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MaréesExplication.html
MaréesTroisCauses.html
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 Le 02-06-2013 (et 24-06-2013)

INTRODUCTION

  Je vais vous expliquer ici les trois causes principales des marées pour la Terre ainsi que leur ordre d'importance d'un point de vu gravitationnelle et à l'instar de toute force magnétique et électrique.

    Mes résultats et mes conclusions proviennent d'expériences personnelles ainsi que d'analyses de données existantes.

    Pour ce faire, j'utiliserai des formules de lois en physique et en mathématique. Surtout les trois lois fondamentales en relation avec les découvertes de Newton basées sur la gravitation, l'énergie de rotation et de déplacement, ainsi qu'un mélange de ces trois phénomènes. Toutefois, je ne m'aventurai pas à vous expliquer ces lois d'attraction gravitationnelle, de conservation de l'énergie dans le déplacement rectiligne d'une masse, de conservation de la quantité de mouvement d'une masse en rotation, de la force centripète avec son effet centrifugeur tangentiel qui s'oppose à la gravitation radiale de la Terre en rotation.

    Des travaux précédents m'ont permis de montrer la creusité de la Terre ( http://www.jacquesfortier.ca/Zweb/JF/TerreCreuse/TerreCreusePreuveScientifique.html ), l'épaisseur moyenne de son écorce (2850 km) et de prouver par le fait même le sérieux de la possibilité d'avoir un coeur double (deux Soleils internes) comme centre planétaire. Ce fait est d'autant plus important que tout le reste, puisque ces deux Soleils Centraux sont la première cause d'importance pour les marées (pour les doubles-marées en fait) comme je l'avais présumé et expliqué dans un ancien texte de cet époque ( http://www.jacquesfortier.ca/Zweb/JF/TerreCreuse/MaréesRésultatDeRechercheParJF.html ), sans toutefois avoir réussi à le prouver mathématiquement et graphiquement à 100%. Ce n'était qu'un avant goût de ce qui va suivre. J'en avais qu'entrevu la solution et sa pertinence.

    Je vais aussi utiliser les données et graphiques sur les marées de Lévis-Lauzon(Québec, Canada) fourni par le gouvernement pour l'année 2005 sur lesquelles j'ai basé mes calculs de fréquences et auxquelles j'ai rajouté mes propres trouvailles pour faire la part des choses.

    Bien entendu, je n'utiliserai pas une rigueur absolue. Cela n'est pas nécessaire pour prouver ce que j'avance dans ce rapport. Ainsi, j'utiliserai des calculs simplifiés en prenant parfois des circuit circulaires plutôt qu'elliptiques.

    Des instruments de calculs et de modélisations vont également servir à trouver les résultats plausibles et réalistes comme pour la masse approximative des Soleils Centraux.

Voir un des modèles théoriques de recherches utilisés :

http://www.jacquesfortier.ca/Zweb/JF/TerreCreuse/ArchivesTerreCreuse/TerreCreuse2004J3.123

Voir ici le type de calculs et de modélisation effectuer pour trouver de telles valeurs de masses, de volumes, de distances et de forces pour en extraire les plus pertinentes :

http://www.jacquesfortier.ca/Zweb/JF/TerreCreuse/ArchivesTerreCreuse/CalculTC.123

    L'orientation de mes propos vont parfois laisser transparaître des écrits de métaphysiciens, d'explorateurs, de militaires et d'écrivains....

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    La Simple observation des marées nous montre clairement que nous avons deux montées et deux descentes des eaux par période d'environ 24h50min40sec en moyenne. Que nous avons une Lune qui s'oppose par rapport au centre de la Terre pour chacune de ces marées-doubles, semblant provoquer des effet similaires pour des positions différentes; et même opposées.

    Il semble y avoir un effet de la Lune sur les marées (doubles-marées; D-M) en fréquence et en amplitude. Quoique le lien de fréquence soit du simple au double; laissant filtrer l'existence d'une autre cause de fréquence semblable ... et d'amplitude non négligeable.

    D'aucuns prétendent que la Lune est la cause principale, voire, unique des marées, allant jusqu'à affirmer que l'effet sur l'eau était décalé d'environ 6 heures(soit 1/4 de tour) et que l'effet centrifuge créait un alter égaux à l'opposée de la Terre en rotation, comme expliquer par un pseudo-scientifique à une émission scientifique de la télévision Québécoise dernièrement.

    Mais cette explication est-elle plausible logiquement et surtout physiquement en tenant compte des lois naturelles?. Il me semble que non. Les fréquences de ces deux phénomènes sont probablement ce qui crée l'illusion d'optique; de là l'erreur d'interprétation.

    En observant les D-M après les avoir séparées et identifiées (blanc versus violet sur les desseins), on constate que parfois la marée blanche a une plus grande amplitude que la suivante environ 12h26minutes plus tard, mais que lors d'une période subséquente on a le résultat contraire et que cela est lié au cycle de la rotation de la Lune autour de la Terre avec son cycle de périgée et d'apogée de 27,32166 jours(de 24 heures; pour un cycle sidéral). Notez que l'ensemble des D-M ont un cycle d'environ 29,53616 jours. Cela peut très bien laisser présager d'un certain effet de la Lune sur les D-M sans toutefois en être la seul cause.
 
 

    Comme cause potentielle apparente des D-M, on peut examiner le Soleil (Hélios et Vesta). Ce Dernier à un cycle sur nous d'environ 24 heures. Il ne correspond donc pas aux cycles des D-M. Sa fréquence différente l'empêche donc d'être la principale cause des D-M et semble agir sur l'amplitude; du moins, on peut fortement le soupçonner ainsi.

    Déjà, on peut envisager une troisième cause provocatrice des D-M ayant la bonne fréquence et de plus grande amplitude que les deux autres.

    Mais, avant de prendre en considération une 3ième cause, voyons si le Soleil peut provoquer des D-M.

    En fait, ce n'est pas le Soleil à lui seul qui provoque des D-M. C'est plutôt l'interaction Terre-Soleil qui provoque une variation d'effet gravitationnelle. Comment?

    Nous savons que la Terre tourne autour du Soleil dans le sens anti-horaire. La Terre tourne aussi dans un sens anti-horaire sur elle-même; bien qu'avec un certain angle.

Dessin1.jpg
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    Ainsi, un point de la surface externe de la Terre tournante voit sa vitesse relative autour du Soleil diminuer durant le jour. Ce qui entraîne une diminution de l'effet centrifuge et ainsi une plus grande attraction (comme résultante) du Soleil sur ce point vient diminuer son poids surtout vers 12 heures. Durant la nuit, la vitesse à ce même point augmente relativement sa vitesse de rotation autour du Soleil et tangentiellement de sorte que l'effet centrifuge, par rapport au Soleil, se voit augmenter, diminuant aussi le poids terrestre des objet de surface (par rapport au centre de la Terre, il en est ainsi, car on parle de résultante locale de poids à la périphérie de la Terre), eau incluse. Aux environs de 6 heures et de 18 heures, nous avons donc un retour aux force simple d'attraction terrestre pouvant correspondre à des marées basses versus des marées hautes pour 12h et 24h pour cet effet à lui seul.

