Les diverses missions spatiales de la NASA
et de ESA ont pu déterminer que la planète rouge avait eu une
vie il y a de cela des millions d’années.
Reprenant l’enquête de l’astrophysicien américain John
BRANDENBURG, j’explore le passé de la planète MARS .
Cela commence par une analyse de l’hypothèse cydonienne du
lieu où, sur la surface, fut découvert le fameux visage
martien photographié en 1976 par la sonde américaine VICKING
I. Ce que je perçois, dans un très lointain passé, sont des
infrastructures modernes et le peuplement d’une civilisation
martienne hautement industrialisée et pacifique.
Il y avait également des mers et des lacs, une copie quasi
conforme de la vie écologique que nous connaissons sur terre.
Nous parlons ici sur une échelle temporelle vieille de
plusieurs millions d’années, bien avant l’apparition de
l’homme sur terre .
La planète était unifiée sous un seul gouvernement : les
humanoïdes martiens étaient physiquement et biologiquement
très proches de notre espèce. Je note des monuments
caractéristiques de nos pyramides égyptiennes ou mexicaines.
Cette civilisation martienne avait des origines alien
provenant d’une autre galaxie. Ils avaient colonisé la planète
rouge qui était à ce moment paradoxalement bleue !
C’est dans ce contexte « paradisiaque » que la catastrophe est
arrivée par l’attaque d’une autre civilisation alien
belliqueuse. La bataille qui s’ensuit fut destructrice, le
peuple martien pacifique n’avait pas développé une armée de
combattant et leur défaite était inéluctable.
En parcourant les phases de la guerre en cours, je vois les
agresseurs prendre le dessus sur les habitants de la planète
MARS ; je constate également que leur but final est la
conquête de la terre.
Dans un dernier sursaut, les dirigeants martiens décidèrent
pour un suicide collectif, ils étaient perdu mais souhaitaient
sauver l’avenir de la terre car une partie de leur
civilisation avait immigrée sur la terre et il fallait les
préserver.
Dans un dernier sursaut, les martiens détruisirent leurs
réserves d’énergie ce qui pulvérisa leur civilisation mais
entraina dans la destruction les assaillants et la planète
entière.
Par ce sacrifice ultime, nos « lointains ancêtres » sauvèrent
le futur de notre planète: nous leur devons la vie dans[par]
leurs morts courageuses.
La planète rouge fut un monde verdoyant et habitée, égale au
nôtre. Le fait que les agences spatiales américaine(NASA) ou
européenne ASE continuent à le renier ne change rien au fait
qui est advenu.