#Software: Microsoft Internet Information Services 5.1 #Version: 1.0 #Date: 2006-09-01 21:34:49 #Fields: date time c-ip s-port cs-method cs-uri-stem cs-uri-query sc-status sc-bytes cs-bytes time-taken cs(Referer) 2006-09-01 21:34:49 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa04 - 404 4385 169 2013 - 2006-09-01 21:34:49 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa03 - 404 4385 169 40 - 2006-09-01 21:34:49 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa04 - 404 0 169 120 - 2006-09-01 21:34:49 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa03 - 404 0 169 120 - 2006-09-01 21:34:49 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa02 - 404 0 169 30 - 2006-09-01 21:34:49 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa02 - 404 0 169 10 - 2006-09-01 21:34:49 192.168.0.187 80 PROPFIND /RAMPA - 207 971 167 170 - 2006-09-01 21:34:50 192.168.0.187 80 PROPFIND /RAMPA - 207 971 185 10 - 2006-09-01 21:34:50 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa - 207 971 167 0 - 2006-09-01 21:34:50 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa - 207 971 167 0 - 2006-09-01 21:34:50 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa/target.lnk - 404 0 178 30 - 2006-09-01 21:34:50 192.168.0.187 80 PROPFIND /ovniaudio - 404 0 171 10 - 2006-09-01 21:34:50 192.168.0.187 80 PROPFIND /ovniaudio - 404 0 171 40 - 2006-09-01 21:34:50 192.168.0.187 80 PROPFIND /logicielsjf - 404 0 173 10 - 2006-09-01 21:34:50 192.168.0.187 80 PROPFIND /logicielsjf - 404 0 173 10 - 2006-09-01 21:34:50 192.168.0.187 80 PROPFIND /ftprootF350 - 404 4385 173 10 - 2006-09-01 21:34:50 192.168.0.187 80 PROPFIND /ftprootF350 - 404 4385 173 10 - 2006-09-01 21:34:51 192.168.0.187 80 PROPFIND /FTP350Mhz - 401 4979 171 190 - 2006-09-01 21:34:51 192.168.0.187 80 PROPFIND /FTP350Mhz - 401 4475 314 30 - 2006-09-01 21:34:51 192.168.0.187 80 PROPFIND /FTP350Mhz - 401 4979 171 0 - 2006-09-01 21:34:51 192.168.0.187 80 PROPFIND /FTP350Mhz - 401 4475 314 10 - 2006-09-01 21:39:52 192.168.0.187 80 PROPFIND /terrecreuse - 404 0 173 20 - 2006-09-01 21:39:52 192.168.0.187 80 PROPFIND /terrecreuse - 404 0 173 10 - 2006-09-01 21:39:52 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa06 - 404 0 169 10 - 2006-09-01 21:39:52 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa06 - 404 0 169 10 - 2006-09-01 21:39:52 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa05 - 404 0 169 10 - 2006-09-01 21:39:52 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa05 - 404 4385 169 10 - 2006-09-01 21:39:54 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa04 - 404 0 169 10 - 2006-09-01 21:39:54 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa04 - 404 0 169 10 - 2006-09-01 21:39:59 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa03 - 404 0 169 10 - 2006-09-01 21:39:59 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa03 - 404 0 169 10 - 2006-09-01 21:39:59 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa02 - 404 0 169 10 - 2006-09-01 21:39:59 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa02 - 404 0 169 10 - 2006-09-01 21:39:59 192.168.0.187 80 PROPFIND /RAMPA - 207 971 167 0 - 2006-09-01 21:39:59 192.168.0.187 80 PROPFIND /RAMPA - 207 971 185 10 - 2006-09-01 21:39:59 192.168.0.187 80 PROPFIND /RAMPA - 207 971 185 0 - 2006-09-01 21:39:59 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa - 207 971 167 10 - 2006-09-01 21:39:59 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa - 207 971 167 0 - 2006-09-01 21:39:59 192.168.0.187 80 PROPFIND /rampa/target.lnk - 404 0 178 20 - 2006-09-01 21:39:59 192.168.0.187 80 PROPFIND /ovniaudio - 404 0 171 10 - 2006-09-01 21:39:59 192.168.0.187 80 PROPFIND /ovniaudio - 404 4385 171 20 - 2006-09-01 21:39:59 192.168.0.187 80 PROPFIND /logicielsjf - 404 0 173 10 - 2006-09-01 21:39:59 192.168.0.187 80 PROPFIND /logicielsjf - 404 4385 173 11 - 2006-09-01 21:39:59 192.168.0.187 80 PROPFIND /ftprootF350 - 404 0 173 10 - 2006-09-01 21:40:00 192.168.0.187 80 PROPFIND /ftprootF350 - 404 0 173 10 - 2006-09-01 21:40:00 192.168.0.187 80 PROPFIND /FTP350Mhz - 401 4979 171 0 - 2006-09-01 21:40:00 192.168.0.187 80 PROPFIND /FTP350Mhz - 401 4475 314 10 - 2006-09-01 21:40:00 192.168.0.187 80 PROPFIND /FTP350Mhz - 401 4979 171 0 - 2006-09-01 21:40:00 192.168.0.187 80 PROPFIND /FTP350Mhz - 401 4475 314 0 - 2006-09-01 21:40:05 192.168.0.187 80 PROPFIND /INETPUB - 404 0 169 10 - 2006-09-01 21:40:05 192.168.0.187 80 PROPFIND /INETPUB - 404 4385 169 10 - arée, supprimer des éclairs, etc. Si la tendance actuelle à un temps imprévisible et froid se maintient, les pays qui en souffriront le plus seront l'Amérique du Nord, le Canada, l'Europe du Nord et la Russie. Voler "le temps" aux pays pauvres à l'aide d'une technologie sophistiquée pourrait devenir un réel problème dans un proche avenir quand des catastrophes "naturelles", telles que la famine et la sécheresse, toucheront les nations moins développées. Cela pourrait même conduire à des guerres. Comme toutes les tentatives pour diriger les forces de la nature, cette technologie provoque des répercussions multiples. Jusqu'à aufourd'hui, il n'y a pas de lois internationales qui limitent le "monopole du temps". A ce qu'il paraît, il rapporte bien à ceux qui l'ont en main. Provoquer un type de temps dans un endroit n'est possible qu'en diminuant son potentiel dans un autre endroit.

