http://www.earthrainbownetwork.com/AspartameTruth.htm

Reproduit ici :
http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/Lectures/Aspartame.html

[Voir plus bas : Aspartame : Le mal caché du siècle]

[Voir plus bas : L'aspartame: méchant, méchant ]


Tiré de http://www.vegebionet.com/dossiers/fiches/aspartame.htm et sommairement révisé pour améliorer la traduction.

On trouvera aussi sur ce site quelques autres documents en français sur l'aspartame:

Journée mondiale de sensibilisation aux méfaits de l'aspartame

Transcription d'une conférence de Betty Martini sur l'aspartame

N'hésitez pas aussi à explorer la section française de ce site et - si vous comprenez l'anglais - les centaines de pages d'information et de correspondances sur une foule de sujets.

On peut aussi sur simple demande à Jean Hudon au globalvisionary@cybernaute.com, faire ajouter son nom soit à la liste d'envoi francophone du Réseau arc-en-ciel de la Terre,(rarement utilisée) ou bien à la liste anglaise du même réseau(fréquemment utilisée) pour recevoir copie de ce qu'il diffuse régulièrement.

Bonne lecture!

Dossier "Edulcorants de Synthèse"

L'amère vérité sur l'aspartame


Les substituts du sucre à base d'aspartame causent des symptômes inquiétants allant de la perte de mémoire jusqu'à des tumeurs au cerveau. Mais en dépit de l'approbation par la FDA (Food & Drug Administration - organisme de certification et de contrôle des aliments et médicaments aux États-Unis) le plaçant au tableau des additifs alimentaires "sans danger", l'aspartame est l'une des substances les plus dangereuses jamais imposées à un public sans méfiance.

Extrait du Nexus Magazine, Volume 2,
28 (Oct-Nov 95) et Volume 3,
1 (Déc 95-Janv 96) © 1995 par Mark D. Gold, 35 Inman St, Cambridge, MA 02139, USA Tél: (617) 497 7843, mgold@tiac.net

Page principale de Mark Gold sur l'aspartame (en anglais seulement):
http://www.HolisticMed.com/aspartame/

Repris avec la permission de Blazing Tattles, Vol. 4, Nos. 4, 5, 6, Avril-Juin 1995 PO Box 1073, Half Moon Bay, CA 94019 USA. Tél: (415) 712 0772, Fax: (415) 712 8547; blazing@crl.com

Dans le mensuel “Blazing Tattles”, vous aurez des dossiers sur la pollution et votre santé, le climat, et les écosystèmes. de l'information pour les consommateurs, les médias; les séquelles de la Guerre du Golfe et plus encore... Du travail sérieux!

aspartame est le terme technique pour les marques portant le nom de NutraSweet, Canderel, Equal, Spoonful et Equal-Measure. L'aspartame fut découvert accidentellement en 1965, lorsque James Schattler, un chimiste de G.D. Searle Company, était en train de tester un médicament antiulcère. L'aspartame fut autorisé pour les aliments secs en 1981 et pour les boissons gazeuses en 1983. Il fut au début approuvé pour les aliments secs le 26 juillet 1974, mais en raison d’objections émises par le Dr. John W. Olney, chercheur en science neurologique, et par l'Avocat général à la consommation, James Turner, en août 1974, et suite à des enquêtes sur les pratiques de recherche de G.D. Searle, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a dû retarder son approbation de l'aspartame (5 décembre 1974). En 1985, Monsanto a acquis G.D. Searle et sépara Searle Pharmaceuticals et The NutraSweet Company en filiales distinctes.

L'aspartame est, de loin, la substance la plus dangereuse sur le marché à être ajoutée aux aliments. L'aspartame est tenu pour responsable de plus de 75% des réactions défavorables aux additifs alimentaires dont il a été fait rapport à la FDA. Bon nombre de ces réactions sont très sérieuses, y compris des attaques d’apoplexie et la mort ainsi qu'il en a été fait récemment état dans un rapport de février 1994 du Department of Health and Human Services. (1) Quelques-uns des 90 symptômes répertoriés et énumérés dans le rapport comme étant causés par l'aspartame incluent : Maux de tête/migraines, étourdissements, crises d’apoplexie, nausées, engourdissements, spasmes musculaires, gains de poids, irritations cutanées, dépression, fatigue, irritabilité, tachycardie, insomnie, problèmes visuels, perte d'ouie, palpitations cardiaques, difficultés respiratoires, crises d'anxiété, difficultés d'élocution, perte du goût, goût de fer, vertige, perte de mémoire et douleurs articulaires.

Selon les chercheurs et les médecins étudiant les effets indésirables de l'aspartame, les maladies chroniques suivantes peuvent être causée ou aggravées par l'ingestion d'aspartame: (2) tumeurs au cerveau, sclérose en plaques, épilepsie, syndrome de fatigue chronique, maladie de Parkinson, maladie d'Alzheimer, retard mental, lymphome, malformations congénitales, fibromalgie et diabètes.

L'aspartame est composé de trois produits chimiques : l'acide aspartique, la phénylalanine et le méthanol. Le livre "Prescription for Nutritional Healing" de James et Phyllis Balch, range l'aspartame dans la catégorie des "poisons chimiques". Comme vous allez le voir, c'est exactement ce qu'il est.

L'ACIDE ASPARTIQUE (40% DE L'ASPARTAME) Le Dr. Russell L. Blaylock, professeur en neurochirurgie à la Medical University of Mississippi, a récemment publié un ouvrage détaillant in extenso les dommages causés par l'ingestion excessive d'acide aspartique issu de l'aspartame. [Quatre vingt dix neuf pour cent du glutamate de monosodium 9MSG est de l'acide glutamique. Les dommages qu'il cause sont également documentés dans le livre de Blaylock.] Blaylock fait mention de près de 500 références scientifiques afin de démontrer comment un excès d'acides aminés libres excitateurs tels que l'acide aspartique et l'acide glutamique dans notre alimentation sont cause de sérieux désordres neurologiques chroniques et d'une myriade d'autres symptômes aigus. (3)

RÉSUMÉ DE LA FAÇON DONT L'ASPARTAME (ET LE GLUTAMATE) CAUSE DES DOMMAGES L'aspartame et le glutamate agissent comme neurotransmetteurs dans le cerveau en facilitant la transmission de l'information entre les neurones. Trop d'aspartame ou de glutamate dans le cerveau détruit certains neurones en autorisant l'invasion excessive de calcium dans les cellules. Cette invasion déclenche des taux excessifs de radicaux libres qui tuent les cellules. La perte en cellules nerveuses qui peut être causée par le glutamate et l'aspartame en excès est la raison pour laquelle on les appelle "excitotoxines". Ils "excitent" ou stimulent la mort des cellules nerveuses.

L'acide aspartique est un acide aminé. Pris sous sa forme libre (non relié aux protéines), il élève d'une façon significative le niveau de plasma sanguin en aspartame et glutamate. L'excès d'aspartame et de glutamate dans le plasma sanguin, peu après l'ingestion d'aspartame ou de produits contenant de l'acide glutamique libre (précurseurs du glutamate), provoque une élévation du niveau de ces neurotransmetteurs dans certaines zones du cerveau.

La barrière sanguine du cerveau (Blood Brain Barrier [BBB]) qui normalement protège le cerveau d'un excès de glutamate ou d'aspartame, aussi bien que de toxines, 1) n'est pas complètement développée pendant l'enfance, 2) ne protège pas complètement toutes les régions du cerveau, 3) est endommagée par un nombre de conditions chroniques et aiguës et 4) permet l'infiltration d'un excès de glutamate et d'aspartame dans le cerveau, même lorsqu'elle est intacte.

L'excès de glutamate et d'aspartame commence lentement à détruire les neurones. La grande majorité (75%+) des cellules nerveuses d'une zone particulière du cerveau sont tuées avant même que les symptômes cliniques d'une maladie chronique ne soient décelés. Quelques unes des nombreuses maladies chroniques dont il a été démontré qu'elles sont causées par une exposition à long terme au dommage des excitotoxines comprennent : la sclérose en plaques, ALS, perte de mémoire, problème hormonaux, perte d'audition, crises d'épilepsie, maladie d'Alzheimer, maladie de Parkinson, hypoglycémie, démence du Sida, lésions du cerveau et désordres neuroendocrinaux.

Les risques encourus par les nourrissons, enfants, femmes enceintes, personnes âgées et les personnes avec des problèmes de santé chroniques causés par les excitotoxines sont grands. Même la Federation of American Societies For Experimental Biology (FASEB), qui minimise habituellement les problèmes et se conforme à la ligne de conduite de la FDA, a déclaré récemment "qu'il était prudent d'éviter l'utilisation de suppléments diététiques d'acide L-glutamique chez les femmes enceintes, les nourrissons et les enfants. L'existence d'une évidence d'effets secondaires potentiels endocrinaux, tels qu'une prolactine et une cortisolie élevée et des réponses différentielles entre hommes et femmes, suggéreraient également un lien neuroendocrinal et qu'un supplément d'acide L-glutamique devrait être évité par les femmes en âge de procréer et les individus atteints de désordres affectifs." (4) L'acide aspartique de l'aspartame possède les même effets délétères sur le corps que l'acide glutamique.

