LIVRE JAUNE N° 6

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(448 pages) Diffusion Raffin.

TABLE DES MATIÈRES

Attention ! [p. 9]
Préface [p. 11]
01 - Happy Birthday CIA [p. 41]
02 - L'église de Scientologie [p. 61]
03 - Le chancelier Helmut Kohl [p. 69]
04 - George Soros [p. 81]
05 - La Black Nobility, la Noblesse Noire [p. 97]
06 - Le Vatican et ses ramifications  [p. 107]
07 - Le Club de Rome  [p. 117]
08 - La JASON Society  [p. 123]
09 - Qui possède les réseaux de télévision ?  [p. 129]
10 - Le chiffre 666 et l'Antéchrist  [p. 137]
11 - Le projet Jésus  [p. 145]
12 - Les Protocoles des Sages de Sion  [p. 151]
13 - Les Anunnakis  [p. 163]
14 - Le troisième pouvoir et le dernier bataillon  [p. 187]
15 - La légende de la Lune morte  [p. 217]
16 - La Terre est creuse  [p. 241]
17 - Le gouvernement secret et le MJ12  [p. 277]
18 - Le projet Galileo  [p. 323]
19 - Le projet Monttauk  [p. 327]
20 - L'Alternative 3  [p. 339]
21 - La surpopulation et les moyens d'y remédier  [p. 379]
22 - Les maîtres et les victimes  [p. 415]
23 - Depuis la nuit des temps...  [p. 427]

Bibliographie  [p. 443]

L'Affaire Jonestown {Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 369 à 373) }

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(page 283)

    « C'est surtout aux États-Unis que l'on agit contre les documents de Cooper. Ce qui est compréhensible, vu que  c'est Cooper qui a révélé que c'est W. Greer [Bill Greer???], le chauffeur, qui a tiré sur Kennedy. Cooper a été le premier à montrer des photos de Groom Lake, la base secrète souterraine qui teste et étudie les OVNI, c'est lui qui a filmé les disques volonats à antigravitation et qui a montré l'endroit où il les avait vus au producteur de télévision japonais Yun-ichi Taoi. Les images des objets volants ont été montrées au journal télévisé japonais. Yun-ichi Taoi a également diffusé le film original de Zaprunder sur l'assassinat de Kennedy, où l'on voit distinctement que c'est le chauffeur qui tire. Vous pouvez trouver ce film auprès du "European Archive", à Sneek, Pays-Bas.

    Dans les médias occidentaux, on ne parle que très peu de ces choses. Dans les livres d'école japonais on peut apprendre que J.F. Kennedy a été assassiné parce qu'il voulait dévoiler des secrets sur les extraterrestres. C'est Yun-ichi Taoi qui le dit. x
 

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 307 à 309)

   "Alternative 3" [ discutée en  1957 selon Bill [???-> c'est plutôt: Milton William] Cooper, dans son livre « MAJESTIC 12 » de 1989] devrait permettre, par utilisation de technologies conventionnelles et extranéennes [extraterrestres], à quelques élus de quitter la Terre et d'établir des colonies dans l'univers. Nous ne pouvons confirmer l'existence de livraisons d'esclaves humains qui, dans le cadre de ce plan, serviraient à des tâches difficiles.

    La Lune, nom d'emprunt Adam, était le premier objectif, suivi de Mars, appelé Éva. Les trois alternatives prévoyaient, pour gagner du temps, un contrôle des naissances, la stérilisation de masse et l'introduction de microbes mortels. Le Sida est un des effets de cette planification. Il y en a d'autres. Comme on pense que la réduction de la polpulation était un facteur déterminant, il a été décidé de débarrasser la société des éléments perturbateurs.

    Le commandement unifié des États-Unis et de l'Union Soviétique a refusé l'Alternative 1. Il a ordonné la mise en chantier des deux autres. En 1959, la Rand Corporation a organisé un symposium sur les travaux publics en sous-sol. Le rapport final montrait des machines capables de creuser des tunnels de 15 mètres de diamètre, à une vitesse de 1,5 mètres à l'heure. Il montrait également des photographies de tunnels géants et de salles souterraines qui contenaient des équipements ressemblant à ceux d'une ville. ...

    Le projet spatial officiel a connu un regain essentiel sous la présidence de Kennedy, qui dans son discours d'investiture avait exorté les États-Unis à envoyer un homme sur la Lune avant la fin des années 60. Bien que l'objectif était louable, il a permis aux responsables de détourner des fonds pour leurs objectifs secrets et de cacher le véritable programme spatial aux yeux de l'opinion. Un programme parallèle en Union Soviétique poursuivait le même but.

    En fait, il existait déjà une base commune d'aliénigènes, d'Américains et de Russes sur la Lune, quand Kennedy a prononcé son discours. Le 22 mai 1962, une sonde inhabitée s'est posée sur Mars et a découvert des conditions de vie qui permettaient la vie humaine sur cette planète. Peu de temps après, on a mis en chantier la construction d'une colonie sur Mars. Maintenant il y a des villes sur Mars, habitées par des personnes triées sur le volet, de cultures et de métiers différents. Bien que nous soyons alliés en réalité, on continue à entretenir officiellement l'hostilité entre les Russes et les Américains, pour pouvoir bénéficier de budjets qui alimentent les programmes secrets, au nom de la défense nationale.
 

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 307 à 309)

    Un jour, Kennedy a découvert une partie de la réalité sur les aliénigènes. En 1963 il a posé un ultimatum à la commission MAJESTIC 12. Le président a menacé de révéler à l"opinion la présence d'aliénigènes en Amérique. Kennedy ne connaissait pas l'existence des projets Alternative 2 et 3. Les opérations étaient contrôlées par les Bilderberger. Aux États-Unis, les membres étaient subordonnés à MJ12, en Russie à un parti frère. La décision de kennedy a créé un gros malaise parmi les responsables. C'est pourquoi on a décidé de le supprimer. Ce sont les agents de MJ12 qui ont conduit l'opération, à Dallas. On peut le voir distinctement sur les images vidéo. Observez le conducteur et non Kennedy, si vous avez l'occasion de voir ces images. On voit que Greer tourne son bras gauche par-dessus son épaule droite. Dans la main gauche, il tient une arme, calibre 45. Regardez bien Jackie Kennedy. Après le tir de Greer, voyant que le tireur est assis à l'avant, elle essaie de quitter la voiture par l'arrière. Mais elle est repoussée par l'agent de la CIA.

