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 Le 02-06-2013 (et 24-06-2013)

INTRODUCTION

  Je vais vous expliquer ici les trois causes principales des marées pour la Terre ainsi que leur ordre d'importance d'un point de vu gravitationnelle et à l'instar de toute force magnétique et électrique.

    Mes résultats et mes conclusions proviennent d'expériences personnelles ainsi que d'analyses de données existantes.

    Pour ce faire, j'utiliserai des formules de lois en physique et en mathématique. Surtout les trois lois fondamentales en relation avec les découvertes de Newton basées sur la gravitation, l'énergie de rotation et de déplacement, ainsi qu'un mélange de ces trois phénomènes. Toutefois, je ne m'aventurai pas à vous expliquer ces lois d'attraction gravitationnelle, de conservation de l'énergie dans le déplacement rectiligne d'une masse, de conservation de la quantité de mouvement d'une masse en rotation, de la force centripète avec son effet centrifugeur tangentiel qui s'oppose à la gravitation radiale de la Terre en rotation.

    Des travaux précédents m'ont permis de montrer la creusité de la Terre ( http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/TerreCreusePreuveScientifique.html ), l'épaisseur moyenne de son écorce (2850 km) et de prouver par le fait même le sérieux de la possibilité d'avoir un coeur double (deux Soleils internes) comme centre planétaire. Ce fait est d'autant plus important que tout le reste, puisque ces deux Soleils Centraux sont la première cause d'importance pour les marées (pour les doubles-marées en fait) comme je l'avais présumé et expliqué dans un ancien texte de cet époque ( http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/MaréesRésultatDeRechercheParJF.html ), sans toutefois avoir réussi à le prouver mathématiquement et graphiquement à 100%. Ce n'était qu'un avant goût de ce qui va suivre. J'en avais qu'entrevu la solution et sa pertinence.

    Je vais aussi utiliser les données et graphiques sur les marées de Lévis-Lauzon(Québec, Canada) fourni par le gouvernement pour l'année 2005 sur lesquelles j'ai basé mes calculs de fréquences et auxquelles j'ai rajouté mes propres trouvailles pour faire la part des choses.

    Bien entendu, je n'utiliserai pas une rigueur absolue. Cela n'est pas nécessaire pour prouver ce que j'avance dans ce rapport. Ainsi, j'utiliserai des calculs simplifiés en prenant parfois des circuit circulaires plutôt qu'elliptiques.

    Des instruments de calculs et de modélisations vont également servir à trouver les résultats plausibles et réalistes comme pour la masse approximative des Soleils Centraux.

Voir un des modèles théoriques de recherches utilisés :

http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/ArchivesTerreCreuse/TerreCreuse2004J3.123

Voir ici le type de calculs et de modélisation effectuer pour trouver de telles valeurs de masses, de volumes, de distances et de forces pour en extraire les plus pertinentes :

http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/ArchivesTerreCreuse/CalculTC.123

    L'orientation de mes propos vont parfois laisser transparaître des écrits de métaphysiciens, d'explorateurs, de militaires et d'écrivains....

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    La Simple observation des marées nous montre clairement que nous avons deux montées et deux descentes des eaux par période d'environ 24h50min40sec en moyenne. Que nous avons une Lune qui s'oppose par rapport au centre de la Terre pour chacune de ces marées-doubles, semblant provoquer des effet similaires pour des positions différentes; et même opposées.

    Il semble y avoir un effet de la Lune sur les marées (doubles-marées; D-M) en fréquence et en amplitude.Quoique le lien de fréquence soit du simple au double; laissant filtrer l'existence d'une autre cause de fréquence semblable ... et d'amplitude non négligeable.

    D'aucuns prétendent que la Lune est la cause principale, voire, unique des marées, allant jusqu'à affirmer que l'effet sur l'eau était décallé d'environ 6 heurs et que l'effet centrifuge créait un alter égaux à l'opposée de la Terre en rotation, comme expliquer par un pseudo-scientifique à une émission scientifique de la télévision Québécoise dernièrement.

    Mais cette explication est-elle plausible logiquement et surtout physiquement en tenant compte des lois naturelles?. Il me semble que non. Les fréquences de ces deux phénomènes sont probalement ce qui crée l'illusion d'optique; de là l'erreur d'interprétation.

