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Un monde à l’intérieur de notre terre existerait avec deux entrées : une au pôle nord et une autre au sud (Arctique et en Antarctique). Des Mayas et Atlantes s’y seraient réfugiés lors d’un précédant déluge et y demeureraient toujours. Des images satellites montrent des dépressions mystérieuses. Passage possible de certains Ovnis ?
L’AMIRAL BIRD
Byrd entre à l’École Navale en 1908 et y est diplômé. En 1912, il s’engage dans la Marine US où il est affecté en service à bord du USS Kentucky, puis sur le USS Wyoming. Le sauvetage d’un marin à Santo Domingo[Saint-Domingue] lui vaut la Médaille de Sauvegarde de la Vie du Congrès. Il se marie en 1915 et est affecté au yacht présidentiel Mayflower.
Journal de bord de l’Amiral Byrd
« 11 Mars 1947. Je viens
d’avoir un entretien à l’État Major du
Pentagone. J’ai entièrement rapporté ma
découverte ainsi que le message du Maître.
Tout fut soigneusement enregistré. Le
Président fut mis au courant. Des heures durant
(6 heures et 39 minutes, très exactement), je fus
soumis à la question. Les Top Security Forces,
assistées d’une équipe médicale
menèrent un interrogatoire très
poussé. Quel calvaire!!! Les forces de la
Sécurité Nationale des États Unis
d’Amérique me placèrent sous
contrôle rigoureux. Il me fut rappelé qu’en
tant que militaire, j’avais l’obligation d’obéir
aux ordres.
…Dernière annotation: 30 Décembre 1956.
Toutes les années qui se sont
écoulées depuis 1947 n’ont pas
été bonnes… D’où ma dernière
annotation dans ce journal personnel. Je termine en
affirmant que, durant toutes ces années, j’ai
scrupuleusement maintenu ce sujet sous le sceau du
secret, comme il me le fut ordonné. J’ai dû
le faire à l’encontre de tous mes principes
d’intégrité morale. À
présent, je sens la grande nuit s’approcher; ce
secret ne mourra pas avec moi…. »
Voici son contenu :
« Je dois tenir ce
journal en cachette et dans le secret le plus absolu.
Il concerne mon vol antarctique du 19 Février
1947. Un temps viendra où la rationalité
des hommes devra se dissoudre dans le néant, et
où l’inéluctabilité de la
Vérité devra alors être
acceptée. Je n’ai pas la liberté de
diffuser la documentation qui suit; peut-être,
ne verra-t-elle jamais la lumière; cependant,
je dois faire mon devoir: la rapporter, ici, avec
l’espérance qu’un jour tous puissent la lire,
dans un monde où l’égoïsme et
l’avidité de certains hommes ne pourront plus
mettre la Lumière sous le
boisseau. ».
… »Sur les étendues de glace et de
neige en dessous de nous, on remarque des colorations
jaunâtres aux dessins linéaires.
… »Aussi bien la boussole magnétique
que le gyrocompas commencent à tourner, puis
à osciller; il n’est pas possible de maintenir
notre route à l’aide des instruments. Nous
relevons la direction avec le compas solaire; tout
semble être en ordre. Les contrôles
semblent lents à répondre et à
fonctionner; cependant, nous ne relevons pas
d’indication de congélation ».
… »29 minutes de vol se sont
écoulées depuis le premier
repérage de montagnes, Non, il ne s’agit pas
d’une hallucination: une petite chaîne de
montagnes se dresse là; jamais, auparavant,
nous ne l’avions remarquée ».
… »Outre les montagnes, une vallée
semble être façonnée par un petit
fleuve, ou ruisseau, qui coule vers la partie
centrale. Aucune vallée verte ne devrait se
trouver ici, en dessous de nous!
Décidément, Il y a quelque chose
d’étrange et d’anormal ici! Nous ne devrions
survoler que neige et glace! Sur la gauche, les pentes
des montagnes se parent de grandes forêts. Nos
instruments de navigation oscillent, comme
fous ».
… »Je limite l’altitude à 1.400
pieds, puis j’exécute un virage en rase-motte,
à 180° sur la droite, afin de mieux
examiner la vallée située au-dessous.
