From: Lapinmexicain Sent: 3/31/2004 12:34 PM
Le secret de l'antigravité

http://in.msnusers.com/newearth/ovniufo.msnw?action=get_message&mview=0&ID_Message=284&LastModified=4675466108719883638

La théorie unifiée des champs permettant de comprendre l'antigravité est tellement complexe qu'elle ne peut être expliquée qu'à des physiciens avertis ; l'explication vulgarisée qui suit n'a donc pour but que de donner une intuition juste du problème et ne prétend en aucun cas être un reflet exact du modèle mathématique réel.Toute la matière est contenue dans un espace vide rempli de particules virtuelles appelées gravitons. Des particules virtuelles sont des particules qui n'ont aucune masse apparente ou réelle et par conséquent ne sont pas une énergie manifestée Le graviton se compose d'un photon (grain de lumière) et d'un antiphoton virtuels liés entre eux. L'antiphoton est un photon dont la flèche temporelle est inverse de celle du photon, sa flèche temporelle va du futur vers le passé. Une tension d'énergie permanente (analogiquement comparable à la tension électrique) existe entre le photon et l'antiphoton générant des ondes électromagnétiques stationnaires dans le vide. À chaque onde allant du passé vers le futur est associée une onde strictement identique et superposée dans l'espace à la première mais dont le sens temporel est inverse, c'est-à-dire qu'elle va du futur vers le passé. Pour comprendre ce qu'est un système d'ondes stationnaires il suffit d'imaginer deux voitures se touchant face-à-face et essayant d'avancer avec la même force, il est évident que tout en roulant elles feront du surplace chaque voiture offrant une force inverse à celle de l'autre. Il en est de même avec ces ondes dont les flèches temporelles inverses "annulent" en quelque sorte le mouvement apparent, les rendant ainsi stationnaires dans l'espace alors qu'elles sont en mouvement. Contrairement aux ondes électromagnétiques que nous observons dans la matière et qui ont trois dimensions d'espace et deux dimensions de temps, ces ondes gravitoniques du vide ont deux dimensions d'espace et trois dimensions de temps. Ces ondes ont été découvertes en 1904 par le physicien et mathématicien britannique Whittaker, la théorie unifiée des champs qui en découle ayant été publiée et démontrée expérimentalement en 2001 par Thomas Bearden et Floyd Sweet. Ces couples d'ondes temporellement inverses sont appelées ondes longitudinales scalaires. Ces ondes longitudinales scalaires sont une énergie, mais faite de temps. On peut donc dire, en simplifiant beaucoup, que dans le vide l'énergie c'est le temps et dans la matière c'est l'espace ! Lorsque des ondes longitudinales scalaires perdent une dimension de temps en acquérant une dimension d'espace elles deviennent les ondes électromagnétiques que nous connaissons. Les atomes émettent et reçoivent en permanence des ondes longitudinales scalaires dans le vide, mais dans un rapport inégal. C'est-à-dire que l'atome restitue au vide moins d'énergie qu'il n'en reçoit, la "pression" des ondes scalaires du vide étant plus forte que la "contre pression" des ondes scalaires émises par l'atome celui-ci subi une "pression" du vide. Cette "pression" du vide sur un atome ou une particule est ce qu'on appelle la masse. Si un corps accélère, la "pression" du vide augmente encore plus dans la direction vers