    Tous les témoins oculaires, qui étaient assez près de la voiture pour voir Greer assassiner le président, sont morts dans les deux années suivantes. La commission Warren est une farce, car les membres du CFR sont majoritaires dans cette commission. Leur tentative de désinformation a pleinement réussi.

    Beaucoup d'autres citoyens, qui ont tenté dans les années suivantes de lever le secret sur la présence des aliénigènes, ont été égalent assassinés. On compte pas moins de 200 victimes. Dans les premières années de la conquête de l'espace, y compris l'alunissage de 1969, les fusées étaient accompagnées de vaisseaux extranéens. Le 20 novembre 1990, la chaîne Channel 2 de Los Angeles a annoncé qu'un objet rouge, incandescent, en forme de soucoupe se trouvait à côté de la navette Atlantis pendant son dernier vol militaire officiel.

    Des astronautes des missions appolo ont repéré et filmé une base lunaire qui porte le nom de Luna. Sur les photos, on peut voir des coupoles et des constructions coniques qui ressenblent à des silos. On peut voir également des engins d'extaction minière, qui laissent des traces profondes sur la surface de la Lune et des vaisseaux extranéens de petite et de grande taille.

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Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 260 à 263 )

L'ASTRONOMIE SE CONTREDIT ELLE-MÊME

(extrait du livre de Karl-Heinz Engels: la théorie des corps creux)

    L'astronomie enseigne que tout est parti du big-bang. Dans le bouillon originel, tous les éléments étaient répartis de façon régulière. Par les forces d'attraction, des « boulettes » se seraient formées dans le bouillon. Ce serait nos planètes. La physique enseigne en outre que de grandes concentrations de masse donnent des densités de masse importantes, car la matière est comprimée. Selon cette thèse, les objets célestes devraient avoir une densité supérieure aux petits objets, parce qu'à l'intérieur la pression est plus grande.

    Une observation plus poussée des planètes de notre système solaire nous montre le contraire. Les 5 planètes les plus petites ont la densité la plus élevée. Le rapport entre la densité des 4 petites planètes les plus près du soleil et la densité des 4 grandes planètes extérieures est de 5 : 1  en faveur des petites! Alors que la masse et le volume des 4 grandes planètes est 50 fois plus importante que ceux des petites planètes. Jupiter a 900 fois le volume de la Terre, mais soi-disant une densité de 1,8 g/cm³. La Terre, qui n'a que 1/3000 de la masse de Jupiter a soi-disant une densité de 5,5 g/cm³. Ce qui ne donne aucun sens.

    Parce que c'est également un non-sens pour les astronomes, on affirme que les grandes planètes sont faites de matériaux plus légers. Malheureusement il n'y a pas de preuves pour cette affirmation, et il est difficile de concevoir que certaines planètes comme la Terre aient attiré des matériaux plus lourds, alors que Jupiter se serait « spécialisé » dans des matériaux plus légers. Dans le bouillon originel, nous dit-on, tout était réparti de la même façon.

    La Terre ne peut pas retenir l'hydrogène à cause de sa masse qui est trop faible. Il se dilue dans l'univers, c'est ce que disent les scientifiques. Jupiter serait composé en grande partie d'hydrogène, à cause de sa faible masse [densité?]. Là aussi nous voyons 2 comportements très différents. Il n'y a que l'hydrogène, disent les scientifiques, qui puissent être retenu par les grandes planètes, additionné aux éléments que l'on trouve sur terre. L'hydrogène devrait donc constituer la majeure partie de la masse de Jupiter. Mais les astronomes prétendent que l'hydrogène ne constitue qu'une faible part de l'atmosphère de Jupiter. Le gaz devrait donc se trouver à l'intérieur de cette planète. Étrange : Les grandes planètes ont dans leur noyau des éléments très légers [l'hydrogène), les plus petites comme la Terre ont les éléments les plus lourds.
 
 

    Pour le soleil, c'est encore plus fou : il doit être énorme et très léger (densité : 1,4 g/cm³). À cause de sa faible densité, on pense qu'il doit s'y produire une fusion d'hydrogène. Ce qui ne donne pas de sens non plus. Parce que le soleil devrait avoir dans son noyau les éléments les plus lourds. Comment peut-il y avoir une fusion d'hydrogène, qui est un des éléments les plus légers? Comme le soleil a un poids trop faible, les scientifiques affirment qu'il est fait à 98 % d'hydrogène et d'hélium, alors que nous savons que tous les corps célestes doivent être faits des mêmes matériaux, comme ils viennent tous du même bouillon. En outre, on prétend que le soleil a une force d'attraction 28 fois supérieure à celle de la Terre. Un centimètre cube de surface de la Terre, alors que sa densité est 4 fois moins importante. Et tout cela doit être du gaz. Comprendra qui pourra!

    Ce sont bizarrement les plus petits corps célestes qui ont la plus grande densité : les fragments de la ceinture d'astéroïdes ont une densité qui va jusqu'à 8 g/cm³. Tout cela a un sens si on part du fait que les corps célestes sont creux à l'intérieur. Les astéroïdes et les planétoïdes ne le sont pas. Ils sont des fragments d'une planète ancienne et donc logiquement des corps solides. Nous voyons bien qu'un morceau du lapin en chocolat pris tout seul n'est plus creux.