"En 1973, le Honduras accusa les États-Unis de voler sa pluie et de provoquer une grande sécheresse en détournant artificiellement l'ouragan "FIFI" pour sauver l'industrie touristique de la Floride. Cet ouragan a causé les plus grands dégats jamais vus dans l'hisioire de l'Honduras. Le Salvador, subissant le fléau de la sécheresse, a porté des accusations similaires contre les Etats-Unis, comme le Japon qui croit qu'on lui a volé le peu de pluie nécessaire à toute vie en déclenchant le typhon à Guan. La Rhodésie ainsi qu'Israël furent accusés par les nations voisines de leur voler La pluie. (...) Les Nations-Unies travaillait à interdire toute guerre touchant à l'environnement mais c'est une affaire complexe et difficile et il est, pour ainsi dire, impossible d'y arriver. Lowell Ponte cite dans "The cooling", des fonctionnaires de l'armée qui avouèrent que des avions du gouvernement étatsunien avaient mis fin à l'aridité des terres aux Philippines et aux Açores pour protéger les intérêts militaires des États-Unis. Mais on refusa de satisfaire à la requête de plusieurs autres nations appartenant à la zone du Sahel africain ou la population souffrait de la sécheresse et mourrait de faim. On leur dit qu'ils pouvaient s'adresser à des firmes privées étatsuniens. Ponte décrit aussi des projets qu'ont les Soviétiques et qui visent à modifier de façon draconienne les structures atmosphériques en URSS dans le but d'augmenter la production agraire." (116A)

Il y a, de plus, des preuves que l'énorme boulversement causé au temps en 1982/83 par El Nino dans l'océan Pacifique a été provoqué intentionnellement par une intervention des Soviétiques dans l'ionosphère. Le phénomène appelé El Nino est une perturbation du temps d'origine naturelle dans la région du Pacifique qui se produit environ tous les dix ans. En général, il provoque d'importantes chutes de pluie dans des petites parties du Pérou et dans une zone limitée en face de la côte ouest de l'Amérique du Sud. Cependant, lorsque El Nino eut lieu en 1982/83, ses effets furent énormément changés : les alizés à l'équateur qui soufflaient d'Est en Ouest dans l'hémisphère Sud furent, pour ainsi dire, refoulés, ce qui retint les courants d'eau chaude qui s'écoulaient normalement vers l'Asie. L'eau se mit alors à refluer et a s'accumuler devant la côte ouest de l'Amérique du Sud. Pour des raisons inconnues des météorologues, les alizés se mirent à souffler dans la direction opposée, ce revirement apporta des chutes de pluie diluviennes au Pérou et causa des périodes de sécheresse en Australie. Ces alizés provoquèrent aussi des tremblements de terre, des coulées de boue ainsi que des tornades dans le Sud de la Californie et le long de la côte est de l'Amérique du Nord et de l'Alaska.

Cet exemple explique précisément les conséquences des ondes ELF qui sont envoyées à travers la Terre vers l'ionosphère à l'aide d'un émetteur-renforçateur Tesla pour provoquer de gigantesques vagues stationnaires. Celles-ci servent alors de mécanime pour bloquer la camps atmosphérique afin de provoquer de façon soudaine un bouchon inattendu avec les alizés soufflant d'Est en Ouest dont nous venons de parler. Déjà en 1978, le Dr Michrowsi du Département d'Etat canadien disait que les Soviétiques avaient réussi à bloquer la résonance électrique de la Terre et qu'ils étaient, par là même, capables d'émettre des ondes stationnaires relativement stables et assez bien localisées gràce auxquelles le Jet Stream au-dessus de l'hémisphère Nord pouvait être endigué ou déplacé.

Outre le dommage que cause la modification du temps au moyen des ondes ELF sur les structures naturelles du temps, sur le rythme des marées et outre les maladies qu'elle provoque chez l'homme, a aussi un effet négatif sur les animaux qui, c'est bien connu, sont dépendants des courants chauds du vent et de la mer pour se déplacer. Ils sont dérangés dans leur rythme naturel et donc condamnés à mort. Des volées d'oiseaux qui recherchent leur ile habituelle pour y nicher ne la trouvent pas et des baleines perdent toute orientation à cause des changements des courants de la mer. (Vous trouverez des informations
excellentes dans le livre de Nikola Tesla : "Freie Energie statt Blut und Öl" (Energie libre à la place du sang et pétrole), paru en 1991 à VAP Verlag, Wiesbaden.)

Le lecteur ne devra pas perdre de vue que dans le cas d'une éventuelle période glaciaire, il n'aura pas beaucoup d'alternatives pour échapper à cette situation ainsi qu'aux conséquences de la pollution. Ceci ne touche cependant guère l' "élite" qui est très consciente, depuis au moins 1957, des conditions dévastatrices subies par notre environnement.

Cette année-là, les scientifiques les plus éminents se rencontrèrent à Huntsville, en Alabama, pour exploiter les données et les informations du programme de satellites nouvellement installés. Un des participants, le Dr Carl Gerstein, fit le pronostic suivant : La pollution de la couche supérieure de l'atmosphère et les centaines de milliards de tonnes de CO2 qui s'y sont accumulées, auraient des conséquences catastrophiques d'ici la fin du siècle. On en arriva à penser qu'au cours du siècle prochain, la vie humaine ne serait plus possible à la surface de la Terre. Il s'ensuivit le plan qui, de nos jours, est sûrement connu par la plupart des spécialistes d'OVNIs et dont la publication coûta la vie à plusieurs personnes. Il s'agit de l' "ALTERNATIVE 3".

Le plan était le suivant :

ALTERNATIVE 1 : faire exploser une ogive nucléaire dans la stratosphère pour permettre au CO2 de se volatiliser ;

ALTERNATIVE 2 : la construction de gigantesques villes souterraines autonomes où seraient évacuée "l'élite de la société" qui pourrait y séjourner jusqu'à ce qu'il devienne à nouveau possible de vivre à la surface de la Terre ;

ALTERNATIVE 3 : la colonisation d'une autre planète, par ex. de Mars.

ALTERNATIVE 1 : elle fut déclarée, plus tard, trop dangereuse et fut exclue du plan. Par contre, les deux autres alternatives furent lentement mais sûrement mises en place.

ALTERNATIVE 2 : d'après mes recherches, elle comprend 75 villes souterraines dont 65 sur le seul continent de l'Amérique du Nord, une dans les Alpes suisses, une à Transvaal, en Afrique du Sud, et une à Pine Gap, en Australie (les autres noms m'ont échappé, car je n'ai eu que peu de temps pour consulter cette liste). Parmi les villes souterraines aux États-Unis se trouvent les bases souterraines de Dulee Base à New Mexico ; Area 51 à Groom Lake, au Nevada ; le
"Country Club" à Maryland et Los Alamos, surnommé "Dreamland", en Californie. On y mène aussi des expériences génétiques sur l'homme (des clones), on y fait des essais en vol et on y reconstruit des soucoupes volantes qui se sont écrasées, et on y teste des inventions, telles que les groupes motopropulseurs pulsar.

En avril 1992, j'interviewais une dame à Sidney en Australie qui ne désire pas être nommée ici. Elle avait travaillé pour une équipe de nettoyage en Australie et elle avait pénétré, dans le cadre de son travail, dans la base souterraine de l'armée de l'air "PINE GAP". Elle rapporta les faits suivants malgré les lourdes menaces qu'elle reçut : Pine Gap aurait environ 13 km de profondeur et fonctionnerait gràce à l'énergie libre, avec des lacs souterrains, des trains suspendus, des cultures de fruits et légumes etc. D'après des informations officielles, Pine Gap peut survivre sans problème à une attaque atomique. (Vous trouverez plus de renseignements sur PINE GAP dans le livre "Cosmic Conspiracy" de Stan Dejos.)

