Égypte 12 août 1799 : le petit homme qui se dirige vers la
pyramide de GIZEH par le Iman MOHMED vient de sortir
victorieux de la campagne qu’il a engagé le 2 juillet de la
même année.
Dans quelques années, il deviendra le plus grand Empereur
d’Europe. Mais pour le moment, il veut aller communier dans la
chambre du roi car là il trouvera l’essence de son destin: son
nom NAPOLÉON
BONAPARTE ; son but: dominer le Monde. Mais que s’est-il passé
durant la nuit du 12 aout 1799 ?
Nous allons le savoir grâce à cette nouvelle enquête qui nous
emmènera dans les couloirs des pouvoirs occultes et du Livre
des morts.
12 août 1799 un petit homme s’avance dans la chambre du ROI à
l’intérieur de la pyramide de GIZEH. La nuit tombe il y
passera la nuit.
Je le « rejoins » dans cette épreuve. Nous nous retrouvons
devant la présence de deux êtres étranges, l’un vêtu de noir
et l’autre de rouge. Il présente un étrange livre l’invitant à
le consulter. Je m’approche de ce dernier pour le visionner.
Je peux percevoir des noms des milliers de noms où il est
indiqué leur date de naissance et ceux de leur mort. J’en vois
qui vont mourir dans les prochaines années à venir ! Ce livre
recèle de la destinée de chacun de nous ! Mais il y a un autre
BONAPARTE qui le consulte frénétiquement à sa lettre car les
grands hommes qui marquent l’histoire ont un chapitre
spécialement pour eux !
Sa consultation laisse pantois le futur Empereur, je le vois
s’adresser aux deux personnages leurs demandant s’il peut
renoncer à son destin. Un refus immédiat lui est opposé. Je
tente de m’approcher des deux étranges silhouettes
encapuchonnées. Leur aura est très forte... impossible car là,
j’ai affaire vraisemblablement à deux serviteurs de la MORT:
vaut mieux, par prudence, ne pas trop sans approcher !
Je retourne auprès de NAPOLÉON
qui, maintenant, s’est agenouillé pour recevoir une espèce
d’onction qui l’intronise dans son destin, il a maintenant le
pouvoir occulte qui lui sauvera la vie par plus de 635 fois
sur le terrain de bataille, un record absolu qui peut se
vanter d’avoir échappé à la grande faucheuse pour un nombre de
fois aussi haut !
Les heures passent interminablement la communion du petit
homme est totale. Les deux étranges formes fantomatiques ont
quitté les lieux, leur mission est terminée. NAPOLÉON
se lève, son visage est blafard et fatigué, il se dirige vers
la sortie où l’aube se lève, il porte avec lui le secret.
Et également le livre des MORTS.
J e continue à suivre son chemin qui me porte sur plusieurs
terrains de bataille où je peux noter la présence des deux
êtres de la Chambre des ROI. Les années passent de victoire en
défaite nous voilà arriver au terminus de sa vie sur l’île de
Ste Hélène ; nous sommes la veille de sa mort le 04 mai 1821.
Dans un dernier effort, je vois l’Empereur déchu remettre un
coffret qui contient le fameux livre des MORTS à un homme en
uniforme que j’identifie comme Emmanuel-Augustin-Joseph, le
futur comte de LAS CASES. Il lui remet le précieux coffret en
lui demandant de le jeter à la mer.
Je suis ce dernier pendant qu’il exécute la dernière volonté
de l’Empereur mais avant qu’il ait put s’exécuter, une forme
noire lui apparaît lui barrant la route de la mer et lui
intime l’ordre de lui remettre le précieux chargement.
LAS CASES s’exécute immédiatement; il lui est intimé l’ordre
de tout oublier. Je tente de suivre la forme, elle se tourne
vers moi, mon sang se glace je ne peux voir son visage, elle
me fait comprendre clairement que je ne dois pas la suivre
pour mon propre bien; je ne me le fais pas répéter deux fois.
Mon enquête s’achève là mais je me dois de répondre à
certaines questions concernant la mort de NAPOLÉON
BONAPARTE officiellement d’un cancer de l’estomac,
officieusement d’un empoisonnement à l’arsenic. Je retourne
auprès de lui et « sonde » son entourage à la recherche
d’indices, je tombe sur le DR Francesco ANTOMMARCHI médecin
personnel de l’Empereur. Il est très inquiet malgré ses soins,
la santé de son patient ne s’améliore pas ! Il rencontre
secrètement le colonel anglais HUDSON LOW chargé de la
surveillance de l’illustre prisonnier et lui fait part de ses
soupçons.
Il est surpris par l’attitude du Gouverneur qui lui confirme
ouvertement de savoir de ce « complot » pour éliminer
l’Empereur. Ce qui confirme les soupçons du Médecin qui le
note dans sont rapport sur la santé de BONAPARTE. Il y a donc
quelque part de nos jours un cahier vieux de plus de 2 siècle
contenant la preuve formelle que NAPOLÉON
BONAPARTE fut assassiné par l’acide prussique soit le fameux
Arsenic. Ce qui confirme les recherches de l’éminent DR Ben
WEIDER et confirmer par les rapports du service de
Chimie/Toxicologie du FBI et du service anti-crime de Scotland
Yard ;