LA NOUVELLE HISTOIRE DU PASSÉ ET DU FUTUR
Le 01/12/99. ...
Bravo, vous êtes arrivés jusqu'à la fin de
cette presque dernière page. Je suis
vraiment
désolé pour vous, amis lecteurs, mais je vais
abandonner ce travail d'analyse
pendant
quelque temps.
En effet
d'autres combats plus urgents me prennent en ce moment beaucoup de
temps.
Il
s'agit de l'Association YHAD-FRANCE (You Have A
Dream)
Cette
page n'est pas de moi. Je l'ai rajoutée début
juin 2000 .
C'est
un résumé du livre de Sitchin, par Roland
Guétat, Landro1111@aol.com
A titre personnel,
je ne suis pas d'accord avec les datations de Sitchin, mais en fait
cela n'a
que peu d'importance
sur l'ensemble de la démonstration que je tente d'amener sur
ce site, à
savoir que
TOUS les textes anciens, que nous appellons "légendes",
parlent du passage des
"dieux"
sur Terre... et non pas de Dieu.
Qu'également les Eglises, pour asseoir leur pouvoir
temporel, nous montent d'énormes
bobards
depuis quelques millénaires!
L’histoire de
notre système solaire et de notre humanité à
la lumière
des
textes sumériens
Roland Guétat
d’après
le livre La douzième planète de
l’archéologue Sitchin
éd.
Traces Oubliées.
(épuisé)
-------------------------------------
Ce pourrait être le titre d’un conte fantastique.
C’est le titre d’un livre édité par
l’archéologue
Sitchin en 1976, édition Traces Oubliées.
Sitchin a déchiffré les tablettes
d’écriture cunéiforme de la civilisation
sumérienne, première
civilisation digne de ce nom, (dont se sont inspirées les
civilisations successives) et affirmait, 6
ans avant que le satellite IRAS ne signale la course vers la Terre
d’un astre « inconnu
jusqu’alors » (1982) et 12 ans avant que les
ordinateurs de la NASA (1988) ne calculent que son
orbite passe entre Mars et Jupiter, l’existence d’une
douzième planète appartenant à
notre
système solaire...
Ce sont 500 000 ans d’Histoire qui sont contenus dans ce
livre extraordinaire qui révèle que des
astronautes bien plus sophistiqués que les nôtres sont
venus sur terre et ont fait chaque fois
brusquement évoluer l’humanité, après en
avoir été les créateurs... Ceci est
intitulé en sumérien
:
l’épopée de la Création.
Tout ce qui nous est parvenu par bribes jusqu’à nos
jours, notamment à travers la Genèse
biblique mais aussi d’autres traditions,
s’éclaire d’une manière inouïe avec
les traductions
perspicaces de l’archéologue. Enfin de
l’archéologie qui ose décrire le maillon
manquant de
l’évolution à rebrousse-poil du consensus de la
pensée ambiante, et qui répond aux
questions
de
fond que tout un chacun peut se poser sans jamais obtenir
traditionnellement de réponses...
Comment s’est constitué le système solaire ?
D’où viennent ses anomalies ? D’où
proviennent
les humains ? Ne sommes-nous que les fruits du hasard de
l’évolution ? D’autres
planètes
sont-elles habitées ?
N’oublions pas que nous sommes entrés depuis quelques
décennies dans la phase dite de
l’Apocalypse, mot d’origine grecque qui signifie
révélation. Et ce livre, de même sans doute
que
les 5 ou 6 autres qu’il a écrits depuis, en anglais,
constitue bien une révélation multiple.
Vous voulez en savoir plus ? Alors écoutez...
À une époque lointaine, du Soleil ont
émané Mercure sur son orbite actuelle, puis une
grosse
planète, Tiamat, sur l’orbite des
Astéroïdes, puis, sur leurs orbites actuelles,
Vénus et Mars.
Jupiter, Saturne avec un satellite dénommé Gaga
viennent ensuite. En dernier naissent Uranus
et
Neptune. Evidemment tout cela prit beaucoup de temps...
Venant de l’espace lointain, Nibiru (ou Mardouk ainsi
rebaptisée plus tard), n’était qu’une
planète
à peine née, crachant des flammes, émettant
des radiations. Dix corps célestes (le Soleil et
ses
neuf planètes) l’attendaient... Les planètes
tournant dans le sens contraire des aiguilles
d’une
montre sur le même plan, Mardouk faisait irruption dans le
sens opposé.
