa chambre meublée à IRVING dans la banlieue de Dallas. Je trouve un homme inquiet qui lit et relit le journal local exposant le trajet présidentiel. Je le vois emballer un fusil dans de la carte à paquet qu’il s’est évidemment procurer sur son lieu de travail le TEXAS  BOOK DEPOSITORY où il travaille depuis environ un mois comme magasinier.

Je peux saisir l’heure à sa montre qu’il consulte quasi frénétiquement : il est environ 7h10 du matin du vendredi 22 novembre 1963. Le voilà qui s’embarque dans un véhicule où je trouve, au volant, son collègue Buell FRAZIER. Je les vois arriver sur leur poste de travail vers 8h15

Je ne lâche pas d’un pas notre homme qui entre avec son « paquet » dans l’immeuble et se dirige immédiatement au 6ème étage(soit 5ème pour nous). Il déballe l’arme de son étui en papier et la dissimule sous des cartons à proximité immédiate de la fenêtre qui donne frontalement sur HOUSTON SREET et latéralement sur ELM STREET et DEALEY PLAZA.

Quelques instants après, je constate que deux autres individus viennent de le rejoindre. Ils sont habiller d’un « uniforme gris » où je peux  constater un sigle inscrit dessus « ACME ». Ils ont également des « paquets » qu’ils déballent laissant apparaître deux autres armes. Je « cible » dessus et peux détailler ces derniers : il s’agit de fusil MAUSER GEWEHR 43, l’arme absolue des snipers.

Je peux décrire l’apparence de ces deux individus : l’un est blanc, mesurant environ sur les 185 cms, corpulence robuste, cheveux et moustache châtains clairs, une cicatrice à la main gauche; l’autre est un homme de couleur, environ 180 cms, d'allure svelte. Ils sont munis d’un système de communication radio.

Le « trio » prend position près de la fenêtre pour observer les lieux, mais ils sont dérangés par l’arrivée d’un « véritable » employé du Texas depository. Oswald quitte ses deux comparses et se rend à la cafétéria : il est maintenant, selon le repère temporel que j’arrive à visualiser, soit l’horloge de la cafétéria, environ 12h15. Il ne reste plus que 15 minutes avant l’arrivée du cortège présidentielle. Je retourne sous la fenêtre du 5ème étage où s’activent les deux « amis » d’Oswald pour préparer le « nid » du sniper avec les cartons présents en confectionnant un « espèce» de « mur » de  protection.

 Il est 12h20 à l’horloge murale de la cafétéria. Oswald quitte tranquillement les lieux. En le suivant, je le vois rejoindre le 5ème étage et ses deux acolytes. L’importance du moment est capitale; une vive discussion s’engage entre eux. Oswald veut tirer le premier, de face, sur HOUSTON STREET qui, selon lui, est le tir le plus facile, mais ces « camarades » s’y opposent : le tir s’effectuera comme prévu et non pas selon l’improvisation voulu par Oswald. .

Je vois maintenant l’individu blond prendre la position de tire. La montre de l’un des snipers, l’homme de couleur, indiques 12h29. Je peux l’entendre s’adresser  à son « collègue » GREEN LIGHT : GO! GO! Trois tirs se suivent en quelques secondes : deux proviennent du MAUSER GEWEHR 43, le troisième et dernier est tiré par OSWALD avec sont fusil MANNLICHER CARGANO me confirmant que OSWALD était bien un des snipers du « nid de l’aigle » dissimulé au 5ème étage du Texas  depository.

Les armes sont laissées sur place (on ne retrouvera que le fusil d’OSWALD). Le MAUSER sera bien trouvé par le chérif adjoint de Dallas Robert GRAIG, mais « disparaîtra très vite de la circulation) pour ne laisser la place qu’au fusil « officielle »: soit le MANNLICHER-CARCANO.

Le trio dévale maintenant les 5 étages qui les séparent de la sortie ; Oswald s’arrête au 1er pour reprendre ces esprits et boire un soda. Je reste avec lui et à ce moment là débarque un policier et un autre homme: soit le Policeman Baker et le directeur du Texas Book depository ,Truly..

Mais où sont bien passer les deux « acolytes » d’Oswald ? j’étends mon introspection visuelle et je les repère à l’extérieur de l’immeuble où ils viennent  de bondir dans la frénésie générale.

Je « retourne » chez Oswald qui quitte également l’immeuble par l’entrée principale. Je remarque que son attention est attirée par le klaxon d’un break Ford, couleur brun et blanc. Il rejoint le véhicule conduit par ses « amis ». Ils quittent discrètement les lieux de l’attentat.

Recoupons les faits que j’ai « visualiser » dans mon « enquête extrasensoriel sur  Oswald »

J’ai « vu » Lee Harvey Oswald au 5ème étage du TEXAS BOOK DEPOSITORY tirer sur le président Kennedy. J’ai constaté 3 tirs dont deux tirés par le fusil haute précision MAUSER GEWEHER 43; deux individus habillés en tenue de travail sigle «  ACME » au côté d’Oswald dans le nid du sniper au 5ème étage.