    On peut vérifier la théorie ds corps célestes creux dans un laboratoire. En faisant tourner du gaz dans un piston, il se forme au centre un espace sans particules, le début d'une cavité. C'est la force centrifuge qui en est responsable, elle pousse les particules les plus lourdes vers l'extérieur. Si le gaz est fait d'éléments différents, ils se répartissent selon le poids spécifique de chaque élément. Karl-Heinz  Engels montre que toutes les planètes doivent être creuses, selon l'histoire de la genèse de l'univers communément admise. Tout le monde admet que les planètes se sont constituées à partir de nuages de gaz en rotation qui se sont refroidis lentement. Toutes doivent avoir un noyau solide et lourd. Parce que l'on part du fait que la pression doit être plus grande au centre et que les connaissances sur les tremblements de terre n'ont pas pu prouver ce noyau solide, on prétend que le noyau des planètes est fait de plasma. C'est de la matière qui est si chaude et dont les atomes sont si denses (ils n'ont plus d'enveloppe d'électrons) que les lois de la physique n'ont plus de valeur. Cela tombe bien, car on n'est pas en mesure d'expliquer les phénomènes que l'on rencontre par des théories connues...
 
 

    À propos du plasma, que personne n'a pu démontrer sur terre ou sur une autre planète, Engels dit la chose suivante : « Dans le soleil, il y aurait une fusion nucléaire, alors que sa densité est très faible. Les atomes d'hydrogène ont donc beaucoup d'espace. D'un autre côté, le noyau de la Terre doit être fait d'éléments plus lourds tels que le fer et le nickel, qui sont si denses qu'ils n'ont plus d'enveloppe. La probabilité que les atomes se rencontrent est beaucoup plus grande pour la Terre que pour le soleil, car les atomes y sont déjà compressés donc, la probabilité d'une fusion nucléaire est plus grande. Si le soleil est un réacteur à fusion nucléaire, la Terre devrait en être un beaucoup plus puissant, elle aurait dû disparaître depuis longtemps dans un feu d'artifice nucléaire ».

    Revenons aux nuages de gaz en rotation : d'après Engels, la science a oublié la force centrifuge dans ses théories sur la genèse des planètes. Sans force centrifuge il n'y a pas de gravitation. Et l'interaction de ces deux facteurs crée nécessairement des corps creux. La gravitation réunit les particules, les plus lourdes sont poussées vers le centre. Elle a un effet de tri de l'extérieur vers l'intérieur.

    La force centrifuge pousse toutes les particules lourdes vers l'extérieur. L'effet est inverse. Il doit donc se former une cavité au centre. La combinaison de ces deux forces antagonistes induit l'apparition d'une coquille solide, dont les particules les plus lourdes sont déposées en son centre (là où les 2 forces s'annulent). La densité diminue en s'éloignant de ce centre, d'un côté vers la surface; de l'autre, vers le noyau qui est vide. l'objet qui en découle est creux à l'intérieur.

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Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 272 à 275)

LA NASA REÇOIT DES SIGNAUX RADIO DU CENTRE DE LA TERRE [1/3]

    C'est ce titre que le journal canadien "Weekly  World News" a publié l'article qui va suivre, le 14 février 1995, qui prouve une fois de plus la théorie de la Terre creuse: « Cap Canaveral, Floride - La NASA reçoit des signaux radio qui viennent de l'intérieur de la Terre. Des experts pensent que ces signaux sont émis par une forme de vie intelligente et très développée »!

    « Il est clair qu'il y a quelqu'un ou quelque chose qui veut entrer en communication avec nous », a dit un haut responsable de la NASA qui ne veut pas dire son nom. « Qui que ce soit, il dispose d'une technologie qui est capable d'envoyer des signaux à travers l'écorce terrestre, des centaines de kilomètres de terre et de roche ».

    des scientifiques auraient perçu les premiers signaux le 30 octobre 1994, grâce à des satellites très sensibles. Depuis ce jour, les émissions se sont renouvelées à intervalles réguliers, prétend la source à la NASA. « Les signaux radio seraient composés d'un code mathématique très complexe, qui a convaincu les scientifiques qu'ils étaient en contact avec une colonie d'êtres vivants dont l'intelligence est sans doute supérieure à la nôtre ». L'homme de la NASA dit que les scientifiques n'ont pas eu trop de mal à déchiffrer les messages, mais il a refusé plusieurs fois de révéler ce qu'ils contenaient.

    « Je ne dirais pas que les messages sont de nature hostile, mais leur contenu pourrait provoquer des controverses et des inquiétudes », dit-il. « Comme beaucoup d'éléments dépendent de l'interprétation, je suis d'avis que les scientifiques s'occupent de ce problème avant que nous déclarions quoi que ce soit qui pourrait mettre l'opinion publique dans un état d'excitation et d'anxiété ». L'informateur continue en expliquant que les scientifiques sont frustrés par le fait qu'ils n'ont pas réussi à localiser cette « civilisation souterraine », et qu'ils ne sont pas en mesure, avec la technologie dont ils disposent, de répondre aux messages. « Qui qu'ils soient, ils en savent plus sur nous, que nous sur eux. Ils ont ainsi trouvé un moyen de communiquer avec nous, de façon régulière; nous, par contre, ne savons mêmes pas comment les joindre. Leurs messages montrent qu'ils ont des connaissances étendues sur la vie à la surface de la Terre, alors que nous n'avons pas d'explications sur la possibilité du développement et de la survie d'une vie intelligente dépourvue d'oxygène et de soleil ».
 
 

    Le responsable de la NASA ajoute que les scientifiques sont d'accord sur le fait que cela pourrait être la découverte la plus importante et la plus retentissante de notre siècle. « Nous avons cru longtemps que l'univers était notre frontière, maintenant nous reconnaissons qu'il existe des territoires inexplorés à l'intérieur même de notre planète, ce qui pourrait être de première importance pour notre avenir ».

    L'article finit sur cette phrase. Tout y est dit. Que contiennent réellement ces messages? Pourquoi la NASA se sent-elle mal à l'aise de révéler à l'opinion publique qu'elle est en communication avec l'intérieur de la Terre? Quelles sont les exigences contenues dans ces messages qui poussent la NASA à refuser d'en parler? Comme les messages ne semblent pas hostiles, ils ne peuvent donc pas mettre sérieusement les populations en danger. Ce sont sans doute les forces politiques et économiques qui se sentent menacées. C'est certainement la raison pour laquelle les scientifiques ont besoin de temps pour « interpréter correctement » (ou corriger) les messages souterrains, avant qu'ils ne soient rendus publics.