ALTERNATIVE 3 : Ce projet se serait concrétisé ~à partir de 1959. On avait déjà construit des soucoupes étatsuniens à la fin des années 50 avec l'aide de scientifiques allemands qui avaient participé à la construction des soucoupes en Allemagne, entre autres gràce à Victor Schauberger (Vril 7) et gràce à l'étude des soucoupes volantes retrouvées écrasées sur le sol à l'ouest des États-Unis. On lança un projet secret, parallèle au programme spatial officiel, afin d'étudier la surface lunaire à l'aide de la technique des soucoupes volantes. À partir de 1960, on se mit à construire deux bases lunaires occupées par les étatsuniens et les Russes, situées à l'est de la "MARE IMBRIUM". Ce furent les bases "ARCHIMEDES BASE" et "CASSINI BASE", d'après les noms des deux cratères où elles furent érigées. Ces bases lunaires étaient des stations intermédiaires en vue de voyages sur Mars.

Le premier atterrissage sur Mars avec un équipage aurait eu lieu le 22 mai 1962. Cet atterrissage ainsi que le vol au-dessus de la surface de Mars accompagnés des commentaires de l'équipage américano-russe enregistrés à partir de la soucoupe.

En janvier 1977, le collaborateur de la NASA Harry Carmell transmit ce film à Sir William Ballantine, un radioastronome connu.

Le 6 février 1977, Ballantine eut un rendez-vous avec John Hendry. dirigeant d'un journal international, pour commenter la sortie de ce film. Ballantine mourût mystérieusement d'un accident d'automobile en se rendant chez Hendry. Gràce à l'aide de la femme de Ballantine et de Carmell, le film arriva finalement entre les mains de l'équipe de télévision de "Science Report" à la à la station anglaise "Scepter TV". Il fut diffusé à l'émission suivante de "Science Report" La station de télévision reçut peu après "l'avertissement" qu'on allait lui retirer sa licence si jamis elle continuait à traiter ce même sujet. Le film qui avait été pris du cockpit de la soucoupe permet de voir brièvement les instruments qui se trouvent devant le pilote et qui montrent que la pression extérieure de l'air est à 700 millibars et la température extérieure à 4°C. Les astronautes, dont les voix sont enregistrées jubilent d'allégresse et s'exclament, entre autres : "Nous sommes le 22 mai 1962, nous sommes sur Mars - nous avons de l'air pour respirer !" (117)

Remarque de l'auteur :

Je me suis, jusqu'ici, abstenu d'émettre mem propres hypothèses, je voudrais cependant, vous en communiquer une maintenant. J'entends beaucoup de lecteurs qui disent : "Balivernes que tout ceci, nous savons bien que la vie sur Mars est impossible..."

La question que je vous pose est : Le SAVEZ-VOUS vraiment ? Soyons donc honnêtes, la seule chose que nous pouvons savoir de la planète Mars, c'est ce que nous glanons ici et là dans les rapports de la NASA et dans les livres scolaires usuels. On a DIT au public qu'il n'y a pas de vie sur Mars mais qu'en SAVONS-NOUS ? Soyons conscients que nous avons à faire de nouveau à des monopoles quand il s'agit de programmes de l'espace et que personne, excepté les scientifiques qui participent directement au projet, n'est VRAIMENT au courant.

Quelles que soient les informations qu'ils puissent nous donner, il nous faut bien les croire puisque nous ne pouvons aller sur Mars pour vérifier de nos propres yeux. Partons du principe que Mars est vraiment une planète "morte" : alors tout serait comme d'habitude, nous serions obligés de rester sur la Terre, sans espoir de pouvoir vivre une aventure ailleurs. Mais supposons qu'il existe une forme de vie quelconque sur Mars (peut-être sous des coupoles en verre avec de l'air filtré), croyez-vous qu'on nous ferait cette confidence si facilement ? Qu'il y ait eu, à une certaine époque, une vie douée d'intelligence sur Mars, les photos prises par Viking 1 le 31 juillet 1976 le prouvent ; prises d'une hauteur de 1.278 miles au-dessus de l'hémisphère Nord, elles montrent le visage martien bien connu aujourd'hui (1.5km de long), au côté gauche duquel se trouvent les formes symétriques de plusieurs pyramides. La seule présence de ces constructions est déjà suffisamment révolutionnaire pour ébrailler dans leurs fondements toutes les religions du monde qui se prétendent telles. Ces constructions laissent entendre que l'humanité terrestre n'est pas unique, qu'elle est donc loin d'être le "chef-d'oeuvre de la création".

La présence de ces pyramides permet de prendre en considération deux théories qui anéantissent toutes les histoires racontées jusqu'ici sur le passé de l'homme. Les constructeurs de ces pyramides étaient, peut-être, nos ancêtres humains. Mais si c'était le cas, comment sont-ils parvenus de Mars sur la Terre ? Ils ont dû avoir des vaisseaux spaiaux, ils disposaient donc d'une technique très avancée, ce que nient, comme on le sait, notre religion occidentale et notre science. Ou bien les constructeurs de ces pyramides n'étaient pas apparentés avec les habitants terrestres, ce qui signifie qu'ils apportent un témoignage d'une forme de vie extra-terrestre, ce qui est réfuté aussi par notre religion et notre science. Il est possible que ces construcccurs n'aient pas disparu mais soient simplement descendus d'un étage. Mais s'ils ont réellement colonisé la Terre à une époque quelconque, on peut supposer qu'ils forment, aujourd'hui, une des races principales de la Terre. (Peut-être s'agit-il de la race "ROUGE" comme le dit déjà leur nom ?)

Nous aurions le choix parmi Les races assez diverses qui affirment que le passé recèle un tel événement. Même les mouvements des canaux de Mars, inexpliqués jusqu'à nos jours par les astronomes font pencher plutôt pour la thèse que Mars n'est pas une planète tout à fait morte. Si la planète Mars est vraiment morte comme le prétendent quelques scientifiques, et s'il n'y a pas d'autre vie dans l'Univers si ce n'est sur Terre, si nous autres, hommes de la Terre, pouvons nous promener sans la moindre gêne (au moins déjà dans notre système solaire), la question suivante se pose : Qu'advient-il de la sonde "Phobos II" qui atterrit en 1989 sur Phobos ? Avant que la sonde ne pût poser un module d'atterrissage sur la petite lune de Mars, le contact radio s'éteignit à jamais pour des motifs encore inconnus. Il en fut de même pour la sonde étatsunien Observer : elle disparut le 24 août 1993. avait eu, entre autres, pour mission de faire de nouvelles photos du visage matrien et des pyramides. Etonnant, n'est-ce pas ? (Dnsm la video étatsunien "Hoaglands Mars", vous trouverez des faits retentissants : les adresses sont dans l'appendice)

Le mieux est que vous vous fassiez votre propre opinion sur Mars. Les villes terraines envisagées dans l'ALTERNATIVE 2 existent bel et bien. On peut se poser la question suivante : si on a réalisé Alternative 2, pouqruoi n'aurait- on pas réalisé l'Alternative 3 ?