La fuite des « snipers » de l’immeuble et le passage donner à Oswald. Maintenant, comparons les aux témoignages enregistrés officiellement par la police de Dallas le 22.11.1963. Plusieurs témoins ont vu au moins 2 hommes, dont l’un tirer par la fenêtre du 5ème étage du TEXAS BOOK DEPOSITORY et dont un homme de couleur.

La commission WARREN et des dizaines de témoignages des gens présents sur Dealey Plaza, ce jour là, ont entendu, parmi environ 4 à 5 coups de feu, 3 coups provenant du TEXAS  BOOK DEPOSITORY. Un fusil de marque MAUSER GEWEHR 43 fut retrouvé sur l’emplacement des tirs ainsi que le MANNLICHER CARCANO selon le témoignage du shérif adjoint de Dallas Robert GRAIG. Une société, nommée « ACME », nettoyait les sols du dépôt en ce jour de novembre 1963. Un témoin, au moins, a vu des hommes sortir précipitamment du dépôt juste après 12h30. Oswald a été vu par le shérif adjoint GRAIG monter à bord du break conduit par un homme de couleur vers 12h44.

Conclusions du «  sondage dédié à Lee Harvey OSWALD »

 Lee Harvey OSWALD a bien tirer sur le président John F KENNEDY le 22.11.1963 depuis le 5 ème étage du TEXAS BOOK DEPOSITORY. La présence à ses côté des deux autres individus, présents sur les lieux des tirs, appuie la théorie d'une conspiration.

Je vais maintenant m’attaquer au 4ème et 5ème tir le plus important, car il est le tir fatal à la tempe droite de Kennedy. Je vais également « analyser » les autres évènements ,sur Dealey Plaza, comprenant les rôles de l’escorte du président: soient les hommes du Secret Service et du vice–président JHONSON. Parmi les élites des service de sécurité des États–Unis se trouve le célèbre SECRET SERVICE qui dépend du ministère du Trésor : leurs fonctions principales sont d’assurer la protection du président et de sa famille.

En 1963, le SECRET SERVICE comptait environ 600 agents en service. Leur quasi-totale inaptitude à Dallas a franchement aidé les snipers postés sur Dealey Plaza. Pour que je puisse y voir plus clair, il me faut savoir le pourquoi de leurs « absences » ; je commence donc par « sonder » cinq des principaux agents qui participaient au défilé.

LE SPECIAL AGENT ROBERT P. EMORY

En me « branchant psychiquement » sur sa photo, la première séquence d’images me font observer une personne qui à souffert de sérieux problèmes d’alcool et une enfance un peu chamboulée. Mais je ne me maintiens pas dans cette séquence de sa vie car ce qui m’intéresse e
st son engagement lors de la parade du 22 novembre 1963. Je « pousse » plus loin mon observation. les années défilent plus rapidement je ne retiens pas tous ce qui se présente à mes yeux, mais je stoppe sur les évènements dramatiques de Dallas. Me voici « arriver » à destination; une ville se présente. Ce n’est pas Dallas mais je peux reconnaître la cité de FORT WORTH, la deuxième étape. après SAN ANTONIO. du voyage texan du président Kennedy. Nous sommes de nuit et je me trouve dans un night club de la ville. Je peux reconnaître le spécial agent, Robert P.EMORY, attablé au bard. Il n’est pas seul: avec lui se trouvent 3 autres agents du secret service. L’heure est bien avancée et en violation totale de leurs règlements interne. Ces hommes, qui doivent assurer la protection du président à Dallas, se délassent dans cette boîte de nuit texane.

Je trouve le spécial agent Robert P. EMORY inquiet: il lit et reli
t une annotation sur un petit papier qu’il tourne nerveusement dans ses mains. Je « cible » dessus pour essayer d’en lire le contenu. Ce que je vois m’interpelle. En voici le contenu en anglais.

Risk of attack against President Kennedy in Dallas on 11/22/1963 Be careful!

Il s’agit d’un message non signé, mais qui perturbe Robert P. EMORY. Je parcoure maintenant les quelques heures restante
s qui me séparent de l’attentat. Me voici « transporter » à l’aéroport de LOVE FIELD. L’avion présidentiel AIR FORCE ONE a déjà atterri. Robert P. EMORY se place dans la voiture suiveuse de protection. Il vient d’avoir une altercation avec l’agent Hank RYPKA au sujet de la protection rapprochée de la limousine présidentiel. Le cortège vient de démarrer, je « m’invite » à bord de la voiture suiveuse et observe attentivement les faits et gestes d’EMORY et de ses hommes. Les rues défilent vite, la foule est intense et enthousiaste de voir le président et son épouse.