    Tout cela nous rappelle les aventures de l'amiral Byrd, au cours de son vol du 19 février 1947 dans la région polaire, et ce qu'il lui est advenu, quand il a voulu publier les messages des habitants du centre de la Terre, Mais, contrairement à ce qui s'est passé é cette époque, on l'a réduit au silence en ridiculisant la théorie très ancienne de la Terre creuse. Les scientifiques préparent actuellement l'humanité pas à pas è la réalité d'une Terre creuse. Indirectement, ils doivent avouer que la théorie du noyau terrestre ferrugineux en fusion ne tient pas.

    D'autre part, le responsable de la NASA ne parle pas « d'êtres intelligents », mais plutôt « d'une civilisation secrète sous la surface de la Terre ». Ce sont les mots exacts qui figurent dans l'article du journal canadien. L'homme de la NASA ne dit pas la vérité, par contre, quand il prétend que la NASA a perçu les messages pour la première fois en octobre dernier[1994]. Dans les décennies passées, il y a régulièrement eu des informations confidentielles qui prouvent que les grandes puissances ont été confrontées au problème. Rappelez-vous l'amiral Byrd ou l'ingénieur Donald Pue.
 
 

    Il est également faux de dire que nous n'avons aucun moyen de communiquer avec cette civilisation. D'autres sources affirment que ces êtres essaient depuis longtemps de faire comprendre à nos dirigeants que le surarmements et l'énergie nucléaire peuvent signifier notre perte, ce qui voudrait dire qu'ils ne pourraient pas se contenter d'une communication à sens unique. Ce mensonge de la part de la NASA la dégage de la responsabilité de publier toute information à ce sujet.

    Apparemment, la civilisation souterraine n'est pas seulement plus développée que la nôtre, elle connaît également les conditions qui règnent dans notre monde, et elle est capable d'envoyer des messages codés que la NASA n'a aucun mal à déchiffrer. Elle semble bien connaître l'état de notre technologie et la langue de cette technologie "primitive".

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 Phénomènes aux pôles ![1/3]

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 248 à 253 )

(...)

    Même en analysant de façon critique tous ces phénomènes et en éliminant les plus fantastiques, il y en a certains qui résistent et qui conforte la théorie d'un déplacement de l'axe de rotation de la Terre et des pôles :

- La pleine mer que découvrent les navigateurs, dès qu'ils dépassent le fameux 83° de latitude nord.

- Le phénomène que l'on observe au nord de cette latitude, une couche d'eau douce à la surface de l'eau, qui recouvre la mer salée. Nansen et Jens et Olaf Jansen l'avaient déjà découverte.

- Le soleil rougeoyant, qu'on vu les Jansen et Nansen. Nansen s'est approché le plus du point 90° nord, où l'on suppose le pôle Nord, à 4°. Robert E. Peary, à qui on attribue la découverte du pôle Nord, le 6 avril 1909, est un personnage controversé. À juste titre. Il a indiqué avoir rejoint le pôle avec des chiens de traîneaux. Comme nous allons le voir plus tard, il n'y a premièrementpas de pôle, et deuxièmement, à cet endroit il n'y a que la pleine mer, ce qui n'est pas le terrain privilégié des chiens de traîneaux. Ni lui, ni son concurrent, Frederick A. Cook, qui prétendait avoir découvert le pôle, le 21 avril 1908, n'ont jamais pu apporter de preuves à leurs affirmations. Cook traitait Pearty de menteur, Pearty faisait de même. Le Congrès américain a fini par donner raison à Pearty, sans doute parce qu'il était de nationalité américaine. Malgré tout, le Congrès a jugé que les prétentions de pearty ne pouvaient être prouvées. Le super-intendant des garde-côtes américaines n'avait pas confiance en Pearty. « Nous n'avons que sa parole. Comme tout ce qu'il a affirmé jusqu'à maintenant était faux, le monde n'a rien dans les mains qui prouve que ces affirmations sont vraies ».

- Le climat exceptionnellement doux, au-delà de 83° nord.

- Les aurores boréales, phénomène qui n'existe qu'aux pôles, et que personne n'a pu jusqu'à maintenant expliquer de façon réellement satisfaisante.

- Les nombreux oiseaux, que l'on peut suivre dans leur vol en direction du nord, et qui reviennent de ces régions, tous les ans, à la saison chaude. Où ont-ils passé l'hiver?

    Même si on fait abstraction du bois flottant, des os de mammouths, des pollens de fleurs et de tous les animaux, il y a quand même des éléments qui « clochent » au pôle Nord, ou plutôt dans nos théories [officielles].

Quand l'amiral Richard E. Byrd, le célèbre pilote du pôle Sud, commence son vol au-dessus du pôle Nord, 19 février 1947, il ne sait pas que cette journée va changer radicalement sa vision du monde. Au lieu de survoler la mer normalement jusqu'à la limite des glaces et la banquise, il s'aperçoit tout d'abord que ses instruments ne réagissent pas comme d'habitude en raison du pôle magnétique, ce qu'il savait déjà auparavant. Et puis c'est la première découverte, un massif montagneux qu'il n'avait jamais vu. Plus tard, une vallée verdoyante, et pour finir, l'amiral n'en croit pas ses yeux: « Cela ressemble à un éléphant. Non !!! On dirait un mammouth! C'est incroyable! Et pourtant, il est bien là! »
 
 

    Byrd avait pénétré, sans le savoir, à l'intérieur de la Terre. Ce n'était pas un hasard. Depuis Hiroshima et Nagasaki, 2 ans s'étaient écoulées. Les civilisations de l'intérieur savaient qu'elles devaient contacter les responsables à la surface de la Terre, pour les mettre en garde. Il faut savoir que notre planète n'est pas un corps solide, que c'est une bulle suspendue dans le cosmos, avec une écorce qui ne fait que quelques centaines de kilomètres d'épaisseur (cette épaisseur fait l'objet de querelles d'experts. Elle va de 250 kms qui est le chiffre le plus bas, à 1280 kms, pour le plus élevé. De 300 à 600 kms, c'est le chiffre le plus réaliste et le plus envisageable). Et ces insensés font exploser des bombes atomiques à l'intérieur de cette croûte terrestre!