    C'est donc cette variation relative de vitesse de surface par rapport au déplacement de la Terre autour du Soleil qui provoque une variation résultante de poids entraînant un rehaussement local du niveau des grandes masses d'eau; du moins en principe, car en réalité nous avons de l'opposition par d'autres forces en général.

    En simplifiant les calculs, en considérant un parcours circulaire de la Terre autour du Soleil ainsi qu'une distance moyenne, on peut calculer cette variation de force sur une masse de 3,1 Kg de l'ordre de 4,70 x 10e-4 Newton (donc une amplitude de -2,35 x 10e-4 à 0, puis de 0 à +2,35 x 10e-4 Newton vectoriellement quand nous nous retrouvons de l'autre côté du centre de la Terre; ce qui revient encore à une perte de poids).

    Nous voyons là, la possibilité d'avoir des doubles-marées avec une planète tournant sur elle-même tout en tournant autour d'un Soleil Central extérieur. Remarquez qu'un tel système provoque automatiquement beaucoup de chaleur de brassage interne à la Terre.

    On peut donc conclure à coup sûr, que le système Terre/Soleil en rotation est une cause probante de double-marée cyclique.

Dessin2.jpg
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    Il ne nous reste plus qu'à en calculer la force approximative pour la comparer à la force d'attraction de la lune qu'il faut aussi calculer pour avoir l'ordre de grandeur.

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LuneForceVariation.jpg
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LuneForceVariationNoir.jpg
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Pour la Lune, ............ les calculs approximatifs pour une masse de surface de 3,1 Kg nous donnent 2,1N/10000... soit une amplitude de +0,9 à -1,2 dix millième de Newton.
Pour le système Terre/Soleil, les calculs approximatifs pour une masse de surface de 3,1 Kg nous donnent 4,7N/10000... soit une amplitude de -2,35 à 2,35 dix millième de Newton.
 

    Ainsi, nous avons une cause proche de la fréquence des D-M, ce qui reste toutefois à vérifier et à calculer, ainsi qu'une autre qui produit à coup sûr des doubles-marées.
 

Msoleil  = 1,989  x 10e30 kg
Mterre   = 5,972  x 10e24 kg
Mlune   = 7,3456 x 10e22 kg
Vterresoleil moyenne = 2Rts/(365,2425 x 24 x 60 x 60 sec) = 2Rts/31556952 = 29786,3 mètres/seconde = 29,786 km/sec = 18616,25 miles/sec
Rts = Dts moyenne = 1,496 x 10e11 mètres
F = GMm/r²
F = ma
a = V²/r = 4¶²r/t²
1 an = 365,2425 jours de 24 heures x 24h/jr x 60minutes/h x 60 sec/h =  31 556 952 secondes
1 an => 366,2425 rotations sidérales de la Terre sur elle-même

Vitesse de la surface externe de la Terre à l'équateur, soit à 6378 km => 2 x ¶ x 6378000 mètres/ (23,93447054 x 60 x 60) secondes = 465,091 mètres/secondes = 1674,3 km/h =1046,5 miles/h
 

    Il faut donc calculer les forces centripètes à 6h ou 18h, puis à 12h et 24h.

    Quant à la Lune, elle enlève du poids lorsqu'elle est au-dessus et en ajoute lorsqu'elle est opposée à (de l'autre côté quoi de) la Terre.

Distance moyenne de la Lune = 384 000 000 mètres
Une Rotation de la Lune autour de la Terre = 27,32166 jours = 2 360 591,424 secondes
Vluneterre moyenne = 2Rluneterre/(27,32166 x 24 x 60 x 60 sec) = 2Rluneterre/2360591,424 = 1022,09 mètres/seconde = 1,02209  km/sec. (~ 3680 km/h = 2300 miles/h)

Octobre 2005
 


GraphDu200510A.jpg
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GraphDu200510N.jpg

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    Après avoir additionner les deux causes, déjà observées, produisant des variations de forces susceptibles de provoquer des marées, nous constatons sur le graphique N d'octobre 2005, que la logique des causes et des effets provoqués n'est pas compatible durant tout le cycle lunaire et qu'elle est parfois contradite par les résultats. Vous pouvez aller voir les nombreux autres graphiques disponibles pour les observer et constater le même résultat.
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voir ici le dessin 3

    On voit bien que parfois ces deux forces (Fl et Fts) s'aditionnent et parfois elles se soustraient l'une l'autre. Comme la Fts est plus de 2 fois Fl, on devrait avoir une fréquence résultante pour les D-M de 24 h avec un ''ripple'' d'une autre fréquence correspondant plus à l'effet de la Lune. Mais comme ce n'est pas le cas, on doit trouver une troisième force plus grande que les 2 autres pour imposer la fréquence des D-M constatée.

    Il s'agit bien de la fréquence des D-M et non de la marée. Car n'oublions pas que nous avons 2 marées distinctes par cycle de passage de la Lune au-dessus d'un même point fixe à la périphérie de la Terre.

    À l'aide des graphiques et des données sur les marées, commençons par les identifier, les jauger et en extraire les fréquences tout en les mettant en évidence. Identifier les effets de la Lune avec le jeu des apogées et périgées, croisements et écarts d'amplitude. Trouver la fréquence pour la Lune séparément de la fréquence des marées. Voir s'il y a concordance et compréhension de l'interaction entre les deux phénomènes.

[27,32166 jrs/rotation de la Lune autour de la Terre;
 28,64 occurrences de la lune     au-dessus d'un point fixe à la périphérie de la Terre par lunaison;
 28,64 cycle de doubles-marées au-dessus d'un point fixe à la périphérie de la Terre par lunaison;
 29,53616453 jrs par lunaison locale;

Mettre le dessin 5 explicatif => rotations T+L/Soleil.

Dessin5.jpg
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INTRODUCTION maintenant de l'expérience pour ou sur la creusité de la Terre.

    La lecture de ce rapport ainsi que le visionnement de la conférence de 48 minutes sur ce sujet sont fortement recommandés pour bien comprendre et réaliser le bien-fondé de ce qui suit.