Mais le moment crucial s’approche à grand pas ; nous voici sur HOUSTON STREET, le cortège aborde la dernière traite, Robert P. EMORY note quelque chose sur un rapport : nous sommes à l’horloge géante, située sur le toit du TEXAS BOOK DEPOSITORY, 12h29. J’ai juste le temps de saisir l’annotation de EMORY, la voici :

« Président KENNEDY bien arrivé au TRADE MART ». Robert P. EMORY n’a pas tenu compte de l’avertissement ! Nous voici maintenant sous le feu de l’action: des coups sifflent sur Dealey Plaza, je constate un fait important du coin de l’œil, EMORY note la provenance d’un coup de feu; son regard se porte en direction de la façade parabolique en béton du GRAZNY KOLL. Mais, pas le temps de s’arrêter. Déjà, le déroulement des événements a repris : nous suivons la limousine présidentiel
le qui fonce à plus de 100 km, passer le triple under pass; nous voici aux services des urgences du PARKLAND HOSPITAL.  Robert P.EMORY rejoint ses collègues et il expose immédiatement sont opinion.

Pour lui, il a reconnu l’œuvre d’un complot de professionnel
s exécuté par au moins quatre tireurs ; il en est sûr et je le vois le consigner officiellement sur son rapport co-signé par le reste de sont équipe et remis au chef des services secret James ROWLEY.

Conclusions

 Robert P. EMORY a pêché par orgueil et manque de professionnalisme.
Il « savait » du risque d’attentat, mais il nen n’a pas tenu compte. Mais a confirmé officiellement l’œuvre d’une organisation professionnelle derrière l’attentat de Dallas .

ROY KELLERMAN CHEF DE L’ÉQUIPE DE LA LIMOUSINE PRÉSIDENTIELLE    

Ici mon analyse diffère énormément de celle de Robert P. EMORY.  Car  Roy KELLERMAN chapote l’ensemble de l’équipe; sa responsabilité e
st très engagée. Quand je « sonde » KELLERMAN, ma première impression est très intense. Il était présent dans la limousine devant le Gouverneur CONNALY et le président KENNEDY. Mais place au fait. Action !

Je suis maintenant, si je peux dire, au « première loge » avec Roy KELLERMAN.  j’observe attentivement l’enchaînement des faits. L’horloge géante sur le TEXAS BOOK DEPOSITORY indique 12h29. KELLERMAN note ain
si que GREER, le chauffeur, deux individus suspects qui gesticulent des « signaux », un léger frisson vient d’effleurer la joue de KELLERMAN: il s’agit de la balle qui vient de toucher Kennedy à la gorge. Je note la trace de l’impact à travers le pare brise de la limousine. KELLERMAN se retourne et peux entendre crier KENNEDY «  help me ! am touched ». Je sens KELLERMAN totalement paralysé; il interpelle comme, pour se rassurer, GREER et lui demande de regarder derrière. À ce moment là, surgit le tir fatale. J’entends KELLERMAN crier « GO! GO!  ON DÉCROCHE.  SORT-NOUS IMMÉDIATEMENT DE LÀ GREER. »

Conclusions

Roy KELLERMAN
a pêché par sa faiblesse. Il n’était pas du tout préparé à diriger une équipe en plein attentat. Il n’était pas au courant du complot. Mais confirme comme son collègue, EMORY, la « patte » d’une organisation professionnelle en œuvre sur Dealey Plaza.

WILLIAMS GREER CHAUFFEUR DE LA LIMOUSINE PRÉSIDENTIELLE

Nous voici maintenant sur une des « pièces maîtresse
s » de la tragédie: l’agent Williams GREER. Par son inaptitude à réagir, il a facilité le dernier tir: celui qui fût fatale au président Kennedy. Mais, que s’est-il passer au juste ? Je « reste » à bord de la LINCOLN présidentielle et je passe de ROY KELLERMAN à son collègue, WILLIAMS GREER, en retournant légèrement de quelque secondes dans le passé. Nous revoici donc à 12h27, la LINCOLN vient de quitter HOUSTON STREET et aborde le difficile virage, sur ELM STREET, de 120°. Je sens GREER tendu, il a hâte de quitter la zone. Je recherche en lui la source de cette peur. A-t-il  eu connaissance de l’attentat ?  Selon ce que je peux constater, il n’est au courant d’aucun élément. 12H29 KELLERMAN l’interpelle « Williams t'as vu les 2 gars là ! »

Il tourne la tête et les repères également. 12H30, il entend comme des pétard et son attention est attirée par les personne
s qui stationnent[se trouvent] sur le pont du Triple Under Passe. Il est interloqué: mais, que fait cette foule là ! Où est donc la surveillance de la police texane ! Je le sens très perturbé, il se tourne vers KELLERMAN et relâche le pied de l’accélérateur à ce moment précis. Il freine légèrement et se retourne, comme l'a invité KELLERMAN, pour regarder ce qu’il se passe à l’arrière. À ce moment précis, surgit le tir fatale qui touche le président  Kennedy à la tempe droite. Il est horrifié par ce qu’il vient de voir.  KELLERMAN l’interpelle et lui intime l’ordre de décrocher. GREER lui répond « attends, CLINT est en couverture. » 12h31, finalement je le vois appuyer sur le champignon de la puissante LINCOLN qui passe de 18 km à 100 kms en quelques secondes. Je les « vois » passer le triple Under Passe. GREER baisse instinctivement la tête: il craint une autre « action » au-delà du pont. KELLERMAN sort une carte de secours et dirige GREER vers le PARKLAND HOSPITAL.