    L'amiral R. Byrd a été soumis à un long interrogatoire par le Pentagone, il a été mis au secret et ne pouvait plus s'exprimer en public. Neuf ans plus tard, il a fait un vol de reconnaissance au-dessus du pôle Sud. Les journaux en ont parlé abondamment, le 5 février 1956: « Le 13 janvier, des membres d'une expédition américaine ont entrepris un vol de 2 700 milles, de leur base de McCurdo Sound, qui se trouve à 400 milles à l'ouest du pôle Sud. Ils ont pénétré dans un territoire au-delà du pôle ». Auparavant, l'opinion publique américaine avait pu suivre en direct à la radio les découvertes de l'amiral Byrd, qui décrivait des vallées vertes, des grands fleuves qui coulaient à travers d'immenses forêts, des animaux subtropicaux et des mammouths. Après son retour, Byrd, qui ne pouvait parler librement, a fait un procès-verbale : « L'expédition actuelle a ouvert de nouveaux territoires, ce continent merveilleux dans le ciel, le pays du secret éternel! » Il faisait allusion au phénomène polaire du "miroir dans le ciel" : les territoires qui sont situés plus bas en altitude se reflètent dans le ciel, de même pour les nouveaux territoires à l'intérieur des ouvertures du pôle.

    Les mythes, qui portent en eux un noyau de vérité, reviennent hanter les esprits, comme un écho que l'on aurait envoyé il y a longtemps. Ou, comme l'expliquait Abraham Lincoln: "On peut tromper tout le monde pendant un certain temps et certains pour toujours, mais on ne peut pas tromper tout le monde éternellement". ... C'est le moment de démasquer les artifices - 2 énormes trous sont apparus, là où l'on voulait nous faire croire que les glaces éternelles formaient un pôle.
 
 
 

    D'après les calculs de Raymond Bernard, qui a rassemblé des témoignages innombrables dans son livre "The Hollow Earth", ("La Terre Creuse", en français] l'ouverture vers le centre de la Terre mesure 2 250 kilomètres. Ce qui veut dire, qu'à partir du 82, 83°, la mer polaire s'incline sur plusieurs centaines de kilomètres vers l'intérieur. Des représentattions graphiques montrent que l'ont peut voir le soleil interne à partir du 86° nord.

    Nansen n'a-t-il pas parlé d'un soleil rougeoyant, qui ne ressemble pas au nôtre? Un soleil interne? ! Exactement. La Terre est creuse, à l'intérieur vit une civilisation qui est éclairée par un soleil central qui se trouve au coeur de la planète. Dans son livre "Voyage au centre de la Terre", Olaf Jensen le décrit avec précision. Sa lumière vient de notre soleil: « Une partie des rayons solaires pénètre à l'intérieur, ils énergétisent le soleil central. Il s'agit là de l'effet de loupe parabolique ».

    L'atmosphère du centre de la Terre est hautement chargée en électricité, le climat est subtropical et le temps ne change pas beaucoup. Grâce à l'électricité et à l'humidité ambiante, la végétation s'est développée et les plantes sont plus fécondes que chez nous. Tout est démesuré, si nous pouvions y aller, nous nous y sentirons comme le petit Poucet dans le pays des géants. En lisant le livre de Jansen, on se croit arrivé au paradis. Il n'y a ni maladie ni misère, ni avidité ni haine. Tout fonctionne en harmonie et baigne dans l'amour. La capitale se trouve dans un jardin paradisiaque, qui s'appelle Éden.

    En avons-nous été chassé un jour? L'hypothèse, selon laquelle certains élus ont pu se réfugier dans le pays d'Hyperborée, après la disparition de l'Atlantide, est-elle vraie? D'où vient notre mythe biblique sur la création? Pourquoi le paradis s'appelle-t-il précisément Éden? D'où venait Apollon? D'Hyperborée? Et les Grecs, n'ont-ils pas érigé un temple à Delphes, en l'honneur d'Apollon, qui était célèbre pour ses oracles? Dans le pays qui se situe au-delà du vent du nord, dans le centre de la Terre, il existe une ville qui s'appelle Delphes, elle se situe à l'intérieur d'un immense jardin botanique. Qu'avaient planté les Grecs sur les collines de Delphes? Un jardin de 2000 oliviers. Est-ce un hasard?

    ... Mais il se pourrait que ce jardin d'Éden se trouve à l'intérieur de notre Planète. Olaf Jansen rapporte que la capitale se trouve effectivement dans un immense parc paradisiaque, et que 4 rivières y prennent leur source, chacune coulant vers un point cardinal différent. Une de ces rivières s'appellent l'Euphrate. ...

    On retrouve souvent le mythe du serpent dans la bible, il représente la tentation qui a chassé Adam et Ève du paradis. Dans la tradition rabinique, Éden est  devenu le foyer des âmes, c'est un lieu sacré. Les premières descriptions de la Bible ont situé le jardin d'Eden dans le monde physique, puisque des rivières en sortaient, l'une d'elle s'appelait Euphrate. La mythologie dit que les hommes ne mangeaient que des fruits au paradis, Adam était rayonnant de beauté avant la chute. Il pouvait, avec son regard, voir le monde d'un côté à l'autre. À la surface de la Terre, c'est impossible, à cause de la courbure convexe de la Terre. Mais à l'intérieur, la courbure est concave, ce serait donc possible. [ Et que dire de l'ancienne croyance de la Terre plate, et qu'au bout on tombait -> à l'intérieur de la Terre! -> Hé Oui!]

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CLICHÉS DE LA NASA DU PÔLE NORD [1/3]

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 263 à 268 )

    Quand la NASA a remplacé en 1977, au bout de 10 ans  de service, le satellite géostationnaire ATS III par un satellite plus moderne, le GEOS 8, elle a ordonné la destruction des 4500 clichés faits par ART III. Les images n'auraient « aucune valeur météorologique », prétendait la NASA. Enfreignant l'ordre de ses supérieurs, le responsable scientifique du département, le Dr Locke-Stuart, a ramené chez lui plus de 1000 clichés et il les a soigneusement archivés. Pour quelle raison, donc?