Ayant prouvé la creusité de la Terre par la mesure de la variation de la force gravitationnelle en fonction de la profondeur de pénétration du sol et son interprétation à l'aide d'un modèle théorique conçu à cette effet, j'ai pu établir l'épaisseur moyenne de l'écorce terrestre à 2850 km, prouvant ainsi la véracité relative et qualitative de plusieurs sources d'informations sur ce sujet. T. Lobsang Rampa parle de l'existence de deux Soleils Centraux et d'un espace pouvant contenir l'équivalent de 5 Lunes (ce que j'ai jadis évalué correspondre à 2800 km d'épaisseur d'écorce restante). Des explorateurs finlandais (un père et son fils; voir le texte ''Le Dieu fumeux'' sur mon site ou sur celui de fred Idyle) pénétrèrent par le Pôle Nord et y vécurent pendant deux ans puis ressortir par le Pôle Sud. Ils constatèrent la présence permanente d'une source de Lumière Centrale. L'Amiral Bird ou Byrd, de la Marine étatsunienne y fit 4 ou 5 visites, dont la principale en 1947  où il y rencontra un haut responsable de l'endroit (un géant de 5 mètres). Le secret de tout cela lui fut imposé durant toute sa longue carrière militaire. Mais les USA y établirent un territoire à partir de l'entrée du Pôle Sud qu'ils qualifièrent de 8ième continent. D'importante allusions à tout ceci ont transpiré dans différents médias de l'époque dans plusieurs pays. On le considérait comme étant le plus grand découvreur de tous les temps pour les USA. Voir l'information ; http://www.jacquesfortier.ca/Zweb/JF/TerreCreuse/NouveauContinentUS1959.html

        Il appert que le 2850 km se situe en plein dans la couche ''D'' des géologues; ce qui devrait représenter pour eux un genre de cliché de l'intérieur de la couche de terre et des fonds marins de la surface interne de l'écorce terrestre (de 2890 km à 2790 km d'épaisseur) s'ils voulaient bien oublier leur idée de fer liquide à partir de là.

    Tout ceci pour dire qu'il y aurait 2 masse centrales éclairant en permanence ces lieux. Or, 2 masses distinctes, quoique très proches, peuvent effectivement provoquer une variation gravitationnelle sur toute masse  circulant ou tournant autour de celles-ci dans certains positionnement relatif de l'ensemble. Si on présume que ces deux Soleils Centraux se sont accaparés les masses ayant formées les trous des Pôles Nord et Sud, puis s'étant séparée la matière correspondante à la creusité de la Terre lors de sa formation, on peut dire ou approximer la quantité de leur masse à des valeurs similaires. De plus, en tenant compte du réalisme des densités possibles associées à des volumes plossibles par rapport au volume interne disponible, on peut vérifier les possibilités effectives par une modélisation théorique en faisant varier les valeurs de volumes, de densité moyenne ainsi que de distance coeur-à-coeur.

    Dans un tel contexte, ou une telle démarche, j'avais obtenu une masse dans l'ordre de 1,6537 x 10e21 kg (d'environ 1 à 4 x 10e21 kg)  pour chacun avec une forte densité de 9500 kg/m³  (9000 à 12500 kg/m³). Pour 0,0006 N (de 0,0006 à 0,0012 N)  pour une masse de 3,1 kg. La creusité correspondante était de 2901 km et un rayon de 346 km pour chaque Soleil.

    En fait, chaque jeu de densité moyenne , de volume et de distance donne un résultat différent.... mais plusieurs sont plausibles physiquement et certains correspondent aux 0,000976N ou 0,000885 N qui donne un excellant résultat. Remarquez que la valeur exacte finale n'est pas encore déterminé. mais on en est relativement proche.

    J'avais donc une forte densité et une faible distance d'environ 100 km ou même moins entre les deux surfaces globulaires. Cette faible distance expliquerait la difficulté pour les observateurs en visite sur le plan physique de distinguer ces 2 Soleils Centraux. Notez que Rampa l'avait perçu lors d'un voyage astral

    Aussi, même les géologues constatent qu'une partie des ondes ''P'' passent tout droit au centre de la Terre sur une petite distance seulement pour être par la suite fortement affaibli avant de disparaître complètement sur une certaine portion et après quoi elles réapparaissent par la suite. Ils ne comprennent pas très bien pourquoi d'ailleurs.

    À partir de ces masses approximatives et théoriquement plausibles par des volumes, des densités et des distances réalistes, j'ai calculé la variation maximale possible induite sur une masse de 3,1 kg située à l'équateur et en présumant que les 2 Soleils Centraux étaient à l'horizontale ou sur le même plan que l'équateur.

    La force impliquée, sa variation, était d'environ 8,85 dix millième de Newton. Cela représente une force plus grande que celle exercée pa la Lune, la variation dusystème terre/Soleil ou la somme de ces deux forces. Pour remplir toutes les conditions recherchées, il ne manquent plus que la fréquence d'application et le positionnement relatif des 2 Soleils Centraux, à l'intérieur de la Terre, par rapport à la Lune s'il y avait une concordance de fréquence.

    La première chose à vérifier était la possibilité d'une variation et c'était le cas. Car le positionnement des 2 Soleils Centraux, avec une distance fixe et non nulle entre leur centre, permettait justement d'obtenir une force d'attraction variable sur un objet distant tournant autour d'eux. Ainsi la force maximale était obtenue lors de l'alignement des trois objets; et un minimum de force d'attraction était obtenu lorsque les deux Soleils Centraux se présentaient côte-à-côte à la masse distante. Le calcul théorique le montre bien. Mais, une rotation complète nous donnait une double variation théoriquement. Ce qui était (est) de très bonne augure, car nous avions là une cause ayant les caractéristiques fondamentales pour provoquer les doubles-marées observées ainsi que leur fréquence. Il suffisait d'imaginer les Soleils Centraux alignés sur la Lune et tournant sur eux-mêmes à la même fréquence, ou tout au moins à une fréquence très proche. J'ai d'abord essayé avec des positions alignées, puis côte-à-côte alliées à la fréquence des doubles-marées. Mes premiers essais étaient défaillants, bien que très proches d'un bon résultat. Le problème était de trouver la bonne fréquence de chaque item.

    La contradiction entre les observations et les explications loufoques que les ''scientifiques'' nous servent, peut enfin être résolue tout simplement en orientant et en alignant les deux Soleils Centraux avec la Lune en parfaite continuité ou presque. Ainsi, l'effet attracteur, des 2 Soleils Centraux, est diminué dans un des deux cas possible et augmenté dans l'autre cas qui suit environ 12h36 min plus tard tout en conservant la fréquence observée. Le Système Terre/Soleil extérieur ne faisant modifier principalement que l'amplitude des 2 autres causes ou forces.

    Le modèle, ou simulateur, mis au point avec le tableur (chiffrier) Lotus prend en compte ces trois forces, leurs amplitudes variables dans le temps, leur fréquence, leur cycle variationnelle connue pour la Lune comme pour le Soleil (périgées, apogées et angle fait avec l'horizon. L'amplitude des trois forces pouvant être rapidement modifié.
 
 

    [Mettre ici la liste des chiffres utilisés, trouvés, ainsi que leur explication; fréquences surtout, dessins plus graphiques et adresses.

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DocTravauxRecherche18a.jpg
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DocTravauxRecherche18b.jpg
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DocTravauxRecherche19.jpg
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=> Faire une corecction de (-72) heures par 400 ans ==>

* - 0,18 heure/année,
* - 0,0075 jour / année,
* - 0,000020533 jour/jour,
* - 0,000492813 heure/jour.
=> 365,25 jours x 24 heures/jour = 8766 heures/année - 0,18 heure/année = 8765,82 heures/année corrigée pour 400 ans.
 