laquelle il avance, cette "pression" supplémentaire est ce qu'on appelle l'inertie. Si l'on arrive par un moyen quelconque à renverser le déséquilibre d'énergie scalaire entre l'atome et le vide on pourra diminuer voire annuler sa masse et son inertie. Autrement dit il suffit que l'atome émette plus d'énergie (d'ondes longitudinales scalaires) vers le vide qu'il n'en reçoit du vide pour qu'il soit en anti gravitation. L'énergie des ondes longitudinales scalaires du vide étant du "temps", il suffit donc de donner du "temps" à l'atome pour annuler sa masse. Par chance la nature nous offre un moyen très simple de créer cette énergie scalaire "temporelle" : c'est la rotation, mais pour que l'effet soit significatif il faut que ce mouvement rotatif soit extrêmement rapide. Pour simplifier à l'extrême, on peut dire que tout mouvement rotatif rapide transforme de l'énergie "spatiale" en énergie "temporelle". Ce qu'il faut mettre en rotation peut être indifféremment de la matière ou des champs électromagnétiques ou une combinaison des deux. Dans le cas de la matière cela peut-être des corps solides, liquides, gazeux ou des plasmas. De plus, la matière peut-être mise en rotation au niveau de l'objet entier, de la molécule ou de l'atome. Dans le cas d'un objet entier ce sera par exemple un disque solide ou gazeux que l'on accélérera à des vitesses de rotation de plusieurs dizaines de kilomètres par seconde. À partir d'une certaine vitesse les noyaux atomiques composant l'objet se mettront à tourner sur eux-mêmes tout en alignant de manière parallèle leurs axes (spin) de rotation, cela s'appelle l'effet contrabarique de corotation spinale. L'effet peut être amplifié en appliquant à l'objet en rotation de puissants champs magnétiques tournants ou rayonnants de manière radiale depuis le centre de rotation (disques de Carr ou de Searl). Dans le cas d'un noyau atomique on pourra le mettre en rotation rapide avec des ondes mécaniques, en l'occurence du son, qui en agitant les noyaux atomiques à certaines fréquences de résonance les mettront en rotation synchronisée. Une autre méthode consiste à appliquer un courant à très haute tension qui mettra en rotation les noyaux atomiques à condition qu'ils soient électro rotationnels. Un noyau est électro rotationnel lorsqu'il comprend un nombre impair de protons et un nombre pair de neutrons, plus le noyau électro rotationnel sera lourd plus facile il sera à mettre en rotation. Le meilleur atome électro rotationnel connu de l'auteur est l'atome de bismuth. La coque des prototypes antigravitationnels nazis décrits dans cet article est composée d'un alliage métallique électro rotationnel baptisé par les Allemands "Impervium" (malheureusement l'auteur n'en connaît pas la composition). Lorsqu'on annule la masse d'un corps le vide restitue en retour des quantités énormes d'énergie électromagnétique que l'on peut récupérer facilement afin d'alimenter le moteur antigravitationnel. Un véhicule antigravitationnel n'a donc besoin d'aucune source d'énergie propre pour voler et peut se déplacer éternellement. Il faut savoir enfin, que le champ antigravitationnel créée autour des atomes du véhicule étant une sorte de vrai vide dans le vide, le vaisseau ne subi aucun frottement de l'air extérieur (quelle que soit sa vitesse) et de plus est complètement protégé des radiations extérieures