    Jan Lamprecht, spécialiste en informatique et originaire d'Afrique du Sud, pense en connaître la raison. Depuis des années il est à la recherche de tous les indices qui pourraient prouver que les planètes sont creuses et qu'elles ont des ouvertures à leurs pôles. Il a mis par hasard la main sur une photo prise par l'ATS III, qui montre clairement une dépression en forme de tourbillion dans la région du pôle. Grâce à ses contacts avec le "Goddard Space Flight Center", la station de contrôle des satellites ATS, il a pu se procurer un autre cliché. Cette image, prise de côté, montre qu'à l'endroit où se trouve le pôle, il y a en fait un trou dans le globe terrestre.

    Après des semaines de longues recherches, un initié de la NASA a découvert pour Lamprecht d'autres clichés qui montrent une ouverture au pôle, il a pu démontrer qu'ils ont également été pris par l'ATS III et qu'ils sont soigneusement gardés par Locke-Stuart. Stuart se montre très réservé sur ces clichés « sans valeur », et il ne les montre pas volontiers.

    Les images prises par le satellite GEOS 8 ne montrent plus de dépression tourbillonnante aux pôles, ce qui est étrange. Même la courbure de la Terre est complètement arrondie. Sur les anciens clichés d'ATS III, on voyait une nette courbure, qui n'existe pas officiellement. Cette courbure « inexplicable » a un sens, quand on sait que les pôles terrestres sont aplatis, car la Terre se courbe vers l'intérieur, en direction de l'ouverture. Les photos d'ATS III montrent également des dépressions atmosphériques, comme si des masses d'air et des nuages étaient aspirées par l'ouverture des pôles. On ne voit rien de tout cela sur les images récentes de GEOS 8.
 
 

    Richard Hoagland, auteur du best-seller "The Mars Connexion", pense en connaître la raison. Dans une interview de 1977, diffusée dans le "Art Bell Show", il disait que les photos étaient censurées avant d'être montrées à l'opinion publique. Toutes les images envoyées par les satellites météorologiques passent dans un grand ordinateur qui corrige les phénomènes qui ne correspondent pas à la doctrine officielle. Après quoi les clichés sont renvoyés dans l'espace vers un autre satellite qui les retransmet à la Terre. C'est seulement à ce stade que les clichés (falsifiés) sont disponibles pour le public. Il n'y a que la NASA qui a accès aux données envoyées par le premier satellite. Il y a des voix qui s'élèvent pour dire qu'en Europe les photos des satellites sont également truquées, pour cacher l'ouverture des pôles à l'opinion publique.

    Pourquoi cette manipulation n'a-t-elle pas été faite sur les images d'ATS III ? Jan Lamprecht pense que la NASA a fait une erreur en calculant l'orbite du satellite. La Terre est beaucoup plus plate au pôles qu'on ne le pensait, l'ouverture n'est donc pas invisible à l'horizon, on peut la voir à partir d'un angle très fermé. C'est la raison pour laquelle ATS III a pu prendre des images qui montrent que des nuages et des brumes entrent et sortent par l'ouverture polaire. Comme personne n'avait semblé le remarquer, on a renoncé à un truquage, en décidant de détruire les clichés quand on changerait de satellite.

    C'est pourquoi il ne faut pas s'étonner de la difficulté à se procurer des cartes du pôle Nord. Dr. Rosner, responsable de la faculté de géographie de Tübingen, en Allemagne, a reconnu que la courbure de la Terre dans l'Arctique fait partie des secrets militaires. Même la cartographie de l'océan Arctique, effectuée par les sous-marins atomiques, est protégée par le secret-défense. En tant que particulier, il est  difficile voire impossible, de se procurer des images des pôles. Quand Lamprecht a voulu acheter une carte de l'Antarctique auprès d'une entreprise sud-africaine spécialisée, l'ordinateur lui a répondu que ces cartes n'étaient pas disponibles, étant sous le sceau du secret-défense.

    La raison en est simple. Le pôle Sud a également une ouverture vers le centre de la Terre. Des vents chauds et des courants s'échappent en direction de l'océan polaire. On ne peut exprimer autrement les polyanas de la mer de Weddell. Ce sont des zones dans l'océan où l'eau est si chaude que la banquise fond et découvre la pleine mer. Un météorologue européen estime que la température aux pôles est au moins supérieure de 30° de celle communément admise par la position géographique et les données météorologiques.

    Donald Pue, médecin et ingénieur en électronique américain, défenseur de la théorie de la Terre creuse, a dit ceci lors d'une conférence à Berlin en 1992 : « En 1985 j'ai pu participer à une conférence de Ron Evans, l'astronaute qui était aux commandes du module lunaire de la mission Apollo 17. Comme je le regardais de côté, j'ai remarqué quelque chose d'étrange au moment où il a commencé à parler face à la caméra. Derrière lui, il y avait une grande photo de la Lune et un peu plus en arrière une photo de satellite montrant la Terre. On y voyait l'hémisphère nord, et j'ai vu que quelque chose était différent. J'ai vite compris. La photo avait été prise à un moment où il n'y avait pas de nuages au-dessus de l'Arctique. On reconnaissait la ceinture de glace et au milieu on voyait distinctement un trou noir ! Là où il y a l'océan. À la fin de la conférence, j'ai été voir Evans, nous avons échangé quelques mots. Je lui ai demandé pourquoi cette photo rare de la NASA n'était pas montrée plus souvent. Il a aussitôt retourné la photo et est parti en s'excusant ».
 
 

    Selon Donald Pue, il existe un projet scientifique américain secret qui a démontré depuis longtemps que toutes les planètes sont creuses et qu'elles ont été créées par la théorie des vortex. Des preuves photographiques ont été livrées par les satellites militaires du projet DODGE,  qui étudiait la gravitation.

    Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond avec la force de gravitation, ou du moins avec la version officielle. La Loi qui a été formulée par Newton et qui est toujours valable, semble ne pas être applicable à l'extérieur de notre système solaire. Même pour de courtes distances de quelques centimètres la loi de Newton échoue, comme l'ont montré des expériences. À cela s'ajoute le fait que la constante de gravitation « G » augmente de façon anormale quand on fait des expériences dans les profondeurs de la Terre. Cela ressort d'expériences faites au Groenland et en Australie. Le Prof. Saxl, de Harvard, a constaté que la gravitation peut être influencée par des forces électriques, on ne sait pas exactement comment.