    En observant les D-M après les avoir séparées et identifiées (blanc versu violet sur les desseins), on constate que parfois la marée blanche a une plus grande amplitude que la suivante environ 12h26minutes plus tard, mais que lors d'une période subséquente on a le résultat contraire et que cela est lié au cycle de la rotation de la Lune autour de la Terre avec son cycle de périgée et d'apogée de 27,32166 jours(de 24 heures; pour un cycle sidéral). Notez que l'ensemble des D-Mont un cycle d'environ 29,53616 jours. Cela peut très bien laisser présager d'un certain effet de la Lune sur les D-M sans toutefois en être la seul cause.
 
 

    Comme cause potentielle apparente des D-M, on peut examiner le Soleil (Hélios et Vesta). Ce Dernier à un cycle sur nous d'environ 24 heures. Il ne correspond donc pas aux cycles des D-M. Sa fréquence différente l'empêche donc d'être la principale cause des D-M et semble agir sur l'amplitude; du moins, on peurt fortement le soupçonner ainsi.

    Déjà, on peut envisager une troixième cause provocatrice des D-M ayant la bonne fréquence et de plus grande amplituque que les deux autres.

    Mais, avant de prendre en considération une 3ième cause, voyons si le Soleil peut provoquer des D-M.

    En fait, ce n'est pas le Soleil à lui seul qui provoque des D-M. C'est plutôt l'interaction Terre-Soleil qui provoque une variation d'effet gravitationnelle. Comment?

    Nous savons que la Terre tourne autour du Soleil dans le sens anti-horaire. La Terre tourne aussi dans un sens anti-horaire sur elle-même; bien qu'avec un certain angle.

Voir dessin 1 ici
 

    Ainsi, un point de la surface externe de la Terre tournante voit sa vitesse relative autour du Soleil diminuer durant le jour. Ce qui entraîne une diminution de l'effet centrifuge et ainsi une plus grande attraction(comme résultante) du Soleil sur ce point vient diminuer son poids surtout vers 12 heures. Durant la nuit, la vitesse à ce même point augmente relativement sa rotation autour du Soleil et tangentiellement de sorte que l'effet centrifuge, par rapport au Soleil, se voit augmenter, diminuant aussi le poids terrestre des objet de surface(par rapport au centre de la Terre, il en est ainsi, car on parle de résultante locale de poids à la périférie de la Terre), eau incluse. Aux environs de 6 heures et de 18 heures, nous avons donc un retour aux force simple d'attraction terrestre pouvant correspondre à des marées basses versus des marées hautes pour 12h et 24h.

    C'est donc cette varriation relative de vitesse de surface par rapport au déplacement de la Terre autour du Soleil qui provoque une variation résultante de poids entraînant un rehaussement local du niveau des grandes masses d'eau.

    En simplifiant les calculs, en considérant un parcours circulaire de la Terre autour du Soleil ainsi qu'une distance moyenne, on peut calculer cette variation de force sur une masse de 3,1Kg de l'ordre de 4,70 x 10e-4 Newton (donc une amplitude de -2,35 x 10e-4 à 2,35 x 10e-4 Newton).

    Nous voyons là, la possibilité d'avoir des doubles-marées avec une planète tournant sur elle-même tout en tournant autour d'un Soleil Central extérieur. Remarquez qu'un tel système provoque automatiquement beaucoup de chaleur de brassement.

    On peut donc conclure à coup sûr, que le système Terre/Soleil en rotation est une cause probante de double-marée cyclique.

voir ici le dessin 2

    Il ne nous reste plus qu'à en calculer la force approximative pour la comparer à la force d'attraction de la lune qu'il faut aussi calculer pour avoir l'ordre de grandeur.

Pour la Lune,............les calculs approximatifs pour une masse de surface de 3,1Kg nous donnent 2,0N/10000... soit une amplitude de -1,00 à 1,00 dix millième de Newton.
Pour le système T/S, les calculs approximatifs pour une masse de surface de 3,1Kg nous donnent 4,7N/10000... soit une amplitude de -3,35 à 3,35 dix millième de Newton.

    Ainsi, nous avonsune cause proche de la fréquence des D-M, ce qui reste toutefois à vérifier et à calculer, ainsi qu'une autre qui produit à coup sûr des doubles-marées.
 

Msoleil  = 1,989  x 10e30 kg
Mterre   = 5,972  x 10e24 kg
Mlune   = 7,3456 x 10e22 kg
Vt/s moyenne =
Rts = Dts moyenne = 1,496 x 10e11 mètres
F = GMm/r²
F = ma
a = r²/t
1 an = 365,2425 jours de 24 heures x 24h/jr x 60minutes/h x 60 sec/h =     secondes
1 an => 366,2425 rotations sidérales de la Terre sur elle-même

    Il faut donc calculer les forces centripètes à 6h ou 18h, puis à 12h et 24h.