***************************

From: Lapinmexicain Sent: 3/31/2004 12:35 PM

La tornade implosive de Shauberger et le Levitator de Schumann

La tornade implosive de Shauberger comprend une tornade d'air centrale (ou tout autre gaz ou liquide) elle-même composée de petites tornades périphériques. Cette tornade peut-être soit créée par un réacteur implosif, dans ce cas le gaz ou le liquide accéléré par la tornade s'échappe par une tuyère, soit créée par un générateur implosif en circuit fermé, la tornade restant alors confinée dans une enceinte étanche. Le premier étage du réacteur implosif de Shauberger se compose d'un compresseur entraîné par un moteur électrique. Le rotor du compresseur comprend vingt-quatre ailettes radiales en forme de tire bouchon (toroïdales). Les forces centrifuges créées par la rotation rapide du compresseur éjectent l'air en l'accélérant à travers les ailettes toroïdales en créant vingt-quatre petites tornades dont l'axe de rotation est horizontal. En suivant la paroi intérieure de l'enceinte du réacteur, les petites tornades horizontales forment une tornade verticale mise en rotation par le compresseur. Une fois accélérée, la tornade s'échappe par une tuyère à l'extrémité inférieure conique du réacteur.Si l'on observe une section de la tornade principale vue de dessus elle se compose de petites tornades tournant suivant un cercle tout en tournant sur elles-mêmes. La rotation de chaque petite tornade créée autour d'elle une zone d'air de moindre pression qui attire les petites tornades entre elles ce qui rétrécit la tornade. Cet effet est accentué par les collisions mécaniques des petites tornades les unes par rapport aux autres. De plus le frottement et les collisions des molécules d'air créent d'importantes charges électriques, de polarité positive à l'intérieur de la tornade principale et négative à l'extérieur. D'autre part, la rotation de la tornade créée en son centre une zone de basse pression, voire de vide, à basse température. Enfin, les calories contenues dans l'air extérieur aspiré par la tornade apportent une énergie supplémentaire à celle-ci. Tous ces effets cumulés provoquent un rétrécissement de la tornade ce qui a pour effet d'accélérer de plus en plus les molécules d'air qui la compose, aussi bien en rotation qu'en translation vers le bas (vitesse d'éjection dans la tuyère). Les forces de répulsion mécaniques, aérodynamiques et électrostatiques provoquent une expansion de la tornade. La tornade a donc un cycle de contraction et d'expansion pulsées, comparable aux battements d'un coeur. La dynamique complexe de la tornade de Shauberger crée en son centre une tornade montante, de même sens de rotation que la tornade principale, qui restitue son énergie au sommet du réacteur en participant à l'entraînement du compresseur. L'injection d'alcool à brûler enflammé à l'entrée du réacteur fournit une énergie thermique qui entretient la tornade et la rotation du compresseur sans le moteur électrique. La quantité d'alcool nécessaire est extrêmement faible, de l'ordre du centième de litre par heure. Les réacteurs et les générateurs de Shauberger atteignent des rendements de 99 %, à comparer aux rendements de l'ordre de 60 % des moteurs thermiques classiques. En faisant tourner rapidement un bâtonnet sur le pourtour intérieur d'un verre de thé vous pouvez facilement créer vous-même une tornade de Shauberger et observer son comportement. Si, comme l'indique la figure, vous placez un simple disque lisse (entraîné par un moteur) à la surface du liquide et que vous recouvrez le tout d'un couvercle vous obtenez un générateur de Shauberger en circuit fermé. Shauberger développe un moteur, permettant la propulsion et la lévitation, dérivé de son générateur implosif en circuit fermé. Lorsque les molécules de gaz composant la tornade dépassent une vitesse de huit kilomètres par seconde, les petites tornades tournant suivant des axes différents de la tornade principale forment un système gyroscopique complexe générant des vecteurs d'accélération dont la résultante des forces est plus ou moins perpendiculaire au plan principal de rotation. Attention, il ne s'agit en aucun cas d'antigravitation puisque que la masse et l'inertie du système ne sont pas supprimées. Ces forces sont baptisées "mertioïds" par les Russes et les anglo-saxons et "vectomasse" (ou vecteurs de masse) par l'auteur. Vous pouvez observer ces forces en faisant tourner, sur une perçeuse tenue à bout de bras, un disque de 200 grammes et de 10 cm de diamètre. En