L’ ENIGME DU TEMPLE LE DESTIN DES DEUX PRINCES

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Paris 08 juin 1795:  dans la prison du Temple un petit garçon d’à peine 10 ans vient de rendre son dernier souffle, il était le dernier descendant direct du Roi LOUIS XVI.

Le petit prince LOUIS XVII, qui était enfermé dans cette funeste geôle depuis trois ans sous la surveillance du cordonnier Antoine  SIMON, est déclaré officiellement mort d’une tuberculose. Mais était-ce bien le corps du petit prince qui fut autopsié par le chirurgien Philippe Jean PELLETAN ? Ou  celui d’un autre qui aurait été placé à sa place dès janvier 1794 après son évasion dans une opération mise au point par des Royalistes restés fidèles à la couronne ? Encore de nos jours et malgré les analyses ADN faites en 2004 sur le cœur du cadavre autopsié en juin 1795, le mystère persiste.

Et des questions restent posées. Le Prince LOUIS XVII s’est-il échappé de la prison du Temple ? S’il a survécu, où se serait-il réfugié ? Et existe-t-il de nos jours, dans ce cas, une descendance directe de ce dernier ?

Je vais répondre  à toutes ces questions et lever le voile sur cette énigme vieille de plus de 200 ans. Dans le mystère de la mort du Prince LOUIS XVII réside le fameux cœur qui aurait été prélevé sur son cadavre lors de l’autopsie exécutée par le DR Philippe Jean PELLETAN le 09 juin 1795.

Deux équipes scientifiques se sont penchées sur l’authenticité de cet artefact en 2000 et 2004. Leurs conclusions sont éloquentes: l’ADN,  prélevé et analysé le MYTOCHONDRIALE atteste que l’appartenance de cet organe était à un proche parent de la reine Marie Antoinette. Mais cela est-il suffisant pour clore cette énigme et déclarer officiellement que le fils du Roi de France, LOUIS XVII, est bien mort le 08 juin 1795 dans la sinistre prison de la tour du Temple ?

La seule possibilité qu’il reste est « d’analyser » ce cœur et de remonter à son propriétaire. Je remonte le temps dans notre lointain passé il y a de cela plus de deux siècles. Les premières images visibles sont une ferme et un garçonnet d’environ 12-14 ans. Tout au tour de lui respire la pauvreté, les costumes de l’époque m’indiquent un créneau temporel fiable à celle de LOUIS XVII. Je note une réunion dans la modeste demeure où doit certainement habiter le pauvre enfant qui est maintenu en captivité et dont les conditions physiques indiquent qu’il est sérieusement malade, les conditions météorologiques m’indiquent un grand froid donc nous sommes en période hivernale.

J’en déduis que la réunion qui est en train de se dérouler est très importante car des gardes armés sont postés en surveillance à l’entrée ; cela dénote très plausiblement la présence d’un important personnage. Je décide de m’inviter à leur « table » ; me voilà à l’intérieur de la modeste demeure: il y a quatre personnes, parmi eux je peux reconnaitre un visage connu à l’époque, celui de François Paul Jean Nicolas BARRAS. Une vive discussion est en cours. Je tends l’oreille et capte leurs paroles. Il y est sujet d’une « OPÉRATION SECRÈTE » appelée « TEMPLIS » : elle consiste à faire évader le Prince LOUIS XVII de sa prison et de l’utiliser comme possible monnaie d’échange avec les ennemis de la France.

L’enfant est maintenant introduit parmi les convives, examiner sur toutes ses coutures. Il est convenu qu’il sera sacrifié pour la cause et remplacera le Prince LOUIS XVII dans sa geôle. Mais qui sont les participants de ce complot d’évasion ? je saisis les traits de leurs visages et, après avoir effectuer une recherche, je peux les identifier voici leurs noms :

François Paul Jean Nicolas BARRAS,  membre du comité de sureté général

François Marie BOTOT, secrétaire personnel de Barras

Pierre Gaspard CHAUMETTE,  Procureur de la commune de Paris

Jacques René HEBERT,  homme politique et journaliste

Il est décidé d’agir durant la journée du 19 janvier 1794 où le geôlier du temple Antoine SIMON quittera ses fonctions pour retourner au conseil municipal. La machine est en route, je suis le carrosse qui ramène, sur la région parisienne, notre quatuor et l’enfant qu’il vienne d’arracher à sa misérable vie. Nous arrivons dans le château et propriété de Gaspard PETIT DU VAL  à Vitry Sur Seine. Dans la plus grande discrétion, les hommes de l’opération » TEMPLIS » préparent la phase finale de leurs missions,  j’observe leurs écrits et croquis qui merévèlent que la substitution de l’héritier au trône de France aura lieu dans les jours qui suivront.