    Quant à la Lune, elle enlève du poids lorsqu'elle est au-dessus et en ajoute lorsqu'elle est opposée à (de l'autre côté quoi de) la Terre.
 
 
 
 

voir ici le dessin 3
 
 
 
 

    On voit bien que parfois ces deux forces (Fl et Fts) s'aditionnent et parfois elles se soustraient l'une l'autre. Comme la Fts est plus de 2fois Fl, on devrait avoir une fréquence résultante pour les D-M de 24 h avec un ''ripple'' d'une autre fréquence correspondant plus à l'effet de la Lune. Mais comme ce n'est pas le cas, on doit trouver une troixième force plus grande que les 2 autres pour imposer la fréquence des D-M constatée.

    Il s'agit bien de la fréquence des D-M et nom de la marée. Car n'oublions pas que nous avons 2 marées distinctes par cycle de passage de la Lune au-dessus d'un même point fixe à la périférie de la Terre.

    À l'aide des graphiques et des données sur les marées, commençons par les identifier, les jauger et en extraire les fréquences tout en les mettant en évidence. Identifier les effets de la Lune avec le jeu des apogées et périgées, croisements et écarts d'amplitude. Trouver la fréquence pour la Lune séparément de la fréquence des marées. Voir s'il y a concordance et compréhension de l'interaction entre les deux phénomènes.

[27,32166 jrs/rotation de la Lune autour de la Terre;
 28,64 occurences de la lune     au-dessus d'un point fixe à la périférie de la Terre par lunaison;
 28,64 cycle de doubles-marées au-dessus d'un point fixe à la périférie de la Terre par lunaison;
 29,53616453 jrs par lunaison;

Mettre le dessin5 explicatif => rotations T+L/Soleil.

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INTRODUCTION maintenant de l'expérience pour ou sur la creusité de la Terre.

    La lecture de ce rapport ainsi que le visionnement de la conférence de 48 minutes sur ce sujet sont fortement recommandés pour bien comprendre et réaliser le bienfondé de ce qui suit.

Ayant prouvé la creusité de la Terre par la mesure de la variation de la force gravitationnelle en fonction de la profondeur de pénétration du sol et son interprétation à l'aide d'un modèle théorique conçu à cette effet, j'ai pu établirl'épaisseur moyenne de l'écorce terrestre à 2850km, prouvant ainsi la véracité relative et qualitative de plusieurs sources d'informations sur ce sujet. T. Lobsang Rampa parle de l'existence de deux Soleils Centraux et d'un espace pouvant contenir l'équivalent de 5 Lunes (ce que j'ai jadis évalué correspondre à 2800 km d'épaisseur d'écorce restante). Des explorateurs finlandais (un père et son fils; voir le texte ''Le Dieu fumeux'' sur mon site ou sur celui de fred Idyle) pénétrèrent par le Pôle Nord et y vécurent pendant deux ans puis ressortir par le Pôle Sud. Ils constatèrent la présence permanente d'une source de Lumière Centrale. L'Amiral Bird ou Byrd, de la Marine étatsunienne y fit 4 ou 5 visites, dont la principale en 1947  où il y rencontra un haut responsable de l'endroit (un géant de 5 mètres). Le secret de tout cela lui fut imposé durant toute sa longue carrière militaire. Mais les USA y établirent un territoire à partir de l'entrée du Pôle Sud qu'ils qualifièrent de 8ième continent. D'importante allusions à tout ceci ont transpiré dans différents médias de l'époque dans plusieurs pays. On le considérait comme étant le plus grand découvreur de tous les temps pour les USA. Voir l'information ; http://www.jacquesfortier.com/Zweb/JF/TerreCreuse/NouveauContinentUS1959.html

        Il appert que le 2850 km se situe en plein dans la couche ''D'' des géologues; ce qui devrait représenter pour eux un genre de cliché de l'intérieur de la couche de terre et des fonds marins de la surface interne de l'écorce terrestre (de 2890 km à 2790 km d'épaisseur) s'ils voulaient bien oublier leur idée de fer liquide à partir de là.