Rotation Terre = 23,9344705425 h/rotation Terre
1 an => Rotations Terre     ==> 366,2424863 rotations-Terre / année
1 an => un nombre de jours => 365,2425 jours/année
366,2424863 rotations-Terre/année/365,2425 jours/année = 1,002737869 rotations-Terre / jour ou ==> 0,997269606 jour / rotation de la Terre
=> Pour 13 lunaisons :
du 21-12-2010 à 03h13
au 09-01-2012 à 02h30 (soit - 43minutes <=> - 0,029861111 jour)
  834,000000000 jours de 24 heures <=> 9216 heures
-    0,029861111 jour
================
  383,9801389 jours <=> 9215,283333 heures et si on divise par 13 lunaisons => 708,8679487 heures/lunaison
=> 29,53616453 jours / lunaison
=> 29,61703070 rotations de la Terre  /  lunaison
=> 12,36594209 lunaisons / année corrigée pour 400 ans
=> 12 lunaisons     <=>   354,4339744 jours (10,42 heures)
      manquent 10,8085256 jours pour un an (19,41 heures)
=> 13 lunaisons       <=> 383,9701389 jours (23,28 heures)
      soit un surplus de         18,7276389 jours (17,46 heures) par rapport à l'année.
352,8961518 cycles de D.-M. / 365,2425 jours (année corrigée pour 400 ans)
÷ 12,36594209 cycles de lunaison/année = 28,53774903 cycles de D-M/lunaison,
en 29,53616452 jours,
en 29,61703069 rotations de la Terre par cycle de lunaison   (222,131 degrés).
Nous avons donc : 708,8679487 heures par lunaison en moyenne ÷  28,53774904 occurences de la Lune par lunaison en moyenne = 24,83965879 heures par occurence lunaire en moyenne.
Soit                    :  24h50min22,77sec par Double-Marée.
Soit aussi            : 2 x 28,53774904 cycles de D-M/lunaison = 57,07549808 cycles de simples marée par lunaison.
Nous avons donc : 24heures par an  ÷ 12,36594208 lunaisons moyenne par année = 1,940814523 heure = 0,080867271 jour (de correction par lunaison pour la perte d'un cycle jour de rotation par année) .
29,61703070  rotations de la Terre par lunaison moyenne  - 01,07928166 rotation de la Terre par lunaison en moyenne = 28,53774904 occurences de la Lune par lunaison en moyenne.  (01,07928166 de la Terre par lunaison en moyenne = 1,076334796 cycle-jour par lunaison)
29,53616454 cycles-jours par lunaison moyenne - 1,076334796 cycle-jour par lunaison = 28,45982974 occurances par lunaison.
365,2425 jours/an  ÷ 28,53774904  occurences de la Lune /lunaison = 12,79857425 cycles.

365,2425jrs/an x 24h/jr = 8765.82h/an.
8765.82h/an  ÷ 24,83965879h/cycle d'occurence lunaire = 352,8961518 cycles d'occurence lunaire/année.

12cycles x 29,53616454 jours/cycle par lunaison moyenne = 354,4339745 jours => 355,40436850 rotations de la Terre,
355,40436850 rotations de la Terre x 24h ÷ 24,83965879h/cycle d'occurence lunaire pour 343,3905802 occurences lunaires => 12,01378829 occurences lunaires de moins que de lunaison.

12,36594208 cycles x 29,53616454 jours/cycle par lunaison moyenne = 365,2425 jours (année corrigée pour 400 ans) => 366,2425 rotations de la Terre,
366,2425 rotations de la Terre x 24h ÷ 24,83965879h/cycle d'occurence lunaire pour 353,8623487 occurences lunaires => 12,38015131 occurences lunaires de moins que de lunaison.

13cycles x 29,53616454 jours/cycle par lunaison moyenne = 383,9701390 jours => 385,02139993 rotations de la Terre.
385,02139993 rotations de la Terre x 24h  ÷ 24,83965879h/cycle d'occurence lunaire pour 372,0064626 occurences lunaires => 13,01493734 occurences lunaires de moins que de lunaison.

Nous avons donc une correction de 1,001149024 occurence lunaire en moins pour chaque cycle de lunaison moyen.

Exemple, pour 14 lunaisons nous aurons : 1,001149024 occurence lunaire en moins x 14 = 14,01608634 occurences lunaires de moins que le nombres de rotations de la Terre sur elle-même.

Vérification

14cycles x 29,53616454 jours/cycle par lunaison moyenne = 413,5063036 jours => 414,6384301 rotations de la Terre.
414,6384301 rotations de la Terre x 24h  ÷ 24,83965879h/cycle d'occurence lunaire pour 400,6223437 occurences lunaires => 14,01608635 occurences lunaires de moins que de lunaison.
 

8765.82h/an  ÷ 708,8679487 heures par lunaison en moyenne = 12,36594209 lunaisons en moyenne par année.
24h/jr  ÷ 23,93447054 heures / rotation de la Terre =1.00273787 rotation de la Terre/jour.
ou 0,997269605 jour/rotation de la Terre sur elle-même.
24h  ÷ 24,83965879h/cycle d'occurence lunaire = 0,966196846

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Soit                    :  27,32166jours par rotation(sidérale) de la Lune autour de la Terre.
Correspondant à  :  27,39646314 rotations de la Terre sur elle-même.
Nous avons         :  29,61703070 rotations de la Terre par lunaison en moyenne.
Nous avons aussi : -01,07928166 rotation de la Terre par lunaison en moyenne de neutraliser en apparence car la Terre tourne sur elle-même dans le même sens que la Lune.
Nous avons donc :  28,53774904 occurences de la Lune par lunaison en moyenne.
Nous avons         :  27,32166jrs x 24h = 655,71984 heures par rotation sidérale de la Lune autour de la Terre et 708,8679487 heures par lunaison en moyenne.
Correspondant à  :  708,8679487 heures par lunaison en moyenne ÷ 655,71984 heures par rotation sidérale de la Lune autour de la Terre = 1,081053074 rotation de la Lune par lunaison.
Nous avons donc :  Si une rotation = 360 degrés, alors 0,081053074 rotation de la Lune correspond à 29,17910663° de plus qu'un tour complet.
Nous avons aussi :  0,081053074 rotation supplémentaire de la Lune par lunaison en moyenne x 12,36594208 lunaisons par année x 27,32166 jours par rotation Lune = 27,38443475 jours supplémentaires par année <===> 1,002297618 rotation sidérale de la Lune autour de la Terre => 0,827142656° ==> 0,062774751 jours ou 1,506594029 heure.
0,081053074 rotation supplémentaire de la Lune par lunaison en moyenne => 2,21450453 jours supplémentaires par lunaison en moyenne x 12,36594208 lunaisons moyenne par année = 27,38443475 jours supplémentaires par année.
2,21450453 jours par lunaison en moyenne + 27,32166 jours par rotation sidérale de la Lune autour de la Terre = 29,53616453 jours en moyenne par lunaison.
365,2425jrs/an  ÷ 27,32166 jrs/rotation de la Lune autour de la Terre = 13,3682397 rotations de la Lune autour de la Terre par année
=> 13,3682397 rotations de la Lune autour de la Terre par année  ÷ 1,081053074 rotation de la Lune par lunaison =  12,36594208 lunaisons par année,
soit                     : 29,53616454 jours par lunaison moyenne et 29,61703070 rotations de la Terre.