pivotant sur vous-même tout en changeant l'orientation de la perçeuse dans votre main, vous constaterez l'apparition de forces gyroscopiques très puissantes qui vous tireront dans des directions inattendues. Avec l'aide théorique du docteur Schumann, Shauberger conçoit un moteur antigravitationnel en remplaçant le compresseur d'origine par des bobines électromagnétiques qui mettent en rotation rapide de la vapeur de mercure naturellement conductrice de l'électricité. La vapeur de mercure est accélérée en tornade par deux bobines annulaires placées contre la paroi intérieure de l'enceinte cylindrique. La moins puissante des bobines étant placée au sommet de l'enceinte et la plus puissante près de sa base. La différence de puissance du champ magnétique des bobines introduit une accélération électromagnétique de la tornade plus rapide en bas de l'enceinte qu'en haut. D'autre part, l'intérieur de l'enceinte est tapissée d'un empilement d'aimants permanents de forme annulaire dont le pôle positif est tourné vers le centre de l'enceinte, créant ainsi un champ magnétique permanent à l'intérieur de celle-ci. L'enceinte cylindrique est contenue dans une enceinte discoïdale bicônique de grand diamètre formant résonateur. Par la suite seule la jupe conique supérieure du résonateur sera conservée. Le résonateur étend le champ antigravitationnel afin qu'il inclue l'ensemble des éléments du véhicule entourant le moteur. Dans le moteur antigravitationnel de Shauberger quatre électroaimants, dont les pôles positifs (pôle nord) sont orientés vers le centre de la tornade, sont placés aux quatre points cardinaux de l'équateur (la mi-hauteur) de l'enceinte. En modulant la puissance de chacun des électroaimants il est possible de déformer la tornade, ce qui permet de piloter le véhicule dans les axes horizontaux et verticaux mais ne permet pas le contrôle de l'inclinaison. Cinq prototypes différents, chacun étant une légère évolution du précédent, sont construits suivant ce principe par l'équipe de Shauberger sous le nom de "Vril". Schumann crée une enceinte sphérique ce qui améliore les phénomènes de résonance dans la tornade de Shauberger et baptise son nouveau moteur Lévitator. Kohler quant à lui perfectionne le moteur de Schumann en remplaçant les quatre électroaimants équatoriaux servant au pilotage par trois sphères placées à l'extérieur de la base inférieure de l'enceinte. Des bobines magnétiques placées dans chacune des sphères permettent le contrôle de la charge magnétique de celles-ci. Un contrôle complexe de la charge magnétique de chacune des sphères permet de piloter le véhicule sur tous les axes. Kohler baptise son dispositif Tachyonator et en équipe une série de prototypes baptisés "Haunebu", à l'exception du premier qui conserve le système de pilotage de Shauberger. Dans les années 70, l'inventeur canadien David Hamel refait sans le savoir une version électromécanique du Levitator de Schumann, le "Spinner", la tornade électromagnétique du Levitator étant ici remplacée par un empilement de deux ou trois cônes métalliques. En oscillant dans des champs magnétiques les cônes créent l'équivalent électromécanique d'une tornade. Le cône à l'intérieur du cône oscille à grande vitesse tout en étant maintenu en déséquilibre. La zone supérieure des cônes est suspendue sur des aimants pour entretenir la rupture d'équilibre et l'effet d'oscillation, la pointe du cône inférieur reposant selon les modèles sur une boule de granit ou un aimant. Sur le schéma de principe du Spinner les anneaux de couleur rouge représentent les pôles positifs (pôle nord) des champs magnétiques et les cercles bleus les pôles négatifs (pôle sud). Le Spinner tend à se mouvoir sur une trajectoire circulaire sous le plus gros aimant déstabilisant, le "poids en vitesse" exerce une traction sur les cônes et sur la boule de granit (ou l'aimant) inférieure. La boule de granit tombe en quelque sorte perpétuellement dans un trou noir d'énergie potentielle, sans jamais le trouver. L'aimant ou la boule de granit inférieur sont entourés de trois petites boules de granit formant résonateurs. Elles remplissent le même rôle, mais de façon non contrôlable, que les trois boules extérieures de pilotage du Levitator de Schumann. Le Spinner génère par ses oscillations tout un système d'ondes électromagnétiques stationnaires, elles-mêmes génératrices d'ondes longitudinales scalaires à l'origine de l'antigravité (voir encadré numéro un).
***********************
From: Lapinmexicain Sent: 3/31/2004 12:33 PM