    Tout ceci pour dire qu'il y aurait 2 masse centrales éclairant en permanebce ces lieux. Or, 2 masses distinctes, quoique très proches, peuvent effectivement provoquer une variation gravitationnelle sur toute masse  circulant ou tournant autour de celles-ci dans certainspositionnement relatif de l'ensemble. Si on présume que ces deux Soleils Centraux se sont accaparés les masses ayant formées les trous des Pôles Nord et Sud, puis s'étant séparée la matière correspondante à la creusité de la Terre lors de sa formation, on peut dire ou approximer la quantité de leur masse à des valeurs similaires. Deplus, en tenant compte du réalisme des densités possibles associées à des volumes plosibles par rapport au volume interne disponible, on peut vérifier les possibilités effectives par une modélisation théorique en faisant varier les valeurs de volumes, de densité moyenne ainsi que de distance coeur-à-coeur.

    Dans un tel contexte, ou une telle démarche, j'avais obtenu une masse dans l'ordre de 1,6537 x 10e21 kg (d'environ 1 à 4 x 10e21 kg)  pour chacun avec une forte densité de 9500 kg/m³  (9000 à 12500 kg/m³). Pour 0,0006 N(de 0,0006 à 0,0012 N)  pour une masse de 3,1 kg. La creusité correspondante était de 2901 km et un rayon de 346 km pour chaque Soleil.

    En fait, chaque jeu de densité moyenne , de volume et de distance donne un résultat différent.... mais plusieurs sont plausibles physiquement et certains correspondent aux 0,000976N ou 0,000885 N qui donne un excellant résultat. Remarquez que la valeur exacte finale n'est pas encore déterminé. mais on en est relativement proche.

    J'avais donc une forte densité et une faible distance d'environ 100 km ou même moins entre les deux surfaces globulaires. Cette faible distance expliquerait la difficulté pour les observateurs en visite sur le plan physique de distinguer ces 2 Soleils Centraux. Notez que Rampa l'avait perçu lors d'un voyage astral

    Aussi, même les géologues constatent qu'une partie des ondes ''P'' passent tout droit au centre de la Terre sur une petite distance seulement pour être par la suite fortement affaibli avant de disparaître complètement sur une certaine portion et après quoi elles réapparaissent par la suite. Ils ne comprennent pas très bien pourquoi d'ailleurs.

    À partir de ces masses approximatives et théoriquement plausibles par des volumes, des densités et des distances réalistes, j'ai calculé la variation maximale possible induite sur une masse de 3,1 kg située à l'équateur et en présumant que les 2 Soleils Centraux étaient à l'horizontale ou sur le même plan que l'équateur.

    La force impliquée, sa variation, était d'environ 8,85 dix millième de Newton. Cela représente une force plus grande que celle exercée pa la Lune, le système terre/Soleil ou la somme de ces deux forces. Pour remplir toutes les conditions recherchées, il ne manquent plus que la fréquence d'application et le positionnement relatif des 2 Soleils Centraux, à l'intérieur de la Terre, par rapport à la Lune s'il y avait une concordance de fréquence.

    La première chose à vérifier était la possibilité d'une variation et c'était le cas. Car le positionnement des 2 Soleils Centraux, avec une distance fixe et non nule entre leur centre, permettait justement d'obtenir une force d'attraction sur un objet distant tournant autour d'eux. Ainsi la force maximale était obtenue lors de l'alignement des trois objets; et un minimum de force d'attraction était obtenu lorsque les deux Soleils Centraux se présentaient côte-à-côte à la masse distante. Le calcul théorique le montre bien. Mais, une rotation complète nous donnait une double variation théoriquement. Ce qui était (est) de très bonne augure, car nous avions là une cause ayant les caractéristiques fondamentales pour provoquer les doubles-marées observées ainsi que leur fréquence. Il suffisait d'imaginer les Soleils Centraux àlignés sur la Lune et tournant sur eux-mêmes à la même fréquence, ou tout au moins à une fréquence très proche. J'ai d'abord essaillé avec des positions alignées, puis côte-à-côte alliées à la fréquence des doubles-marées. Mes premiers essais étaient défaillants, bien que très proches d'un bon résultat. Le problème était de trouver la bonne fréquence de chaque item.

    La contradiction entre les observations et les explications loufoques que les ''scientifiques'' nous servent, peut enfin être résolue tout simplement en orientant et en alignant les deux Soleils Centraux avec la Lune en parfaite continuité ou presque. Ainsi, l'effet attracteur des 2S.C. est diminué dans un des deux cas possible et augmenté dans l'autre cas qui suit environ 12h36 min plus tard tout en conservant la fréquence observée. Le Système Terre/Soleil extérieur ne faisant modifier principalement que l'amplitude des 2 autres causes ou forces.

