ROSWELL L’ÉTRANGE ACCIDENT

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Dans la petite ville de ROSWELL au NOUVEAU-Mexique, vers la fin des années 1940, s’est déroulé un « accident » qui, encore à ce jour, reste inexpliqué.

Pour la seule et unique fois dans son histoire, l’armée des États-Unis avait admis avoir trouvé l’épave d’un vaisseau spatial provenant d’un autre monde, avant de faire marche arrière. Depuis ce fatidique 02 juillet 1947, la « vérité est restée enfouie dans des documents classifiés et inaccessibles au commun des mortels.

Je ne suis pas, franchement, un passionné d’ufologie, mais je dois avouer que cette énigme m’a toujours intrigué. Je vais donc « remonter le temps » et aller « voir » ce qu’il s’est passé en ce jour de juillet 1947. Oui ou non, des visiteurs d’un autre monde ont-ils visité notre planète ?

La vérité a-t-elle été dissimulée sciemment ? À moi de le découvrir !

Le fermier BRAZELL et le major Jess MARCEL inspectent les lieux du crash du 1er engin. Dans cet été de 1947, la petite ville de ROSWELL, au Nouveau Mexique, fut le centre du monde entier. Pour la première et dernière fois de l’histoire, une autorité gouvernementale a admis l’existence d’un aéronef inconnu à notre civilisation, avant de se rétracter. Aujourd’hui, plus de 50 ans après les faits, la vérité est toujours absente.

la théorie du ballon Radar, avancée à l’époque par l’armée, est en soi plausible. Néanmoins, plusieurs évènements, advenus ce jour du 02 juillet 1947, n’ont pas été expliqués. Pour cela, j’ai souhaité entreprendre ce « voyage psychique », dans ces années d’après guerre, pour observer la scène de l’action et constater ce qu’il a pu effectivement arriver.

 Je m’appuie sur une vieille photo prise en juillet 1947 de la région de l’accident. Je débarque donc dans la région de CORONA par une chaleur étouffante. Le ciel est très chargé et l’orage ne devrait plus tarder à éclater. Mais, suis-je bien à la bonne date spatio-temporel ? il me faut trouver un repère temporel: « j’étends » mon observation en essayant de capter un détail, un indice qui pourrait me diriger.

J’ai de la chance: une voiture de l’époque s’avance sur un chemin tortueux. Je me pousse à sa rencontre et rejoins le conducteur; un homme d’environ la quarantaine.
Je visionne: autour de lui, sur le tableau de bord de sont véhicule, il y a une horloge, il est environ 17h 20 PM, mais quel jour sommes-nous ? Le véhicule, maintenant, s’arrête à une station service, perdue dans cette immensité. Finalement, un calendrier, style pin up, installé dans le locale de la station service, m’indique que nous sommes le mardi 01 juillet 1947. Je suis donc arrivé au bon endroit. Maintenant, il me faut trouver le « vecteur Brazel ». Je garde sous la main sa photo que j’associe à celle de la région.

De « nouvelles images » surgissent du néant: certaines concernent sa vie personnelle, mais je me « concentre » surtout sur celles qui nous intéressent et qui regardent l’« Accident de Roswell ». Une projection dans le temps me permet de me transporter dans le ciel du mercredi 02 juillet 1947. Je « grimpe » en altitude pour « voir ».
Je trouve bien un ballon sonde radar comme déclarer par l’armée;  par contre, deux objets étranges s’approchent au loin: ils sont argentés et leurs vitesses semblent excessives. Ils viennent à la rencontre du ballon sonde. J’ai juste le temps de « cibler » dessus: abord de ces « drôles » d’engins se trouvent des « humanoïdes ». Je n’ai pas le temps de poursuivre mon « investigation »:  subitement, un éclair vient de foudroyer le ballon sonde qui entraîne, à son tour,  l’un des engins déstabilisé. Ce dernier télescope son « jumeaux » qui s’écrase lourdement au sol, tandis que lui même explose en plein vol.

Je « quitte » cette scène surréaliste et « accroche » un autre créneau de l’échelle temporelle : nous sommes, dorénavant, le lundi 07 juillet, à proximité des lieux de l’« accident ». Une jeep de l’armée, contenant le major Jess MARCEL, le fermier Williams BRAZEL et le capitaine Sheridan CAVITT sont en approche. Je les « vois » inspecter le terrain jonché de plusieurs centaines, sinon milliers, de déchets « métalliques » provenant de l’engin qui c’est désintégré en plein vol.

Je note que BRAZEL est intrigué par un reflet « métallique » qui brille au loin. Je décide de me « rendre » sur place; je suis époustouflé par ce que je « vois »: le second engin quasi intacte est là, encastré dans le sol; à ses côtés, un être « humanoïde » gis, couché, visiblement blessé par les conséquences du terrible impacte. Mon attention est attiré par l’arrivée de quatre personnes.