Mousse et herbe très fine lui confèrent
une coloration verte. Ici, la lumière semble
différente. Je ne parviens plus à voir
le Soleil. Je vire à nouveau, cette fois sur la
gauche, afin de faire un second tour. Nous apercevons
un animal énorme qui ressemble à un
éléphant! NON! C’est un mammouth! Cela
est incroyable! Pourtant, il en est bien ainsi! Nous
descendons à 1.000 pieds d’altitude; j’utilise
les jumelles pour mieux observer l’animal. Je le
confirme, il s’agit bien d’un animal semblable
à un mammouth ».
… »Nous rencontrons d’autres collines
verdoyantes. L’indicateur de température
extérieure marque 24 degrés centigrades.
Nous maintenons le cap. À présent, les
instruments de bord semblent réagir
normalement. Je demeure perplexe quant à leurs
réactions. Je tente de contacter la base. La
radio ne fonctionne pas! ».
… »Le paysage alentour parait nivelé
et normal. Devant nous, nous repérons… une
ville!!! Cela est impossible! L’avion semble
léger et très flottant. Les
contrôles refusent de répondre! Mon
Dieu!! À notre droite et à notre gauche,
des appareils d’un type étrange nous escortent.
Ils s’approchent: quelque chose rayonne de ces
appareils. Désormais, ils sont suffisamment
proches pour nous permettre de voir leurs armoiries.
Il s’agit d’un symbole étrange. Où
sommes-nous? Que s’est-il passé? Une fois
encore, je tire les manettes avec décision. Les
commandes ne répondent pas! Nous sommes
solidement maintenus par une sorte d’étau
d’acier invisible ».
… »Notre radio grésille: une voix
nous parvient, qui s’exprime en anglais avec un accent
plutôt nordique ou allemand! Le message est le
suivant: -- Bienvenue sur notre territoire, Amiral.
Nous vous ferons atterrir exactement d’ici à
sept minutes. Relaxez-vous, Amiral, vous êtes en
bonnes mains. -- Je réalise que les moteurs de
notre avion sont éteints. L’appareil est sous
un contrôle étrange; maintenant, il vire
de lui-même ».
… »Nous recevons un autre message radio.
Nous sommes sur le point d’amorcer la procédure
d’atterrissage; rapidement, l’avion vibre
légèrement; il commence à
descendre, comme soutenu par un ascenseur
énorme et invisible ».
… »À pieds, quelques hommes
s’approchent de l’appareil. lis sont grands; leurs
cheveux sont blonds. Au loin, une grande ville
scintille; elle vibre des couleurs de l’arc-en-ciel.
Je ne sais pas ce qui va se passer désormais.
Toutefois, je ne remarque aucune trace d’armes sur
ceux qui s’approchent de nous. J’entends une voix qui,
m’appelant par mon nom, m’ordonne d’ouvrir la porte.
J’exécute ».
Après ces notes, extraites du ‘journal de
bord’, l’Amiral annote ce qui s’est passé
ensuite:
… »À partir de là, je
décris les événements en faisant
appel à ma mémoire. Les faits
frôlent l’imaginaire; leur description pourrait
être tenue comme relevant de la folie s’ils ne
s’étaient pas réellement produits. Une
fois extraits de l’appareil, mon mécanicien et
moi, nous fûmes accueillis de façon
cordiale. Puis, nous fûmes embarqués
à bord d’un petit appareil de transport
semblable à une plate-forme, mais sans roues!
