Décembre 1980, les fêtes de Noël touchent à leur fin ; dans le sud de l’Angleterre, près de la base de l’US AIRFORCE  DE BENTWATERS, des étranges événements ont lieux. Dans la forêt de RENDLESHAM, proximité du centre militaire, d’étranges mouvements de lumière sont observés par deux Military Police : nous sommes à 5h30 du matin du 24 décembre. Pendant environ trois jours, les soldats américains seront confrontés à une étrange technologie au-delà de celle humaine.

Dans cette « enquête », je vais « accompagner » le Colonel Charles HALT et ses hommes sur le terrain pour examiner la situation et découvrir en « direct » les faits qui ont été classés de très haute importance et qui ont été répertoriés par le rapport très sérieux remis par le Colonel HALT à sa hiérarchie.

Nous allons « découvrir » ensemble la provenance de ces manifestations et leurs missions sur la terre. Suivez-moi, nous allons « remonter le temps » de 31 ans et effectuer une « ballade » nocturne dans la Forêt anglaise du SULFOLK à la recherche d’une autre vie.

Une recherche d’un objet: est-ce une collaboration humaine avec une autre vie? La personnalité du Colonel Charles HALT est pour moi un point de repère primordial. En le « sondant »,  j’ai trouvé en lui une totale sincérité imprégnée d’un très grand sérieux. Sa fonction au sein de l’armée des États-Unis et ses capacités démontrées sur le terrain font de lui un témoin irréprochable. Je me plonge donc à ses côtés et celui de ses hommes, dans cette  froide nuit de décembre 1980, à la recherche d’un « contact » rapproché avec une « entité » en provenance d’un autre monde.

5h30 du matin du 27.12.1980, je « suis » plusieurs militaires, de la base américaine de BENTWATERS, dont le sergent Jim PENNISTON. Nous nous enfonçons, dans la nuit, dans la forêt anglaise de RENDLESHAM .

Je peux « observer » des lumières qui éclairent les arbres à environ 100 mètres de nous. La marche de PENNISTON et des deux autres soldats qui l’accompagne s’accélèrent. Ce qu’il m’est donné de voir maintenant dépasse tout entendement: un engin inconnu triangulaire et immobile au sol.

PENNISTON plus téméraire s’approche prudemment de l’engin; je « l’accompagne ». L’atmosphère semble électrique et pourtant je ne « ressens » aucun danger. Nous venons d’arriver à moins de un mètre de la structure. J’en profite pour la regarder très attentivement: aucune « vie » ne semble visible à son intérieur, mais certainement cette engin n’est pas d’origine humaine.

Mais que fait PENNISTON ? Une observation de celui-ci me le fait surprendre en train de toucher la structure qui semble maintenant réagir ; elle commence à se bouger doucement mais sûrement. Je « note » d’étranges symboles sur l’un de ses côtés, noté également par PENNISTON. Mais nous avons plus le temps de temporiser car le mouvement amorcer par l’engin devient maintenant plus rapide. PENNISTON essaie de s’agripper et de monter dessus, mais ces efforts sont vains. Notre « visiteur » prends maintenant de l’altitude. Je quitte notre sergent pour le suivre : je dois tenter le tout pour le tout: me projeter à l’intérieur de la structure. Cela me demande de grand effort de concentration.

Qui sont récompensés, je suis pour la première fois de ma vie « à bord » d’un engin non terrestre et ce que je « vois » m’époustoufle. Tout est froid ; il n’ y aucune vie mais d’étrange machinerie qui clignote constamment. L’atmosphère semble sereine. Mais il a quelque chose, comment vous expliquer, de non humain. Je ne « ressens » aucun mouvement malgré  le fait que l’engin se bouge et même rapidement. Je sens que ma présence ne passe pas inaperçue.  Pourtant, aucune velléité de leur part, on dirait tout simplement que je ne les intéresse pas !

Combien de temps suis-je « abord » de l’inconnu ? Je n’en sais rien, mais on me fait »savoir » que ma présence est arrivée à conclusion : je suis « inviter » à descendre: ce que je fais sans me faire prier. Je « rejoins » le colonel HART dans la deuxième nuit d’introspection aussi passionnante que la première. Accompagner d’une quinzaine d’hommes dont les Sergents BUSTINZA, NEVILLES, ENGLUND et FRAIL, je sens le colonel HART parfaitement calme et maîtrisant les événements : il n’est pas homme à se laisser impressionner et il le démontre par sa conduite.

D’un coup, toute la « troupe » stoppe[ arrête ]. Un engin s’approche de nous; je le « vois », il est différent du précédent, de forme en demi-lune. Il me semble plus « menaçant » mais. je me trompe. ses intentions sont tout aussi pacifiques que son « collègue » de la nuit précédente. Un rayon en cône est émis en son centre et vient se figer quelques 15 mètres plus bas au pied du colonel HALT !

L’instant est d’une intense émotion : j’assiste à un contact entre deux formes de vie. Le colonel s’approche du rayon, il tend sa main et le touche. je le sens un peu tendu mais rassuré je ne sais par quoi. Cet incroyable échange ne dure que quelques minutes mais, sans vouloir exagérer, je peux affirmer qu’elles sont historiques. Le cône se retire lentement et notre deuxième visiteur quitte les lieux. A-t-il obtenu les réponses qu’il est venu chercher ? Je n’ai même pas le temps d’évaluer cette question qu’un troisième visiteur, de forme sphérique, approche au loin. Il est de couleur rouge et descend à très basse altitude. Il touche quasiment le sol. Il se promène en toute décontraction parmi nous. HALT décide de le suivre. Nous voilà partis dans la plus improbable des poursuites.

La « sphère » s’approche d’une habitation: que cherche-t-elle ? Mais voilà qu’elle s’invite à l’intérieur. Je dois savoir. Je quitte la compagnie des militaires qui observent prudemment, à bonne distance, et rejoins notre troisième visiteur. Et là je suis totalement décontenancer. Ce que je peux constater est incroyable: la sphère à augmenter son volume et un « humain » y dépose à l’intérieur un objet. Cela terminé, elle reprend sa forme initiale et quitte le lieux. Elle ne vas pas bien loin car elle se » dissout » en plusieurs entités et disparaît, tout semble terminé.

Le colonel HART et ses hommes quittent leurs positions pour retourner à la leur base. Mais moi, je n’ai pas encore terminé. Je me déplace en « altitude » pour « visualiser » nos « visiteurs: sont-ils encore là ? Oui les voilà, je les accroche et les suis : ils viennent de quitter l’atmosphère terrestre et rejoigne une énorme superstructure de forme « cylindrique » qui stationne en orbite; le tout s’éloigne dans les profondeurs de l’espace.

Il est temps pour moi de rentrer à la maison.

Mes conclusions

 L’incident survenu dans la forêt de RENDLESHAN en décembre 1980 et par la personnalité de ses témoins, au-dessus de tout soupçon, est d’une très haute importance stratégique, certainement l’une des plus importantes observations d’une autre forme de vie non terrestre. Le colonel Charles HALT remis un rapport précis, sur son observation, à ses supérieurs les invitants à enquêter dessus. À ce jour, aucune suite n’y a été donnée. Le ministre de la défense anglaise, ayant eu vent de cet « incident », a ouvertement demandé une enquête; ce qui fut fait. Les traces au sol de l’engin sont encore visibles de nos jours et des résidus de radiation subsistent en son centre témoignant, si cela était nécessaire, qu’un engin, venu d’un autre monde, s’est bien posé sur le sol anglais il y a de cela 31 ans.