Le mécanisme exact des réactions aiguës à l'excès du glutamate et de l'aspartame libre est actuellement débattu. Ainsi qu'il en est fait état par la FDA, ces réactions incluent: (5) Maux de tête/migraines, nausées, douleurs abdominales, fatigue (bloque l'entrée suffisante de glucose dans le cerveau), problèmes du sommeil, problème de vision, attaque d'anxiété, dépression et asthme/oppression respiratoire.

Une des plaintes commune chez les personnes souffrant des effets de l'aspartame est la perte de mémoire. Ironiquement, en 1987, G.D.Searle, le fabricant de l'aspartame, entreprit une recherche sur un médicament pouvant combattre les pertes de mémoire causées par les dommages dus aux acides aminés excitotoxiques. Blaylock est l'un des nombreux scientifiques et médecins intéressés par les dommages causés par les excitotoxines dus à l'ingestion d'aspartame et de MSG. Quelques-uns des nombreux experts qui se sont manifestés contre les dommages causés par l'aspartame et le glutamate incluent Adrienne Samuels, Ph.D., psychologue expérimental, spécialisée en recherche conceptuelle. De même, Olney, professeur dans le département de psychiatrie, School of Medecine, Washington University, neuroscientifique et chercheur et l'une des autorités les plus représentatives en matière d'excitotoxines. (Il informa Searle en 1971 que l'acide aspartique causait des trous dans le cerveau des souris). Également, Francis J. Waickman, Docteur en médecine, à qui a été attribué le Rinkel and Forman Awards et diplômé par le Conseil en pédiatrie, allergies et immunologie.

D'autres scientifiques concernés sont : John R. Hain, Docteur en médecine, Diplômé par le Conseil en pathologie de médecine légale et H.J. Roberts, M.D., FACP, FCCP, spécialiste du diabète et sélectionné par une publication médicale nationale comme "Le meilleur docteur aux États-Unis".

De même, John Samuels est concerné. Il compila une liste de recherches scientifiques suffisante pour montrer les dangers de l'ingestion excessive d'acide aspartique et glutamique libre. Et il y en a d'autres encore, nombreux, qui peuvent être ajoutés à cette longue liste.

PHÉNYLALANINE (50% DE L'ASPARTAME) La phénylalanine est un acide aminé qui est normalement présent dans le cerveau. Les personnes souffrant du désordre génétique, phenylketonuria (PKU), ne peuvent pas métaboliser la phénylalanine. Ceci conduit à des hauts niveaux dangereux de phénylalanine dans le cerveau (parfois mortels). Il a été démontré que l'ingestion d'aspartame, particulièrement avec des hydrates de carbones, peut provoquer des niveaux excessifs de phénylalanine dans le cerveau, même chez des personnes ne souffrant pas de PKU. Ceci n'est pas une simple théorie, car de nombreuses personnes ayant mangé de grandes quantités d'aspartame au cours d'une longue période de temps et ne souffrant pas de PKU, ont été reconnues possédant des niveaux excessifs de phénylalanine dans le sang. Des niveaux excessifs de phénylalanine dans le cerveau peuvent amener une décroissance du niveau de sérotonine dans le cerveau, conduisant à des désordres émotionnels comme la dépression. Il a été démontré au cours de tests sur l'homme que les niveaux de phénylalanine dans le sang étaient accrus d'une façon significative chez les sujets humains ayant utilisé chroniquement l'aspartame. (6) Même une seule prise d'aspartame fait monter les niveaux de phénylalanine. Dans son témoignage devant le Congrès américain, le Dr. Louis J. Elsas démontra qu'une haute teneur en phénylalanine dans le sang peut se concentrer dans des parties du cerveau et est particulièrement dangereuse pour les nourrissons et les foetus. Il a également démontré que la phénylalanine est métabolisée bien plus efficacement par les rongeurs que par les humains. (7)

La prise en compte d'un cas de niveaux de phénylalanine extrêmement élevés provoqués par l'aspartame a été publiée récemment par le "Wednesday Journal" dans un article intitulé "An aspartame Nightmare" (un cauchemar à l'aspartame). John Cook commença par boire 6 à 8 boissons light par jour. Ces symptômes débutèrent par des pertes de mémoire et de fréquents maux de tête. Il continua par développer un besoin accru de boissons édulcorées à l'aspartame. Sa condition physique se détériora tellement qu'il connu des changements d'humeur importants et de violentes colères. Alors même qu'il ne souffrait pas de PKU, un examen sanguin révéla un niveau de phénylalanine de 80 mg/dl. Il dévoila également une fonction cérébrale anormale et une détérioration du cerveau. Après avoir interrompu sa consommation d'aspartame, ses symptômes se sont améliorés radicalement.(8)

Ainsi que Blaylock le souligne dans son ouvrage, les premières études mesurant l'accumulation de phénylalanine dans le cerveau étaient défectueuses. Les chercheurs qui la mesurèrent dans des régions spécifiques du cerveau et non la moyenne dans tout le cerveau notèrent des hausses significatives des niveaux de phénylalanine. Spécifiquement, les régions de l'hypothalamus, medulla oblongata et corpus striatum du cerveau avaient l'augmentation la plus importante en phénylalanine. Blaylock poursuit en soulignant que l'augmentation excessive de phénylalanine dans le cerveau peut causer de la schizophrénie ou rendre les personnes susceptibles de souffrir d'une attaque d'apoplexie.

Ainsi, une utilisation excessive, à long terme, de l'aspartame peut mener à une accélération des ventes des inhibiteurs à la sératonine tel que le Prozac et des médicaments pour contrôler la schizophrénie et les attaques.

MÉTHANOL (ALCOOL DE BOIS D'AKA/POISON) (10% DE L'ASPARTAME) Le Méthanol/alcool de bois est un poison mortel. Certaines personnes peuvent se rappeler du méthanol comme étant le poison qui a été à l'origine de la perte de la vue, ou de la mort, de certains alcooliques "risque-tout". Le méthanol est graduellement libéré dans l'intestin grêle lorsque l'aspartame du groupe méthyle rencontre l'enzyme chymotryspine.

L'absorption du méthanol par l'organisme est accélérée considérablement lorsque du méthanol libre est ingéré. Le méthanol libre est créé à partir de l'aspartame lorsqu'il est chauffé au-dessus de 30° centigrade. Ceci s'opère lorsque le produit contenant de l'aspartame est incorrectement stocké ou lorsqu'il est chauffé (par exemple, comme composant d'un produit "alimentaire" tel que le Jello). Le méthanol se décompose dans le corps en acide formique et en formaldehyde. Le formaldehyde est une neurotoxine mortelle. Une évaluation du méthanol établie par l'EPA déclare que le méthanol "est considéré comme poison cumulatif compte tenu de la faible proportion qui en est éliminée une fois qu'il est absorbé. Dans l'organisme, le méthanol s'oxyde en formaldehyde et en acide formique; chacun de ces deux métabolites sont toxiques." Il est recommandé une limite de consommation de 7.8 mg/jour. Un litre de boisson édulcorée à l'aspartame contient environ 56 mg de méthanol. Les gros utilisateurs de produits contenant de l'aspartame consomment jusqu'à 250 mg de méthanol quotidiennement ou 32 fois la limite fixée par l'EPA. (9)

Les symptômes d'un empoisonnement au méthanol sont des maux de tête, bourdonnement d'oreilles, dérangements gastro-intestinaux, faiblesse, vertige, frissons, trous de mémoire, engourdissement et douleurs fulgurantes des extrémités, troubles du comportement et névrite. Les problèmes les plus connus d'un empoisonnement au méthanol sont les problèmes de la vue comprenant vision embrumée, rétrécissement progressif du champ visuel, vision voilée, vision obscurcie, dommages rétiniens et perte de la vue. Le formaldehyde est un cancérigène connu, il cause des dommages à la rétine, s'oppose à la reproduction de l'ADN et cause des malformations congénitales. (10)

Étant donné l'absence de certains enzymes clefs, les humains sont beaucoup plus sensibles aux effets toxiques du méthanol que les animaux. Par conséquent, des tests d'aspartame ou de méthanol sur des animaux ne reflètent pas précisément les dangers encourus par les humains. Ainsi que le souligne le Dr. Woodrow C. Monte, Directeur du Food Science and Nutrition Laboratory à l'Université de l'État de l'Arizona, « Il n'existe aucune étude sur les humains ou les mammifères pour évaluer les effets mutagène, tératogène ou cancérigène possibles conséquentes à l'administration chronique de l'alcool de méthyle. » (11)

Il se sentit tellement concerné en voyant les conclusions sur la sécurité demeurer sans solutions qu'il adressa une requête à la FDA réclamant une audition afin de discuter de ces résultats. Il demanda à la FDA de « ralentir la publication des conclusions concernant les boissons sucrées assez longtemps afin qu'il soit possible de répondre à quelques-unes des questions essentielles. Il n'est pas juste que vous laissiez tout le poids de l'authentification sur le petit nombre que nous représentons alors que nous possédons des ressources tellement limitées. Vous ne devez pas oublier que vous êtes l'ultime défense du public américain. Une fois que vous en aurez autorisé l'usage (de l'aspartame), il n'y aura littéralement plus rien que moi ou mes collègues ne pourrons faire pour inverser le processus. L'aspartame rejoindra alors la saccharine, les agents sulfites et Dieu sait encore combien d'autres composants contestables prescrits pour insulter la constitution humaine avec l'approbation du gouvernement. » (10) Peu de temps après, le commissaire à la FDA, Arthur Hull Hayes, Jr. approuva l'utilisation de l'aspartame dans les boissons gazeuses, puis il fut engagé par une société de relations publiques de la G.D. Searle. (11)