Conclusions

Williams GREER avait 53 ans lors de l’attentat.
Il était l’agent le plus âgé de l’équipe. Cela a énormément joué dans le déroulement des faits. Il avait peur d’un attentat vers le triple Under Pass. Il a commis. involontairement. une terrible erreur en relâchant sa conduite pour se retourner en arrière, sur invitation de KELLERMAN et en freinant pour permettre la « couverture » de l’agent Clinton HILL. Mais, il n’a pas participé au complot par sa malheureuse attitude ce jour là.

CLINTON HILL AGENT  DE PROTECTION DE JACKIE KENNEDY

 Il faisait partie de l’équipe de la voiture suiveuse sous les ordres de Robert P. EMORY. Il a été le seul de l’équipe à agir avec promptitude et professionnalisme. Je me « déplace » de la LINCOLN présidentielle et rejoint la voiture suiveuse. Encore une fois, je retourne dans le temps. Nous sommes à 12h28, abord du véhicule de protection.
Je note un certain frémissement sur les strapontins, du côté droit, les agents Jacks READY et Paul LANDIS viennent de tourner la tête en direction du TEXAS BOOK DEPOSITORY. Je me concentre sur mon « homme » Clinton HILL qui lui, curieusement, fixe droit devant lui. Il surveille la LINCOLN présidentielle. 12H30, un coup de feu vient d’atteindre le président KENNEDY à la gorge.

Je suis du regard  HILL.
Il regarde vers la façade parabolique du GRAZNY KOLL sur sont côté droit. Il vient de noter le tire de face. Il bondit du strapontin. Je le suis dans sa course vers la limousine présidentielle. Il constate malheureusement que le 2ème tir de face à été fatale à KENNEDY. Il s’agrippe a la LINCOLN. Je l’entends crier « restez assise Mme Kennedy, je vous couvre ». Maintenant, il s’adresse à GREER « Fonce, Fonce Williams, sort-nous de là ». je peux le voir constater la terrible blessure du président. Il a envie de pleurer. Mais, il ne doit pas, il doit être professionnelle jusqu’àu bout et « couvrir » le président et la 1ière dame. Je reste à ses côtés, il essait de parler au président « tenez le coup Jack ». Le PARKLAND HOSPITAL apparaît au bout d’un trajet qui lui a semblé interminable. Il descend immédiatement et éloigne Jackie Kennedy. Maintenant il retire sa veste et couvre délicatement la tête du président. En retirant ses lunettes. de soleil, je note des larmes à ses yeux. Il se reprend immédiatement et « ordonne » a GREER et KELLERMAN de l’aider à transporter le corps de Kennedy à l’intérieur. Il est rejoint maintenant par ses collègues de la voiture suiveuse. Je constate qu’il partage l’avis d’EMORY: pour lui également, cela est l’œuvre d’une équipe de professionnels. Ils concordent pour 4 tireurs dissimulés sur DEALEY PLAZA..

Conclusions

Conclusions

L’agent Clinton HILL fut l’un des seuls à ne pas avoir négliger les règles de sécurité en vigueur dans le Secret Service et le seul à avoir eu les réflexes nécessaires pour bondir « couvrir » le président. Il ne fut jamais au courant d’un éventuel complot prévu contre Kennedy à Dallas. Et a confirmé, comme ses collègues, l’œuvre d’une organisation professionnelle pour l’attentat de Dallas.   

HANK RYPKA  L’AGENT LAISSÉ À L’AÉROPORT DE LOVE FIELD LE CHAINON MANQUANT

Il devait faire parti de l’équipage de la voiture de protection.
Il fut laissé à l’aéroport de LOVE FIELD. Pour quel raisons ? Essayons de comprendre. Je me « projette » depuis la scène de l’attentat de 50 minutes dans le passé et rejoins l’aéroport de LOVE FIELD. Il est 11h40, le cortége démarre finalement. Je vois RYPKA accompagner sur les côté la LINCOLN présidentielle. Il s’arrête subitement: le spécial agent EMORRY vient de le rappeler et lui ordonne de monter dans le véhicule ainsi qu’à Clinton HILL. Je sens RYPKA totalement surpris par cette décision. Il s’exprime ouvertement auprès d’ EMORY. Et ce dernier lui ordonne donc de rester en surveillance près de AIR FORCE ONE .

Je le vois maintenant qui regarde s’éloigner le cortége présidentiel avec une forte appréhension pour la sécurité du président.
Il n’est pas au courant de l’avertissement de FORT WHORT que détiens EMORY. En approfondissant mon analyse sur RYPKA, je note que s’il avait été du cortége certainement bien des choses auraient pu être changé, car il n’aurait pas hésité un instant à donner sa vie pour le président Kennedy.