Nous avons donc : 708,8679487 heures par lunaison en moyenne ÷  28,53774904 occurences de la Lune par lunaison en moyenne = 24,83965879 heures par occurence lunaire en moyenne.
Soit                    :  24h50min22,771644sec par Double-Marée.
 

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  24,83965879 heures / cycle de Double-Marée ==> 24h50min22,771644sec
- 23,93447054 heures / rotation de la Terre
==================================
=  0,90518825 heure supplémentaire  / cycle de D-M
x 28,53774904 cycles de D-M / lunaison
==============================
= 25,83203511 h supplémentaire / lunaison
÷ 23,93447054 h/rotationTerre
= = = = = = = = = = = = = = =
=   1,07928166 rotation de la Terre supplémentaire / lunaison

   29,61703069 rotation-Terre/ lunaison
 -   1,07928166 rotation de la Terre supplémentaire / lunaison
= = = = = = = = = == = = == = = = = = = = = = = == = = = =
   28,53774903 occurences de la lune au maximum / lunaison

et 28,53774904 cycles de D-M / lunaison

~ même fréquence Double-Marée et ''occurence lunaire''


 
Note: Une corrélation doit sûrement exister entre la surface sous la courbe de la Force résultante et le temps pour trouver l'amplitude des marées. Mais je laisse cela pour ceux qui voudront utiliser les intégrales...
[Mettre ici page 10 dessin 4 + données]
Dessin4.jpg
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N.L. => Nouvelle Lune
P.Q, => Premier quartier de Lune
P.L. => Pleine Lune
D.Q. => Dernier quartier de Lune
D-M => Doubles-Marées
=> Marée A (ou onde A)
=> Marée B (ou onde B)


Formation des Corps Creux

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Dessin09.jpg
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Base : vérification avec deux masses; jouer sur la distance et le positionnement; vérifier s'il y a une différence de force d'attraction variable.

Ici, nous suposerons que m1 = m2.
C.T. = Centre de la Terre; centre théorique.
F = GMm/r²
Notez qu'en ''a'' du Dessin09',

- des composantes radiales sont égales mais de direction différente,
- des composantes orthogonales se neutralisent.
f1a +f2a = f3a suivant la ligne passant par le centre de la Terre. (C.T.)
Notez qu'en ''b'' du Dessin09,
f1b +f2b = f3b suivant aussi la ligne passant par le C.T.
Résultat (pour ceux qui feront le calcul par eux-même) :  f3b  > f3a
 
- si on augmente la distance entre les deux masses => |f3b| et |f3a| augmentent en intensité,
- si on augmente les masses m1 et m2 =>  |f3b| et |f3a| augmentent en intensité,
- si on augmente la distance entre les deux masses ainsi que leur masse => |f3b| et |f3a| augmentent en intensité,
- dans les trois cas, la différence entre f3a et f3b augmente aussi et   f3b  > f3a dans les trois cas aussi.
    Donc, le tout consiste à trouver la variabilité de la force d'attraction radialement si elle existe et d'en trouver l'amplitude et la fréquence.

À quoi est lié cette fréquence ,,, ? (Voir Dessin10)

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Dessin10.jpg
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    Dans le Dessin10, nous voyons que le graphique de la Force d'attraction des deux masses vers le Centre de la Terre, en fonction du temps ou de la rotation de la Terre, devrait correspondre
à :
Fmaxi => marée basse
Fmini => marée haute
Nous avons une fréquence correspondant environ à 28,5306 Double-Cycles par 29,5306 jours, soit une période lunaire moyenne qui se perpétuera dans le temps par la suite.
Cette fréquence a été posé au début à titre hypothétique et pour fin de vérification et devant expliquer les observations faites sur les lunaisons et les marées.


Dessin07.jpg
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    Dans le Dessin07, nous voyons
- les distances croissantes 1 à 6 (ou D1 à D6);
- D équateur avec sa distance maximale correspondant à la force centripète maximale et son effet centrifuge maximal;
- D pôle = 0 => une distance nulle correspondant à une force centripète nulle et son effet centrifuge nul lui aussi.
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DocTravauxRecherche23b.jpg
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 *   Donc: si une grosse roche(ou deux) passe(nt) dans un nuage de poussière, de petites roches, de liquide, ou de gaz, alors cette matière est soit captée et fusionnée; soit qu'elle se met à tourner autour du coeur (masse centrale : grosse roche ou ensemble de masses denses); soit qu'elle est déviée, mais non retenue.

*    Lorsqu'un axe de rotation existe au préalable ou se forme, nous pouvons dire que la matière retenue aux pôles est fusionnée au coeur , après l'avoir rejoint, car aucun effet centrifuge n'est assez fort pour ne la retenir qu'en rotation.

*    Ainsi, la formation des trous des deux pôles et leur ampleur dépendra de la vitesse de rencontre entre le coeur et la matière en mouvement relatif entre les deux entités. L'équateur aura tendance à conserver une couche de matière sur une plus grande distance et à provoquer un vide intérieur ultérieurement surtout avec d'autres apports supplémentaires de matières extérieures ambiantes.

*    C'est automatique, systématique et général, pour ne pas dire un standard. Presque toutes les sphères de grande ampleur sont creuses ou en voie de le devenir : planètes, satellites, soleils, etc...

Dessin08.jpg
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*    EXPANSION ET GONFLEMENT

    La théorie de l'expansion de la sphère terrestre est donc vraie ou très vraisemblable,
 

==> et l'expansion du volume de la Terre, de son écorce, provoque la dérive des continents; qu'elle soit seule à le faire ou non. Donc ceux qui le promulguent sont très certainement sur la bonne voie.


    L'Amplitude maximale des marées joue en fonction de la Position de la Lune au-dessus de nous (un point donné fixe) par rapport à l'horizontal (vers le sud) (pour nous de l'hémisphère nord) et de la distance entre la Terre et la Lune.

    Dans leur interaction avec la Lune, leur amplitude maximale varie.

    Cette variation dépend donc de la rotation de la Lune autour de la Terre et donc de son (la Lune) cycle de 27,32166 jours qui crée un genre de ''ripple'' (vague) de surface sur les ondes A et B.

    Ce ''ripple'' (cette vague) est visible et fait se croiser les deux ondes fictives des Amplitudes maximales A et B. Ces points de croisement ont un double-cycle moyen, observé sur mes graphiques modifiés à cet effet. d'environ 27,384 jours. Ce qui est très proche 27,32166 jours par cycle sidéral + un décalage de 0,0748 jours supplémentaire à cause du déplacement de la Terre au tour du Soleil; soit 27,32166 jrs + 0,0748 jrs = 27,39646 jrs (soit de 0,0455% de différence; ce qui est négligeable), (ou même de 0,228 % de différence par rapport à 27,32166 jrs; ce qui serait encore très peu.).

    Cette vague est donc liée, ou associée, à l'effet que la Lune a sur les marées et n'en représente qu'une petite partie. La Lune n'étant que la troisième cause d'importance sur nos marées.

