La Mort {Suicide, séances de spiritisme, tableau Ouija} 1

11 - POUR ENTRETENIR LA FLAMME

      Par TUESDAY LOBSANG RAMPA
      Paris : Éd. J'ai Lu, 1989, 256 P.
      Monaco : Éd. Rocher, 1987
      Montréal : Éditions de l'homme, 1972.--1971*

- {POUR ENTRETENIR LA FLAMME, par RAMPA: (pages 137 à 153)(Extraits 41)} La Mort {Suicide, séances de spiritisme, tableau Ouija} 1.

    ... Parcourant toutes les questions, il se rendit compte qu'une des choses les plus stupéfiantes était le nombre de personnes qui lui écrivaient: « Dites-nous quelques chose à propos de la vie après la mort et à propos de la mort. »

    Considérons d'abord ce qui arrive au moment de la mort. Habituellement, il s'agit d'une personne malade et, comme conséquence de cette maladie, une partie du corps essentielle à la continuation de la vie sur Terre perd son aptitude à fonctionner convenablement. Ce peut être le coeur qui flanche: supposons que ce soit une crise cardiaque dont nous parlons. Dans ce cas, nous pouvons dire que le muscle cardiaque est devenu une masse fibroïde; il n'est plus capable d'envoyer le sang en quantité convenables à travers le cerveau et c'est ainsi que les facultés perdent leur sensibilité. Comme les facultés s'émoussent, la volonté de vivre dimunue et le coeur est moins sollicité de poursuivre son pénible pompage.

    Arrive le moment où le coeur ne peut plus continuer. Mais avant d'atteindre ce stade, la personne est dans un état qui lui a fait perdre l'énergie nécessaire pour ressentir la douleur. Elle est à demi dans le monde présent, à demi dans l'autre monde; elle est dans l'état du bébé qui est à moitié hors du monde qui est sa mère et à moitié dans le monde que nous appelons Terre. De l'Autre Côté de la mort, des auxiliaires sont prêts. Dès que le coeur cesse de battre, il y a une secousse; non, non ce n'est pas une contraction de douleur, il n'existe pas d'agonie, cela est une fiction stupide. La soi-disant « agonie » est simplement une action réflexe des nerfs et des muscles qui, libérés du contrôle du « conducteur du corps », se tordent, se crispent et produisent des secousses - comme le nom l'inplique - d'une manière incontrôlable. Beaucoup de personnes pensent que c'est l'agonie mais naturellement il n'en est rien puisque l'occupant du corps est parti, et si l'on observe des grimaces de la face, c'est simplement des crispations des muscles.

    Le corps, privé de son occupant, peut se crisper et pousser des soupirs pendant un court moment. Les organes peuvent gargouiller dans le corps, mais tout cela c'est exactement comme un vieux costume qui se tasse lorsqu'on vient de le jeter sur une chaise ou sur un lit; il n'y a plus rien dans ce corps qui maintenant n'est plus qu'une ordure prête à être enterrée ou incinérée, le mode de destruction étant vraiment indifférent.

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