Conclusions

HENRY(HALK)RYPKA fut très probablement le chaînon manquant qui, associé à Clinton HILL, auraient pu couvrir le côté droit du président et lui sauver la vie.

 LYNDON B. JOHNSON 36me PRÉSIDENT DES ÉTATS–UNIS

Pour conclure j’ai souhaité « voir » ce qu’avais ressentis le vice-président Johnson qui suivait le cortège: était-il au courant de l’attentat ? Me voici donc à ses côté
s et celui du sénateur du Texas Ralph YARBOROUGH.. Nous abordons le virage de ELM SREET je sens Johnson détendu et souriant quand retentisse les premiers coups de feu. Je le vois totalement surpris. Il a peur, se tourne vers la voiture où se  trouve son « ange gardien » Rufus YOUNGBLOOD qui se précipite pour le » couvrir » de son corps et le protéger. J’entends JOHNSON dire à Rufus  « ON  NOUS TIRE DESSUS, SORTEZ-NOUS D’ICI  RUFUS,  VITE ». En arrivant au PARKLAND HOSPITAL, je le vois exiger d’être entouré de 4 agents du Secret Service. Il se réfugie dans une chambre. Je sens qu’il craint vraiment pour sa vie. Je le vois décider à filer au plus vite de Dallas.

Conclusions

Je n‘ai vraiment ressentis aucun rapport entre le vice-président Johnson et les assassins de Dallas. À mon humble avis, il n’était absolument pas au courant de ce qu’il allait se passer. Il détestait certes les Kennedy, mais n’a pas souhaité la mort du président.

NOTE: Le Secret Service des États-Unis a certes commis de très nombreuses erreurs sur la protection du président John F. KENNEDY sur le parcours de Dallas, mais n’est nullement coupable d’avoir participer de près ou de loin à l’attentat. Je vais continuer mon « enquête extrasensorielle » en abordant, dans le prochain article, les suspects présents sur DEALEY PLAZA et ceux qui, éventuellement, ont tiré derrière la palissade du GRAZNY KOLL et de la FAÇADE PARABOLIQUE .

DES INDIVIDUS SUSPECTS SUR DEALEY PLAZA

Ce jour là, sur Dealey Plaza, d’étranges suspects agissaient dans un complot mis au point bien des semaines avant.

Deux furent identifiés sur des photos fa
ites ce même jour : ils furent « nommés » par les enquêteurs non officielles de « UMBRELLA-MAN » et « DARK COMPLETED MAN » mais, qui étaient ces hommes ? Faisaient-ils partie du complot ?

Encore de nos jours, le mystère demeure entier à l’exception de la commission d’enquête du sénat des États–Unis (HSCA) qui, en 1978, « auraient » identifié,
comme un certain John LEWITT de Dallas, le mystérieux UMBRELLA-MAN qui, comme par hasard, se serait fait connaître bien tardivement, alors qu’il se savait rechercher depuis novembre 1963 ! De plus, son témoignage devant la commission frisait le ridicule ;  jugez vous-même : il avait ouvert son parapluie (le seul parmi plus d’une centaine de spectateurs présents ce jour-là) pour signifier au président Kennedy son désaccord sur la politique de son père Joe Kennedy durant les années 1930.

LA VERITÉ EST AILLEURS

Et si nous cherchions ailleurs la vraie vérité ? Pour cela, je me replonge dans le cadre des années 1960 à Dallas, la ville frontière. Je reprends le court de mon « enquête psychosensorielle » en utilisant comme support une photo faite le jour même sur Dealey Plaza, mais plusieurs heures avant l’arrivée de Air Force One à l’aéroport de Love Field.

Ma première impression est un léger froid ; il pleut légèrement, je note un repère temporel sur ma chère horloge géante(je commence à m’y affectionner) située sur le Dallas Texas Book Depository ; il est environ 9 h38 du matin. Tout semble calme sur cette place qui sera très agitée d’ici quelques heures. Je me déplace sur Elm Street, quelques badauds sont déjà présents pour attendre le cortège du président.

Je décide de me diriger vers le parking situé derrière la bute gazonneuse du GRAZNY KOLL. Car là, furent repéré plusieurs individus suspects. Le temps passe différemment dans ce genre de situation, car il est déjà 10h20 ; je note la station de contrôle des chemins de fer située tou
t près de là. Le contrôleur Lee BOWERS est en plein travail. Je note que son regard est attiré par la présence d’une Ford blanche cabriolet qui fait le tour du parking comme si elle contrôlait la zone. Je « cible » dessus la plaque minéralogique qui est embourbée de terre. Je peux noter, néanmoins, le chauffeur qui tiens un micro récepteur à la main :

je l’entends dire « ZONE OK POSITION PRÊTE »

THE KILLER TEAM SUR DEALEY PLAZA

Maintenant, ce cabriolet s’éloigne, mais de suite arrive un autre véhicule: une FORD BREAK

Blanche et noire, il y a à son bord quatre individus. Ils se parquent à quelques mètre
s de la palissade du GRAZNY KOLL.