Je « déconnecte » un instant pour adjoindre, à ma recherche, la photo du professeur en archéologie Grady BARNETT.
Je veux savoir s’il était bien présent sur les lieux comme il l'a confirmé à certaines personnes de son entourage. Première constatation: il s’agit bien de la même personne en qui je peux reconnaître le chef de l’équipe des quatre personnes . Je le « vois » se pencher vers l’humanoïde qui gémit par terre et semble vouloir l’aider. Il en profite également pour « inspecter » l’intérieur de l’engin.

Des bruits de pneus viennent de se faire entendre à l’horizon. L’armée approche et deux hélicoptères de reconnaissance balisent, maintenant, la zone. Je continue mon « sondage » en y adjoignant la photo du major Edwin ASLEY. Je constate que c’est bien lui qui dirige l’équipe de « couverture » de la zone. Des ordres claquent; des soldats, sortis de deux camions, bouclent immédiatement le périmètre de l’accident et l’équipe d’archéologues est écartées.

Je maintiens ma concentration, l’instant semble cruciale: deux énormes harnais sont attachés à l’engin qui est tracté au dehors du terrain où il lovait[gisait]. (Trois corps ou plus, aucun signe de vie ne semble transparaître, sont retirés de l’intérieur) Il est hissé, très difficilement, et déposé dans un sarcophage de métal. Tout semble termin. Plusieurs véhicules de l’armée quittent les lieux en emportant, à son bord, des preuves uniques de l'existence d’une autre vie.

Je les « suis »; ce qui m’amène à la base de l’US AIR FORCE de FORT WORTH.  le container scellé est embarqué dans un C 54 ainsi que les 3 cadavres.
J’ai perdu la trace du seule et unique survivant de l’équipage venu d’une autre réalité. J’« accompagne » l’avion qui se pause sur la base de WHRIGT FIELD, près de WASHINGTON, où sont débarqués les précieux artefacts. À la réception de ces derniers, je reconnais le général RAMEY, entouré d’autres haut-gradés de l’armée. Un grand secret vient de commencer, mais une question m’interpelle qu’est-il advenu de l’unique survivant ?

Sa recherche sera le contenu de la 3ème partie de mon « enquête » sur l’affaire ROSWELL .

Les 3 cadavres, du site N°2, sont entreposés à l’hôpital de la base de l’Us Air Force de Roswell.

 Je conclus mon enquête sur l’affaire ROSWELL en recherchant la trace de l’unique survivant du crash. Pour cela, il me faut « remonter » le cours du temps et reprendre la scène depuis le site de l’accident.


Je reprends « position » comme un simple « observateur », mais cette fois-ci, je ne me laisse pas distraire par l’évacuation de « l’engin » et des trois cadavres.

Je « visualise » immédiatement sur le survivant où je peux noter que deux soldats lui apportent les premiers soins. Il est maintenant évacué dans un véhicule de l’armée, sa respiration est saccadée et très difficile, l’oxygène qu’on lui administre ne semble pas vraiment être efficace.

Je « suis » le convoi militaire qui prend la route: direction la base de l’US AIR FORCE de ROSWELL, qui est curieusement très tranquille. Le convoi y pénètre tranquillement sans faire aucun remous. Le Général BLANCHARD reçoit l’ensemble du convoi.

J’« observe » que les trois cadavres sont acheminés à l’intérieur de l’hôpital de la base sous bonne escorte. Le survivant, lui, est placé dans un caisson spécial et immédiatement évacué vers un hangar de la base ainsi que l’engin. Et là, je suis surpris car il y a trois autres cadavres ! Mais d’où proviennent-t-il ? Je dois chercher un indice une explication autour de moi.

Je fixe des documents de rapport étalés sur un endroit de briefing de la base et je « capture » un mémo du sergent Georges HOUCK.  Je le lis tel quel :

Évacuation des cadavres inconnus du troisième site ; nous avons également trouvé une espèce de « capsule » qui, selon moi, pouvait contenir des éléments importants (il y a donc eu un troisième site et une « capsule » étonnant !) : j’ai été secondé par le soldat Rolland MENAGH qui a escorté la « cargaison » depuis le site jusqu’à la base.

Incroyable ! Il y avait donc un troisième site d’impact et une « capsule » ! Maintenant, des ordres sont donnés pour une évacuation immédiate ; des artefacts en direction de la base de CRASWELL(FORT WORTH). Je me «  rends » en précipité dans les couloirs de l’hôpital où une infirmière vient d’être appelée : il s’agit de MARY CROWLEY. Je la vois observer discrètement les trois cadavres entreposés dans une chambre commune. Un soldat MP l’interpelle rigoureusement et l’éloigne immédiatement des lieux.