Il nous conduisit à grande vitesse vers la
ville scintillante. En peu de temps, nous
parvînmes à un grand édifice, d’un
genre encore jamais vu. Une boisson chaude à la
saveur inconnue nous fut offerte. Elle était
délicieuse. Environ 10 minutes après,
deux de nos hôtes étonnants
entrèrent dans notre cabine. lis
m’invitèrent à les suivre. Je n’avais
pas d’autre choix que celui d’obéir. Je laissai
mon mécanicien-radio. Nous marchâmes
jusqu’à ce qui me paraissait être un
ascenseur. Nous descendîmes durant quelques
instants, puis l’ascenseur s’arrêta; la porte
glissa silencieusement vers le haut. Nous
allâmes au long d’un couloir
éclairé par une lumière rose qui
semblait émaner des murs! L’un des êtres
nous fit signe de nous arrêter devant une grande
porte, surmontée d’un écriteau que je
n’étais pas en mesure de lire. La grande porte
disparut sans bruit. Je fus convié à
m’avancer. L’un des hôtes dit: -- N’ayez pas
peur, Amiral, vous allez avoir un entretien avec le
Maître. -- J’entrai. Mes yeux
s’adaptèrent lentement à la coloration
merveilleuse qui semblait envahir complètement
la pièce. Alors, je commençai à
entrevoir ce qui m’entourait. Ce qui s’offrit à
mes yeux était la vision la plus extraordinaire
de toute ma vie. Elle était trop magnifique
pour être décrite. Elle était
merveilleuse. Je ne pense pas qu’il existe des termes
humains à même de la décrire avec
justesse dans tous ses détails. Mes
pensées furent doucement interrompues par une
voix chaude et mélodieuse:
« Bienvenue sur notre territoire,
Amiral ». Je vis un homme aux traits
délicats qui portait les signes de l’âge
sur son visage. Il était assis à une
grande table. Il m’invita à m’asseoir sur une
chaise. Dès que je fus assis, il unit les bouts
de ses doigts, puis il sourit. Il s’exprima à
nouveau avec douceur: -- Nous vous avons laissé
entrer ici parce que vous êtes d’un
caractère noble, et aussi parce que vous
êtes bien connu dans le monde de surface,
Amiral! -- Monde de surface! Je restai sans souffle!
Je ne retarderai pas longtemps votre mission; en toute
sécurité, vous serez escortés
lors de votre retour à la surface, et
même un peu plus loin. À présent,
Amiral, je vous ferai connaître la raison de
votre convocation ici. Notre intérêt
débuta tout de suite après l’explosion
des premières bombes atomiques lancées
par votre race, sur Hiroshima et Nagasaki, au Japon.
En ce moment inquiétant, nous avons
envoyé nos engins volants, les
« Flugelrads », sur votre monde
de surface pour enquêter sur ce que votre race
avait fait. D’évidence, il s’agit là
d’une histoire ancienne, Amiral; cependant,
permettez-moi de poursuivre. Voyez-vous, jamais, nous
ne sommes intervenus avant l’heure dans les guerres et
les barbaries de votre race, Pourtant, à
présent, nous nous trouvons contraints à
le faire, étant donné que vous avez
appris à manipuler un type d’énergie,
atomique, qui n’est pas du tout fait pour l’homme. Nos
émissaires ont déjà remis des
messages aux puissances de votre monde. Elles ne s’en
sont pas préoccupées. Vous avez
été choisi pour être
témoin, ici, que notre monde existe.
Voyez-vous, notre culture et notre science ont des
milliers d’années d’avance sur les
vôtres, Amiral ». Je l’interrompis:
« Mais qu’est-ce que tout cela a à
voir avec moi, Seigneur! ». Les yeux du
Maître semblèrent pénétrer
profondément mon esprit, Après m’avoir
étudié un peu, il répondit:
« Votre race a atteint le point de non
retour, parce que certains, parmi vous,
détruiraient votre monde tout entier
plutôt que de renoncer au pouvoir tel qu’ils le
connaissent… ».
J’acquiesçais. Le Maître poursuivit:
« Depuis 1945, nous avons tenté
d’entrer en contact avec votre race, Nos efforts ont
toujours été accueillis avec
hostilité: on a tiré sur nos flugelrads.
Oui, ils furent même poursuivis avec
agressivité et animosité par vos avions
de combat. Aussi, vous dirai-je, mon fils, qu’une
grande tempête se profile à l’horizon de
votre monde: une furie noire qui ne s’épuisera
pas des années durant. Vos armes ne serviront
aucunement à votre défense; votre
science ne vous garantira aucune
sécurité. Cette tempête
sévira aussi longtemps que toute fleur de votre
culture n’aura pas été
piétinée, toute création humaine
dispersée dans le chaos. Pour votre race, la
récente guerre n’a été que le
prélude à ce qui doit encore survenir.
Ici, nous pouvons nous en rendre compte plus
clairement à chaque heure qui passe…
Pensez-vous que je me trompe? ».