Les V7 et les Vril de Shauberger et Miethe

En 1940 l'équipe de Shauberger et Miethe se voit confier deux programmes différents : le premier baptisé V7 (arme de vengeance nº 7) est un disque propulsé par des réacteurs de Shauberger, le deuxième baptisé Vril est une série de six prototypes antigravitationnels monoplaces. En 1940 l'équipe de Shauberger construits et fait voler un démonstrateur à aile circulaire, propulsé par une fusée au peroxyde d'hydrogène, qui se révélera décevant et sera vite abandonné. Parallèlement Shauberger achève la mise au point de ses réacteurs à tornade qu'il baptise Repulsme. En 1941, Miethe et Shriever commencent la construction du premier V7 qui effectue ses premiers vols stationnaires près de Prague en décembre 1942 sous le nom de V7 FlugKreisel. D'une hauteur de 3 m 20 et d'un diamètre de 14 m 40 l'appareil est propulsé par cinq réacteurs à tornade de Shauberger, deux d'entre eux assurant la translation horizontale les trois autres entraînant un rotor à pas variable permettant le décollage vertical et la sustentation. Le FlugKreisel n'effectuera que des vols de courte durée entre 1943 et fin 44 sans jamais dépasser quelques centaines de km/h. En 1952, Shriever présentera à la presse allemande le FlugKreisel. Fin 1944 le V7 définitif est construit et vole le 19 février 1945 sous son nom définitif de V7 Kugelblitz, il a la même taille que son prédécesseur. Il s'agit d'une version profondément modifiée du FlugKreisel où les pales du rotor n'ont plus de dièdre (inclinaison vers le haut) et les réservoirs ainsi que les deux réacteurs de propulsion sont fixés dans une structure annuaire entourant l'habitacle. Le pilote quant à lui est allongé à plat ventre dans une bulle de plexiglas permettant la vision aussi bien au-dessus de l'appareil qu'en dessous. En avril 1945 l'appareil effectue au-dessus de la France et de l'Allemagne quelques attaques réussies contre des formations de bombardiers américains. Sa tactique consiste à passer devant les bombardiers à une vitesse de 2200 km/h en lâchant un nuage d'un mélange de 50 % de butane et de 50 % de propane. Lorsque les bombardiers traversent ce nuage leurs pots d'échappement enflamment le mélange, provoquant l'explosion de la formation de bombardier. Des rapports secrets de l'Army Air Force de 1945 montrent que cette arme a littéralement affolé le commandement allié. Parallèlement la série des Vril antigravitationnels est développée. Le Vril 1 vole en automne 1941, il atteint une vitesse de 2900 km/h pour une autonomie de 5 h et n'emmène qu'un pilote. D'un diamètre de 11 m 56 il porte une petite tourelle de mitrailleuse sur sa partie inférieure est un cockpit en plexiglas sur sa partie supérieure. Ultérieurement, le cockpit en plexiglas sera remplacé par un habitacle pressurisé métallique surmonté d'une petite bulle de plexiglas. Une version plus puissante du Vril 1 vole en automne 42 sous le nom de Vril 2, de même diamètre que le Vril 1 le Vril 2 vole à plus de 6000 km/h. Le Vril 3 vole en 1943 et n'est qu'une évolution du Vril 2 muni d'un canon de 7,5 mm sur le cockpit. Le Vril 4 quant à lui comprend un tube au-dessus du cockpit dont l'auteur ignore complètement l'utilité et n'est qu'une variante des Vrils 2 et 3. Le Vril 5 est probablement le prototype le plus abouti de l'équipe de Shauberger. Dès ses premiers vols en 1944 il atteint la vitesse de 12 000 km/h, et il semble même qu'il ait quitté l'atmosphère à plusieurs reprises ! Le Vril 6 ne sera jamais construit, quant au Vril 7 il s'agissait d'un projet de vaisseau géant de 120 mètres de diamètre qui resta à l'état de plan. Goûtez pour le plaisir la vue d'artiste qui vous donnera une idée de ce à quoi il aurait pu ressembler !
 