Il a été souligné que certains des jus de fruits et des boissons alcoolisées contiennent de petites quantités de méthanol. Il est important de se rappeler, cependant, que le méthanol n'apparaît jamais seul. Dans tous les cas, l'éthanol est présent, usuellement en plus grandes quantités. L'éthanol est un antidote à la toxicité du méthanol chez l'homme. (9) Les hommes des troupes de l'opération "Desert Storm" (guerre du Golfe) furent "régalées" avec de grandes quantités de boissons édulcorées à l'aspartame qui avaient été chauffées à plus de 30° centigrades par le soleil de l'Arabie Saoudite. Beaucoup d'entre eux en revinrent avec de nombreux désordres similaires à ceux trouvés chez des individus qui avaient été chimiquement empoisonnés par le formaldehyde. Le méthanol libre dans ces breuvages peut avoir été un facteur contribuant à ces maladies. D'autres produits dérivés de l'aspartame tel que le DKP (voir ci-dessus) peut également avoir été un facteur. En 1993, dans un acte qui peut être décrit comme "inconscient", le FDA approuva l'aspartame comme ingrédient dans un certain nombre d'articles d'alimentaires qui seraient toujours chauffés au-dessus de 30° centigrades.

DIKETOPIPERAZINE (DKP) La DKP est un produit dérivé de la métabolisation de l'aspartame. La DKP a été impliquée dans l'apparition de tumeurs au cerveau. Olney a remarqué que la DKP, lorsqu'elle était nitroazotée dans l'intestin, produisait un composant qui était similaire au N-nitrosourea, un composant chimique puissant causant des tumeurs au cerveau. Certains auteurs ont dit que la DKP est produite après ingestion de l'aspartame. Je ne suis pas sûr que ce soit correct. Il est définitivement vrai que la DKP est formée dans des produits liquides contenant de l'aspartame au cours d'un stockage prolongé.

G.D. Searle a conduit une expérimentation sur des animaux pour vérifier la sûreté de la DKP. La FDA releva un certain nombre d'erreurs, y compris « des erreurs d'écriture, d'animaux mélangés, d'animaux à qui on n'administrait pas la drogue qu'ils étaient supposés prendre, de perte de spécimens pathologiques due à une mauvaise manipulation » et de nombreuses autres erreurs. (12) Ces procédures de laboratoires négligentes peuvent expliquer pourquoi les animaux servant aux tests et ceux servant de groupe contrôle avaient seize fois plus de tumeurs au cerveau que le nombre auquel on pourrait s'attendre au cours d'expérimentations de cette durée.

Par un tour du sort, très peu de temps après la découverte de ces erreurs d'expérimentation, la FDA utilisa des protocoles recommandés par G.D. Searle pour développer les standards industriels de la FDA pour les pratiques des laboratoires alimentaires. (11) La DKP a également été impliquée comme ayant causé des polypes utérins et des modifications du taux de cholestérol par le Dr. Jacqueline Verrett, toxicologue de la FDA, dans sa déposition devant le Sénat des États-Unis. (13)

ALIMENTS RÉSULTANT DE L'ASPARTAME

Les composants de l'aspartame peuvent entraîner l’apparition d’une foule de maladies diverses. Quelques-unes apparaissent graduellement, d'autres sont immédiates, avec des réactions aiguës.

Il y a une énorme population d'individus qui souffrent de symptômes attribués à l'aspartame et cependant ils ne comprennent pas pourquoi les plantes ou les médicaments ne parviennent pas à les soulager de leurs problèmes. Il y a d'autres utilisateurs d'aspartame qui paraissent ne pas souffrir de réactions immédiates à l'aspartame. Mais même ces individus sont susceptibles à long terme de souffrir des dommages causés par les acides aminés excitateurs, la phénylalanine, le méthanol et la DKP. Quelques-uns des nombreux désordres qui m'inquiètent particulièrement incluent les suivants.

malformations congénitales

Le Dr. Diana Dow Edwards, un chercheur, fut commanditée par Monsanto afin d'étudier les possibilités de malformations congénitales causées par l'ingestion d'aspartame. Après qu'une information préliminaire ait fait état d'informations négatives au sujet de l'aspartame, les fonds alloués à la recherche furent retirés. Un pédiatre génétique à Emory University a attesté que l'aspartame causait des malformations congénitales. 7360-367

Dans le livre "While Waiting" (En attendant) : un guide prénatal de George R. Verrilli, M.D. et Anne Marie Mueser, il est fait état que l'aspartame est soupçonné de causer des dommages au cerveau des individus sensibles. Ces effets peuvent faire courir un risque à un foetus. Des chercheurs ont suggéré que de grandes doses d'aspartame peuvent être associées à des problèmes allant d'étourdissements et de modifications subtiles du cerveau à des retards mentaux.

Cancer (Cancer du cerveau) En 1981, Satya Dubey, un statisticien du FDA, déclara que l'information concernant l'aspartame et les tumeurs au cerveau était si "préoccupante" qu'il pourrait ne pas recommander l'autorisation du NutraSweet. (14) Au cours d'une étude menée sur une période de deux ans et conduite par le fabricant de l'aspartame, douze des 320 rats nourris normalement et à l'aspartame développèrent des tumeurs au cerveau alors qu'aucun des rats de contrôle n'eurent de tumeurs. Cinq des douze tumeurs furent trouvées sur des rats nourris avec de faibles doses d'aspartame. (15) L'autorisation de l'aspartame fut une violation de l'amendement Delaney (aux États-Unis) qui était censé prémunir contre l'introduction dans notre alimentation de substances cancérigènes tel que le méthanol (Formaldehyde) et la DKP. Feu le Dr. Adrian Gross, un toxicologue de la FDA, affirma dans son témoignage devant le Congrès américain que l'aspartame était capable de provoquer des tumeurs au cerveau. Il devint illégal pour la FDA d'en permettre une prise quotidienne, quelqu'en soit la dose. Il établit dans sa déposition que les études de la compagnie Searle étaient « dans une large mesure, sujettes à caution » et que « au moins, une de ces études avait établi au-delà de tout doute raisonnable que l'aspartame est capable d'induire des tumeurs au cerveau des animaux d'expérience... » Il conclut sa déposition en demandant, « Quelle peut être la raison de l'apparent refus de la FDA d'invoquer pour cet additif alimentaire le bien-nommé amendement Delaney sur la loi concernant l'alimentation, les médicaments et les cosmétiques?... Et si la FDA elle-même décide de violer la loi, que reste-t-il pour protéger la santé du public? » (16)

Au cours des années 70, on découvrit que le fabricant de l'aspartame avait falsifié des études de plusieurs façons. Une des techniques utilisées était de supprimer les tumeurs apparues sur les animaux soumis aux tests et de les remettre en circulation dans le groupe d'étude. Une autre technique employée pour falsifier ces études étaient de faire figurer sur les listes, des animaux morts comme ayant survécu aux tests. Ainsi, l'information concernant les tumeurs du cerveau était encore pire qu'on aurait pu le croire précédemment. De plus, un ancien employé du fabricant de l'aspartame, Raymond Schroeder, informa la DPA le 13 juillet 1977 que les particules de DKP étaient en si grandes quantités que les rats pouvaient faire la différence entre le DKP et leur alimentation normale. (12)

Il est intéressant de noter que l'indice des tumeurs au cerveau chez les personnes de plus de 65 ans s'est accrue de 67% entre les années 1973 et 1990. Les tumeurs au cerveau dans les groupes de tous âges se sont accrues de 10%. La croissance la plus importante s'opéra au cours des années 1985-1987. (17)

Dans cet ouvrage « aspartame (NutraSweet). Est-ce sain? », le Dr. Roberts apporte des preuves selon lesquelles l'aspartame peut causer une forme particulièrement dangereuse de cancer : le lymphome primaire du cerveau.

Le diabète

L'American Diabetes Association (ADA) va même jusqu’à recommander ce poison chimique à des personnes souffrant du diabète. Selon la recherche menée par H.J. Roberts, diabétologue, membre de l'ADA et faisant autorité dans l'étude des édulcorants artificiels, l'aspartame : 1) conduit à une accélération des diabètes cliniques. 2) est la cause d'une difficulté de contrôle du diabète chez les diabétiques insulino-dépendants ou traités par voie orale. 3) conduit à l'aggravation des complications du diabète telle que la rétinopathie, les cataractes, la neuropathie et la gastroparésie. 4) cause des convulsions.