Nibiru passa d’abord près de Neptune qui
l’attira dans le système solaire. (Fig.1) Nibiru en
fut
déformée mais ce n’est qu’en avoisinant
Uranus que s’échappèrent de la voyageuse 4
satellites
appelés vents. Saturne puis Jupiter provoquèrent le
jaillissement de 3 autres satellites et
incurvèrent davantage son orbite vers le centre du
système solaire, vers Tiamat... De celle-ci
jaillirent alors onze satellites dont le plus important Kingu. A ce
moment-là, Gaga se détacha de
Saturne. Elle devint par la suite Pluton avec son orbite
originale.
« Mais les deux planètes n’entrèrent pas
en collision, ce qui constitue un fait d’une très
grande
importance astronomique : les satellites de Nibiru - et non
Nibiru-même - s’écrasèrent
contre
Tiamat. Ils déformèrent le corps de Tiamat »
tandis qu’une énorme décharge électrique
émanée
de
Nibiru neutralisa Tiamat.
« La première rencontre entre Nibiru et Tiamat la
laissa fissurée et sans vie » mais cela
donne
l’explication des comètes. « Nibiru, allant
à grande allure dans la direction opposée, sur son
plan
orbital propre, brisa, cassa les hôtes de Tiamat dont il fit
de petites comètes et leur imposa sa
force de gravité. » Ce qui donne aussi le pourquoi de
leur sens orbital inverse. C’est à ce
moment-là aussi que le point orbital solaire de Nibiru fut
établi, «Nibiru devait toujours retourner
aux lieux de la bataille céleste. » (fig.
2)
Ainsi 3 600 ans plus tard Nibiru revint, ayant achevé sa
première révolution autour du soleil. »
Il
frappa lui-même Tiamat, la fendant en deux. Un de ses
satellites «heurta la moitié
séparée
destinée à devenir la Terre et la fit dériver
jusqu’à une orbite où aucune planète
n’était encore
jamais allée. La Terre avait été
créée ! tandis que Kingu entièrement
dévasté, qui avait acquis
une orbite indépendante lors du précédent
passage de Nibiru, la perdit et devint satellite de la
Terre désormais appelé la Lune.
3 600 autres années plus tard, une autre destinée fut
réservée à l’autre moitié. Nibiru
la frappa
et
la réduisit en mille morceaux. C’est là que
furent créés le Ciel et la Terre, les
Astéroïdes
devenant un bracelet martelé dans les cieux séparant
les planètes intérieures des
planètes
extérieures.
Ces événements nous donnent de surcroît
l’explication de la concentration des continents
d’un
seul côté tandis qu’à
l’opposé existe une cavité profonde, le lit de
l’Océan Pacifique.
La Terre donc reçut sa propre orbite autour du soleil (dont
les saisons résultent ) et son
mouvement de rotation axiale (donnant le jour et la nuit ). Les
concepts de la Bible sont
identiques :
Et Dieu dit :
« Qu’il y ait des Lumière dans le Ciel martelé,
afin de diviser le Jour et la Nuit ;
Et laissons-les être des signes célestes
et pour les saisons et pour les jours et pour les Années. »
Les tablettes s’accordent avec la pensée des savants
modernes sur la période suivante. Une
fois la Terre devenue planète, elle fut une boule bouillante
de volcans en éruption remplissant
les cieux de brumes et de nuages. Dès que les
températures commencèrent à refroidir,
les
vapeurs se transformèrent en eau, divisant la face de la
Terre en terres sèches et en océans.
Après quoi se situe le commencement de la vie sur Terre,
dans les eaux, tout d’abord puis les
créatures qui nagent et les oiseaux qui volent. Alors
seulement les créatures vivantes selon leur
espèce : le bétail et les choses rampantes et les
bêtes apparurent sur Terre, culminant avec
l’apparition de l’homme.
Mais si la vie apparut sur Terre, c’est pour avoir
été fécondée par Nibiru alias Mardouk,
lors de
la
collision...
