Dans la nuit du 04 au 05 août 1962 à WEST LOS ANGELES, une
star nous quittait, de son vrai nom Norma JEANE BAKER mais
mondialement connue sous le nom d’actrice de MARILYN MONROE et
quittait la scène. Nous ne connaissons, de nos jours, que la
version officielle qui a conclu à un décès par overdose de
barbituriques: donc, officiellement, il s’agit d’un suicide.
Mais beaucoup d’interrogations demeurent sur cette
tragique disparition.
J’ai souvent apprécié les films de MARILYN et, comme beaucoup
d’entre nous, la théorie officielle du suicide ne m'a jamais
vraiment convaincu. Que s’est-il passé dans la nuit du Samedi
04 août au dimache 05 août 1962 au 12305 5TH HELENE DRIVE ?
MARILYN s’est-elle suicider en absorbant (aucune trace n’en a
été retrouver lors de l’autopsie) une dose massive du
barbiturique NEMBUPAL ?
Lui a-t-on, peut-être, administré par intraveineuse cette dose
mortelle ? Et par qui ?
Les questions sont posées. Je vais maintenant, par
l’intermédiaire d’une « introspection extrasensorielle »,
tenter d’y répondre.
Derrière ses allures de la blonde hollywoodienne se cachait
une personne très intelligente et très sensible, très loin de
cette image façonnée par les « pontes » du cinéma
hollywoodien.
Ce que je note en me « branchant » sur la recherche des cause
de son décès ce sont surtout un Aura hors du commun et une
grande soif de vivre et certainement pas d’une personne
dépressive prête à se suicider.
Les images qui apparaissent sont ceux d’une enfance tourmentée
et d’un grand amour d’adolescence qu'elle n’oubliera jamais et
qui lui laisse une grande blessure dans son cœur. Je rejoins
psychiquement la trace de Marylin : nous sommes, je pense,
vers 1962 ; un calendrier placé dans la cuisine de sa superbe
villa du 12305 5TH Helena Drive indique une date entourée :
celle du samedi fatidique du mois d’août de cette même année.
Ce que je peux « voir » c'est une série d’images de la vie
d’une jeune femme en pleine expansion de son talent. Je «
regarde » autour de moi et je peux constater qu’il n’y aucun
médicament déposé sur la commode de sa chambre là où le
policeman Jack CLEMMONS trouvera tout un échantillon de
barbituriques. Je trouve Marylin un peux angoissée mais pas
dans un état dépressif majeur.
Je note la présence du DR GREENSON, son psychiatre (qui s’en
ira avant la venue des « visiteurs ») et de la dame de
compagnie Eunice MURRAY. Il s’agit d’une journée plutôt
tranquille de ce mois d'août. Vers 19 h10, (je le note sur la
montre de l’un des deux « visiteurs ») je me concentre sur les
scènes qui suivent et qui sont capitales pour la recherche de
la « vérité ». À ce moment précis, je note deux « visiteurs »
qui se présentent au domicile de l’actrice. L’un d’eux est
muni d’une « trousse médicale ». Maryiln refuse de les
recevoir ; une altercation en débouchent. Je la vois se
précipiter dans sa chambre et s’y enfermer. Les « visiteurs »
s’invitent de force à l’intérieur de la villa et «
neutralisent « la gouvernante Eunice MURRAY. Que
cherchent-t-il ? Là se trouvent les raisons du décès « forcé »
de Marylin.
5 AOUT 1962 UNE DES « protagonistes involontaire du
drame la gouvernante Mme Eunice MURRAY Dans cette affaire,
j’ai toujours cru que Marylin avait été poussée au suicide
volontairement. Je dois, après mon « sondage », évaluer une
autre « vérité ». Je reprends le déroulement de la scène au
moment où les visiteurs essaient de parlementer avec Marylin ;
je ne note aucune violence à l’exception que dans sa
précipitation, Marylin s’est cognée la cuise gauche ce qui lui
a provoqué un petit bleu.
La chambre de Marylin semble dans un grand désordre et la «
fuite » de celle-ci à l’intérieur pour « échapper » aux
visiteurs n’arrange rien. Il ne s'écoule pas vraiment beaucoup
de temps entre leur arrivée et leur départ car je vois Marylin
qui leur jette au visage un petit agenda noir qui semble d’une
certaine importance à leurs yeux.
Je continue à suivre le déroulement de l’action qui me
transporte auprès de Marylin, cette fois, dans le salon où
elle est rejointe par sa gouvernante. Des larmes coulent sur
les joues de Marylin encore bouleversée par la scène
qu’elle vient de subir. Elle souhaite se reposer et se
remettre de ses émotions ; elle se fait accompagnée par
sa gouvernante dans sa chambre et là, elle absorbe une
quantité non négligeable du barbiturique (le NEMBUTAL)
mais fait important : je peux noter qu’elle le fait en
l’absence d’Eurice MURRAY qui reste ainsi à l’obscur de ce
qu’il vient de se passer.
Maintenant elle s’affaisse sur son lit encore tourmentée par
la visite impromptue des deux visiteurs ; elle ne semble pas
trouver le sommeil. Je note à cet instant une voiture Cadillac
qui vient de se parquer près de l’entrée de la villa ; il
s’agit du retour du DR GREENSON venu aux nouvelles de sa
protégée. Je le sens très inquiet et soucieux de stabiliser
l’état psychologique de la Star durement éprouvée. Je le vois
préparer un lavage d’Hydrate de chloral à administrer à
Marylin. Ce qu’il fait avec l’aide de la gouvernante Mme
MURRAY. Je suis du « regard » GREENSON qui reste
totalement horrifiée car il vient de constater un flacon de
barbiturique sur la commode quasiment vide et il en est sûr, à
sont départ, ce flacon était scellé et la quantité intacte.
Je le vois se précipiter sur le téléphone où il appelle son
confrère le DR Hyman ENGELBERG. Le priant de se rendre
immédiatement auprès de Marylin et l’informe de la gravité de
la situation. Je
note sont visage qui est totalement décomposé par l’erreur
médicale qu’il vient de faire: ils s‘en veut terriblement. À
partir de ce moment, tout s’emballe: GREENSON essaie, tant que
bien, de réparer sa fatale erreur. Il transporte Marylin dans
le salon. Il l’allonge et pratique les premiers secours mais
il est trop tard : Marylin vient de mourir. Son histoire prend
fin dans cette tragique journée d’août 1962, non pas par un
suicide ou un crime, mais par une erreur médicale.
.A l’aube du 06 août 1962, une étoile s’est envolée pour
toujours: Norma Jane BAKER n’est plus, Marylin MONROE vit
toujours.