Dans une déclaration concernant l'utilisation des produits contenant de l'aspartame par des personnes souffrant de diabète et d'hypoglycémie, Robert dit : « Malheureusement, bon nombre de mes patients habituels et d'autres vus en consultation, développent de sérieuses complications métaboliques, neurologiques et autres qui pourraient être spécifiquement attribuées à l'usage des produits contenant de l'aspartame. Ceci fut mis en évidence par : la perte du contrôle du diabète, l'intensification de l'hypoglycémie, l'apparition de soi-disant "réactions à l'insuline" (y compris des convulsions) qui en fait furent reconnues comme des réactions à l'aspartame et la précipitation, l'aggravation ou la simulation de complications diabétiques (spécialement une diminution de la vue et de la neuropathie) pendant l'utilisation de ces produits. Une amélioration frappante de ces symptômes se révéla après l'éviction de l'aspartame et la prompte et prévisible récurrence de ces problèmes lorsque le patient reprenait des produits à l'aspartame, consciemment ou par inadvertance. » Roberts poursuit ainsi : « Je regrette l’omission des autres médecins et de l'American Diabetes Association (ADA) d’émettre les avertissements appropriés aux patients et aux utilisateurs basés sur ces découvertes répétées qui ont été décrites dans mes études exemptes de toute influence corporative et dans mes publications. »

Baylock déclara que des excitotoxines telles que celles trouvées dans l'aspartame peuvent accélérer le diabète chez des sujets qui sont génétiquement susceptibles de souffrir de cette maladie. (5)

Désordres émotionnels

Une étude “en double aveugle” sur les effets de l'aspartame sur des sujets souffrant de désordres émotionnels fut récemment menée par le Dr. Ralph G. Walton. Étant donné que l'étude ne fut pas commanditée/contrôlée par les fabricants d'aspartame, la compagnie NutraSweet refusa de lui vendre de l'aspartame. Walton fut obligé de s'en procurer et de le faire certifier par une source extérieure. L'étude démontra une croissance importante de graves symptômes chez les personnes prenant de l'aspartame. Certains de ces symptômes étaient si graves que l'Institutional Review Bord se trouva dans l'obligation d'arrêter l'étude. Trois des participants avaient dit qu'ils avaient été "empoisonnés" par l'aspartame. Walton conclut que « des individus sujets à des désordres émotionnels sont particulièrement sensibles à cet édulcorant artificiel; son utilisation par cette population devrait être découragée. » (18) Conscient que l'expérimentation ne pourrait pas être répétée compte tenu du danger encouru par les sujets soumis aux tests, Walton fut cité récemment comme disant : « Je sais que cela provoque des crises d'apoplexie. Je suis convaincu également que cela provoque avec certitude des modifications comportementales. Je suis très en colère de voir cette substance sur le marché. Je mets personnellement en cause la validité et la véracité de n'importe laquelle des études commanditées par NutraSweet Company. » (19)

Il est fait état de nombreux cas de faibles niveaux de sérotonine cervicale, de dépressions et autres désordres émotionnels qui ont été reliés à l'aspartame et qui sont souvent soulagés en arrêtant la consommation d'aspartame. Des chercheurs ont souligné que l'augmentation des niveaux de phénylalanine dans le cerveau, qui peut arriver et arrive chez des sujets ne souffrant pas de PKU, provoque une baisse du niveau de ce neuro-transmetteur (sérotonine) qui mène à une foule de désordres émotionnels différents. Le Dr. William M. Pardrige de l'UCLA déclara dans son témoignage devant le Sénat américain qu'un adolescent buvant quatre bouteilles de 16 onces (487 grs) de boisson gazeuse (soda) Diète (sans sucre) par jour subit une énorme hausse du niveau de phénylalanine.

Épilepsie/Apoplexie

Avec le nombre important et croissant d'apoplexies causées par l'aspartame, il est triste de constater que l'Epilepsy Foundation fait la promotion de la "sécurité" de l'aspartame. Au Massachusetts Institute of Technology (MIT), 80 personnes qui avaient souffert de crises d'apoplexie après ingestion d'aspartame avaient été mises en observation. Le Community Nutrition Institute apporta les conclusions suivantes de cette observation : « Ces 80 cas correspondent à la définition même de la FDA d'un risque imminent encouru pour la santé publique et qui entraîne normalement le retrait expéditif d'un produit par la FDA. »

Le magazine de l'Air Force "Flying Safety" et celui de la Navy "Navy Physiology" ont publié des articles mettant en garde contre les nombreux dangers de l'aspartame incluant les effets nocifs cumulatifs du méthanol et les plus grandes possibilités de malformations congénitales. Les articles notaient que l'ingestion de l'aspartame pouvaient rendre les pilotes plus susceptibles à des crises d'apoplexie et de vertige. Vingt articles émettant des avertissements au sujet de l'ingestion d'aspartame pendant un vol ont pu être lus dans le National Business Aircraft Association Digest (NBAA Digest 1993), Aviation Medical Bulletin (1988), The Aviation Consumer (1988), Canadian General Aviation News (1990), Pacific Flyer (1988), General Aviation News (1989), Aviation Safety Digest (1989) et Plane & Pilot (1990) et un article avertissant des dangers de l'aspartame fut présenté au 57ème Congrès Annuel de l'Aerospace Medical Association (Gaffney 1986).

Récemment, une ligne ouverte accessible 24 heures sur 24 fut mise en place pour répondre aux pilotes souffrant de réactions aiguës à l'ingestion d'aspartame. Plus de 600 pilotes ont déclaré avoir eu des symptômes incluant ceux qui mentionnés dans le rapport à propos de crises d'épilepsie dans leur cockpit dues à l'aspartame. (21)

Une des premières études sur l'aspartame fut réalisée en 1969 par un scientifique indépendant, le Dr. Harry Waisman. Il étudia les effets de l'aspartame sur des bébés primates. Sur les sept bébés singes, l'un mourut au bout de 300 jours et cinq autres eurent des crises d'épilepsie. Bien entendu, ces découvertes négatives ne furent pas soumises à la FDA au cours de la procédure d'approbation. (22)

Pourquoi n'entendons-nous pas parler de ces choses-là? La raison pour laquelle les gens n'entendent pas parler des sérieuses réactions à l'aspartame est double : 1) Manque d'information de la population générale. Il n'est pas fait mention dans les journaux des maladies causées par l'aspartame comme le sont les accidents d'avion. Ceci parce que ces incidents arrivent isolément dans des milliers d'endroits différents des États-Unis (et du monde). 2) La plupart des gens n'associent pas leurs symptômes à un emploi à long terme de l'aspartame. Pour les gens qui ont ainsi détruit un pourcentage important des cellules de leur cerveau et ainsi causé une maladie chronique, il leur est impossible de pouvoir associer cette maladie à la consommation d'aspartame. La façon dont l'aspartame a été approuvé est une leçon démontrant comment les industries chimiques et pharmaceutiques peuvent manipuler les organismes gouvernementaux telle la FDA, les organisations "corrompues" telle l'American Dietetic Association et l’ensemble de la communauté scientifique avec des études mal réalisées et frauduleuses soutenues par les industriels et financées par les fabricants d'aspartame.

Erik Millstone, un chercheur au Science Policy Research de l'Université du Sussex a compilé des milliers de pages de preuves, certaines ayant été obtenues par l'usage de la loi 23 sur la liberté de l'information, démontrant que : 1. des tests en laboratoires étaient falsifiés et les dangers dissimulés; 2. des tumeurs furent enlevés d'animaux et des animaux qui étaient morts furent “ressuscités” dans les rapports de laboratoire; 3. des déclarations fausses et trompeuses ont été faites à la FDA; 4. les deux juges d'instruction fédéraux missionnés pour réunir des charges de fraudes contre le fabricant d'aspartame furent engagés par le cabinet d'avocat du fabricant, laissant dépasser le terme du délai légal de prescription; 5. le Commissaire de la FDA ne tint pas compte des objections émises par le propre bureau d’études de la FDA. Peu de temps après cette décision, ce commissaire accepta un poste chez Burson-Marsteller, la société chargée des relations publiques de G.D. Searle.

Une commission d'enquête publique (Public Board of Inquiry, PBOI) fut mise en place en 1980. Elle comprenait trois scientifiques qui étudièrent les objections d'Olney et Turner contre l'autorisation de l'aspartame. Ils votèrent unanimement contre l'approbation de l'aspartame. Le Commissaire de la FDA, le Dr. Arthur Hull Hayes, Jr. nomma alors une commission scientifique de 5 personnes pour étudier les découvertes de la PBOI. Après qu'il fut clair que la commission confirmerait la décision de la PBOI par un vote de 3 contre 2, une autre personne fut adjointe à la commission, créant de ce fait une impasse par un vote de 3 contre 3. Ceci permit au Commissaire de la FDA de briser l’impasse et d'approuver l'aspartame pour les aliments secs en 1981. Le Dr. Jacqueline Verrett, doyenne scientifique d'une commission d'étude d'un Bureau of Foods de la FDA mise en place en août 1977 afin d'étudier le rapport Bressler (un rapport qui décrivait les procédures douteuses de la compagnie G.D. Searle au cours des tests probatoires) explique : « Il était particulièrement évident que quelque part le long de la chaîne, les officiels du bureau travaillaient à une exonération. » En 1987, le Dr. Verrett dans une déposition devant le Sénat Américain, déclara que les expérimentations menées par Searle étaient "désastreuses". Elle déclara que son équipe fut instruite de ne pas émettre de commentaires sur la validité des études ni de s’en préoccuper. Elle déclara qu'il n'avait pas été apporté réponse à des questions concernant les malformations congénitales. Elle poursuivit sa déposition en exposant le fait qu'il avait été démontré que la DKP accroissait la formation de polypes utérins et augmentait le taux de cholestérol dans le sang et que l'augmentation de la température du produit mène à un accroissement de la production de la DKP. (13)