La vie, conclurent les scientifiques, ne se développa pas
sur les planètes terrestres
aux composants chimiques lourds, mais aux limites du système
solaire. De ses limites
du
système solaire, la Douzième Planète vint en
notre milieu, une planète rougeâtre,
rayonnante, engendrant et irradiant sa propre chaleur, fournissant
avec sa propre
atmosphère les ingrédients indispensables à la
chimie de la vie.
Si
énigme il y a, elle réside dans l'apparition de la
vie sur Terre. La Terre fut formée il y
a
quelque 4 500 000 000 ans, et les scientifiques croient que les
formes les plus
simples de vie y étaient déjà
présentes, quelques centaines de millions
d'années
après. Croire à l'apparition aussi rapide que cela de
la vie découle d'une simplicité
d'esprit qui ne peut pas ne pas être
dérangeante.
Nous possédons également de nombreux indices prouvant
que les formes de vie les
plus vieilles et les plus primaires, datant de plus de 300 000 000
d’années, étaient
composées de molécules d'origine biologique et non
pas non biologique. En d'autres
termes cela signifie que la vie qui existait sur Terre, si peu de
temps après que cette
dernière ne naquit, était elle-même une
descendante d'une forme de vie antérieure et
non pas le résultat d'une combinaison de gaz et de produits
chimiques inanimés.
Tout cela indique aux scientifiques stupéfaits que la vie,
qui ne pouvait pas se
développer facilement sur Terre, ne s’y est tout
simplement pas développée. Dans un
article pour le magazine scientifique Icarus (sept 1973) le prix
Nobel Francis Crick et le
Dr. Leslie Orgel ont avancé la théorie selon laquelle
« la vie sur Terre pourrait être
née
d'organismes minuscules venus d'une planète lointaine
».
Ils ont
propulsé leurs études hors du carcan des
réticences bien connues des
savants pour ce qui est des théories actuelles sur les
origines de la vie sur Terre.
Pourquoi n'existe-t-il qu'un seul Code génétique pour
tout ce qui vit sur Terre ? Si la
vie a commencé dans un bouillon originel, comme le croient
la plupart des
scientifiques, des organismes à Codes
génétiques multiples auraient dû
se
développer. De même, pourquoi le molybdène
joue-t-il un rôle clé dans les
réactions
d’enzymes qui sont essentielles à la vie lorsque qu'on
sait que le molybdène est un
élément extrêmement rare ? Pourquoi les
éléments qui sont très abondants sur
Terre,
tel le chrome ou le nickel, sont-ils si peu importants dans
les réactions biochimiques ?
Cette théorie bizarre avancée par Crick et Orgel ne
se bornait pas à dire que toute vie
sur Terre pouvait être née d'un organisme d’une
autre planète, elle suggérait
également qu'un tel ensemencement procédait
d'un acte délibéré - que des
êtres
intelligents habitant une autre planète lancèrent de
cette planète la semence de vie
sur Terre dans le but d'y enclencher la chaîne de la
vie.
Même
sans l’aide des données que nous fournit ce
livre, ces deux éminents
scientifiques avaient presque trouvé la vraie solution. Il
n'y eut pas d'ensemencement
prémédité ; en revanche, il y eut une
collision céleste : une planète porteuse de vie,
la
Douzième Planète, accompagnée de ses
satellites, entra en collision avec Tiamat et la
brisa en deux, créant la Terre à partir d’une
des moitiés.
Lors de cette collision, le sol fertile et l'atmosphère de
la Douzième Planète
ensemença la Terre, lui donnant les toutes premières
formes biologiques et les
complexes de vie dont on ne put pas s'expliquer autrement
l'apparition si récente.
Si la
vie sur la Douzième Planète a commencé ne
serait-ce que 1% plus tôt que celle
sur la Terre, elle commença alors 45 000 000 ans plus
tôt. Même avec cette marge
infinitésimale, des êtres aussi
développés que l'homme auraient vécu sur la
Douzième
Planète alors que la premiers petits mammifères
venaient à peine de faire leur
apparition sur Terre.
Ayant cette amorce de vie plus précoce sur la
Douzième Planète, il est vraiment
possible que ses habitants aient été capables de
voyager dans l'espace, il y a déjà 500
mille ans.
Seuls, les Néfilim - tel est le nom donné dans les
tablettes sumériennes, purent
désigner la terre sous le nom de la Septième
planète, puisqu’ils venaient de
l’extérieur
du
système solaire. De Pluton à la Terre se comptent
effectivement 7 planètes.