    Le modèle, ou simulateur, mis au point avec le tableur(chiffrier) Lotus prend en compte ces trois forces, leurs amplitudes varriables dans le temps, leur fréquence, leur cycle variationnelle conue pour la Lune comme pour le Soleil (périgées, apogées et angle fait avec l'horizon. L'amplitude des trois forces pouvant être rapidement modifié.

    [Mettre ici la liste des chiffres utilisés, trouvés, ainsi que leur explication; fréquences surtout, dessins plus graphiques et adresses.

Note: Une corellation doit surement exister entre la surface sous la courble de la Force résultante et le temps. Mais je laisse cela pour ceux qui voudron utiliser les intégrales...
[Mettre ici page 10 dessin4 + données]

 
N.L. => Nouvelle Lune
P.Q, => Premier quartier de Lune
P.L. => Pleine Lune
D.Q. => Dernier quartier de Lune
D-M => Doubles-Marées
=> Marée A (ou onde A)
=> Marée B (ou onde B)
    L'Amplitude maximale des marées joue en fonction de la Position de la Lune au-dessus de nous (un point donné fixe) par rapport à l'horizontal (vers le sud)(pour nous de l'hémisphère nord) et de la distance entre la Terre et la Lune.

    Dans leur interaction avec la Lune, leur amplitute maximale varie.

    Cette variation dépend donc de la rotation de la Lune autour de la Terre et donc de son (la Lune) cycle de 27,32166 jours qui crée un genre de ''ripple'' (vague) de surface sur les ondes A et B.

    Ce ''ripple'' (cette vague) est visible et fait se croiser les deux ondes fictives des Amplitudes maximales A et B. Ces points de croisement ont un double-cycle moyen, observé sur mes graphyques modifiés à cet effet. d'environ 27,384 jours. Ce qui est très proche 27,32166 jours par cycle sidéral + un décallage de 0,0748 jours supplémentaire à cause du déplacement de la Terre au tour du Soleil; soit 27,32166 jrs + 0,0748 jrs = 27,39646 jrs (soit de 0,0455% de différence; ce qui est négligeable), (ou même de 0,228 % de différence par rapport à 27,32166 jrs; ce qui serait encore très peu.).

    Cette vague est donc liée, ou associée, à l'effet que la Lune a sur les marées et n'en représente qu'une petite partie. La Lune n'étant que la troixième cause d'importance sur nos marées.

    Notez que pour chaque double-cycle de croisement il y a une inversion de la valeur dominante de l'amplitude. Les pointes ''violettes'' dominent pour un demi cycle, puis cèdent cette domination pour le demi-cycle suivant aux pointes blanches. Cette caractéristique nous permet de bien identifier la présence d'une différence entre les ondes A et B. C'est aussi ce qui me fait utiliser les expressions ''doubles-marées'' et doubles-cycles dans le phénomène globale des marées. Ce que ne font pas les ''scientifiques''.

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REMARQUE

    Dans ''Les Chahiers Sciences et Vie'' => L'invention du temps, N°134 janvier 2013, France, page 43, nous avons les informations suivantes :

=> 365,242190 jrs/année [si on corrige l'année sur 10 000 ans]
=> soit une différence de 11minutes 12 secondes/année [selon moi toutefois, 365,25000 - 365,24219 = 0,00781 => 11 minutes 14,784 secondes ou ~ 11min15sec]

[ 0,00781 jour/an en trop x 400 ans = 3,124 jours = > une intervention de 3 jours en moins sur 400 ans => les siècles 100, 200 et 300 sont non bissextiles car non divisibles par 4]
[10 000 ans / 400 ans = 25  ==>> le reste en trop de 0,124 jour x 25 fois = 3,1 jours à enlever sur 10 000 ans; donc une autre ponction de 3 années normalement bissextiles qui ne le seront pas... aux 3333 ans par exemple, 6666 et 9999 ... (+ 1582) => qui fut le début du calendrier grégorien.]
    En page 45, nous avons à propos des lunaisons :

=> En moyenne, une lunaison dure 29 jours 12 heures et 44 minutes [Soit 29 jours 12,733333333 heures => 29,530555555 jours]
 