    Pour résumer, il est impossible de déterminer le poids et la densité de la Terre en ne considérant que les théories de la gravitation et de la masse, comme c'est pratiqué actuellement. Il n'y a qu'une chose que l'on peut affirmer, c'est que le poids et la densité de la Terre sont beaucoup moins élevés que ce qui est admis par la science. La théorie d'une Terre creuse est donc tout à fait envisageable, car la théorie du noyau de la Terre fait de fer et de nickel ne s'appuie que sur une densité de la Terre élevée. Les sismologues pensent que le noyau est en fusion. Ils s'appuient pour cela sur le fait que les ondes sismiques ne peuvent se mouvoir qu'à travers de la roche solide. Bien que l'on ait fait exploser plusieurs bombes à hydrogène pour faire des mesures précises, il n'a pas été possible jusqu'à maintenant de suivre des ondes sismiques à travers le noyau terrestre. Les expériences ont montré que les ondes sont détournées par le noyau, ou qu'elles le contournent. C'est pour cela que l'on a admis que le noyau devait être en fusion, car la loi de Newton semblait infaillible.

    Une hypothèse qui est précipitée. Les expériences montrent seulement qu'il n'est pas solide. Il pourrait très bien être gazeux ou vide. Des hypothèses erronées conduisent toujours à des interprétations erronées. Si le scientifiques partaient du fait que la Terre est creuse, ils pourraient tirer du comportement des ondes sismiques des conclusions intéressantes sur l'épaisseur réelle du manteau terrestre.

Les tremblements de terre sont une preuve supplémentaire de la théorie de la Terre creuse. Selon la science, la croûte terrestre solide mesure environ 50 Km d'épaisseur. En-dessous la matière est visqueuse. Il est donc impossible que la pression qui déclenche les tremblements de terre se constitue en-dessous de 50 km. Malheureusement, plus de 60 000 tremblements de terre ont leur épicentre à une profondeur supérieur de 50 km! Certaines secouses ont eu lieu à plus de 600 km de profondeur. C'est impossible si le centre de la Terre est à l'état non solide en-dessous de 50 km. L'explication de certains sismologues selon laquelle les plaques lithosphériques auraient été poussées jusqu'à une telle profondeur n'est pas convainquante.

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Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 256 à 258)

    ... une chose est évidente, la Terre est creuse. Et il est évident qu'il y a deux ouvertures géantes à chaque pôle. Des photos secrètes de la NASA montrent bien qu'il s'agit d'une réalité. Les ouvertures mesurent environ 2250 km chacune. Mais voilà, qu'en est-il d'Amundsen qui a atteint en premier le pôle Sud, et qui y a planté un drapeau dans la glace. Et qu'en est-il des nombreux avion de ligne qui survolent quotidiennement les pôles? Les pilotes confirment que l'on ne survole jamais le pôle géographique, que les avions ne dépassent pas les 83° de latitude. Comme les boussoles ne fonctionnent plus correctement à partir de 70° de latitude, les compagnies aériennes utilisent le système de navigation INS, qui dépend du magnétisme terrestre (on entre la position de l'avion avant le décollage, l'ordinateur calcule la route la plus courte, en fonction de l'accélération et de l'altitude).

    Alors qu'à l'école on  apprend toujours que le pôle Nord magnétique est un point précis, des scientifiques ruses ont découvert depuis longtemps qu'en réalité c'est une ligne magnétique de 1 500 km de long qui entoure l'ouverture du pôle. Elle s'étend du Canada jusqu'à la presqu'île sibérienne de Taimyr et continue plus faiblement sur 1500 km. C'est ce qui peut expliquer le phénomène étrange que rencontrent les marins qui dépassent le 83° de latitude Nord. L'aiguille de la boussole est collée contre le verre de protection. Certains explorateurs sont descendus à l'intérieur de  l'ouverture polaire, l'aiguille de leur boussole s'est redressée à la verticale, car le ligne magnétique se trouvait au-dessus d'eux, le long de l'ouverture.

    L'intensité de cette ligne magnétique n'est pas la même partout. Il n'y a qu'un seul endroit où elle est amplifiée. Cette zone se déplace continuellement, elle fait le tour de l'ouverture polaire en 235 années. Le pôle magnétique se décale de 30 km par an, comme la science l'a reconnu. Au cours de leurs expéditions polaires, il était impossible aux explorateurs de voir cette ouverture de leurs yeux. Comme la surface de la Terre se courbe vers l'intérieur, sur une distance de plusieurs centaines de kilomètres, l'oeil ne peut s'en rendre compte, si ce n'est que la ligne d'horizon se raproche de plus en plus. Mais comment le distinguer dans une mer de blanc éternel? Surtout que les conditions lumineuses sont particulières, le brouillard masque la vue, tout se fond dans le blanc, et la lumière rougeoyante d'un soleil tamisé se répand à partir d'un point fictif erroné.

    N'est-il pas étrange qu'à une époque où l'on peut faire des photos détaillées de Saturne et de Mars, il ne soit pas possible de faire des photos satellite des zones polaires? D'autant plus qu'il ne semble pas difficile de localiser le trou d'ozone au-dessus de l'Antarctique et de le photographier. Celui qui veut se procurer des images des 2 pôles trouve toujours le même genre de clichés, une bouille de nuages blancs qui masque la vue, ou une surface ronde et plate qui représentent soi-disant ces pôles. La Terra incognita commence au 83° de latitude nord, là où débute l'ouverture du pôle.

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MAJESTIC 12 [1/4]

 Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 299 à 303 )

    ... Nelson Rockefeller avait changé de poste. On lui avait confié le poste de chargé de mission des stratégies psychologiques. Le nom a changé quelque peu pour devenir ensuite chargé de mission des stratégies de la guerre froide. Le poste devait se développer dans les années à venir et Kissinger et Nixon l'ont occupé pendant un temps. Officiellement, il avait un rôle de consultant dans le développement de la compréhension et de la coopération entre les peuples. C'était en fait une couverture. En réalité, c'était un poste de coordinateur de la présidence pour les services secrets. Dans cette nouvelle position, Rockefeller n'avait à rendre des comptes qu'au président, personnellement. Il participait aux réunions du cabinet, du CFR et du Conseil national de sécurité, les organes qui dictent la politique officiele.