L’ÉPOPÉE DE LA CRÉATION
Nous y apprenons que les «dieux » vinrent sur Terre
conformément à la décision de leur
chef,
Mardouk (version babylonienne) après que le sol de la Terre
séchât et durcît pour pouvoir
s’y
poser et entreprendre les premières
constructions.
« Quand du haut des cieux vous descendrez en
assemblée, la nuit il y aura un gîte pour
chacun
de
vous. - Je l’appellerai Babylone - La porte des Dieux.
»
Il est donc clair qu’ils ne venaient pas sur Terre pour une
simple visite mais pour s’y installer
définitivement. La Terre était à cette
époque en pleine période glacière qui
commença il y a
quelques 600 000 ans. Le premier réchauffement eut lieu il y
a 550 000 ans. La seconde
glaciation dura de 480 000 ans à 430 000 ans.
Premier atterrissage il y a 450 000 ans environ. Le niveau
des mers se trouvait 180 à 210 m
plus bas que de nos jours. Une seule zone étroite et
tempérée de notre planète offrait
les
conditions favorable à la vie, du point de vue climatique.
Celle du Nil, de l’Indus et celle du Tigre
-
Euphrate. La terre des deux fleuves, la Mésopotamie, fut
retenue du fait de ses richesses en
pétrole, car il est fait état que les Néfilim
utilisaient abondamment le pétrole et ses
dérivés. On
sait aussi qu’il amerrirent lors de leurs premières
venues sur Terre, (« les hommes-poissons
»)
et
seule la Mésopotamie offrait deux mers :
l’Océan indien au Sud et la Méditerranée
à l’Ouest
facilitant son accès. Le Golfe persique n’était
pas alors une mer mais une étendue
marécageuse
impropre à l’amerrissage. Eridou « maison
construite au loin » fut la première base des
Néfilim.
Cela se fit sous l’égide du roi Enki, ainsi que 4
autres villes par la suite. Il y eut des actions
d’assainissement, de canalisation de rivière, de
remblayage, de construction de digues,
d’assèchement et de purification de
l’eau.
Si Enki atterrit sur Terre - comme nous ne pensons - à la
fin de l’âge des Poissons, il fut
témoin
de
l’entrée, due à la précession, dans le
Verseau, et resta la durée d’une Grande Année
(25
920 ans) jusqu’à ce que commença
l’âge du Capricorne ; alors il fut, en effet, seul
à commander
sur Terre pendant une prétendue durée de huit
shar’s, soit 28 800 ans, le shar’s couvrant
3600
ans.
Pendant qu’Enki œuvrait sur Terre en tant que pionnier,
Anou (son père) et son autre fils Enlil,
sur la 12° planète en observaient les
développements. D’après les textes, le
responsable de la
mission sur Terre apparaît être Enlil. Dès
qu’il fut décidé de poursuivre la mission,
Enlil lui-même
descendit sur Terre. Une base spéciale, Larsa, fut
construite. Cela s’est produit avec
l’entrée
dans l’ère du Bélier. Une nouvelle phase de la
colonisation commença : il s’agissait de
ramener
sur Nibiru des cargaisons de grandes valeurs (Or - argent -
cuivre...) Cela nécessita l’envoi sur
Terre de beaucoup de « main d’œuvre »
d’outils et d’équipements.
Les amerrissage ne suffisaient plus. Les transformations
climatiques rendirent l’intérieur des
terres accessibles. C’est à ce moment que Larsa y fut
construite, base de contrôle et de guidage
sophistiquée pour assurer les voyages allers et retours dans
l’espace. Les Néfilim disposaient
alors d’un vaisseau spatial en orbite autour de la Terre et
de navettes.
Enlil resta à Larsa durant 6 shar’s (21 600 ans)
tandis que l’on construisait Nippour qui fut
établie à l’âge du Taureau.
Il est certain qu’Enlil y avait à sa disposition
quelques instruments hautement élaborés : « un
œil
placé très haut qui scrute la Terre » et
« rayon élevé qui fouille le cœur de
toute la Terre ».