Les "portes tournantes"

La FDA et les fabricants d'aspartame eurent un mouvement de personnel important pendant de nombreuses années. A part le Commissaire de la FDA et les deux juges d'instruction fédéraux démissionnant pour être engagés par des sociétés en relation avec G.D. Searle, quatre autres officiels de la FDA en relation avec l'approbation de l'aspartame acceptèrent des emplois en relation avec l'industrie du NutraSweet entre 1979 et 1982, y compris le Commissaire Délégué de la FDA, l'Assistant Spécial au Commissaire de la FDA, le Directeur adjoint du Bureau of Foods and Toxicology et le Procureur impliqué dans le Bureau d'Enquête Publique (Public Board of Inquiry). (24)

Il est important de réaliser que ce phénomène dit des "portes tournantes" s'est répété durant des décennies. La Townsend Letter for Doctors (11/92) rend compte d'une étude révélant que 37 des 49 responsables les plus importants de la FDA ont accepté des postes dans des compagnies au sujet desquelles ils avaient rendu des décisions durant leur mandat à la FDA. Elle fit également état du fait que plus de 150 fonctionnaires hauts placés de la FDA possédaient des actions de compagnies qu'ils avaient la responsabilité de surveiller. De nombreuses organisations et universités reçurent des sommes très importantes de compagnies reliées à la NutraSweet Association, un groupe de compagnies promouvant l'utilisation de l'aspartame. En janvier 1993, l'American Dietetic Association reçu un don de 75 000 US$ de la NutraSweet Company. L'American Dietetic Association a déclaré que la NutraSweet Company rédigeait ses pages intitulées "Des Faits". (25)

Plusieurs autres organisations et chercheurs soi-disant "indépendants" reçoivent des sommes importantes des fabricants d'aspartame. L'American Diabetes Association a reçu un montant très important de NutraSweet, dont notamment une somme pour le fonctionnement d'une école culinaire à Chicago (vraisemblablement pour enseigner aux diabétiques comment utiliser NutraSweet dans leur cuisine).

Un chercheur d’un état de la Nouvelle-Angleterre qui avait souligné par le passé les dangers de l'aspartame est maintenant un consultant à l’emploi de Monsanto. Un autre chercheur du sud-est des États-Unis avait témoigné des dangers de l'aspartame pour les foetus. Un journaliste d'enquête a révélé qu'on lui a demandé de « la fermer » afin d'éviter la perte d'un don important en provenance d'un fabricant de cola diététique appartenant à la NutraSweet Association.

Que fait la FDA pour protéger le consommateur des dangers de l'aspartame?

Moins que rien.

En 1992, la FDA autorisa l'utilisation de l'aspartame dans les boissons maltées, les céréales pour petit déjeuner et les garnitures et gâteaux glacés. En 1993, la FDA autorisa l'utilisation de l'aspartame dans les bonbons durs et mous, les boissons non-alcoolisées en vogue, les boissons au thé, les jus de fruits et les concentrés, les viennoiseries et les préparations à pâtisserie, les gelées, les crèmes et nappages pour les pâtisseries.

En 1991, la FDA a interdit l'importation du stevia. La poudre de cette feuille a été utilisée pendant des centaines d'années comme édulcorant. Elle est largement utilisée au Japon sans aucun effet contraire. Des scientifiques engagés pour étudier le stevia l'ont déclaré propre à la consommation humaine, ce qui a été tout à fait reconnu dans de nombreuses régions du monde où il n'est pas interdit. Toutes les personnes à qui j'ai parlé de cette question croient que le stevia a été interdit afin qu'il ne puisse s'implanter aux USA et réduire ainsi les ventes de l'aspartame. (26)

Que fait le Congrès américain pour protéger le consommateur des dangers de l'aspartame? Rien.

Que fait l'Administration américaine (Président) pour protéger le consommateur des dangers de l'aspartame? Rien.

La consommation d'aspartame n'est pas seulement un problème aux USA. Il est en vente dans plus de 70 pays dans le monde.

L'ASPARTAME PEUT ÊTRE TROUVÉ DANS : - les petits-déjeuners instantanés - les rafraîchisseurs d'haleine (rice-bouche) - les céréales - les gommes à mâcher sans sucre - les mélanges au cacao - les boissons au café - les desserts réfrigérés - les desserts gélatineux - les boissons à base de jus de fruits - les laxatifs - les multivitamines pour adulter et pour enfants - les boissons au lait - les médicaments et suppléments nutritifs - les mélanges mixés - les boissons non alcoolisées - les édulcorants de table - les boissons au thé - les thés et cafés instantanés - les mousses et crèmes décoratives - les glaçages - les yaourts (yogourts)

Il m'a été dit que de l'aspartame a été trouvé dans des produits alors qu'il n'était pas mentionné sur la liste des ingrédients figurant sur l'emballage. On doit faire particulièrement attention aux produits pharmaceutiques et aux suppléments nutritionnels. J'ai été informé que même quelques suppléments fabriqués par des fabricants connus tel que Twinlabs contiennent de l'aspartame.

L'information présentée ici n'est que la pointe de l'iceberg car il y a énormément d’information négative au sujet l'aspartame. Afin que le lecteur puisse obtenir de plus amples informations, j'ai inclus quelques sources ci-après.

OUVRAGES *Blaylock, Russell L., Excitotoxins : The Taste That Kills (Health Press, Santa Fe, New Mexico, |1994). Un des meilleurs ouvrages disponibles sur les excitotoxines. Vaut le coup d'être lu ! *H.J. Roberts, M.D., aspartame (NutraSweet), Is it Safe? Disponible par le réseau de l'aspartame Consumer Safety. *Sweet'ner Dearest, disponible par le réseau de l'aspartame Consumer Safety. *Mary Nash Stoddard, The Deadly Deception, disponible par le réseau de l'aspartame Consumer Safety. *Barbara Mullarkey, Editeur, Bittersweet aspartame - A Diet Delusion, disponible par le réseau de l'aspartame Consumer Safety. *The aspartame Consumer Safety Network, The aspartame consumer Safety Network Synopsis. *Dennis Remington, M.D. et Barbara Huga, R.D., The Bitter Truth About Artificial Sweetners, disponible par le réseau de l'aspartame Consumer Safety.

ASPARTAME CONSUMER SAFETY NETWORK P.O. Box 780634 Dallas, Texas 75378, USA Tél.: (214) 352-4268

Pour obtenir plus de renseignements (disponible en anglais seulement), mettez juste dans la ligne "sujet" de votre courriel : Please send me help et envoyez-le à Betty Martini <Mission-Possible-USA@Altavista.net> la fondatrice de Mission Possible International.

Mais surtout visitez http://www.dorway.com qui contient plus de 500 pages web sur l’aspartame. Vous y découvrirez aussi des hyperliens avec 29 autres sites touchant le sujet. Visitez aussi le FAQ

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REFERENCES (1) Department of Health and Human Services, Rapport sur les effets contraires du système de surveillance des effets contraires, ( 25 et 28 février 1994).

(2) Compilé par des chercheurs, docteurs et experts des édulcorants artificiels pour Mission Possible, un groupe dédié à la mise en garde des consommateurs quant à l'usage de l'aspartame.

(3) Excitotoxines : The Taste That Kills, par Russell L. Blaylock, M.D.

(4) Safety of Amino Acids, Life Sciences Research Office, FASEB, FDA Contract n° 223-88-2124, Task Order N° 8.

(5) Département de la FDA chargé de la surveillance des réactions adverses.

(6) Wurtman et Walker, "Dietary Phenylalanine and Brain Function", réunions du premier meeting international sur la Phénylalanine diététique et la fonction du cerveau, Washington, D.C., 8 mai 1987.

(7) Audition devant le Committee On Labor and Human Resources du Sénat des Etats-Unis, première session sur l'examen des problèmes de santé et de sécurité du NutraSweet (aspartame).

(8) Compte-rendu de John Cook publié dans Informed Consent Magazine. "How Safe Is Your Artificial Sweetener" par Barbara Mullarkey, Septembre/octobre 1994.

(9) Woodrow C. Monte, PhD., R.D., "aspartame : Methanol and the Public Health", Journal of Applied Nutrition, 36 (1):42-53.

(10) Cour d'appel des USA du Circuit du District de Columbia, N° 84-1153 Community Nutrition Institute et le Dr. Woodrow Monte contre le Dr. Mark Novitch, Acting Commissioner de la FDA des USA (24/9/85)

(11) Main courante sur l'aspartame par Barbara Mullarkey, publiée dans Informed Consent Magazine, Mai/juin 1994.

(12) Brigade d'inspection de la FDA "Final Report of Investigation of G.D. Searle Company" (24 mars 1976)

(13) Déposition du Dr. Jacqueline Verrett, toxicologue de la FDA, devant la commission sénatoriale des USA sur le travail et les Ressources Humaines, (3 novembre 1987)

(14) Mémorandum interne de la FDA

(15) Analyse préparée par le Dr. John Olney en tant que déclaration devant le bureau d'investigation de la FDA. Also Excitotoxins par Russell Blaylock, M.D.