    Notez que pour chaque double-cycle de croisement il y a une inversion de la valeur dominante de l'amplitude. Les pointes ''violettes'' dominent pour un demi cycle, puis cèdent cette domination pour le demi cycle suivant aux pointes blanches. Cette caractéristique nous permet de bien identifier la présence d'une différence entre les ondes A et B. C'est aussi ce qui me fait utiliser les expressions ''doubles-marées'' et doubles-cycles dans le phénomène globale des marées. Ce que ne font pas les ''scientifiques''.

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ÉCHANTILLIONS


GraphDu200503Sc.jpg
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Maris200503du01au11c.jpg
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Maris200503du12au22c.jpg
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Maris200503du23au31c.jpg
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REMARQUE

    Dans ''Les Cahiers Sciences et Vie'' => L'invention du temps, N°134 janvier 2013, France, page 43, nous avons les informations suivantes :

=> 365,242190 jrs/année [si on corrige l'année sur 10 000 ans]
=> soit une différence de 11 minutes 12 secondes/année [selon moi toutefois, 365,25000 - 365,24219 = 0,00781 => 11 minutes 14,784 secondes ou ~ 11min15sec]

[ 0,00781 jour/an en trop x 400 ans = 3,124 jours = > une intervention de 3 jours en moins sur 400 ans => les siècles 100, 200 et 300 sont non bissextiles car non divisibles par 4]
[10 000 ans / 400 ans = 25  ==>> le reste en trop de 0,124 jour x 25 fois = 3,1 jours à enlever sur 10 000 ans; donc une autre ponction de 3 années normalement bissextiles qui ne le seront pas... aux 3333 ans par exemple, 6666 et 9999 ... (+ 1582) => qui fut le début du calendrier grégorien.]
    En page 45, nous avons à propos des lunaisons :

=> En moyenne, une lunaison dure 29 jours 12 heures et 44 minutes [Soit 29 jours 12,733333333 heures => 29,530555555 jours]
 

[Quant à moi, pour 6 ans (5,902064305 ans) de lunaisons, du 30 janvier 2010 à 06,3 heure au 25 décembre 2015 à 22,73333 heure, j'ai obtenu 73 lunaisons en 51736,43333 heures ==>> 708,7182648 heures/lunaison.
Soit 29,5299277 jours par lunaison en moyenne  ~ 29,53 jours.]
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(Excusez la répétition !)

FORMATION DES CORPS CREUX

    Voir la distance croissante de Di :
 

D : distance perpendiculaire entre l'axe de rotation de la Terre et un point à sa surface extérieure.
D équateur : distance maximale => force centripète maximale, effet centrifuge maximal
D Pôle = 0 =>  force centripète nulle, effet centrifuge nul.
D1 à D6
[Dessin 7]
Dessin07.jpg
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Donc, si une grosse roche (ou deux) passe(ent) dans un nuage de poussière, de petites roches, de liquide ou de gaz, alors cette matière est :
soit captée et fusionnée,
soit qu'elle se met à tourner autour du coeur (masse centrale : grosses roches ou ensemble de masses denses),
soit qu'elle est déviée, mais non retenue.
*
Lorsqu'un axe de rotation existe au préalable ou se forme, nous pouvons dire que la matière retenue aux Pôles est fusionnée au coeur après l'avoir rejoint, car aucun effet centrifuge n'est assez fort pour ne la retenir qu'en rotation.
*
Ainsi la formation des trous des deux pôles et leur ampleur dépendra de la vitesse de rencontre entre le coeur et la matière en mouvement relatif entre les deux entités. L'équateur aura tendance à conserver une couche de matière sur une plus grande distance et à provoquer un vide intérieur ultérieurement.
[Dessin 8]

Dessin08.jpg
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==> C'est automatique, systématique, général ou standard. Presque toute les sphères, de grande ampleur, sont creuses : planètes, satellites, soleils, etc..
EXPANSION ET GONFLEMENT

    ==> La théorie de l'expansion de la sphère terrestre est donc vraie (systématique),
    ==> et l'expansion du volume de la Terre provoque la dérive des continents... (C'en est probablement la cause première et principale.)

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'' PRINCIPE ''

    LA FORCE D'ATTRACTION est nulle à l'intérieur d'une sphère (planète) dont la matière est répartie de façon homogène autour de la partie centrale interne vide et en relation avec cette sphère. Donc, dans une écorce sphérique de masse sphériquement et radialement homogène, la force d'attraction est nulle et le poids n'est dû qu'à la rotation de cette écorce autour d'un axe centrale.

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ERREUR D'INTERPRÉTATION

    Voici un exemple de mauvaise interprétation des données d'expérimentation de la part des géologues. Ici, ils se contredisent tout en montrant clairement leur contradiction :


TerreOndePVueGraphique.gif
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    Sur leur graphique, ils commencent par nous dire que la vitesse de propagation des ondes S et P augmentent jusqu'à la fin du manteau intérieur avec l'augmentation de la densité. Puis, même si la vitesse chute verticalement, ils présume, sans raison justifiante, que la densité augmente drastiquement. En fait, ils auraient dû conclure l'inverse : soit que la densité a drastiquement diminué. Mais les préjugés ancestraux bien ancré en eux les a empêché de le conclure et ils ont préféré l'erreur d'interprétation à l'indication claire de ce qu'il en était.

    Les deux trous des Pôles Nord et Sud, permettent un mélange des gaz intérieur et extérieur de la Terre. Ainsi, la pression du gaz interne est beaucoup plus dense et élevée que l'atmosphère externe au niveau de la mer. C'est pourquoi la chute de pression ne va pas rejoindre le niveau extérieur de l'écorce terrestre, mais s'arrête à un niveau plus élevé pour se conformer à la plus grande pression se trouvant à environ 2885 km de la surface externe. Puis, comme la pression de ce gaz augmente jusqu'au noyau interne (ou double-soleils centraux), la densité va encore en augmentant ce qui fait aussi augmenter la vitesse de propagation de l'onde P. Remarquez que l'onde S est arrêtée par la présence de ce gaz et ou du liquide de transition; du fond des mers, de l'océan se trouvant à la surface interne de l'écorce terrestre.


MARISondePetS.jpg
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Voici un graphique de la densité en fonction de la profondeur plus compatible avec les résultats d'expérience.

    Il est intéressant que cela soit beaucoup plus conforme avec la réalité d'une Terre Creuse telle que je l'ai prouvé ( Voir : http://www.jacquesfortier.ca/Zweb/JF/TerreCreuse/TerreCreusePreuveScientifique.html ), qu'avec la très théorique idée et affirmation d'une Terre Pleine.

Voir aussi : http://www.jacquesfortier.ca/Zweb/JF/TerreCreuse/MaréesRésultatDeRechercheParJF.html

    De plus, il semblerait que le coeur de la Terre soit beaucoup moins dense que ce qu'on nous dit; de l'ordre de 7500 à 8000 kg/m² plutôt que 13000 kg/m².