Nippour était protégé par de redoutables armes
: « aucun dieu puissant ne peut approcher son
extérieur »; « son bras » était
« un vaste filet » et en son centre était tapi
« un oiseau à la course
rapide », un oiseau à la « main » duquel
les méchants et malfaisants ne pouvaient échapper.
Au
centre de Nippour se trouvaient les quartiers
généraux d’Enlil où
s’élevait le centre de
communication de la mission de contrôle, l’endroit
d’où les Announaki (espèce de
dieux
inférieurs) qui vivaient sur Terre communiquaient avec leurs
camarades dans leur vaisseau en
orbite autour de la Terre.
Dans ce centre s’élevait un « haut pilier
pointant vers le ciel » par lequel « la parole
d’Enlil
touchait le ciel » ce qui avait pour effet que «
l’abondance se déversât sur la Terre » :
matériaux,
nourritures spéciales, médicaments et outils
étaient apportés par la navette dès que
« l’ordre »
de
Nippour avait été lancé.
Dans le centre de contrôle était une chambre
mystérieuse nommée DIRGA. Ce devait être le
lieu
où étaient conservées les cartes des
étoiles, où les ME (les
télécommunications des
astronautes) étaient reçues et transmises. Ce qui
rappelle en tout point la Mission de Contrôle
de
Houston qui suivait les astronautes lors de leur mission sur la
Lune.
- 450 000 ans : atterrissage d’Enki sur Terre (ère des poissons)
à l’ère de la Vierge Ninhoursag, (sœur
d’Enki et d’Enlil) est placée à la
tête du centre médical
des Néfilim à Shourouppak.
A l’ère des gémeaux, Nannar / Shin, fils
d’Enlil est installé à Bad -Tibira, centre
industriel.
Naissance de jumeaux dans la famille d’Enki : Inanna /Ishtar
et de Outou / Shamash
A l’ère du Taureau Nippour est établie
En - 424 080, à l’ère du Bélier, Enlil
prend le commandement du lieu Enkidounou : le
« commandement de la Terre est retiré à Enki
qui est alors nommé Ea, le Seigneur des eaux.
»
Des 7 premières villes, Larak est la dernière confiée à Ninourta, fils d’Enlil
LE PLAN DES 7 CITÉS
LA RÉVOLTE DES ANNOUNAKI
Le Monde d’En-Bas était
l’hémisphère Sud où se trouvait la terre
d’Arali, « lieu des filons
brillants ». Les Néfilim connaissaient aussi
l’Afrique australe vu les sceaux représentant
les
animaux typiques de ces régions.
Ea n’était pas le Seigneur d’une «
profondeur d’eau » mais le dieu chargé de
l’exploitation des
minéraux de la Terre.
AB.ZU signifie source profonde originelle, pas
nécessairement d’eau. Dans le bassin du
Zambèze des traces d’activités minières
ont été datées de 2000 av. JC
jusqu’à 70 000 à 80 000
av. J.C. ! Ce qui a fait supposer l’origine de l’homme
moderne en Afrique.
Les savants modernes divisent les activités de l’homme
sur Terre en 4 âges : de pierre, du
bronze, du fer ... Cependant toutes les traditions anciennes
s’accordent sur la séquence : or,
argent, cuivre, fer. Il semble que les Néfilim vinrent sur
Terre pour l’or et les métaux
associés,
peut-être aussi d’autres métaux rares tel le
platine qui permet de créer des batteries.
Peut-être
aussi l’uranium et le cobalt « les pierres bleues qui
rendent malades » du Monde d’En-Bas.
Quelles fut la main d’œuvre employé par les
dieux ? Ce sont les Annunaki, « dieux du ciel et
de
la
Terre ». Dans les textes sumériens, ils sont
décrits comme des dieux subalternes ayant fait
partie de la colonisation de la Terre, les dieux « qui
accomplissent les tâches ». Ils étaient
de
véritables astronautes encore appelés IGIGI. Shamash
était le chef des « aigles » dont
les
navettes voyageaient sans cesse entre les vaisseaux en orbite et la
Terre.
Il est vraisemblable que les Néfilim escomptèrent
dans un premier temps extraire les minéraux de
la
mer. Cela réfère aux « hommes-poissons »
sous les ordres d’Ea (Enki) qui utilisaient des
« elipu ebiti » bateaux submergés. Par ailleurs,
la Terre des Mines était appelée
auparavant
ARALI « lieu des eaux des filons brillants » ce
qui signifiait possiblement une terre d’où
l’or
pouvait être extrait à la batée dans les
rivières.