« Les années obscures qui viennent
pour votre race recouvriront la Terre comme une
couverture. Toutefois, je crois que certains
survivront à la tempête, je ne sais rien
d’autre! Nous voyons, dans un futur lointain, des
ruines de votre race, émerger un monde nouveau,
à la recherche de ses trésors
légendaires perdus; ils seront en
sûreté, mon fils, ici, en notre
possession. Lorsque le moment viendra, nous nous
avancerons à nouveau pour aider votre culture
et votre race à vivre.
Alors, peut-être aurez-vous appris la
futilité de la guerre et de ses luttes…
Dès lors, une partie de votre culture et de
votre science vous sera restituée, afin que
votre race puisse recommencer son évolution.
Vous, mon fils, vous devez retourner dans le Monde de
Surface, porteur de ce message… ».
Ces dernières paroles semblaient devoir
conclure notre entretien. Un instant, j’eus
l’impression de vivre un rêve… pourtant, je le
savais, il s’agissait bien de la
réalité. Pour quelque étrange
raison, je m’inclinais légèrement; je ne
sais si ce fut par respect ou par humilité.
Tout à coup, je réalisai que les deux
hôtes étonnants qui m’avaient conduit ici
se trouvaient de nouveau à mes
côtés. « Par ici,
Amiral », m’indiqua l’un d’Eux. Avant de
sortir, je me retournai encore une fois; je regardai
le Maître. Un doux sourire se dessinait sur son
délicat visage de vieillard.
« Adieu, mon Fils », me dit-il
en esquissant un geste très doux de sa main
frêle, un geste de paix. Ainsi, prit fin notre
rencontre. Nous sortîmes doucement par la grande
porte de la pièce où se tenait le
Maître, puis nous entrâmes de nouveau dans
l’ascenseur. La porte s’abaissa silencieusement;
aussitôt, l’ascenseur s’éleva.
L’un de mes hôtes reprit la parole:
« Maintenant, nous devons nous
dépêcher, Amiral; en effet, le
Maître ne veut pas retarder davantage votre
programme; vous devez retourner parmi votre race avec
Son message ». Je ne répondis pas.
Tout cela était inconcevable. L’arrêt de
l’ascenseur interrompit mes pensées. J’entrai
dans la salle où se tenait toujours mon
mécanicien radio. L’anxiété
marquait son visage. Je m’avançai vers lui en
disant: « Tout va bien, Howie, tout va
bien ». Les deux êtres nous firent un
signe montrant l’appareil en attente. Nous
sortîmes pour regagner rapidement notre avion.
Les moteurs tournaient au ralenti; nous
embarquâmes immédiatement. Un certain
état d’urgence planait dans
l’atmosphère. Dès que la porte se fut
refermée, une force invisible transporta
l’avion vers le haut, jusqu’à une altitude de
2.700 pieds. Deux de leurs appareils nous escortaient
à bonne distance. Ils nous firent planer sur le
chemin du retour. Je dois souligner que le compteur de
vitesse n’indiquait rien, bien que nous nous
déplacions à grande vitesse.
…Nous reçûmes un message radio: «
À présent, nous allons vous quitter,
Amiral; vos contrôles sont libres.
Wiedersehen!!! ». Un instant, nous
suivîmes du regard les flugelrads,
jusqu’à ce qu’ils disparaissent dans un ciel
bleu glacier. L’avion sembla capturé par un
courant ascensionnel. Immédiatement, nous en
reprîmes le contrôle, Nous gardâmes
le silence durant un certain temps; chacun de nous
était immergé dans ses propres
pensées.
…De nouveau, nous survolâmes des étendues
de glace et de neige, à environ 27 minutes de
notre base. Nous envoyâmes un message radio. On
nous répondit. Nous rapportâmes des
conditions normales… normales. Le camp de base exprima
un grand soulagement lorsque le contact fut
établi de nouveau.
Photo D’Apollo X en 1969 ou l’on peut apercevoir un trou noir au pôle
Photo prise par le Satellite ATS 3 en 1973 (a droite et au milieu)
Sources de la rubrique : castalie.fr, dark-ride.org, wikipedia.fr