[Quant à moi, pour 6 ans (5,902064305 ans) de lunaisons, du 30 janvier2010 à 06,3 heure au 25 décembre 2015 à22,73333 heure, j'ai obtenu 73 lunaisons en 51736,43333 heures ==>> 708,7182648 heures/lunaison.
Soit 29,5299277 jours par lunaison en moyenne  ~ 29,53 jours.]
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FORMATION DES CORPS CREUX

    Voir la distance croissante de Di :
 

D : distance perpendiculaire entre l'axe de rotation de la Terre et un point à sa surface extérieure.
D équateur : distance maximale => force centripète maximale, effet centrifuge maximal
D Pôle = 0 =>  force centripète nulle, effet centrifuge nulle.
D1 à D6
[Dessin 7]

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Donc, si une grosse roche (ou deux) passe(ent) dans un nuage de poussière, de petites roches, de liquide ou de gaz, alors cette matière est :
soit captée et fusionnée,
soit qu'elle se met à tourner autour du coeur (masse centrale : grosses roches ou ensemble de masse denses),
soit qu'elle est déviée, mais non retenue.
*
Lorsqu'un axe de rotation existe au préalable ou se forme, nous pouvons dire que la matière retenue aux Pôles est fusionnée au coeur après l'avoir rejoint, car aucun effet centrifuge n'est assez fort pour ne la retenir qu'en rotation.
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Ainsi la formation des trous des deux pôles et leur ampleur dépendra de la vitesse de rencontre entre le coeur et la matière en mouvement relatif entre les deux entités. L'équateur aura tendance à conserver un couche de matière sur une plus grande distance et à provoquer un vide intérieur ultérieurement.
[Dessin 8]

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==> C'est automatique, systématique, générale. Presque toute les sphères de grande ampleur sont creuses : planètes, satellites, Soleils, etc..
EXPANSSION ET GONFLEMENT

    ==> La théorie de l'expansion de la sphère terrestre est donc vraie,
    ==> etl'expansion du volume de la Terre provoque la dérive des continents...

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'' PRINCIPE ''

    LA FORCE D'ATTRACTION est nulle à l'intérieur d'une sphère (planète) dont la matière est répartie de façon homogène autour de la partie centrale interne vide et en relation avec cette sphère. Donc, dans une écorce sphérique de masse sphériquement et radialement homogène, la force d'attraction est nulle et le poids n'est dû qu'à la rotation de cette écorce autour d'un axe centrale.

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ERREUR D'INTERPRÉTATION

    Voici un example de mauvaise interprétation des données d'expérimentation de la part des géologues. Ici, ils se contredisent tout en montrant clairement leur contradiction :

    Sur leur graphique, ils commencent par nous dire que la vitesse de propagation des ondes S et P augmentent jusqu'à la fin du manteau intérieur avec l'augmentation de la densité. Puis, même si la vitesse chute verticalement, ils présume, sans raison justifiante, que la densité augmente drastiquement. En fait, ils auraient dû conclure l'inverse : soit que la densit a drastiquement diminué. Mais les préjugés ancestraux bien ancré en eux les a empêché de le conclure et ils ont préféré l'erreur d'interprétation à l'indication claire de ce qu'il en était.

    Les deux trous des Pôles Nord et Sud, mermettent un mélange des gaz intérieur et extérieur de la Terre. Ainsi, la pression du gaz interne est beaucoup plus dense et élevée que l'atmosphère externe au niveau de la mer. C'est pourquoi la chute de pression ne va pas rejoindre le niveau extérieur de l'écorce terrestre, mais s'arrête à un niveau plus élevé pour se conformer à la plus grande pression se trouvant à environ 2885 km de la surface externe. Puis, comme la pression de ce gaz augmente jusqu'au noyau interne(ou double-soleils centraux), la densité va encore en augmentant ce qui fait aussi agmenter la vitesse de propagation de l'onde P. Remarquez que l'onde S est arrêtée par la présence de ce gaz et ou du liquide de transition; du fond des mers, de l'océan se trouvant à la surface interne de l'écorce terrestre.

Voici un graphique de la densité en fonction de la profondeur plus compatible avec les résultats d'expérience.

    Il est intéressant que cela soit beaucoup plus conforme avec la réalité d'une Terre Creuse telle que je l'ai prouvé, qu'avec la très théorique idée et affirmation d'une Terre Pleine.

    De plus, il semblerait que le coeur de la Terre soit beaucoup moins dense que ce qu'on nous dit; de l'ordre de 7500 à 8000 kg/m² plutôt que 13000 kg/m².

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