Une voiture, des pompes funèbres de ROSWELL, vient de se parquer à l’arrière de l’hôpital. À sa conduite, je note GLEN DENNIS : il n’ a pas le temps de descendre de son véhicule qu’il est déjà encadré par quatre militaires MP qui l’accompagnent dans tous ces mouvements. Trois cercueils, de petite taille, sont déchargés et portés dans la chambre où sont entreposés les « inconnus d’un autre monde ». De là, ils sont transportés dans le hangar où sont déjà déposés trois autres cadavres. Le tout est chargé dans la soute à bagages d’un gros transporteur: un C-54.

Je décide de m’« inviter » à bord de l’avion et nous voilà  partis pour FORT WORTH. Le voyage se passe très normalement, mais à basse altitude; les containers sont gardés par des militaires MP en armes. J’observe attentivement l’intérieur de l’aéronef et je peux « noter » sur un « plan de vol afficher le nom du pilote Captain Oliver HANDERSON, accompagné par Robert SMITH du First Air Transport.

Nous descendons maintenant sur la  base de WRIGHT FIELD dans l’OHIO. Sur le tarmarc, une équipe spéciale de MP et du CIC(             ) attends la « cargaison » qui est délicatement débarqué et acheminé à l’intérieur d’un hangar, sous la supervision du lieutenant Felix MARCUZZI, aux ordres du général Roger RAMEY. Je les « rejoints » à l’intérieur et je peux noter qu’un « SPECIAL REPORT BRIEFING se tient dans une pièce isolée et spécialement aménagée uniquement pour ce « brûlant dossier. »

Je « prends place » parmi les haut gradés présents qui inscrivent leurs nom sur le mémo affiché près d’une carte géographique où je peux déceler la position des trois sites où ont eu lieux les trois impacts. Nous avons parmi les « participants » de cet extraordinaire événement :

Le général Roger RAMEY, Le Sénateur du new –Mexico Denis CHAVEZ, le Gouverneur du New- Mexico Thomas J MABRY, Le général adjoint de la US BASE de CARSWELL Thomas DUBOSE, le Commandant adjoint du STRAYTEGIC AIR COMMAND Clements MC MULLE N, le Captain du C 54 Oliver HENDERSON, Le Colonel Payne JENNINGS de l’US AIR BASE WRIGHT FIELD, le Sénateur du New-Mexico Carl HATCH, et le Colonel Felix MARCUZZI

Je peux percevoir l’établissement de l’« OPERATION LARQUO » évacuation et couverture des évènements. Transport des artefacts vers la base d’ALMORGORDO,

Je quitte cette conférence et retourne dans le hangar ou une équipe spéciale  s’affaire sur l’unique survivant transporté dans un container spécialement aménagé. Il est le premier à être chargé à bord du B-29 « STRAIGHT FLUSH », je décide de « monter » avec lui et le reste de l’équipage constitué par le pilote Frederick EWING, le sergent Robert SLUSTER et le soldat Arthur OSECHOOK accompagné de leurs « anges gardiens » plusieurs MP arme à la main.

Nous décollons: une « visite », dans le cockpit de pilotage, me laisse entrevoir le plan de vol. Nous nous dirigeons vers la base de ALMORGORDO. Encore une fois le voyage se passe normalement et nous atterrissons sans encombres: calmement sur la piste dégagée et surveillée de la base.

Le précieux chargement est descendu à terre : il est immédiatement acheminé dans un hangar où il séjourne très peu de temps, car il est déplacé à bord d’un transporteur routier qui quitte la base en direction d’une nouvelle destination vers l’état voisin du NEVADA. C’est au bout de cette nouvelle destination que le tout est entreposé et étudié. Le survivant ne vivra que très peu de temps et les artefacts seront précieusement étudiés et classifiés.

Mon investigation extrasensorielle sur l’affaire de ROSWELL est maintenant  terminée. Je peux en conclure les points suivants :

Le 02 juillet 1947, deux engins, provenant sans doute d’un autre monde, se sont écrasés dans la région de CORONA, près de la ville de ROSWELL.

Il y eu trois sites d’impacts avec six cadavres et un seul et unique survivant. L’armée a couvé tous ces évènements en actuant « l’opération Larquo » en évacuant dans un endroit « Top secret » l’ensemble des artefacts. L’unique survivant ne vécu que 48 heurs après l’impact.

Il y avait parmi les artefacts un « engin de forme ovoïdale » ainsi qu’une « capsule ». Le tout a été soigneusement étudié et classifié dans un endroit du plus haut degré de classification « ULTRA TOP SECRET. »

La « légende » du Ballon Sonde Radar peut commencer et les évènements peuvent  être oubliés. Ils viennent de renaître dans mon « enquête  extrasensorielle » de l’affaire ROSWELL.