(16) Rapport d'audience au Congrès SID835:131 (1er août 1985)

(17) Information sur le Programme de l'Institut National sur le Cancer SEER

(18) Walton, Ralph G., Robert Hudak, Ruth Green-Waite " Adverse Reactions to aspartame : Double Blind Challenge in Patients from a Vulnerable Population"; Biological Psychiatry, 1993:34:13-17

(19) Barbara Mullarkey, "How Safe Is Your Artificial Sweetner?" numéro de Septembre/octobre 1994 de Informed Consent Magazine.

(20) US Air Force. "aspartame Alert". Flying Safety, 48 (5) :20-21 (Mai 1992)

(21) Rapport de l'Aspartam Consumer Safety Network.

(22) Barbara Mullarkey, "Bittersweet aspartame, A Diet Delusion".

(23) Millstone, Eric "Sweet and Sour". The Ecologist, 25 (mars/avril 1994)

(24) Mary Nash Stoddard, éditeur, "The Deadly Deception", aspartame Consumer Safety Network.

(25) ADA Courier, Janvier 1993, Volume 32, Numéro 1.

(26) "FDA Rejects AHPA Stevia Petition" par Mark Blumenthal, Whole Foods, Avril 1994


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Aspartame : Le mal caché du siècle

http://www.earthrainbownetwork.com/AspartaMalcache.htm


Q. Comment s'est-on aperçu que l'aspartame est nocif pour la santé?

R. Comme on peut le constater à la lecture de 2 articles parus en 95 dans le magazine américain Nexus (pour en savoir plus, il est recommandé de prendre connaissance de la traduction de ces articles disponibles au: http://www.cybernaute.com/earthconcert2000/AspartameTruth.htm), les toutes premières études des effets de l'aspartame sur des singes menées en 1969 par le Dr. Harry Waisman révélèrent sans équivoque sa nocivité. Plusieurs autres études indépendantes ont depuis corroboré ce fait. Mais l'aspartame a tout de même été approuvé. Comment? Le comité de la FDA (Food and Drug Administration) américaine chargé d'étudier les demandes d'approbation de nouveaux produits s'est refusé durant 16 ans à autoriser l'usage de ce produit dans l'alimentation humaine en raison des études démontrant sa nocivité. Mais l'ancien président Ronald Reagan, un ami du président de la compagnie Searle qui a concocté l'aspartame (Searle a depuis été rachetée par Monsanto, la tristement célèbre multinationale ayant mis au point de nombreuses plantes transgéniques), a mis à la porte de la FDA le commissaire en chef qui refusait à l'époque de faire approuver l'aspartame contre l'avis de ses propres experts. Il a nommé à sa place le Dr. Arthur Hull Hayes qui lui n'a pas eu la moindre hésitation à imposer en 1986 l'approbation de l'aspartame en dépit de l'opposition initiale d'une majorité de membres du Comité d'évaluation de la FDA. Peu après, ce triste personnage démissionnait et était engagé à fort salaire par la firme de relations publiques de Searle. Depuis il a systématiquement refusé de faire toute déclaration publique à ce sujet.

Q. Quelle est la composition chimique exacte de l'aspartame?

R. De la phénylalanine (50%), de l'acide aspartique (40%), et enfin de l'ester de méthyle (10%) qui se transforme rapidement en alcool méthylique (ou méthanol) après ingestion en plusieurs autres produits neurotoxiques et cancérigènes résultant de leur dégradation, soit par les transformations métaboliques se produisant dans l'organisme, soit par l'exposition du produit contenant l'aspartame à une température supérieure à 30 degrés centigrades (dans l'entreposage ou le transport ou durant la cuisson), tous des sous-produits qui induisent une grave dépendance avec phénomène de sevrage intense pour les grands consommateurs d'aspartame qui tentent d'arrêter d'en prendre (voir aussi le document anglais "ASPARTAME ADDICTION" du Dr. H. J. Roberts qui y explique à fond ce problème - il est disponible au http://www.cybernaute.com/earthconcert2000/AspartameGate.htm)

Q. Quels sont les effets de l'aspartame à moyen et long terme?

R. Évidemment plus la consommation est importante et prolongée, plus les effets sont graves.
Certaines personnes sont plus prédisposées à certains types d'effets. Cela varie donc d'une personne à l'autre. Il y a entre autres de grands risques de malformations congénitales pour les bébés dont les mères consomment des produits contenant de l'aspartame alors qu'elles sont enceintes car ses sous-produits, une fois faite la décomposition de l'aspartame, peuvent franchir la barrière placentaire tout autant que la barrière protectrice du cerveau. Les jeunes enfants sont aussi exposés à de sérieux problèmes (allergies graves, urticaire, tumeurs au cerveau et même la mort) surtout si leurs parents veulent leur éviter de consommer du sucre en leur donnant des produits dits "sans sucre" qu'ils faut donc éviter à tout prix - il est fortement recommandé de lire les étiquettes quoique l'aspartame n'y soit pas toujours nommément mentionné - il porte aussi des noms de commerce comme NutraSweet® ou Equal® - il faut aussi éviter tout produit contenant de l'acesulfame-k ou de la sunette. On dit même qu'il est parfois ajouté au sucre ordinaire et aux confiseries (bonbons et chocolat) à cause de son grand pouvoir sucrant et de la dépendance qu'il engendre, mais ceci n'est ni prouvé ni admis par aucun fabricant de sucre ou de confiseries. Chose certaine, on en trouve même dans les suppléments de vitamines pour enfants (et pour adultes)! Il faut donc toujours lire avec soin les étiquettes avant d'acheter tout produit alimentaire vendu en magasin.

Voici la liste complète des problèmes de santé que l'aspartame engendre ou aggrave:

Crises d'épilepsie ou d'apoplexie et convulsions
Étourdissements et vertiges
Tremblements
Migraines et violents maux de têtes (déclenchés ou causés par une consommation chronique)
Pertes de mémoire (un des effets fréquents de la toxicité de l'aspartame)
Difficulté d'élocution
Confusion
Engourdissements ou fourmillements dans les extrémités
Fatigue chronique
Dépression
Insomnie
Irritabilité
Accès de panique (réaction courante à la toxicité de l'aspartame)
Changements de personnalité profonds
Phobies
Rythme cardiaque rapide, tachycardie (une autre réaction fréquente de l'aspartame)
Problèmes d'asthme
Douleurs de poitrine
Hypertension (pression sanguine élevée)
Nausées et vomissements
Diarrhée
Douleurs abdominales
Douleurs en avalant
Démangeaisons
Urticaire
Autres réactions allergiques typiques
Difficulté de contrôle du taux de sucre dans le sang (hypoglycémie ou hyperglycémie)
Problèmes menstruels ou changements dans le cycle menstruel
Impotence et problèmes sexuels
Besoin maladif de manger sans cesse
Embonpoint
Perte de cheveux (calvitie) ou cheveux de plus en plus clairsemés
Sensation brûlante en urinant et diverses autres problèmes urinaires
Soif ou faim excessives
Ballonnements, oedèmes (rétention des liquides)
Susceptibilité aux infections
Douleurs aux articulations
Cancer du cerveau
Mort

L'aspartame provoque des symptômes semblables aux maladies suivantes, ou bien les aggrave:

Fibromyalgie
Arthrite
Sclérose en plaques
Maladie de Parkinson
Lupus
Sensibilité multiple aux produits chimiques
Diabètes et complications diabétiques
Épilepsie
Maladie d'Alzheimer
Malformations congénitales
Syndrome de fatigue chronique
Lymphome (tumeur maligne du tissu lympoide)
Maladie de Lyme (normalement causée par un minuscule parasite)
Troubles liés au manque d'attention
Troubles de panique
Dépression et autres troubles psychologiques

Q. Pourquoi l'aspartame est-il dangereux pour les diabétiques? Que provoque t-il?

R. Comme pour bien d'autres maladies de dégénérescence, il accélère le développement du diabète et provoque des complications métaboliques, neurologiques et autres. C'est bien expliqué dans l'article du magazine américain Nexus disponible au: http://www.cybernaute.com/earthconcert2000/AspartameTruth.htm

Q. Quels sont les autres effets nocifs de l'aspartame?

R. Vous référer encore à l'article mentionné ci-dessus. Certains des produits résultant de sa décomposition métabolique sont de puissants neurotoxiques qui entraînent la mort des cellules synaptiques (terminaisons transmettant l'influx nerveux dans le cerveau) par sur-stimulation, un peu comme le fait la cocaïne, d'où l'amplification de l'Alzheimer, de la fatigue chronique, des migraines, pertes de mémoire, etc., et en bout de ligne l'apparition de tumeurs cancéreuses au cerveau et la mort, comme cela s'est produit pour les malheureux singes utilisés lors des premières études faites en laboratoire sur l'aspartame.

Plusieurs autres effets non pathologiques, mais bien financiers cette fois, sont toutefois reliés à l'approbation de l'aspartame, sous la pression corruptrice, surtout aux États-Unis, du lobby exercé par quelques puissantes compagnies, dont bien sûr Monsanto, auprès de tous les organismes de surveillance alimentaire du monde. D'autre part, des compagnies comme Coke et Pepsi qui connaissent parfaitement les risques pour la santé de l'aspartame utilisé massivement dans leurs breuvages diètes (sans sucre) ont fait des profits colossaux grâce aux ventes de ces boissons hautement addictives tel que démontré par le Dr. H. J. Roberts dans l'article "ASPARTAME ADDICTION" mentionné plus haut. Ainsi en est-il de toutes les autres compagnies qui l'utilisent. De plus, plusieurs de ces compagnies, dont Monsanto, ont des intérêts dans l'industrie pharmaceutique et ainsi s'enrichissent grâce à toutes les maladies causées ou aggravées par l'aspartame. Est-il nécessaire de rappeler que Monsanto est la même multinationale qui est responsable de l'introduction perfide et insidieuse des aliments transgéniques dans notre alimentation, une compagnie qui avait concocté le fameux agent Orange (à base de dioxine) employé lors de la guerre du Vietnam et dont les responsables ont sur la conscience la mort de millions de personnes et les insoutenables souffrances physiques et morales subies par les dizaines de millions de personnes tombées malades à cause de l'aspartame -- un véritable crime contre l'humanité si vous voulez mon avis...