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Marée7jrs20111217a.jpg


Maris200412du10au12.jpg


Marée7jrs20110702a.jpg


Maris20050607.jpg
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La Suite prochainement avec des graphiques explicatifs et démonstratifs


GraphDu200506Mc.jpg
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GraphDu200506Nc.jpg
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GraphDu200506Oc.jpg
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GraphDu200506Pc.jpg
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GraphDu200506Qc.jpg
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GraphDu200506Rc.jpg
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GraphDu200506Tc1.jpg
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GraphDu200506Sc.jpg
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GraphDu200506Tc.jpg
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Maris200506du01au11c.jpg
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Maris200506du12au22c.jpg
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Maris200506du23au30c.jpg
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    Sur les graphiques comportant les courbes de mesures faites sur les balances Ohaus et/ou Sartorius, ainsi que leur moyenne, il ne faut pas trop s'en occuper, étant donné la piètre qualité des résultats.

    Ces mesures m'ont surtout permis de me rendre compte de l'ordre de grandeur des variations ainsi que leur contradiction avec la théorie. Pour des résultats en continu, il faut contrôler la température (constante), la pression et l'humidité qui peuvent affecter ces ''balances''.

(2013-12-01) page 01

EXPLICATION

    Pour montrer le réaliste et la pertinence de mes affirmations et propositions explicatives sur les marées, je vous ai fait des séries de graphiques sur celles qui se sont produites de novembre 2004 à décembre 2005; portant sur 14 mois.

    J'en ai faits portant sur diverses périodes :
 

- un jour,
- sept jours, ceux qui sont en provenance de Lévis-Lauzon (copies couleur),
- 11 jours (du 01 au 11) + 11jours (du 12 au 22) + complément mensuel (du 23 à la fin du mois),
- un mois,
- un de 3 mois,
- certaines répétitions de graphiques (la série ''c'') avec mise en évidence de cycles particuliers.
    Les couleurs ajoutées permettent de mieux voir et apprécier le déroulement des variations des forces et des effets sur un double-cycle et aussi sur plusieurs Doubles-Cycles.

CONCLUSION

    Nous devons obligatoirement conclure à une fréquence deux fois plus grande des marées qu'à la fréquence des passages de la Lune: c'est-à-dire de deux marées par environ 24h52min.. C'est pourquoi, je parle de Double-Marées (D-M) pour m'approcher de ce qui est plus connu par tous. Cela est aussi justifié par le fait d'une certaine '' danse '' et complémentarité entre deux marées consécutives. Par ailleurs, ces deux marées consécutives sont habituellement différentes et certaines de leurs caractéristiques peuvent parfois s'égaler, mais aussi s'inverser, ou même se décaler.

    La seule présence de la Lune ne peut absolument pas expliquer les variations et jeux observées. C'est pourquoi nous devons rechercher, en toute honnêteté, une cause principale et complémentaire au phénomène des marées. L'aveuglement, imposé et accepté depuis des siècles, n'est plus de mise. Il faut s'ouvrir à de meilleurs explications.

(2013-12-01) page 02

    Sur les graphiques (''T'' en particulier) de plusieurs jours, nous pouvons voir les bandes de couleurs verte et violette (ou blanche et violette) représentant la part de variation dûe à la Lune en fonction de son parcours  autour de la Terre en 27,32166 jours en fonction de son éloignement et de son inclinaison (implicitement). Cette part est importante et il n'est nullement question de nier que la Lune participe à la formation des marées (du moins pour les marées basses). Si vous vérifier où se trouve la Lune lors du pic des marées hautes, vous constaterai qu'elle se trouve dans la région de l'horizon, avant ou après son levée ou son couchée, et que par conséquent sa force n'agit plus à ce moment-là pour attirer l'élément liquide qui lui est perpendiculaire...

     Certains graphiques mettent en lumière l'effet de la Lune seule (en vert) ou accompagnée du système Terre-Soleil (en magenta) et parfois de leur addition (en bleu).

    Les graphiques ''S'' et Sc'' avec ses bandes de couleur orangée nous indiquent une variation des forces dûes à la Lune entre les marées consécutives. La Lune tire pour l'une et pousse pour l'autre avec deux relâchements. N'oublions pas que l'onde de force de la Lune se rapproche de la  forme sinusoïdale.

    Si, on faisait disparaître la Lune, cette bande, à épaisseur variable, se réduirait à une ligne  moyenne. Il en serait de même pour la bandelette verte et mauve.
(Voir quelques exemples de graphiques avec la Lune à zéro.) (  http://www.jacquesfortier.ca/Maris/GraphLuneÀZéro.html  ) ou pour ceux qui ont des problèmes avec les accents :  ( http://www.jacquesfortier.ca/Maris/GraphLuneAZero.html  )

    Bien entendu, la solution que je propose, à l'aide de ces graphiques, n'est pas finale. Il y a de la place pour beaucoup d'ajustements. La masse des deux Soleils Centraux à la Terre ne sont qu'approximatives. En jouant sur la valeur de ces masses, nous pourrions nous rapprocher encore plus des marées précises obtenues et de leur variation.

    Mais mon objectif principal n'est que de vous montrer la solution qualitative de base, d'abord et avant tout, et de vous la faire comprendre; et, si possible, de vous la faire adopter(accepter) en attendant d'autres précisions encore à venir.
 

DOCCUMENT 29 (DocTravauxRecherche29.jpg)

    Tous ces graphiques nous permettent de voir la continuité sur 14 mois du phénomène des marées, et des doubles-marées, en conformité avec les trois forces principales créant ces marées selon l'ordre d'importance que je vous ai annoncé et présenté. La solidité de l'ensemble devrait vous faire prendre au sérieux l'idée de l'existence de deux Soleils (ou noyaux) Centraux, présentée dans mon rapport de Creusité de la Terre où je prouvais que notre Planète était effectivement et obligatoirement un Corps Creux, dont l'écorce première avait environ 2850 km d'épaisseur en moyenne.

    Quand je dis ''écorce première'', je fais allusion au fait que nous ne connaissons pas la constitution des Soleils Centraux et que Eux, aussi, pourraient très bien en avoir une. Tout ce que nous en savons, par des témoignages, c'est qu'ils éclairent l'intérieur de la Terre; de la surface interne de cette première écorce (T. Lobsang Rampa, carnait de bord de l'amiral Byrd de la marine étatsunienne et de ses nombreuses expéditions par les deux Pôles [ ByrdAmiralAntartique1947TerreCreuse.html  et  ByrdCarnetVoyage.html dans la section TerreCreuse de mon Site WEB], le fils accompagnant son père durant leur expédition de deux ans dans cet ''intérieur'' et qui provenait de la Norvège, et qui a raconté son histoire dans un livre traduit en français sous le titre : Le Dieu Fumeux [ LeDieuFumeux.html dans la section TerreCreuse ou Lectures de mon Site WEB].
 