Ces projets apparemment n’aboutirent pas car peu de temps
après l’établissement dans
l’hémisphère Sud (Terre d’En-Bas et non
les Enfers...) une tâche imprévue et des plus dures
fut
confiée aux Announaki : descendre dans les profondeurs de la
terre africaine pour y extraire les
minéraux nécessaires. Ce lieu d’exploitation
minière KURNUGIA fut interprété comme «
terre du
non-retour ». Sa signification littérale était
: « terre où les dieux qui travaillent dans de
profonds
tunnels entassent les minerais ».
C’était dans une ère où les hommes
n’existaient pas encore, tel que l’affirment les
sources
anciennes. Ishtar relate que les Announaki travaillaient dur,
mangeant de la nourriture mêlée à
l’argile et buvant de l’eau impure.
Une longue épopée commence ainsi : « Lorsque
les dieux comme des hommes devaient
travailler. » Et ce travail harassant dura 40 «
périodes » (40 shar’s soit 40 x 3600 ans = 144
000
ans ) Les Announaki se révoltèrent et Anou en
personne offrit une solution : qu’un lulu, un
« travailleur primitif » soit créé ! Cela
fut accepté sur-le-champ. Les dieux votèrent à
l’unanimité
la
création du « Travailleur », « Homme sera
son nom » dirent-ils.
La mutinerie des dieux avaient conduit à la création
de l’homme. Ce fut à Mami, la déesse
des
naissances, que fut confié cette tâche avec
l’aide d’Ea.
LA CRÉATION DE L’HOMME.
Tous les textes sumériens affirment que les dieux
créèrent l’homme pour qu’il accomplisse
leur
travail. Donnant l’explication des lèvres de Mardouk
(dieu dont le nom a été assimilé par la
suite
à la 12° planète, Nibiru, dans les textes
mésopotamiens) l’Épopée de la
Création rapporte ainsi
la
décision :
« Je créerai un Primitif inférieur - Il
s’appellera Homme. - Je créerai un travailleur
primitif - sa
tâche sera de servir les dieux - afin qu’ils soient
plus à leur aise. »
Le mot communément traduit par « vénérer
» était en fait avod signifiant travailler.
L’homme ancien
et
biblique ne « vénérait » pas son dieu, il
travaillait pour lui.
Et le seigneur Dieu * prit « l’homme »
et le plaça dans le jardin de l’Éden
pour qu’il le cultive et le soigne
dit la Bible, au détail près d’une immense
importance que les textes sumériens parlent, eux,
des
dieux. (*) La volonté des rédacteurs de la Bible
d’imposer le monothéisme a conduit à
la
falsification des faits historiques quitte à les rendre
obscures et incohérents :
Et Élohim dit :
« Créons l’homme à notre image,
à notre ressemblance. »
Or le mot Élohim signifie littéralement «
divinitéS » que la Genèse utilise pour parler
de
« Dieu »... Plus loin encore dans la Genèse :
« Regardez bien, l’homme est devenu l’un
des
nôtres, il connaît le bien et le mal. » À
qui donc peut s’adresser ce dieu unique dans la
perspective monothéiste, et qui était le « nous
» à l’image desquels l’homme devait
être créé et
le
fut, puis eut l’outrecuidance de devenir semblable à
eux ?...
Le premier homme (homo sapiens) fut appelé Adam parce
qu’il fut créé à partir de
l’Adama, le
sol de la Terre. Il était en d’autres termes, le
« terrien ». Il ne lui manquait qu’un
certain
« savoir » (référence à «
l’arbre de la connaissance » et une durée divine
de vie (référence à
« l’arbre de vie »)
Sur les illustrations anciennes la ressemblance entre les dieux
(les Néfilim) et les hommes est
évidente.
Mais comment donc l’homme fut-il créé ?
L’évolution peut expliquer le cours
général des
événements qui se développèrent sur
Terre; la vie et les formes de vie, de la créature
unicellulaire
jusqu’à l’homme. Mais l’évolution
ne peut pas expliquer l’apparition de l’homo sapiens
qui se
produisit, pour ainsi dire, du jour au lendemain, étant
donné les millions d’années que
demande
l’évolution, et le manque de toutes traces
d’étapes antérieures pouvant indiquer un
changement
progressif à partir de l’homo erectus.