Je les « visualise »: trois d’entre eux sont d’origine nord-américaine, l’un est  d’Amérique du Sud, il parle un anglais avec de forte
s connotations hispaniques. Je regarde leurs vêtements, parmi les nord américains un est en tenue de police en vigueur parmi le DALLAS POLICE DEPARTMENT, l’autre est en tenue grise, le troisième est UMBRELLA-MAN en tenue noire et muni de son parapluie.

Je vois le « quatuor » décharger deux valises du coffre de la Ford, Dans l’une se trouve deux appareils de télécommunications, les TALKIE WALKIE, et  dans l’autre surtout deux armes que je reconnais sous la dénomination de fusil WINCHESTER à lunettes, calibre 30.06. Maintenant, le « CUBAIN » contacte, avec son émetteur-récepteur, les autres équipes « équipe N° 3 en position, signalez-vous équipe 1 , 2 , et 4; tous ok, attendre feu vert ».

Lee BOWERS témoignera à la commission Warren du manége de l’équipe n°3. Je suis donc notre « quatuor » qui, à l’instant, viennent de prendre position: le « CUBAIN » et « UMBRELLA MAN » descende
nt au contact de Elm Street, derrière le panneau STEMSON . Les deux nord-américains viennent de monter leurs armes et se positionnent: l’un derrière la palissade et l’ autre derrière la façade parabolique du GRAZNY KOLL.

Il e
st 12h20, le cortège présidentiel s’approche. La tension est au maximum. Je me place à côte de Abrham ZAPRUDER qui s’apprête à filmer le film du siècle. 12h25, je me déplace rapidement vers le « CUBAIN ». La limousine présidentielle vient de s’engager sur Elm Street. 12h29, elle passe vers leurs positions. Je « scrute » leurs gestes: le « CUBAIN » indique d’un geste discret à « UMBRELLA-MAN » de déployer son parapluie. En voici, pour la 1er fois, sa signification :

« Équipe de tir N° 4: couverture de tir assurée, retrait immédiat ». Le « CUBAIN »  lève la main gauche et indique le chiffre 3: voici sa Signification :

«
Équipe N°3: plus que 3 possibilités de tir ». Il designe la blessure de Kennedy, par radio dissimulé sous sa chemise, « Cible touchée », mais pas abattue. Continuez les tirs.

En quelques instant
s, tout est terminé: nos deux SPOTTER/GUETTTEUR s’assoient et attendent le moment propice pour s’éclipser en douce.

Mais qui étai
ent ces deux hommes ?  Pour le savoir je me « concentre » sur la « photo » du « CUBAIN » je vois sa vie. Il était un ancien soldat combattant anti-castriste; son nom est ORLANDO. Je remonte le temps de quelques jours et je le vois participer à plusieurs exercice de tir dans un endroit désertique, avec lui se trouve l’ensemble de l’équipe N°3. Je perçois également une conférence dans une villa où sont exposées les étapes prévues du complot contre le président Kennedy.

Je passe maintenant à notre « ami » « UMBRELLA MAN », là la situation change du tous  au tou
t. Je n‘ai pas à faire à un ancien militaire, mais à un civil, son nom: JOHNNY. Il fait partie d’un groupe réactionnaire d’extrême droite du texas. Nos deux hommes, clairement identifiés, il me reste à entamer la dernière phase du complot. Identifier les hommes des équipes N°3 et N°4, le déroulement des faits et les commanditaires du complot.

Ne manquez surtout pas mon prochain article la vérité est arriver sur mon BLOG et cela bien avant 2039 date à laquelle les documents officiels de l’enquête devrai
ent être mis à la disposition du public si naturellement ceux-ci ne soient repoussés à 2060 ou même 2100 !

LA FUITE DE « JAMES »

Dallas, 22 novembre 1963, le théâtre est prêt pour la tragédie. Je « consulte » mon  cinématographe psychique » et me replonge pour l’ultime fois sur les lieux de l’attentat contre le 35ème Président des États-Unis, John F. KENNEDY.

J’étudie très attentivement le cadre de la situation qui se présente à mes « yeux » : je sais que je ne suis qu’un spectateur et rien de plus, je ne peux en aucun cas[temps] intervenir sur ce qu’il s’est déjà passé. Cela fait partie de notre histoire. Mais je peux, par contre, individualiser les éléments qui ont lâchement participé au plus grand crime de notre bon vieux 20ème siècle.

Il me faut, en priorité, identifier les équipes des snipers présents sur DEALEY PLAZA. Je « visite » pour cela spécialement quatre lieux bien précis : je commence par le « fameux GRASSY KNOLL », il est environ 10h20 à l’horloge géante que je peux percevoir d’un coup d’œil sur le toit du TEXAS BOOK DEPOSITORY.

Je perçois l’équipe n° 3 qui prend position.
Je compte 4 individus: soient les tireurs « JAMES » et « ROSCO » ainsi que les observateurs  « ORLANDO dit le Cubain » et « JOHNNY » dit Umbrella man »

Je me dirige maintenant vers le parking situé au sud du GRASSY KNOLL, où je « visualise l’équipe n° 4 constituée de trois individus: les tireurs « LUIS » et « GUILLERMO » et l évacuateur « ROBERT ».