(L'histoire complète de l'Alternative 3 est décrite dans le livre de Leslie Watkins : "Alternative 3" (voir bibliographie). Elle y décrit les conditions qui règnent soi-disant sur Mars et son atmosphère. On y apprend qu'on nous a caché les informations. On y découvre la construction de bases, les mesures prises pour se protéger et se camoufler, l'aménagement prévu pour le personnel, les moyens de transport, le lavage de cerveau du personnel et les difficultés rencontrées. Dans l'appendice se trouve aussi une adresse où on peut se procurer le film.)

Ainsi que vous pouvez vous en renchre compte, le sujet des "OVNIs" a parfois une signification beaucoup plus terrestre et réaliste qu'on ne le croit. Vous comprendrez maintenant, je l'espère, pourquoi d'énormes sommes d'argent sont dépensées : il faut faire taire les chercheurs qui trouvent le secret de la construction d'engins volants gràce à un carburant qui ne peut être monopolisé ou taxé par un quelconque konzern que notre Terre.

Il y a, cependant, des personnes privées qui ont construit des disques volants et s'en servent, ce qui est, évidement, loin de plaire aux multinationales. Il faut savoir qu'on ne peut pas acheter tous les scientifiques et tous les inventeurs. Certins ont compris que plutôt que de faire breveter une telle invention, il vallait mieux la mettre aussitôt en production. Dans le cas contraire, ils auraient très vite quelqu'un à leur porte, soit pour leur acheter leur brevet et le faire disparaître à jamais, soit pour les menacer puisque l'élite ne désire pas que ces inventions voient le jour. Si vous voulez vous intéresser de plus près à ce genre d'engins volants ou aux machines a "énergie libre", écrivez à l'adresse de l'éditeur qui vcous fournira les renseignements nécessaires pour obtenir des contacts.


UNE ARME : L'ENERGIE







L'Allemagne et les autres pays occidentaux sont, de temps en temps, confrontés avec ce qu'on appellee une "crise de m'énergie" provoquée par les banquiers internationaux.

En l974, par exemple, le prix du pétrole brut monta en spirale à cause de l'embargo de l'OPEP sur le pétrole. Les banquiers internationaux avaient conclu, en coulisse,un accord avec les dirigeants arabes de l'OPEP. Le principe est très simple. Les Arabes y gagnaient, car le prix montait. l'automobiliste, c.-à-d. l'acheteur, payait, et les konzerns du pétrole encaissaient. ce fut le cas pour ARCO, SHELL, MOBIL, EXXOR, etc. qui étaient reliés avec la "Chase Manhattan Bank" (Rockefeller). La Chase Manhattan Bank avait, de son côté, conclu un accord avec les dirigeants do l'OPEP. Ceux-ci avaient vendu cher leur pétrole et leur part dans le marché consistait à placer leurs bénéfices pour 30 ans à 7% d'intérêt à la Chase Bank.

Gràce à ces investissements, des prèts colossaux ont été consentis à des pays du tiers monde comme le Mexique, le Brésil et l'Argentine. Ces pays sont alors saignés par les remboursements excessivement élevés. Pour équilibrer ces remboursements d'intérêts, ce qu'ils ne peuvent faire avec de l'argent, ils sont obligés de subir un chantage de la part des banques et d'accepter qu'elles une influence encore plus grande sur leur économie et leur politique. Les dirigeants sont donc contraints de se plier aux éxigences des banquiers internationaux, sinon ils se verront remplacés par d'autres pions.

Les banquiers internationaux on, comme vous le voyez, tiré profit, à plusieurs reprises de l'embargo. D'abord gràce aux investissements des pays de l'OPEP, puis aux gains des konzerns du pétrole, qui sont assujettis aux banques et gràce aussi aux intérêts des prêts alloués aux pays du tiers monde. Les dettes de ces pays leur ont permis, de plus, d'avoir la mainmise sur eux.

Selon les médias, la faute repose sur ces méchants Arabes mais personne ne mentionne les véritables auteurs. Les banquiers internationaux qui ont passé les contrats avec les pays pétroliers arabes.

Il y a, heureusement, toujours des journaux assez indépendants, tels que le "Spotlight" aux Etats-Unis et la "Neue Solidarité" en Allemagne, qui, eux au moins, osent en dire plus sur les Illuminati que d'autres journaux. (118)


LA CIA ET LE SHAH D'IRAN







En 1979, la révolution en Iran chassa le shah que tous haissaient et qui avait accédé au pouvoir gràce à la CIA en 1953. Comme c'est la règle, la plupart des employés d'une ambassade étatsunien sont aussi membres de la CIA. Les rebelles iraniens, qui étaient au courant se vengèrent en prenant pour otages les membres de l'ambassade étatsunien (de la CIA). La CIA se vengea alors, elle aussi, en faisant comprendre au chef de l'Irak, SADDAM HUSSEIN que c'était une période très propice pour envahir l'Iran, affaibli à ce moment-là, ce qui reste, d'ailleurs, à prouver.

L'invasion d'Hussein fut couronnée de succès et, par la suite, les preneurs d'otages iraniens firent savoir à Jimmy Carter qu'ils libéreraient les otages en échange d'armes. La majorité des armes que les Iraniens possédaient pendant le régime du shah venait, de toute façon, des Etats-Unis. Les Iraniens étaient donc obligés de recevoir les munitions et les pièces de rechange des Etats-Unis. Le président Carter refusa, cependant, de se prêter à ce marché et donna pour mission secrète à la CIA de libérer les otages (Desert One).

Mais la CIA n'aimait pas particulièrement Carter, car il avait réduit rigoureusement leur budget. C'est pour cela qu'eut lieu un sondage d'opinion anticipé pour savoir qui, de Carter ou Reagan, gagnerait les prochaines élections. Le peuple opta pour Carter. La CIA préférait, cependant, Reagan et elle projeta donc de saboter l'opération de sauvetage "DESERT ONE" afin que Carter perde la face.

Au même moment, WILLIAM CASEY, ex-chef de la CIA et président du comité électoral de Reagan, avait pris contact avec le chef révolutionnaire d'Iran, l'AYATOLLAH KHOMEYNI. William Casey dit à ce dernirer que ce serait Reagan qui allait gagner les élections et que lui, Khomeyni, devait donc traiter avec lui, en tant que repésentant de Reagan. William Casey avait une bonne réputation, car c'était gràce à lui que l'URSS avait pu construire l'entreprise "Kama-Fluss" (le plus grand fabricant de camions au monde). Casey étant aussi directeur de la banque "Export-Import", Khomeyni décida de collaborer avec lui.