L’hominidé du genre homo est un produit de
l’évolution.
Mais l’homo sapiens est le fait d’un
événement révolutionnaire et soudain. Il est
apparu de
manière inexplicable il y a 300 000 ans, des millions
d’années trop tôt ! Les savants
n’ont
aucune explication. Les textes sumériens et babyloniens en
ont une ; l’Ancien Testament aussi :
il
fut créé par les dieux.
Les anciens textes citent précisément
l’époque à laquelle l’homme fut
créé. Les Announaki se
révoltèrent 144 000 années terrestres (40
shar’s) après leur atterrissage sur Terre il a
quelques
450 000 ans, en période glacière. La création
de l’homme eut alors lieu il y 300 000 ans !
Le point clé se trouve dans le conte qui montre Enki
endormi, que l’on vient réveiller pour le
prévenir que les dieux ont décidé de former un
Adam et qu’il était de son devoir d’en trouver
la
façon ; il répondit : « Cette créature
dont vous avez prononcé le nom - Elle EXISTE ! » et il
ajouta
:
« Apposez sur elle l’image des dieux ;
»
Les Néfilim ne créèrent pas l’homme
à partir de rien. Il prirent une créature existante
et la
manipulèrent pour « y apposer l’image des dieux
».
C’est un singe humanoïde qui dut être la
créature initiale, un homo erectus dont un
conte
sumérien dit ceci :
Lorsque
l’humanité fut
créée
Ils
ne savaient pas manger le pain,
Ils
ne connaissaient pas le port du vêtement
Ils
mangeaient des plantes avec leur bouche comme des
moutons
Ils
buvaient l’eau des fossés »
Un tel animal humain est également décrit dans l’Epopée de Gilgamesh :
Des
poils touffus recouvraient tout son corps
Ses
cheveux étaient semblables à ceux d’une
femme...
Il
ne connaît ni gens, ni terres
Il
côtoie les animaux sauvages aux points d’eau
;
Un chasseur dans le même texte raconte sa rencontre avec un tel être :
«
Il remplissait les fosses que j’avais
creusées
il
détruisait les pièges que j’avais
posés
les
bêtes et les créatures de la steppe
il
les a fait glisser de mes mains. »
De nombreux sceaux cylindriques restituent l’image de
l’homme singe ébouriffé parmi ses
amis,
les animaux.
Pour les Néfilim l’idée avait été
de domestiquer un animal qui conviendrait. Mais l’homo
erectus
posait un problème. D’un côté, il
était trop intelligent et sauvage pour ne devenir
qu’une simple
bête de somme docile. D’un autre, il
n’était pas vraiment fait pour la tâche : il
fallait changer son
corps physique, et son cerveau pour qu’il pût
comprendre le langage et les ordres. Il n’était
pas
question d’une lente domestication, vu l’urgence de la
situation.
Des textes anciens mentionnent que la divinité Bélus
fit apparaître divers «êtres hideux
produits
par un principe à double forme ». « Il y avait,
en résumé, des créatures avec les membres
de
toutes les espèces d’animaux dont il reste des dessins
préservés dans le temple de Bélus
à
Babylone » écrivait un certain
Bésorus.
Il est vraisemblable que ces êtres étaient le produit
de manipulations génétiques sortis des
laboratoires biologiques des Néfilim, expériences
sans succès commémorées par l’art et
les
statues.
Les textes sumériens mentionnent aussi des êtres
humains déformés créés par Enki (Ea) et
la
déesse mère Ninhoursag. Après 6 tentatives
imparfaites fut créé l’homme parfait
nommé Adapa.
Adam par la Bible ou homo sapiens par nos savants. Grâce
à ce produit final, les Néfilim se
trouvaient génétiquement compatibles avec les filles
de l’homme, pouvaient les épouser et
avoir
des enfants avec elles. Mais cette compatibilité
n’aurait pu exister si l’homme n’avait
été
développé à partir de la même
«graine de vie » que les Néfilim. Ce dont font
état le concept
mésopotamien et la Bible par le «mélange du
sang d’un dieu et de l’argile terrestre. Le lulu
(le
Travailleur primitif) signifie littéralement