Une dernière considération: les gouvernements, les compagnies impliquées et toutes les personnes complices du "cover up" pour empêcher que la vérité ne soit révélée au sujet de la corruption ayant menée à l'imposition de l'aspartame dans l'alimentation humaine (ce qui représente plus de 6,000 produits alimentaires répertoriés il y a quelques années -- probablement plus de 9,000 aujourd'hui!), font tout pour nier systématiquement les risques liés à la consommation d'aspartame et en bout de ligne leur responsabilité car, tout comme pour les fabriquants de tabac aux États-Unis qui doivent débourser des milliards de dollars suite aux procès subis, sans compter les autres procès en cours, ils savent fort bien que lorsque l'heure de vérité sonnera, les compensations presque incalculables qu'ils devront verser les mettront en faillite et peut-être même derrière des barreaux de prison.

Q. Doit-on remplacer l'aspartame par du sucre normal?

R. Il est préférable de s'en tenir au sucre naturel, et il ne faut certainement pas le remplacer par d'autres produits chimiques aux effets tout aussi imprévisibles et nocifs. À noter que Monsanto tente présentement de faire accepter en douce par la FDA l'utilisation du néotame qui est encore pire que l'aspartame, est semble-t-il 40 fois plus sucrant au goût et est encore plus addictif. Mais il est certes préférable de limiter au minimum la consommation de tout aliment industriel sucré quel qu'il soit car la physiologie du corps humain, comme le signale Danièle Starenkyj dans "Le mal du sucre" (Ed. Orion, 1981), n'a jamais eu, au fil de son évolution depuis des millions d'années, à subir l'assaut de quantités aussi considérables de sucre. Au lieu des 50 à 70 kilos de sucre que la plupart des Occidentaux consomment par année aujourd'hui, l'espèce humaine d'avant la découverte de la canne à sucre n'avait jamais consommé plus de 2 à 3 kilos de sucre par an, dans ses fruits notamment. Par conséquent, les gens qui consomment du sucre aujourd'hui en quantité aussi phénoménale ne peuvent que se retrouver avec des déséquilibres et des maladies, sans compter que le sucre, et tout particulièrement le sucre blanc raffiné, affaiblit le système immunitaire.

Q. L'aspartame est utilisé et autorisé dans plus de 100 pays au monde. Pourquoi ne dit-on rien?

R. Cette conspiration du silence a longtemps été lié à l'insouciance que la plupart des gens affichent quant au contenu exact de ce qu'ils mangent et boivent. Trop de gens, encore aujourd'hui, se fient aveuglément aux fonctionnaires des services gouvernementaux responsables de veiller à la protection de notre santé et n'osent donc pas douter du "principe" stupide qui veut que si un produit est en vente partout, il n'est sûrement pas dangereux pour la santé. Heureusement les choses commencent à changer, surtout en Europe où la maladie de la vache folle en Angleterre, la contamination des viandes à la dioxine en Belgique, la controverse entourant l'importation de viande américaine contenant des hormones cancérigènes et, récemment, l'explosion de protestations contre les aliments transgéniques ont rendu les gens beaucoup plus avertis et moins enclins à faire aveuglément confiance aux autorités pour les protéger des manigances criminelles des riches compagnies multinationales pour lesquelles le profit passe avant la santé des gens. Mais le refus des autorités gouvernementales de considérer les preuves qui s'accumulent au dossier de l'aspartame tient aussi à leur refus d'admettre l'erreur monumentale qu'elles ont commise en acceptant au départ, sans études indépendantes sérieuses et fiables, ce produit nocif et mortel. Ce qui s'est passé dans le cas de la contamination des banques de sang par le virus du SIDA en France et au Canada, par exemple, et le refus prolongé de la classe politique d'accepter ses responsabilités dans ce cafouillage est un bon exemple du réflexe habituel d'auto-protection des élites politiques et financières qui ne se laisseront pas entraîner sur le bûcher populaire de la révolte des consommateurs abusés qui gronde sans opposer une résistance farouche avec leurs milliards et leur influence occulte mais omniprésente sur ce qu'acceptent de rapporter la majorité des grands médias.

Q. Avez-vous d'autres commentaires personnels?

R. Seule une conscientisation quant à notre responsabilité individuelle de prendre en main notre santé en s'assurant de la qualité irréprochable de ce que nous mangeons et buvons pourra un jour faire en sorte que nous retrouverons le chemin de la vraie santé, sans médicaments ni autres béquilles chimiques. À cet égard, le choix de manger de préférence des aliments de culture biologique s'inscrit dans une démarche sensée et raisonnable selon laquelle investir dans une bonne alimentation vaut mieux que de se retrouver avec des maladies débilitantes qui nous laisseront affaiblis, souffrants et diminués dès que les séquelles d'une alimentation polluée se feront sentir, ce qui trop souvent, malheureusement, se produit à un âge précoce...

Enfin il ne faut pas oublier de mentionner le travail phénoménal de l'inépuisable Betty Martini, une américaine dans la soixantaine qui se consacre corps et âme depuis des années à dénoncer les méfaits de l'aspartame et toutes les magouilles qui entourent cette question et dont l'organisme bénévole, Mission Possible International, compte des membres participants et activistes dans de nombreux pays - leur site Internet anglais est le www.dorway.com.

Réponses apportées le 22 janvier 2000 par Jean Hudon -- un Québécois, traducteur professionnel, coordonnateur du Réseau Arc-en-ciel de la Terre (site Internet: http://www.cybernaute.com/earthconcert2000) et auteur de 2 livres (le "Manuel d'instruction pour un nouveau monde" paru en 85 et "L'enfant immortel" paru en 87) et de plusieurs articles de magazine -- dans le cadre d'un interview mené par voie de courriel par Magali Pacary pour un article à paraître prochainement dans le magazine "Bonne Santé" vendu en France à près de 200 000 exemplaires. On peut écrire à Jean Hudon à l'adresse suivante globalvisionary@cybernaute.com et lui demander à être rajouté(e) à sa liste d'envoi de courriels francophones et/ou anglophones. Rediffusion autorisée à condition de le faire intégralement, y inclus ce paragraphe.

On trouvera aussi sur ce site quelques autres documents en français sur l'aspartame:

Journée mondiale de sensibilisation aux méfaits de l'aspartame

Transcription d'une conférence de Betty Martini sur l'aspartame

Lire aussi "L’aspartame : Méchant, méchant!" un excellent article
publié dans le Guide Ressources québécois en janvier 1999.


N'hésitez pas aussi à explorer la section française de ce site et - si vous comprenez l'anglais - les centaines de pages d'information et de correspondances sur une foule de sujets.

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L'aspartame: méchant, méchant

http://www.aliv-e.com/fr/education/articles/addi1.asp


par Julie Brière

Parce que vous vous préoccupez de votre poids, vous pensez que les succédannés, tel que l'aspartame, sont meilleurs que le sucre pour votre santé? Grave erreur...

À première vue, c'est génial: se sucrer le bec sans subir l'inconvénients des calories! Cependant, La liste des plaintes reliées à ce succédané du sucre ne cesse de s'allonger, particulièrement aux États-Unis, où on observe une importante consommation de produits "diète". Pire, on sait maintenant que la consommation d'aspartame entraîne des effets secondaires allant du simple mal de tête à des tumeurs au cerveau.

En effet, les statistiques américaines provenant du National Cancer Institute révèlent une hausse alarmante du nombre de tumeurs au cerveau: en 1983, 2,1 % des cancers chez les hommes se situaient au cerveau; en 1987, l'incidence était passée à 8,1 % pour ces messieurs, grimpant même à 11,7 % chez les femmes! En creusant la question, les chercheurs ont constaté que cette forte hausse coïncide justement avec l'apparition, en 1983, des boissons gazeuses édulcorées à l'aspartame. Le débat pour son retrait du marché n'a pas cessé depuis.

Additif ou drogue?

L'aspartame a été découvert par hasard en 1965 au laboratoire Searle, aux États-Unis, par un scientifique qui cherchait à mettre au point un médicament contre les ulcères. En goûtant une pincée de sa poudre, il se serait rendu compte qu'elle avait un goût étonnamment sucré. Cette découverte était une bénédiction pour l'industrie alimentaire, qui cherchait une solution de rechange aux cyclamates et à la saccharine, interdits dans les aliments par le gouvernement depuis que des études chez les animaux ont révlé qu'ils enétraînaient des cancers. Au Canada, ces deux édulcorants sont tout de même disponibles en sachets dans les épiceries, les pharmacies et les restaurants. L'aspartame a été autorisé dans les aliments secs en 1981, puis dans les boissons gazeuses en 1983.

