20h19 PM 17 juillet 1996 le Boeing 747 de la TWA VOL 800
décolle du JFK-AIRPORT de New-York. À bord, 230 passagers dont
plusieurs personnalités comme le guitariste Marcel DADI,
l’héritier des laboratoires MÉRIEUX, Rodolphe MÉRIEUX ou
le joueur de hockey international Michel BREISTROFF.
20h31 PM : il explose à une altitude de 16500 pieds causant la
mort pour tous les passagers et pour l’équipage de bord. Que
s’est-il passé ? Les enquêtes successives menées par le FBI
ont exclu les possibilités d’une attaque terroriste ou d’un
missile tiré par erreur lors d’un exercice militaire en
retenant uniquement la cause accidentelle.
Je vais enquêter sur cette catastrophe et chercher la vérité.
17 juillet 1996 : il fait une chaleur étouffante quand je
débarque pour visionner les dernières heures du VOL de la TWA
800.
Sur le tarmaque du JFK AIRPORT, le VOL TWA 800 vient
d’arriver en provenance d’un trajet transatlantique, tout
semble normal. Déjà plus de 60 personnes du personnel de
l’entretiens s’affaire au tour de l’aéronef pour le préparer
pour son prochain voyage en direction de ROMA FIUMICINO
ITALY via par l’aéroport CHARLES DE GAULLE à PARIS.
J’inspecte très attentivement les mouvements du personnel au
sol : tout semble normal, à l’exception d’un véhicule
d’entretien qui refuse obstinément de dégager la piste R22
bloquant les mouvements du Boeing 747. Je ressens qu’une force
puissante est en action. Après plus d’une heure, il est
finalement tracté hors de la piste permettant le reste des
formalités d’embarquement. Je décide d’inspecter l’intérieur
du quadriréacteur à la recherche d’indices ou d’éléments
pouvant m’informer d’éventuels faits qui pourraient me mettre
sur la piste de la vérité.
Je note. Les bruits du ronronnement du système de
climatisation qui refroidit l’intérieur de l’avion surchauffé
par une exposition depuis plus de 2 h à une forte chaleur
extérieur. Je peux également entendre des crépitements
provenant du point central de l’appareil. Un ciblage dans
cette direction me permet de localiser l’endroit d’où ils
proviennent.
Il s’agit du réservoir central où stagne un fond de carburant
qui est surchauffé par la chaleur extérieure et celle ambiante
causée par la machinerie de refroidissement de l’habitacle. À
cet instant, l’ensemble des passagers est monté à bord Mais
pour une raison inconnue, nous ne décollons toujours pas.
Je commence à ressentir une certaine angoisse sur le visage de
certains passagers qui émettent le désir de quitter
l’appareil. 20h05 PM ; le commandant de bord s’adresse au
passage signalant que le propriétaire de certains bagages dans
la soute vient d’être identifié. Finalement, tout semble
rentrer dans l’ordre et le Boeing se prépare à décoller il est
20h19 PM.
Je prends place pour visualiser les 12 minutes de vie
restantes aux malheureux passagers et hommes et femmes
d’équipages. Déjà le ciel new-yorkais s’éloigne sous les ailes
du VOL TWA 800. Mais plusieurs fait étranges m’intriguent, je
décide de pousser plus loin mon investigation. 20h 30 PM, le
regard de plusieurs passagers et du commandant de bord et de
ses co-équipiers est attiré par une étrange lueur provenant de
l’extérieur. On peut voir une « espèce de boule de feu » qui
fonce en direction de l’avant de l’avion. Je vais
immédiatement à son encontre pour l’analyser et en savoir plus
à son sujet. Je constate à son bord une forte odeur d'ozone et
d’acide, de souffre: son noyau central est composé de plasma
de très hautes températures.
Je remonte à la source de cet étrange boule de foudre ce qui
me ramène sur l’océan ou un navire sans aucune indication de
reconnaissance semble faire des expériences: de très hautes
fréquences électromagnétiques sont manipulées. Soudainement
une boule d’énergie est éjectée d’une espèce de canon et monte
à la verticale de la trajectoire du Boeing 747. 20h30, 35
secondes elle traverse littéralement l’aéronef causant une
coupure du système électrique.
20h30, 50 secondes: des étincelles se produisent dans le
réservoir central où le kérosène présent s’enflamme.
20h31 17 secondes: une violente explosion crée un trou béant
détruisant le fuselage central et créant un vide qui aspire
plusieurs passagers à l’extérieur. Sous l’impacte de la
déflagration le nez de l’avion se détache de l’ensemble de la
structure et fonce en chute libre vers les eaux noires de
l’océan.
Ce que je vois est effroyable ! Des flammes s’étendent à
l’ensemble des compartiments où des survivants tentent de se
protéger blottis dans leurs sièges. La poussée des réacteurs
poussent vers le haut ce qui reste de l’aéronef qui maintenant
redescends en flamme vers l’océan.
Dans ce fracas énormes de tôles et de sang, je peux capter des
« messages » que certains passagers adressent dans un ultime
effort à leurs proches. Je suis bouleversé mais je dois
décrocher et je reviens au présent pour tirer les conclusions
de cette effroyable catastrophe.
MES CONCLUSIONS
Dans la journée du 17 juillet 1996 dans les eaux new
yorkaises, des expériences secrètes utilisant des ondes
électromagnétiques à très hautes fréquences ont créé
involontairement ? une sphère d’énergie composée d’un noyau de
magma à très hautes températures. Cette « boule de
foudre a échappé à tous contrôles s’élevant à la
verticale et propulsée à une très grande vitesse coupant la
route du VOL TWA 800 en le traversant à la hauteur du
réservoir central. La très haute chaleur dégagée par la sphère
à court circuité le système électrique du Boeing provoquant
les étincelles fatales qui ont enflammé le restant du kérosène
présent dans le réservoir central et créant ainsi l’explosion
qui a détruit l’avion.