La troisième semaine d'octobre 1980, GEORGE BUSH (futur président et membre de "Skull & Bones") et RICHARD ALLEN, en qualité de représentant de Casey, rencontrèrent les représentants des extrémistes iraniens d'Hesbollah à l'hôtel Raphaël;l à Paris. Là, il fut convenu que les Etats-Unis fourniraient des armes à l'Iran via Israël;l et que les Iraniens relàcheraient alors les otages lorsque Reagan serait élu président. La livraison d'armes devait commencer deux mois plus tard (en mars 1981).

Le sabotage programmé de l'opération de sauvetage de la CIA se passa "comme sur des roulettes" (en effet, l'opération tourna mal). et Carter fut remplacé par Reagan. Les otages furent libérés et la première livraison d'armes à l'Iran eut lieu via Israël;l. Du 24 au 27 juillet 1981, le trafiquant d'armes israélien Yaacov Nimrodi signa un contrat in 135 millions de $ avec l'Iran, stipulant la livraison de 50 "Land Missiles", 50 "Mobiles" et 68 "Hawk Anti-Aircraft Missiles".

Un autre marché, dévoilé depuis lors, concerna le trafic d'armes du Suisse Andras Jenni et de Stuart Allen McCafferty. Ils envoyèrent 360 tonnes de pièces de char M-48 en Iran par fret aérien avec le CI-44, qu'ils avaient loué à une compagnie argentine de transport aérien, la "Transports Aereo Rioplatense". Le tout leur coûta 27 millions de $ et leurs deux premiers vols à destination de l'Iran en décollant d'Israël;l furent une réussite. Le 28 juillet 1983, cependant, leur avion, au retour du troisième trajet, fut abattu au-dessus de l'Arménie soviétique par un MIG-25 russe.

Ces marchés d'armes n'auraient, sans doute, pas été possibles sans George Bush et Richard Allen.

Dans ce cas aussi, les versions officielles présentées par les services d'informations étaient loin de refléter la réalité. (119)


SADDAM HUSSEIN ET "DESERT STORM"







L'Irak venait juste de sortir d'une guerre insensée contre l'Iran qui n'avait d'autre but que de permettre aux trafiquants d'armes multinationaux de faire des bénéfices fantastiques. Au début des années quatre-vingts, les Etats-Unis avaient avaient fait parvenir, en effet, à l'Irak des renseignements erronés, soi-disant parvenus à leur services secrets (nous en avons déjà pris connaissance) qui suggéraient une victoire rapide contre l'Iran. Mais cette longue guerre avait fortement épuisé l'économie irakienne (65 millions de $ de dettes rien qu'en 1989).

La France avait été le principal fournisseur d'armes après l'URSS.

Le temps était venu, et d'après la lettre d'Albert Pike, c'était la phass finale, de déclencher la troisième et denière guerre. Pour cela, et pensé, car d'après l'Apocalypse de saint Jean, la dernière bataille débutera au Proche-Orient. Ainsi, les croyants mal informés de la géopolitique et ceux qui sont fidèles à la Bible sont mis sur une mauvaise piste en croyant que c'est le Jugement dernier.

Cest pourquoi on voulut tendre un piège à SADDAM HUSSEIN. Il devait fournir à l'Angleterre et aux Etats-Unis le pretexte pour une intervention militaire, soi-disant pour assurer l'approvisionnement du monde en pétrole. En juin 1989, une délégation composée d'Alan Stoga (Kissinger Assoc, Ltd.), de membres des comités de direction de Bankers Trust, Mobil, Occidental Petroleum, etc. se rendit à Bagdad sur l'invitation de Saddam Hussein. Ils rejetèrent le projet du barrage Badush qui aurait rendu l'Irak indépendant de l'importation de denrées alimentaires en moins de cinq ans. Ils insistèrent pour que Hussein règle, d'abord, les dettes de l'Etat et privatise donc, au moins en partie, son industrie pétrolière. Il s'y refusa, bien évidemment.

Fin 1989, 2.3 milliards de $ que George Bush avait déjà consentis à l'Irak furent bloqués (à lit Banca Nationale del Lavoro BNL). C'est ainsi que, début 1990, il ne fut plus possible à l'Irak d'obtenir quelconque crédit des banques occidentales. C'est alors qu'entra en jeu le cheikh Al-Sabah, émir du Koweit et ami de la famille royale anglaise. Celui-ci avait fait passer de l'argent en Irak sur l'ordre de Londres et Washington pour qu'on continue la guerre qui durait depuis hUit ans et qui apportait aux trafiquants d'armes de l'argent et à Israël;l des avantages politiques. Début 1990, le Koweit reçut l'ordre d'inonder le marché avec du pétrole à bas prix et cela à l'encontre de tous les accords signés avec l'OPEP. Les autres pays de l'OPEP dont l'Irak déployèrent des efforts diplomatiques pour que le Koweit renonce à sa politique destructrice. Sans, succès. En juillet 1990, ce fut l'escalade des disputes entre le Koweit et l'Irak. Lors de la rencontre des Bilderberger du 6 au 9 juin 1990, il avait déjà été décidé ce qu'April Glapsie, l'ambassadrice étatsunien à Bagdad, communiquait à Saddam Hussein le 27 juillet :

"Les Etats-Unis ne prendront pas position dans la querelle entre l'Irak et le Koweit." (l'Irak publia le compte-rendu officiel de cet entretien après le début de la guerre.)

Ce fut, naturellement, le "feu vert" pour Saddam. Le 2 août, les troupes irakiennes entrèrent au Koweit. La CIA avait, bien sûr, averti auparavant la famille de Saddam, celle-ci avait quitté le pays avec son parc de Rollce-Royce et ses joyaux.

Les six mois suivants, on put asiter à une pièce de théàtre bien mise en scène. George Bush annonça, le 11 septembre, son "Nouvel Ordre mondial". Il y eut de nombreuses négociations pour éviter une guerre qui était décidée depuis longtemps. C'est ainsi que les troupes étatsuniens parirent pour la guerre du Golfe le 15 janvier 1991.

James H. Webb, commandant en chef de la marine sous Reagan, déclare à propos de ce scénario :

"Le but de notre présence dans la golfe Persique est d'inaugurer le "Nouvel Ordre mondial" du gouvernement Bush (la marionnette des Illuminati) ; cela ne me plait pas du tout."

Si vous compariez, une fois de plus, les nouvelles qui étaient alors diffusées... (120)

Un an avant le début de la guerre du Golfe, William Cooper avait déjà annoncé la date exacte de l'entrée des troupes étatsuniens. Il l'avait vue dans des documents secrets auxquels il avait accès quand il était officier dans la Naval Intelligence (service secret de la NAVY). Il communiqua cette date, entre autres, lors d'un séminaire qui fut enregistrël; sur vidéo. Cette guerre avait donc été préméditée et préparée déjà longtemps auparavant. C'est le cas aussi pour la troisième guerre mondiale, que cela vous plaise ou non !