From: Lapinmexicain Sent: 3/31/2004 12:31 PM

Historique des techniques d'antigravité nazies

From: Lapinmexicain Sent: 3/31/2004 12:32 PM
Les "Haunebu" de Schumann et Kohler
Début 1934, Schumann construit avec Arado un démonstrateur antigravitationnel piloté utilisant le disque de la Vril gesellshaft. Le prototype est baptisé Rundflugzeug 1 (machine volante circulaire) ou RFZ 1. Lors de son unique vol en juin 1934 sur la base d'essai d'Arado à Brandebourg, l'engin s'élève à 60 mètres puis oscille durant quelques minutes avant que le pilote d'essai Lothar Waiz, effrayé, ne pose en catastrophe l'appareil au sol. Le pilote a juste le temps de sauter de l'appareil avant que celui-ci, qui continue à tourner comme une toupie, n'éclate en morceaux. Quoi qu'il n'existe aucune photo ou illustration de cet appareil, celui-ci ressemble énormément au prototype de Ottis Carr ('un disciple de Nicolas Tesla) conçu dans les années 60. Après avoir collaboré à des recherches fondamentales avec l'équipe de Shauberger, l'équipe de Schumann fait voler en août 1943 le "Haunebu 1". D'une hauteur de 8 m 50 et d'un diamètre de 25 mètres il peut emmener un équipage de huit hommes. Dès 1943 il atteint la vitesse de 4800 km/h dans la basse atmosphère et était supposé pouvoir atteindre 17 000 km/h. Il a une autonomie de 18 heures de vol. Il est équipé sur sa partie inférieure d'une tourelle canon dont nul ne sait s'il s'agissait d'un canon double classique de 7,5 mm ou d'un canon électromagnétique. Plusieurs résonateurs annulaires furent testés avec des diamètres variant de 25 à 32 mètres. Le deuxième prototype, baptisé Haunebu 2, vole pour la première fois en décembre 1944. D'un diamètre de 26 m 30 il emmène un équipage de 9 hommes pour une autonomie de 55 h. Lors de ses 106 vols d'essai il atteint couramment la vitesse de 6000 km/h dans la basse atmosphère et était supposé pouvoir atteindre 21 000 km/h. Sa propulsion est assurée par un Lévitator de Schumann, et pour la première fois le pilotage est assuré par le Tachyonator de Kohler (les trois boules sous l'engin). Si l'on en croit les témoignages il semble que la firme Dornier ait fabriqué sept prototypes Haunebu 2. L'appareil fut aussi baptisé Dostra (DOrnierSTRAtosphérique). Quoique l'auteur n'y croie pas vraiment, de nombreuses sources affirment que Schumann aurait achevé en 1945 le prototype du Haunebu 3 de 71 mètres de diamètre et capable de voler entre 7000 km/h et 40 000 km/h. Il aurait eu une autonomie de huit semaines de vol avec un équipage de 32 hommes. Il aurait effectué 19 vols d'essai avant la capitulation. S'il est établi que les plans de cet appareil ont bien été étudiés, rien ne prouve qu'il ait jamais été construit. En 1945 l'équipe de Schumann avait achevé les plans d'un prototype en forme de cigare de 139 mètres de long baptisé Androméda. Il s'agit d'une sorte de porte-avions capable en théorie d'emmener un Haunebu 2 de Schumann et quatre Vrils de Shauberger. Quoi qu'on affirme souvent qu'il a volé, l'auteur quant à lui est persuadé que l'Androméda n'a jamais dépassé la planche à dessin !
 
 



Adresse générale pour la Terre Creuse :
http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/

Rapport de mes expériences et présentation des résultats, conclusion et suggestions :
http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/TerreCreusePreuveScientifique.html

Mystère des marées doubles
et
Principe et Procédé antigravitationnels :

http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/MaréesRésultatDeRechercheParJF.html

Livre intéressant :
http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/TerreCreuseRaymondBernard.html

******************
http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/Liens.html