 

Cohérence avec la notion de Creusité de la Terre


TrouNord.jpg
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  Tout ceci devrait nous acheminer avec l'idée d'une Terre creuse assortie de deux Soleils ou Corps Centraux distincts et séparés de quelques kilomètres puisque les géologues ont montré que les ondes ''P'' peuvent traverser ce Centre de la Terre.

http://www.jacquesfortier.ca/Zweb/JF/TerreCreuse/TerreCreusePreuveScientifique.html

http://www.jacquesfortier.ca/Zweb/JF/TerreCreuse/MaréesRésultatDeRechercheParJF.html

http://www.jacquesfortier.ca/Maris/GraphLuneÀZéro.html
ou pour ceux qui ont des problèmes avec les accents :  (  http://www.jacquesfortier.ca/Maris/GraphLuneAZero.html  )
ou
ftp://www.jacquesfortier.ca/Maris/GraphLuneÀZéro.html

Présentement disponible :

Pour les multiples graphiques (plus de 1200)

AAnumérisation.html
GraphDu200411.html
GraphDu200412.html
GraphDu200501.html
GraphDu200502.html
GraphDu200503.html
GraphDu200504.html
GraphDu200505.html
GraphDu200506.html
GraphDu200507.html
GraphDu200508.html
GraphDu200509.html
GraphDu200510.html
GraphDu200511.html
GraphDu200512.html

GraphDu20041220au20050120.html
GraphDu20041220au20050120Zzz.html
MaréeEssai01.html
MaréeEssai02.html
MaréesTroisCauses.html
Maris20041027au20041031.html
Maris20041027au20041130zz.html
Maris20041101au20041130.html
Maris20041201au20041231.html
Maris20050101au20050131.html
Maris20050201au20050228.html
Maris20050301au20050331.html
Maris20050401au20050430.html
Maris20050501au20050531.html
Maris20050601au20050630.html
Maris20050620au0722.html
Maris20050701au20050731.html
Maris20050801au20050831.html
Maris20050901au20050930.html
Maris20051001au20051031.html
Maris20051101au20051130.html
Maris20051201au20051230.html

MarisGraphFinOctobre2004.html
MarisGraph2004et2005.html
MarisSeules20050623au0930.html

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Pour la Lune alignée avec S1 et S2


Dessin13.jpg ou DocTravauxRecherche21.jpg
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* Les flèches vers le centre de la Terre indiquent une augmentation de la force d'attraction vers ce centre et nous avons, par conséquent, une marée basse.
* Les flèches vers l'extérieur de la Terre indiquent une diminution de la force d'attraction vers le centre et nous avons un afflue d'eau vers l'extérieur et, par conséquent, une marée haute.

    Ce dessin pourrait également servir à montrer comment se forme les Corps creux Célestes.

    Dans le Dessin11 qui suit, nous voyons que la Lune est à l'horizontale. Elle n'a donc plus d'effet sur le poids et les Soleils Centraux, côte-à-côte, sont au minimum de leur attraction combinée. Dous avons donc une eau retournée à son niveau normal : soit une marée haute.

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Dessin11.jpg
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Dessin12.jpg
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    Dans le Dessin12, nous voyons que la Lune est à la verticale et alignée sur S1 et S2. À gauche, La Lune retranche de la force d'attraction. À droite, la Lune rajoute de la force d'attraction. Nous avons donc une différence pour nos deux marées basses consécutives.

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DocTravauxRecherche30.jpg
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CONSEIL

    Vendez tout ce qui se vend au poids lorsque la Lune est au-dessus de vos têtes ou à son opposé de l'autre côté de la planète (c'est encore mieux) pour obtenir un poids maximal; et pour obtenir un poids minimal, le peser lorsque la Lune se couche ou se lève... (Hi ! Hi ! Hi !)

    Contrairement à ce que l'on pense, les eaux sont attirées vers le centre de la Terre par l'alignement de S1 et S2, créant un abaissement de la surface des mers et des océans, pour former des marées basses. Puis, lorsque cette force résultante maximale disparaît ou devient minimale, les eaux retournent à leur niveau d'équilibre, respectant la rotation de la terre avec son effet centrifuge. En fait cela se fait en un va-et-vient continuel et graduellement au gré de ces forces [S1 et S2 alignés, Lune (en ''+'' ou en ''-'' selon son positionnement vis-à-vis de S1) et du vecteur relatif de la vitesse du point d'observation à la surface extérieure de l'écorce terrestre par rappor au Soleil dû à la rotation de la Terre et de son déplacement autour du Soleil].

    Les résultats, avec mes pesées sur les balances Ohaus et Sartorius, furent décevant et ne marchent pas en conclusion avec la théorie.

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FORCE DE CORIOLIS

    La Force de Coriolis serait (ou correspondrait à) la composante orthogonale de la composante radiale de ''moins la force centripète'' (appelée la force centrifuge pour mieux se comprendre) due à la rotation de la Terre autour de son axe de rotation et qui n'est pas neutralisée par l'attraction terrestre : soit la portion, ou le vecteur, qui fait un angle de 90° avec la verticale. Notez bien qu'à l'Équateur, cette force est nulle car l'effet centrifuge est entièrement absorbé par l'attraction terrestre.

    Dans le cas d'un quadrillon, la Force de Coriolis (portion horizontale de l'effet centrifuge) accélère le liquide (son déplacement) et le rapetissement du trou démultiplie cette accélération [comme pour un patineur qui referme ses bras le long de son corps pour augmenter sa vitesse de rotation.

    La Force de Coriolis, la composante horizontale de l'effet centrifuge, ramène tout vers l'équateur. C'est pourquoi un quadrillon d'un certain angle, adapté à un degré de paralèlle de positionnement donné (47° de Latitude Nord par exemple pour Québec), peut faire accélérer un liquide qui tombe déjà dedans, ajoutant ainsi à l'accélération terrestre déjà en action ...

Ce que nous a montré Pierre de Chatillon dans une de ses soirées-conférences à Québec.

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Pour fin de discussion suplémentaire sur la Lune et un autre effet possible à tenir compte...
 
 


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(Non commenté)

SPÉCULATION

    Si on suppose S1 et S2 de polarité opposée et constituant les 2 pôles électriques ou magnétiques créant le champ magnétique de la Terre avec les charges ioniques de l'eau salin marin tournant autour, alors on peut présumer qu'une force agit sur cette eau tournant à environ 6370 km de l'axe centrale de la Terre, pour l'équateur, et variant selon la fréquence des doubles-marées, tout en étant leur cause principale.

    De plus, leur possible tournoiement propre et indépendant, autour du Centre de la Terre et basculant du Nord au Sud, puis du Sud au Nord par rapport à l'écorce de la Terre, selon une fréquence compatible avec ce que les géologues-océanographes ont observé aux fonds des océans, nous permettrait de mettre enfin le doigt su la cause de ce phénomène particulièrement intrigant. Ils ont noté un changement de polarité magnétique aux 150 000 ans. Soit une fréquence de 300 00 ans.

    Le changement de polarité se ferait lorsque l'alignement S1---S2 passerait par l'équateur. Ainsi, les marées de l'équateur seraient aux maximum à ce moment-là. Les autres degrés de Latitude Nord ou Sud auraient leur tour plus tard dans un tel cycle.

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MODÈLE UTILISÉ POUR UN SIMULATEUR DE QUANTITÉ DE MATIÈRE DANS LES PREMIERS 30 000 PIEDS (10 KILOMÈTRES)


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GraphLuneÀZéro.html
ou
GraphLuneAZero.html