QUE RESERVE LE FUTUR AU PROCHE-ORIENT ASSAILLIE DE CONFLITS ?







Des Griffin écrit à ce sujet que la déclaration faite par le Parlement israélien en juillet 1980 qui affirmait que Jérusalem était désormais la capitale politique d'Israël;l pourrait être de la plus grande importance. Cela ne signifie-t-il pas que les sionistes ont des visées encore bien plus ambitieuses ? Depuis des années, c'est un fait reconnu que les sionistes se proposent de faire de Jérusalem la métropole administrative d'un gouvernement mondial. Ce but a été exposé par DAVID BEN GURION, le Premier ministre d'Israël;l, en 1962. Des tentatives pour établir une telle alliance mondiale en prenant Jérusalem comme Quartir général déclencheraient, à coup sûr, la troisième guerre mondiale que prophétisait l'un des plus grands Illuminés, Albert Pike, dans sa lettre à Mazzini. Pike dit que cette troisième guerre mondiale éclatera au Proche-Orient à cause de l'inimitié entre les Arabes et les Israéliens et qu'elle se terminera par l'instauration d'une dictature mondiale.

JAMES WARBURG résume, dans son discours devant le Sénat étatsunien le 17 janvier 1950, l'attitude des banquiers internationaux face à l'édification d'un système d'ecsclavage pour tous les hommes :

"Nous aurons un gouvernement mondial que cela nous plaise ou non. Reste seulement à savoir si on y arrivera en l'imposant aux hommes ou s'ils s'y plieront de plein gré."

D'après William Cooper, la troisième guerre mondiale est prévue pour la mi-1996. Il a tiré cette information de documents secrets qu'il photocopia pendant son service à la Naval Intelligence (service secret de la NAVY), D'après ces documents, il est prévu d'anéantir une des plus grandes villes des Etats-Unis (New York, San Francisco ou Los Angeles) en y lançant une bombe atomique.

On en rendrait responsables des extrémistes du Proche-Orient en crise (l'Irak ?) pour pouvoir justifier le déclenchement de la troisième guerre mondiale.

La bombe qui éclata dans le World Trade Center n'aurait-elle pas été un test pour voir la réaction du public ? Réfléchissez-y !


LA REUNIFICATION DE L'ALLEMAGNE (POUR SA PERTE)







L'URSS et le communisme ayant assuré leur rôle de "bête noire", on pouvait, à présent, se passer d'eux. Sous la pression de l'ennemi russe, on avait contraint les nations occidentales à conclure des pactes, tels que l'ONU et l'OTAN, dont les lois avaient priorité sur les lois nationales. Ce fut une réussite totale. Le temps était venu maintenant de réunir officiellement les Etats-Unis et l'URSS bien qu'il n'y ait jamais eu de vraie séparation dans les domaines de la produclion d'armes et du capital.

(Est-ce un hasard que les Soviéiques, de même que les étatsuniens, aient le pentagramme (étoile à cinq branches) sur toutes leurs armes, leurs avions et leur chars et que ce soit aussi le symbole de l'Etat (étoile rouge, Penagone) ? De même, l'oeil qui voit tout des Illuminati se trouve non seulement sur le sceau de l'Etat étatsunien, mais aussi au centre de l'emblème du régime marxiste.)

C'était, une fois encore, au Big Brother de mettre en scène la suite des événements puisque son but était d'avoir une armée mondiale contrôlée par l'ONU.

L'effondrement du cous du pétrole en 1986 avait fortement secoué l'economie planifiée des Soviétiques. L'activité qui avait amené le plus de devises au Kremlin depuis les années soixante-dix était l'exportation de pétrole à l'Ouest. Les bénéfices se mirent à diminuer précisément lorsque Gorbatchev promît avec ses réformes plus qu'il ne pouvait tenir. Le chaos économique contribua à ce que Moscou laissât tomber les pays satellies de l'Europe de l'Est. Maints Soviétiques misèrent sur l'Allemagne réunifiée qui serait un bon partenaire pour relancer l'économie soviétique.

En novembre 1981 la domination soviétique de la RDA commença à se fissurer. Sous la pression des réfugiés s'enfuyabnt par la Hongrie et du mouvement de liberté qui soufflait dans les rues de la RDA, la vieille RDA fut balayée en quelques semaines. Tandis qu'on fêtait la fin dramatique de la dictature communiste, les Illuminati craignaient que peuple ne sorte vainqueur d'une révolution en Europe de l'Est. Ils redoutaient aussi qu'une alternative à la politique économique des Etats-Unis puisse se développer en Allemagne. C'est pourquoi ils firent aussitôt circuler le mot clé quatrième Reich dans les médias anglo-étatsuniens.

Les stratèges politiques à Londres et à Washington ne virent que trop clairement les conséquences à long terme de l'unité allemande et donc d'une Allemagne à nouveau forte et éventuellement indépendante. Ils étaient conscients du danger que représentait ce projet d'une Allemagne puissante qui, gràce à la force et à la foi de 85 millions d'hommer pouvait s'avérer être un succès bien qu'il aille à l'encontre de la volonté des Illuminati. D'autres pays pourraient sortir de leur léthargie et être entraînés sur la même voie. (120A)

L'été 1990, le gouvernement de Thatcher renforça, d'après les rapports de Londres, les activités du service secret britannique en Allemagne et inaugura, à cette fin, une nouvelle section des services secrets. Le gouvernement Bush fit aussi des démarches pour étendre son influence sur la politique allemande. Qu'un pays se développe librement et en tenant compte des intérêts du peuple ne fait pas partie du plan des Illuminati.

C'est pourquoi Alfred Herrhausen, porte-parole du comité de direction de la Deutsche Bank et membre des Bilderberger, fut assassiné le 30 novembre 1989 par des tueurs professionnels (et non par la Fraction Armée Rouge). Herrhausen était un important conseiller de Kohl. Juste quelques jours auparavant, il avait donné une interview au Wall Street Journal pour développer ses objectifs sur la RECONSTRUCTION DE L'ALLEMAGNE DE L'EST. D'après lui, elle devait devenir, en une décennie, la nation industrielle la plus avancée de l'Europe. Herrhausen avait pensé aussi proposer un programme pour convertir les dettes du tiers monde. Il s'était opposé clairement au système de l' "ESTABLISHMENT", ce qu'il exprima à la conférence des BILDERBERGER en 1988 ainsi que lors d'une séance de l' "American Chamber of Commerce", également en 1988. Plus tard, ce fut Detlev Rohwedder, chef de la "Treuhand", qui fut tué d'n coup de fusil. Par contre, l'attentat commis contre la personne du ministre de l'intérieur de la RFA, Wolfgang Schäuble, ne fut pas fatal. Tous ces attentats furent en relation avec le programme de reconstruction de l'Allemagne de l'Est. (121)