Je quitte cette position pour me rendre directement auprès de l’équipe N° 2: « la plus fameuse », au TEXAS BOOK DEPOSITORY où je retrouve une vieille connaissance, soi
ent les tireurs « OSWALD » et « FRANZ » et « SANCHEZ »

Je me déplace juste dans le building d’en face et je rejoins l’équipe N°1 composée par le coordinateur central: soi
ent « FRANK » et un tireur « JOHNNY ».

Tous les pièces sont en place ; alors place à l’action ; le « film psychique des évènements » est lancé.
Je suis en première place pour y assister.

12h20, au sein de l’équipe N°1 au DALLAS TEX BUILDING: « FRANK »
: « attention équipe N°2-3- 4 mettez-vous en position; la cible approche », « JOHNNY »: suis prêt, le dois me démange sur la gâchette

12h25, je fais une visite à l’équipe n°2 TEXAS BOOK DEPOSITORY   

« OSWALD »: passez-moi mon fusil. « FRANK »
: attends ce n’est pas encore le feu vert. « SANCHEZ »: tenez-vous près notre homme arrive.

12h26, me voilà auprès de l’équipe N°3 GRASSY KNOLL. « JAMES »
: j’arme, je suis en position de tir j’attends le feu vert. « ROSCOE »: il vient ce foutu feu vert oui ou non ! « ORLANDO alias Le Cubain » j’avance de quelques pas espérons que notre « pigeon/Oswald » face un carton « JOHNNY, alias Umbrella man »: je prépare le signale pour l’équipe n°4 ok   

12h27, je rends visite à l’équipe N°4 PARKING SOUTH GRASSY KNOLL. « LUIS »
: on n'a pas la meilleur position nous.  « GUILLERMO »: te plains pas,   laisses faire aux autres le boulot. « ROBERT »: la voiture est prête, donne-moi le signale et accordez-moi au moins 30 secondes.

12h29, je retourne auprès de l’équipe N°1(DALLAS TEX BUILDING).

« FRANK »
: il arrive/KENNEDY, surtout rappelez -vous Sam a dit que Jacky ne doit pas être touchée.  « JOHNNY »: j’arme.

12h30, DALLAS TEXAS DEPOSITORY.

« SANCHEZ »
: Feu vert, on y vas GO! GO! « OSWALD »: je crois que je l’ai touché. « FRANZ »: je l’ai eu ! 12h30 et 20 secondes GRAZNY KOLL.

« ROSCOE »
: 3 tirs pas plus (indication d’Orlando : le cubain) je le tiens dans ma mire Touché de face. À toi de  jouer, James. Allez! Vas-y! Mais qu’est-ce que tu fiches ! « JAMES »: du calme, Rosco , je vais pas le rater j’attends que Jacky Kennedy se déplace; voilà Ciblé, feu !(tir fatal à la tempe droite de Kennedy) 12h30, 55 secondes. 12h31, DALLAS TEX BUILDING  « FRANK »: Cible touchée, retrait immédiat, on décroche, GO! GO! Équipe N°2, on vous récupère (3 hommes sont vus sortir du Texas Book depository et monter dans un véhicule où se trouvaient déjà deux autres hommes (témoignage de Robert GRAIG, adjoint du shérif de Dallas) Équipes 3 et 4 : suivez la procédure établie. 12h31, GRASSNY KNOLL

Je retrouve le tireur « JAMES » qui plie discrètement bagage ; il remet son arme à un autre complice que je n'avais pas perçu au préalable; ce dernier, maintenant très rapidement rejoint. « ROSCO » qui lui remet également son arme : il les place dans une « valise » qu’il dépose dans un transformateur, près du pont du triple Under pass (ceci sera observé par le témoin ED HOFFMANN). « JAMES »,  lui  longe maintenant la façade parabolique à découvert et se dirige vers le TEXAS BOOK DEPOSITORY. « CHARLES », déguisé en Agents du Secret service, retiens la foule qui vient de se précipiter vers le parking dissimuler derrière le GRASSNY KNOLL. Tandis que « ROSCO », déguisé en policeman, se mêle très facilement à la foule et évacue ainsi les lieux.

Je constate que l’équipe N°4 « LUIS » et « GUILLERMMO » a également plié bagages en prenant la direction de l’opposé du triple under pass en ayant, auparavant, remis leurs armes à « ROBERT » qui, lui, évacue en direction d’un véhicule qui l’attend, poster sous le triple under pass.

12h35, SUR ELM STREET « ORLANDO » alias le cubain » et « JOHNNY alias Umbrella-man » se lève
nt et, très discrètement, quittent les lieux dans deux directions opposées.

