Massacre et viols des Tibétains

03- L'HISTOIRE DE RAMPA

          Par TUESDAY LOBSANG RAMPA
         Paris :  Éd. J'ai Lu,©1963, 1971,1980, 1981, 1984, 1986.
          Paris : Éditions A. Michel, 1972, ©1963.
          ©1960-> en anglais

- {L'HISTOIRE DE RAMPA: (pages 218 à 220(Extraits)}[36] Massacre et viols.

    Je songeai à cette communauté de nonnes dont m'avait parlé un grand Lama qui, au cours d'un voyage, en avait rencontré l'unique survivante. Celle-ci, avant de mourir dans ses bras, lui raconta la tragédie de cette communauté, dont le cloître avait été envahi par une bande déchaînée de soldats chinois. Ceux-ci profanèrent les Objets Sacrés et volèrent tout ce qui avait de la valeur. Ils dépouillèrent la vieille Supérieure de ses vêtements et l'enduisirent de beurre. Puis ils y mirent le feu et écoutèrent, avec des rires et des hurlements, ses cris de douleur. Lorsque, enfin, ce pauvre corps noirci fut étendu, immobile, sur le sol, un soldat l'ouvrit avec sa baïonnette pour s'assurer que la mort avait fait son oeuvre.

    Les religieuses les plus âgées, mises à nu et transpercées avec des lames chauffées à blanc, moururent dans d'atroces souffrances. Les nonnes les plus jeunes furent violées les unes devant les autres et les soldats s'acharnèrent 20 à 30 fois sur chacune d'elles pendant les trois jours où ils occupèrent le cloître. Lorsqu'ils furent las de ce « sport » ou épuisés, ils eurent un dernier sursaut de sauvageries. Ils mutilèrent certaines des femmes, en éventrèrent d'autres. D'autres, toujours nues, furent entraînées au-dehors dans le froid glacial.

Quelques moines qui se rendaient à Lhassa rencontrèrent la bande et tentèrent de venir au secours de ces femmes en leur donnant leurs vêtements, dans l'espoir de conserver une faible lueur de vie chez ces malheureuses. Les soldats communistes, qui allaient eux aussi à Lhassa, se ruèrent sur les moines et les traitèrent avec une telle brutalité que certains faits ne peuvent être rapportés ici. Les moines, horriblements mutilés, nus, perdant leur sang, ne tardèrent pas à mourir. Une seule femme survécut; elle était tombée dans un fossé et les bannières de prière, arrachées de leurs mâts par les Chinois, l'avaient dissimulée. Finalement, le Lama et son acolyte arrivèrent sur la scène du dram et c'est des lèvres de la moribonde qu'ils apprirent toute l'histoire.

    « Oh! mettre le monde occidental au courant des terreurs du communismes », me dis-je, mais je découvris plus tard, à mes dépens, que l'on ne peut écrire ou dire la vérité en Occident. Toutes les horreurs doivent être édulcorées, recouvertes d'un vernis de « décence ». Les communistes sont-ils « décents », lorsqu'ils violent, mutilent et assassinent? Si les Occidentaux voulaient écouter les comptes redus exacts de ceux qui ont souffert, ils s'épargneraient, en fait, semblables horreurs, car, pareil à un cancer, le communisme est insidieux, et tant que les gens considéreront cet abominable culte comme une simple politique différente, les peuples du monde seront en danger.

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