C'est une mauvaise plaisanterie de présenter le FANTOME de l'ARMéE FRACRON ROUGE comme l'auteur du crime contre Herrhausen. Herrhausen était une des personnalités d'Allemagne les plus menacées, et il avait pris de nombreuses mesures de sécurité en conséquence. Le service de sécurité de la Deutsche Bank s'était chargé de la protection de sa personne, la police sillonnait constamment les alentours de sa résidence et des unités spécialement formées et équipées, issues d'un commando d'intervention mobile de la Hesse (MEK), auraient observé sans arrêt les environs de son domicile. Toujours est-il que les auteurs de l'attentat réussirnt à creuser une tranchée dans la rue à Bad Homberg, à y déposer un câble et à re ermer le revêtement en asphalte sans que quiquonque s'en aperçoive. L'avocat fédéral général VON STAHL exposa devant les députés du parlement fédéral allemand le fait suivant : cet attentat avait été programmé huit jours plus tôt et les assassins avaient déjà installé presque tous les éléments du piège explosif, y compis le câble qu'on identifia, plus tard, et qui était relié à l'explosif.

Le jour de l'attentat, les auteurs du crime installèrent même une barrière optique sur le lieu et placèrent la bombe montée sur une bicyclette de façon à ce que le véhicule de Herrhausen soit otbligé de passer tout à côté. Une patrouille de police à pied contrôla, à peine une demi-heure avant l'attentat, l'endroit où tous ces préparatifs eurent lieu. Elle ne se serait aperçue de rien.

C'est étrange : non loin de la, leure auparavant, quelques jeunes hommes au comportement suspect. De p1us, le piège explosif, déclenché par la barrière optique, ne pouvait entrer en action que si le véhicule de Herrhausen passait en premier.

Le précédent président de l'Office fédéral pour la pmrotection de la constitution, Dr RICHARD MEIER, déclarait au parlement fédéral allemand une semaine après l'attentat qu'on avait fait le véhicule de tête du convoi de Herrhausen qui comportait normalement trois voitures (La Fraction Armée rouge avait-elle téléphoné pour expliquer que le véhicule de tête était gênant pour l'attentat ?)

Le fait que la bombe avait la forme d'une charge creuse prouve que les auteurs de l'attentat avaient une grande expérience dans la manipulation d'explosifs militaires. L'onde de pression, d'une telle bombe ne diffuse pas de tous côtés mais prend la forme d'un faisecau,. ce qui fait qu'on peut la diriger sur un but précis. La construction de cette bombe et aussi le fait de connaître les points faibles de cette limousine blindée Mercedes-Benz dont les vitres latérales s'ouvrent - fait connu seulement par quelques spécialistes de sécurité - empêchent, même avec la meilleure volonté du monde, de mettre cet acte criminel sur le compte de terroristes de la Fraction Armée rouge ou de débutants.

Les autorités en la matière ne trouvèrent à l'endroit du crime aucune trace valable qui aurait pu renseigner sur les coupables. Juste un papier avec l'étoile à cinq branches, la reproduction de la mitraillette Heckler & Koch avec l'inscription "RAF" et les mots "commando Wolfgang Beer", ce qui, en soi, n'est pas une preuve. Comme dans toutes les actions revendiquées par la FRACTION ARMEE ROUGE (RAF) depuis que la prétendue deuxième génération de la RAF avec Christian Klar a étéé arr^^etée et depuis le passage dans la clandestinité d'une partie des terroristes dans la RDA de l'époque à partir de 1984, il n'y eut et il n'y a pas une seule preuve pouvant permettre d'affirmer qu'il existe des personnes qui appartiennent légitimement à une organisation terroriste de gauche RAF.

Il n'y a aucune empointe de doigts, aucune trace de salive su des mégots, aucun cheveu ou aucun indice permettant de dire que ce sont eux les coupables qui, depuis maintenant neuf ans, lancent des bombes sous le nom de Fraction Armée rouge et qui, récemment, ont même dynamité des prisons. La lettre revendiquant l'attentat contre Herrhausen était si ridicule que le ministre de l'intérieur de ce temps-là SCHÄUBLE souligna qu'elle contrastait, d'une façon grossière, avec la perfection technique et la gravité de l'attentat. Il y a un manque total de preuves et même d'indices renvoyant à une organisation de terroristes de la Fraction Armée rouge, cependant, les servies de la sûreté de l'Etat allemand accusent toujours la Fraction Armée rouge d'être les auteurs du cime.

Le ler juillet 1992, les auteurs de la HR et de la WDR (chaînes de télévision allemande) rendirent pour la première fois publics les résultats de leurs recherches dans l'émission Brennpunkt sous le titre "La fin de la légende de la Fraction Armée Rouge". Ils émirent la thèse que la prétendue "troisième génération de la RAF" qui est officiellement l'auteur des crimes terroristes de ces dernières années ne serait qu'une légende sans fondement. Les auteurs Wolfgang Landgraeber, Ekkehard Sieker et Gerhard Wisnewski approfondissent leur thése dans le livre sur le fantôme de la RAF qui est paru aux éditions Knaur. Leurs arguments principaux sont :

1. contrairement à la première génération de la Fraction Armée rouge (Meinhof, Bader, Ensslin) et à la deuxième (Susanne Albrecht, Chrisian Elar), la prétendue troisième génération ne laisse jamais le moindre "soupçon de trace" sur le lieu du crime ;

2. les personnes qui appartiendraient à la troisième génération de la Fraction Armée rouge, comme par exemple Christian Seidler, ont toutes disparu depuis le milieu des années quatre-vingts sans laisser de traces et sans jamais redonner signe de vie ;

3. l'hypothèse que des terroristes dirigent à partir de leur prison la Fraction Armée rouge est fortement mie en doute ou même exclue par les spécialistes. Les directives du commando doivent émaner d'ailleurs ;

4. les seuls indinces qui ont permis de conclure que les attentats de ces sept dernières années émanaient de la Fraction Armée rouge étaient des lettres revendiquant ces actcs qualifiés d'authentiques par les services de sûreté allemands. Mais les méthodes appliquées ne résistent pas à une vérification ;

5. au beau milieu de l'émission, il y eut une interview avec le témoin principal du cas Herrhausen, Siegfried Nonne, qui rétracta son témoignage de janvier 1992. Il expliqua que des collaborateurs de l'organe de la protection de la constitution de la Hesse l'avaient menacé de le faire emprisonner ou de le tuer et l'avaient obligé à faire un faux témoignage, c.-à-d. à déclarer qu'il avait hébergé les coupables dans son appartement à Bad Homburg et qu'il avait préparé avec eux l'attentat sur la personne d'Alfred Herrhausen.