Commercialisé sous le nom de NutraSweet et d'Égal, l'aspartame est un édulcorant synthétique modifié génétiquement et composé de deux acides aminés (composants des protéines), la phénylalanine et l'acide aspartique. Son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé que celui du sucrose. Pourtant, le cheminement de l'aspartame laisse plutôt un goût amer dans la bouche. Il a même des allures de conspiration, puisque le Pentagone a déjà nommé l'aspartame dans un inventaire d'armes chimiques! En fait, tant G.D. Searle, la compagnie de produits chimiques et pharmaceutiques mentionnée précédemment, que Monsato, maintenant propriétaire et fabricant d'aspartame, ont des liens tangibles avec la fabrication d'armes chimiques.

Des études coûteuses

C'est en 1974 que l'aspartame est approuvé pour la première fois. À la suite de deux études démontrant que cette substance cause des tumeurs chez les animaux de laboratoire, l'autorisation est abrogée. Ces études n'ont jamais été réfutées depuis. En septembre 1980, après délibération, un comité de la Food and Drug Administration (FDA) se prononce contre l'aspartame. Quatre mois plus tard, G.D. Searle soumet dix nouvelles études "bidons", qui feront pencher la balance du côté de l'aspartame par un vote: celui du commissaire Arthur Hayes... qui sera plus tard engagé par Searle! Selon le Dr Adrian Gross, ancien toxicologiste de la FDA, ces études sont de la foutaise. Il a noté que des décès d'animaux ont été cachés, que des tumeurs n'ont pas été rapportées et, dans certains cas, qu'elles ont même été extraites de l'animal qui, lui, a été remis dans l'étude!

En 1996, le médecin et professeur Ralph G. Walton, du collège de médecine de la Northeastern Ohio Universities, décide d'analyser l'ensemble des études scientifiques reliées à la consommation d'aspartame. Ses observations parlent d'elles-mêmes: parmi les 174 études analysées, 74 étaient financées par l'industrie de l'aspartame, et 100 % d'entre elles concluaient qu'il n'y avait aucun problème avec ce produit! Cependant, sur 90 études indépendantes (non financées), 83 (92 %) ont plutôt relevé un ou plusieurs problèmes reliés à l'usage de cet édulcorant. L'aspartame est l'objet de controverse depuis son apparition; même son approbation relève d'une décision plus politique que scientifique. Mais avec des revenus se chiffrant dans les milliards de dollars par année, la compagnie Monsato n'est pas prête de lâcher le morceau.

Des effets secondaires troublants

La liste des effets secondaires liés à la consommation d'aspartame est très longue. De plus, selon la revue Headache de novembre 1997, des personnes particulièrement sensibles peuvent ressentir des effets avec de très faibles doses: une gomme à mâcher, par exemple, peut causer un mal de tête! En 1994, la FDA avait déjà accumulé près de 7000 plaintes d'effets secondaires reliés à l'aspartame (l'organisme ne veut d'ailleurs plus compiler les plaintes). Les plus fréquentes sont: maux de tête (ce qui a été confirmé par plusieurs études), vertiges, vision embrouillée, changements d'humeur, douleurs au ventre et crampes musculaires. Aux États-Unis, des pilotes d'avion ont même perdu leur permis pour avoir manifesté ces symptômes dans les heures suivant l'ingestion de boissons à l'aspartame. Des communiqués à cet effet ont d'ailleurs été émis dans les bulletins du U.S. Air Force et du U.S. Navy afin de prévenir le personnel de ce risque.

Parmi les autres symptômes figurent les dépressions, les pertes de mémoire, les douleurs aux jointures, les troubles menstruels, les crises d'épilepsie et même quelques décès! Et il ne s'agit là que d'une fraction des effets actuellement associs à la éconsommation d'aspartame, puisque la majorité des gens n'ont pas encore fait le lien entre leurs problèmes de santé et ce produit. Même s'ils le font, seul un léger pourcentage des gens et des professionnels de la santé prendront le temps de le rapporter aux autorités gouvernementales.

En 1991, le National Institute of Health a publié une bibliographie, Adverse Effects of Aspartame, énumérant pas moins de 167 raisons d'éviter l'aspartame. Une étude récente a également démontré que l'aspartame, tout comme le sucre, entraîne une calciurie, c'est-à-dire une perte de calcium dans les urines.

Aspartame et gain de poids

Puisque l'aspartame contient le même nombre de calories que le sucre, mais que son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé, comment le pancréas réagit-il lorsque la langue le détecte? Se pourrait-il qu'il envoie une dose massive d'insuline pour contrebalancer cette sensation trompeuse? Est-ce que la chute de sucre qui en résulterait donnerait à nouveau le désir de manger? Selon le neuroscientifique Richard Wurtman, la consommation de doses élevées d'édulcorants comme l'aspartame provoquerait effectivement des "crises" de sucre. L'American Cancer Society a confirmé cette ironie après avoir suivi 80 000 femmes durant six ans. Parmi celles qui ont pris du poids durant cette période, les femmes qui utilisaient des édulcorants artificiels en ont pris davantage que celles qui n'en consommaient pas.

Une autre étude effectuée chez un petit groupe de femmes à la diète dmontre équ'elles ont tendance à manger davantage durant les jours qui suivent l'ingestion de boissons sucrées à l'aspartame, comparativement à l'ingestion de boissons sucrées naturellement (étude effectuée par J.H. Lavin et ses collaborateurs, parue en janvier 1997 dans une revue scientifique internationale sur l'obésité). Même le simple fait de mâcher de la gomme sucrée à l'aspartame augmenterait l'appétit. Quelques autres études, toutefois, n'ont pu démontrer ces effets.

On suppose par ailleurs que les gens qui consomment des produits diètes auraient tendance à être moins vigilants: un faux sentiment de sécurité pourrait les porter à manger des gâteries, ici et là, puisqu'ils ont déjà "économisé"... Dans toute cette controverse, une chose est sûre: les édulcorants comme l'aspartame entretiennent le goût du sucre et ne permettent pas de modifier ses habitudes alimentaires, seul gage d'une perte de poids durable.

Diabétiques, s'abstenir

Selon le Dr H. J. Roberts, un endocrinologiste qui en a vu des "vertes et des pas mûres" avec l'aspartame, ce substitut de sucre compliquerait le contrôle de la glycémie chez les diabétiques, entraînant des crises plus fréquentes d'hypoglycémie et aggravant les complications diabétiques (cataractes, rétinopathies, neuropathies, etc.). De plus, chez un certain nombre de ses patients, on a incorrectement diagnostiqué qu'ils étaient atteints de la sclérose en plaques; les médecins dans l'erreur ignoraient que l'ingestion d'aspartame sur une base régulière entraîne des symptômes semblables.

Quoi faire?

· Près de 2 % de la population est porteuse, sans le savoir, d'un des deux gènes qui causent la phénylcétonurie. Or, l'aspartame contient de la phénylalanine, un acide aminé que ces personnes ne peuvent utiliser par manque d'une enzyme spécifique. Ces gens doivent éviter tous les produits qui en contiennent - dont l'aspartame - au risque de subir des crises d'épilepsie et des troubles mentaux sévères. Dans le doute, évitez de consommer de l'aspartame.

· Si vous souffrez d'un problème de santé persistant et que vous utilisez des produits édulcorés à l'aspartame (boissons diète, gommes à mâcher, sachets, yogourts, etc.), cessez complètement d'en consommer durant un mois afin de voir si vos symptômes diminuent.

· Vous devrez lire attentivement les étiquettes de tous les produits que vous achetez, car l'aspartame s'est infiltré un peu partout (voir ci-bas). À mon avis, plus vous vous tiendrez loin de cet additif, mieux vous vous porterez.

Où se cache-t-il?

En 1992, l'aspartame apparaissait dans plus de 4200 produits alimentaires aux États-Unis: certaines marques de crème glacée, yogourts, puddings, confitures, desserts prparés, cééréales à déjeuner, vinaigrettes et dîners surgelés en contiennent. Les pires: les boissons gazeuses "diète", les sachets de sucre Égal et la gomme à mâcher sans sucre. Les médicaments peuvent aussi en contenir, de même que le psyllium sucré "sans sucre" et les suppléments de vitamines croquables pour enfants. Surveillez les étiquettes.

L'aspartame est peu stable dans les liquides et se décompose après une exposition à des températures élevées - ce qui se produit lorsqu'on fait chauffer l'aspartame, qu'on l'ajoute à des liquides chauds (café) ou lorsqu'il est entreposé durant de longues périodes à la température de la pièce. La dégradation du produit entraîne, entre autres, la formation de méthanol, qui se décompose par la suite en formaldéhyde (carcinogène connu), en acide formique et en diketopiperazine (DKP), tous responsables de tumeurs au cerveau.

Ressources

Plusieurs groupes de pressions, dont Mission Possible International, tentent depuis plusieurs années de faire interdire l'aspartame, dont ils dénoncent la nocivité. Cet organisme possède un site Internet rempli de données et de témoignages de médecins et de victimes. L'adresse: http://www.dorway.com
Le site de NutraSweet, filiale de Monsanto http://www.nutrasweet.com/html/index.html


Ce texte a été publié originellement dans le magazine Guide Ressources de janvier 1999.

** voir aussi Aspartame Consumer Safety Network

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