12h40, DEALEY PLAZA  

Je constate que les quatre équipes ont évacué les lieux. Je suis « discrètement » « ORLANDO ». Je décide de « remonter » le temps avec notre lascar pour rechercher les commanditaires du complot. Cela me porte dans une petite ville du NEVADA du nom de MESQUITE; je le suis discrètement. Il vient de rejoindre  plusieurs autres personnes dans une villa résidentielle; nous sommes le 15.11.1963 selon un calendrier situé dans la pièce principale. Je me glisse au sous-sol où a été improvisé un QG de préparation. Sur les murs, je note des plans de DEALEY PLAZA et des croix sont indiquées à l’endroit même où prendront place les 13 hommes des quatre équipes constituant le KILLER TEAM, assassins de KENNEDY. Je note également que deux observateurs ont suivi les précédents cortèges présidentiels de MIAMI du 18.11.1963 et SAN ANTONIO du 20.11.1963

J’observe très attentivement les visages présent
s qui écoutent une personne qui s’exprime avec grande autorité: il s’agit d’un « haut gradé » de l’armée des États-Unis. Un visage m’interpelle. Je peux l’identifier comme « un ponte du  syndicat du crime », nord américain, et je saisis également un visage connu: celui de Jack RUBINSTEIN. Tout ce beau monde discute des préparatifs de l’attentat de Dallas. Nous avons là des hommes de la criminalité organisée, des ex-soldats de l’armée cubaine en exil et quelques membres des service du contre espionnage américains; une « association hétéroclite » avec un seul but : abattre l’homme qui fait obstacle à leurs projets, soit le président John F. KENNEDY.

LE FILM MANQUANT

Je quitte tous ces louches individus pour conclure mon enquête extrasensorielle en concluant :

sur l’étrange WOMEN présente ce jour là sur DEALEY PLAZA et qui a saisi dans sa caméra les scènes capitales de l’attentat.
Je vous parle là de celle qui fut surnommée « LADY BABOUSKA ». Surtout les films qui furent tourner ce jour là, il manque, à l’appel, une pièce FONDAMENTALE ET CAPITALE: le film tourner par cette étrange inconnue qui ne fut jamais identifiée.

Mon but est maintenant de mettre un nom sur une image et savoir ce qu’il est advenu de ce « FILM CAPITALE ». Je saisis la photo de l’inconnue et me plonge dans sont vécu.
Je me retrouve de nouveau dans le passé et sur DEALEY PLAZA. Il est environ 12h20. l’inconnue se trouve déjà sur la pelouse verte en face de ELM STREET. Je note qu’elle tient dans ses mains une caméra. En ciblant dessus, je peut distinguer la marque: il s’agit d’une CORFIELD 66. 12h30, la limousine entre sur ELM STREET, les premiers coups de feu retentissent, j’observe l’attitude de l'inconnue: elle filme toute la scène avec vraiment un grand contrôle de soi, comme le fut Abram ZAPRUDER.

Ses mains ne tremblent pas. Le coup fatal vient d’être porté. La limousine accélère d’un coups. Notre inconnue reste au beau milieu des autres témoins. Quelques secondes plus tard, je la vois quitter « tranquillement » DEALEY PLAZA.
Je la suis et la vois se rendre dans un hôtel ? Et là, surprise: cette personne n’est pas une résidente de DALLAS. mais une touriste allemande; son nom est « KLARA ». Je la vois ranger sa précieuse caméra dans sa valise, elle se prépare à quitter les États-Unis et emporte avec elle le précieux document. Qui, à ce jour, n’a jamais été vu et, pourtant, c’est l’unique preuve formelle du complot et ce film doit encore se trouver quelque part en Europe.

Je quitte, cette fois-ci, définitivement le soleil du Texan et l’année 1963 et DEALEY PLAZA.
Je vous donne mes conclusions

1)L’attentat de DALLAS était bien un complot organisé et bien structuré de style paramilitaire

2) Y ont pris part des hommes du syndicat du crime, du service du contre espionnage des USA, et des ex-militaires cubains anti-castriste.

3) la réunion du 15.11.1963 de MESQUITE a permis la mise au point finale du complot.

4) Ils ont été grandement aidé dans leur tâche par une « taupe » qui a noyauté le secret service chargé de la protection rapprochée du président, sans que ceux-ci n’entrent, d’aucune manière que ce soit, dans le complot.

5) Lee HARWED OSWALD, qui souhaitait tellement, par mégalomanie, entrer dans l’histoire, faisait bien partie de ce complot et était « le pigeon » à sacrifier

En septembre 2039, en théorie, des documents, estampillés TOP SECRET, seront déclassifi
és.

Présentés au public américain, nous apporteront-ils la « vérité sur ce complot ? Confirmeront-ils ma présente investigation extra sensorielle ?

Pour ma part, je viens de vous donner, à travers mon enquête, « la vérité » que mon sixième sens m’a permis de percevoir.
Je vous laisse juge d’en tirer vos propres conclusions mais n’oubliez jamais que la vérité ne meurt jamais.


[ http://www.jacquesfortier.ca/Zweb/JF/TerreCreuse/JFKennedyDiscours.html ]

https://michelgenovese.wixsite.com/mediumenqueteur/le-secret-de-jfk