Las Vegas, nous sommes le 7 septembre 1996, il est 23h14 quand
le Roi du Rap, Tupac SHAKUR, est abattu de 4 balles dans sa
BMW E38, il se dirigeait vers le club 662 pour terminer sa
soirée.
18 ans après les faits, son assassinat n'a jamais été résolu.
Les théories les plus folles ont été avancées pour expliquer
les raisons de ce crime.
Aujourd’hui, je vais remonter le temps pour examiner les
causes de cette tragédie et vous exposer ma solution.
Las Vegas; nous sommes la nuit du 07 septembre 1996 au MGM
hôtel casino : un combat de boxe met à l’épreuve Mike THYSON
et Bruce SHELDON.
Dans la salle, où je prends place, se trouve le célèbre
rappeur et futur « messie black » Tupac Amaru SHAKUR. À ses
côtés: son ami et manager Suge KNIGHT. Je perçois que Tupac
est enfiévré de ses prochaines actions politiques qu’il
souhaite mener à bon terme vers l’an 2000. Sur ces genoux, se
trouve un épais dossier dont le titre à lui seul est évocateur
d’un lourd combat que mène Tupac contre une organisation
secrète et très puissante.
Je repère dans la salle d’inquiétantes silhouettes qui
surveillent Tupac. Je me dirige vers elle pour mieux les
visualiser. Je suis en présence de trois hommes habillés comme
des moines avec le visage dissimulé sous un masque de
carnaval blanc, ils cachent sous leurs tuniques des
armes que j’identifie comme étant des fusils mitrailleurs UZI.
Je n’imagine pas une seconde qu’il puisse ouvrir le feu dans
ces lieux, au vu de la considérable foule qui est présente. La
couleur de leur peau m’interpelle: elle est blanche quasi
translucide! On dirait de vrais zombies! Le plus surprenant
est que personne, à par moi-même, ne semble les voir!
Le combat de boxe arrive à son terme. Mike TYSON savoure sa
victoire par Ko. Tupac quitte maintenant la salle, suivi de
Suge; j’emboite leurs pas et nous voici maintenant en route
pour le club 662. Soudainement, une altercation éclate à
l’entrée de l’hôtel avec un groupe d’autres personnes qui
prennent violemment à partie Tupac et son escorte. Le tout se
déroule sous l’observation des trois énigmatiques individus
qui, à présent, s’embarquent dans une Cadillac Fleetwood
blanche garée au dehors.
Tupac monte à bord de la BMW E 38 conduite par Suge et suivie
par de nombreuses voitures dont celle de son garde du corps.
Nous nous mettons en route en direction du club 662. La route
est dégagée, il n’y aucun danger en vue. Je cherche du regard
le véhicule des trois menaçants personnages sans pour au temps
pouvoir les localiser.
Dans la BMW E 38, Tupac exprime violemment son point de vue
sur son combat à Suge qui n’est pas sur la même longueur
d’onde! On parle de business[d'affaires] et d’énormes
royalties[redevances] que Suge n’aurait pas versé à Tupac. Il
y a, comme on dit, de l’électricité dans l’air! Un œil dans le
rétroviseur me permet d’apercevoir, sortie de nul part, la
Cadillac blanche! Elle s’approche maintenant dangereusement de
la BMW E 38. À son bord: l’un des trois encapuchonnés a saisi
son arme et se place en position pour tirer: sa cible est
Tupac.
Un flash éclate dans la nuit: celui d’une dernière photo faite
par un paparazi qui immortalise à jamais Tupac quelques
instants avant sa tragique mort. Alors que nous sommes à
l’arrêt, derrière nous nos poursuivants et leurs Cadillac ont
également stoppé net. Je profite de l’occasion pour me
déplacer à leurs côtés pour « sonder » leurs émotions. Les
trois lugubres individus n‘en ressentent aucune! On dirait des
automates! ils sont véritablement glaciales! au propre comme
au figuré. La montre de bord de la BMW E38 indique 23h05. Une
patrouille de la police de Las Vegas nous fais signe de nous
arrêtez. On nous signale que le volume de l’autoradio est trop
élevé et qu’il manque les plaques d’immatriculations. Suge
leurs indique qu’elles sont dans le coffre; vérification
faite, nous voilà repartis.
Mon attention est à présent attiré par deux jeunes femmes qui
accoste la BMW pour saluer Tupac. Ce dernier les invite à le
suivre au club 662. Au genoux de Tupac se trouve le lourd
dossier: son plan d’attaque contre cette surpuissante société
secrète. Tupac souhaite l’utiliser dès son retour à New York.
Il se vante devant Suge de pouvoir porter un coup très dur,
sinon fatale, à cette organisation qu’il a décidé de
combattre. Une attentive observation de Suge me fait constater
qu’il est comme « hypnotisé ». Il ne réponds pas à Tupac et
ralentis même la vitesse de la voiture! permettant ainsi au
véhicule des trois lugubres personnages de nous rejoindre.
Dans un raisonnement rapide, Tupac comprends la manœuvre et
tente une dernière action pour se protéger, mais il est trop
tard! cinq coup de feu sont tirés à répétition, transperçant
le métal de la BMW et touchant à quatre reprises Tupac,
provoquant deux blessures mortelles.
Cette tragédie n'aura duré qu’un bref instant; déjà les
assaillants s’enfuient. Dans la nuit, une voiture, du cortège
de Tupac, tente en vain de la suivre. Mais, une fulgurante et
irréelle accélération la met hors de portée. Je les suis à mon
niveau; cela m’entraine dans le profond désert où s’arrête la
folle course des meurtriers de Tupac. J’ai enfin une
possibilité de mieux les cerner.
Je découvre, sous leurs déguisements, trois individus qui ne
sont pas humain! Ce sont ce que nous appelons des morts
vivants ou « zombie ». Sur leurs bras est tatoué un sigle que
je reconnais immédiatement celui de la secte des ILLUMINATIS.
Le complot contre Tupac à dorénavant un commanditaire et ses
soldats sont des êtres sortis de la nuit des « zombies ».
Mais, mes surprenantes découvertes ne sont pas encore
terminées! Voilà à présent que nos trois assaillants
abandonnent tous leurs vêtements et « plongent », nus comme
des vers, dans l’immensité du désert du Nevada où ils
disparaissent totalement de ma vue!
Je sors vraiment très étonné de cette enquête: le fait
que les ILLUMINATIS tirent les ficelles de notre monde en
coulisse est un secret de polichinelle, mais ce qui l'est
moins est qu’ils disposent de soldat « zombie » pour leurs
basses besognes. Décidément, je ne cesserai jamais d’être
surpris par les turpitudes des forces occultes qui nous
dirigent en secret.
Tupac SAKUR a payé par son sang le prix du silence. Il serait
grand temps que tous les humains, black-blanc-rouge ou jaune,
s’unissent pour combattre le mensonge qui inonde notre monde!