L'équipe de télévision en tira cette conclusion lourde de conséquences : la troisième génération de la Fraction Armée rouge n'est qu'un fantôme maintenu artificiellement en vie dans le but conscient et voulu de tromper le peuple. De plus, l'équipe soupçonna la direction politique de la République fédérale d'Allemagne d'avoir non seulement toléré, mais d'avoir même contribué à la fin des années soixante-dix et au début des années quatre-vingts, à ce qu'une grande partie des membres de la Fraction Armée rouge disparaise dans la RDA de l'époque.

En fait, il est vraisemblable que non seulement les services secrets alliés mais aussi les autorités et services allemands aient su que les ex-membres de la Fraction Armée rouge étaient passés dans la clandestinité en RDA. On a fait croire au public que ces ex-membres, sans cesse recherchés au moyen d'affiches représentant leurs portraits, auraient été mêles aux attentats commis dans les années quatre-vingts. Lors du dernier attentat qu'ils revendiquaient soi-disant, c'est-à-dire le dynamitage professionnel d'une prison à Weiterstadt, on trouva, comme d'habitude, juste un papier avec leur emblème et le nom du commando ; sinon il n'y avait aucune trace, aucune erreur, aucun témoin.

Le journaliste italien Cipriani eut une interview avec l'ex-colonel de l'armée de l'air des Etats-Unis Fletcher Prouty : celui-ci percevait le motif du meurtre de de Herrhausen dans les onze premières pages d'un discours qu'Herrhausen voulait tenir aux Etats-unis quatre jours après l'attentat. Herrhausen y dévoilait sa vision d'une nouvelle tournure que pourraient prendre les rapports entre l'Europe de
l'Est et de l'Ouest, ce qui aurait pour conséquence de modifier le destin du monde.

Le colonel Prouty ajouta dans l'interview qu'Alfred Herrhausen, John F. Kennedy, Aldo Moro, Enrico Mattei et Olof Palme avaient tous été assassinés pour le même motif - aucun d'eux n'aurait accepté que le monde soit contrôlé par le condominium de Yalta. Tous ces attentats sont le fait d'une petite élite qui voyait sa puissance fondée sur l'idée d'une "Pax mondiale" (= paix mondiale) menacée. (121A)

Remarque sur la situation actuelle :
Le flot des demandeurs d'asile arrivant en Allemagne a été programmé intentionnellement et fait partie du grand plan de l'élite qui veut ériger le "Nouvel Ordre Mondial". Il sert à attiser la xénophobie dans ce pays, qui a occasionné la montée des partis de droite et la multiplication des actes de violence commis par les milieux de droite envers les demandeurs d'asile et les handicapés. Ceux-ci servent à justifier la propagande lancée par l'establishment anglo-étatsunien du quatrième Reich.

Depuis la réunificartion de l'Allemagne et l'effondrement de l'ordre du monde établi a Versailles et à Yalta qui s'en suivit, la classe politique allemande a refusé de répondre publiquement aux attaques de propagande à visées géopolitiques ("la résurrection du quatrième Reich"). Au contraire : La voie agressive suivie en politique économique par certaines personnes influentes, comme par exemple le président de la Commission trilatérale européenne OTTO GRAF LAMBSDORFE provoque des effets similaires aux buts que poursuivent les puissances à visées géopolitiques : en voulant éviter toute rupture avec la polique du Fonds Monétaire International qui a échoué et en voulant opprimer les initiatives allemandes.

Le fait que Peter Glotz, qui fait partie des dirigeants du SPD (parti social-démocrate allemand), se soit élevé avec des propos coléreux contre ceux qui condamnent l'agression de la Grande Serbie en première page du "Frankfurter Allgemeine Zeitung" montre aussi que des tendances géopolitiques sont présentes en Allemagne. Les puissances à visées géopolitiques (l'Angleterre, la France et les Etats-Unis) désirent un autre Proche-Orient, un foyer de crise permanent au sud de l'Europe (la guerre de Yougoslavie) pour empêcher l'édification d'un nouvel ordre eurasien au centre duquel se trouveraient la Russie, la France et l'Allemagne. Si un pays peut influer sur les événements en Europe de l'Est, c'est bien l'Allemagne.

LORD CASTLEREAGHS, le manipulateur en chef du Congrès de Vienne, décrit ci-dessous de quelle façon on veut limiter la puissance de l'Allemagne en Europe (en plein accord avec le plan des "Sages de Sion") :

"La puissance de l'Allemagne dans la nouvelle Europe doit être limitée, pour cela il faut exiger des Allemands qu'ils soient plus partie prenante dans l'OTAN et dans d'autres organisations internationales mais les etats-Unis doivent en même temps collaborer étroitement avec la Grande-Bretagne, la France et d'autres pays pour limiter l'influence de l'Allemagne au sein de ces organisations."

Les forces géopolitiques à Londres, à Paris et Washington mettent tout en oeuvre pour frustrer les tentatives lancées par ceux qui ne veulent pas que l'influence l'Allemagne soit restreinte. Cette politique s'oppose, par exemple, aux efforts allemands proposés pour soutenir le développement à l'Est.

La vulnérabilité et la faiblesse du chancelier Helmut Kohl et de son gouvernement ne pouvaient être mieux démontrées à la face du monde que par l'assassinat du Dr Alfred Herrhausen, porte-parole du comité directeur de la Deutsche Bank : dû à des terroristes, il y eut, comme par hasard, le même mois où le mur fut abattu, en novembre 1989. Les auteurs et exécuteurs de cet attentat sont encore libres aujourd'hui, ils ne sont pas connus, donc pas poursuivis et peuvent se promener librement dans le monde entier.

Gràce à sa perspicacité, Alfred Herrhausen avait déjà proposé depuis quelque temps une remise de dettes pour les pays en voie de développement, spécialement pour l'année 1987, année du grand krach. Mais lorsqu'il éxigea, en plus, un plan de reconstruction économique pour l'Europe de l'Est, ses propositions devinrent tout à fait inacceptables aux yeux de ses ennemis. Herrhausen parlait d'une banque polonaise de développement établie selon le modèle de la "banque de crédit pour la reconstruction".

Le colonel Proutys ne fut pas le seul à remarquer qu'Herrhausen se heurtait aux lois non écrites des puissances monétaires de Londres et de New York. Il n'en fallait pas plus pour que ses ennemis passent à l'action.

Alors que le système communiste à l'Est s'effondrait, le chancelier Kohl n'a pas su amorcer un virage global pour une véritable reconstruction économique de l'Est. Cela aurait exigé qu'il rompe avec les cercles monétaires tout-puissants dans son pays ainsi qu'à l'étranger, et cela aurait fait vaciller dans leurs bases les rapports traditionnels de pouvoir existant entre les puissances sorties victorieuses de la guerre. Après le meurtre de Herrhausen, Helmut Kohl, si on en croit le "Spiegel", reconnut qu'il avait perdu son conseiller intime, un bon stratège et que, depuis sa disparition, les esprits mercantiles foisonnaient en Allemagne.