Il fait nuit quand 3 hommes passent à l’action. Je les suis au pas, ils entrent dans la prison du temple, accompagné du garçonnet. Ils sont arrêtés par les gardiens des prisons du 1er étage qui leurs demandent les motifs de leurs présences. L’un des hommes du complot présente ses créances et on les laisse accéder au secteur de la cellule de l’héritier du trône . À l’intérieur, tout est sombre et la situation hygiénique est déplorable: dans un coin, recroquevillé, se trouve le corps du prince LOUIS XVII; il vit encore, mais dans quelle condition ! Il le soulève en expliquant qu’il devra endosser les habits de l’autre enfant. La substitution est effectuée ; les 3 hommes et le Prince LOUIS XVII quittent les lieux sans aucune opposition.

Je continue à les suivre dans cette froide nuit d’hiver. Le chemin du retour nous ramène à l’endroit de leur départ: le Château de Vitry Sur Seine. La mission d’évasion de LOUIS XVII est terminée. Mais, je dois en savoir plus sur la suite de l’histoire. Je reste donc accroché à la Situation. Une deuxième conférence a lieu, je retrouve le quatuor de la première ; il décide que leurs « prisonniers » devra  être évacué en Vendée, où une autre cache est installée entre temps. Il restera dans les lieux, sous la couverture d’un neveu lointain de Gaspard PETIT DU VAL.

Je décide de me déplacer un peu plus loin dans le futur, tout en restant sur place.  Il s’est écoulé deux ans et Le prince LOUIS XVII a maintenant  12 ans. Sa santé est bien meilleure. Nous devons être au début du printemps, quand un évènement soudain et dramatique surgit. Cinq hommes armés font irruption dans la place: nous sommes le matin du 20 avril 1796 il, doit être 7h00-8h00, ils crient qu’ils veulent le « prisonnier ».

Gaspard PETIT VAL fait immédiatement évacuer le prince par une servante par une porte dérobée lui donnant les instructions pour le mettre à l’abri. Moins de deux heures plus tard, tous les habitants des lieux ont été tués. Mais le prince LOUIS XVII a pus s’échapper.

Je quitte la place forte pour suivre le prince qui est maintenant dans une autre demeure, où une nouvelle identité lui est donnée. Nous sommes dans la banlieue parisienne, dans une demeure cossue. Je reconnais le propriétaire de l’endroit, François Marie BOTO, qui est paniqué: cela n’était pas prévu.

Dans les jours suivants, le dernier descendant de la couronne de France est évacué vers la Bretagne dans la ville de BREST, où il est embarqué sous un faux nom sur un bateau en départ pour le nouveau monde. Je poursuis mon enquête à ses côtés et je le vois débarquer dans le port de PHILADELPHIE, où il est pris en charge sous sa nouvelle identité que j’ai pu noter sur ses documents de voyages, le prince LOUIS XVII n’existe plus.  Personne ne surveille le petit prisonnier royal ;  au 2ème étage de l’édifice, une porte en bois massif nous accueille au bout d’un endroit désert ! il se nomme dorénavant John TENIER. Le parcours du reste de son existence me laisse percevoir une vie heureuse et une descendance.

Mon enquête joint[ arrive ] à son terme et dans celle-ci s’est dessinée une incroyable vérité. Des membres du directoire de la révolution française ont participé à l’évasion du fils de leurs ennemis. Sous la couverture de l’utiliser comme monnaie d’échange avec les monarchies européennes en cas d’effondrement de leurs politiques.

L’ enfant qui est mort de tuberculose dans la prison du temple le 08 juin 1795 n’était pas le Prince LOUIS XVII, mais un sosie préparé à cette intention. Le cœur, prélevé lors de l’autopsie du 09 juin 1795 par le Dr PELLETAN, n’était pas, par conséquence, celui du prince héritier et il ne fut pas celui qui fut remis à la France en 1975. Quelque part, dans le cours de l’ histoire, il y a eu plausiblement une substitution de l’organe, maintenu sous formol par le DR PELLETAN, et le cœur analysé en 2000 et 2004 provient d’un autre proche parent de la reine Marie Antoinette mort dans son enfance.

De nos jours vit la descendance direct du prince LOUIS XVII aux États–Unis et donc légitiment héritier de la couronne de France.