    On a confié à Rockefeller un autre poste, celui de responsable d'un département secret, le groupe de Planification et de Coordination, qui a vu le jour avec la directive NSC 5412/1 de mars 1955. Ce groupe était constitué de membres non permanent, qui dépendaient de l'ordre du jour. Les membres permanents étaient Rockefeller lui-même, un membre du ministère de la Défense, un membre du ministère des Affaires étrangères et le directeur de la CIA. Cette commission a pris le nom de Commission 5412. La directive NSC 5412/1 prévoyait que les opérations secrètes devaient être validées par une commission exécutive, alors qu'auparavant de telles opérations ne nécessitaient que la signature du directeur de la CIA.

    La directive secrète du président, la NSC 5510 avait précédé la NSC 5412/1, elle avait institué MAJESTIC 12. Cette commission devait superviser toutes les activités autour des phénomènes extranéens. La NSC 5412/1 ne faisait que justifier les nombreuses réunions, si jamais la presse ou le Congrès devenaient curieux.

    MAJESTIC 12 était composée de N. Rockefeller, du directeur de la CIA, Allen W. Dulles, du ministre des Affaires étrangères John F. Dulles, du ministre de la Défense Charles E. Wilson, de l'amiral arthur W.Radford, responsable du Joint Chiefs of Staff, du directeur du FBI, Edgar Hoover, du Dr. Teller etde 6 membres du directoire du CFR, connus comme étant les « sages » du groupe JASON.
 
 

    Le groupe JASON est, comme nous l'avons vu dans le chapitre sur les Illuminati, la commission scientifique qui a été formée pendant le Manhattan Project, et qui est administrée par la Mitre-Corporation. Les « sages x sont des hommes-clé du CFR, ils sont membres de la JASON Socyety. La commission MAJESTIC 12 comprenant 19 personnes. Le règlement interne prévoyait qu'une motion était acceptée si elle recueillait au moins 12 voix - d'où le nom Majority 12.

    Cette commission était constituée de hauts fonctionnaires et de directeurs du CFR, puis plus tard de la Commission trilatérale. Gordon Dean, George Bush et Zbigniev Brzezinski en ont fait partie. Les « sages » les plus influents, qui ont pris part aux décisions de MAJESTIC 12, sont Jhon Cloy, Robert L. Harriman, Charles Bohlen, Georges Kennan et Dean Acheson. Leur influence politique s'étendra jusque dans les années 70. Il est significatif de constater qu'Eisenhower et les 6 membres du gouvernement qui faisaient partie de MAJESTIC 12 étaient également membres du CFR. Le groupe le plus puissant qui compose le gouvernement est contrôlé par une organisation qui appartient aux Illuminati.

    Des chercheurs sérieux découvriront bientôt que tous les « sages » ne sortent pas de Harvard ou de Yale, qu'ils n'ont pas été choisis en fonction de leur appartenance aux Skull & Bones ou aux Scroll & Key. Certains membres ont été recrutés en fonction des services qu'ils ont rendus avant leurs études universitaires. Plus tard, quelques élus ont été admis au sein de la JASON Society. Ils appartenaient au CFR et étaient connus sous le nom de : "Eastern Establishment". Cela devrait vous donner des indices sur l'importance et l'influence qu'ont la plupart de ces sociétés secrètes universitaires. La JASON Society continue à prospérer aujourd'hui, elle compte dans ses rangs des membres de la Trilatérale. Ceux-ci existaient déjà en 1973, mais c'était un secret. Le nom de Trilatérale a un rapport direct avec le drapeau des extranéens.
 
 

    La commission MJ12  existe encore aujourd'hui. Sous les présidences Eisenhower et kennedy, cette commission a pris le nom de Commission 5412 ou Groupe spécial, ce qui peut induire en erreur. Sous la présidence Johnson, elle est devenue la Commission 303, car le [but du ?] nom de 5412 avait été atteinte. En réalité, l'existence de 5412 avait été communiquée pour masquer l'existence de la NSC 5410. Sous les présidences de Nixon, Ford et Carter, elle s'appelait Commission 40, sous Reagan c'était la Commission PI 40. Pendant toutes ces années, il n'y a que le nom qui a changé.

    En 1955, on s'est aperçu que les aliénigènes avaient trompé Eisenhower, ils avaient enfreint l'accord. Dans plusieurs partie des États-Unis on a retrouvé des cadavres mutilés. On suspectait les aliénigènes de ne pas avoir communiqué à MJ12 toutes les listes des personnes avec lesquelles ils étaient en contact ou qu'ils avaient emmenées avec eux. On craignait que certaines ne réapparaîtraient jamais. On les soupçonnait de collaborer avec l'Union Soviétique, ce qui était vrai.

    On a pris conscience du fait que les aliénigènes utilisaient une grande quantité d'êtres humains pour l'observation, qu'ils se sevaient pour cela de sociétés secrètes, de magie, d'occultisme et de religion. Après plusieurs batailles aériennes entre chasseurs de l'US Air Force et vaisseaux extranéens, les Américains ont dû admettre que leurs armes étaient moins performantes que celles de leur adversaire.

    En novembre 1955, une nouvelle directive, la NSC 5412/2, a été adoptée, elle créait une commission qui devait se consacrer à « tous  les facteurs qui permettent d'établir et d'exécuter des lignes de conduites dans la politique étrangère de l'ère atomique ». Ce qui était évidemment une couverture pour dissimuler le sujet des aliénigènes. En parallèle, Eisenhower avait édicté en 1954 une directive, la NSC 5411, qui avait déjà créé une commission d'enquête sur les agissements des extranéens. NSC5412/2 n'était donc qu'une couverture, qui devait justifier le fait que des personnes aussi importantes se réunissaient régulièrement.
 
 

    Les premières réunions ont lieu dès 1954, on les appelle Quantico Meetings, d'après l'endroit où elles ont lieu, à la base navale de Quantico. La commission était composée des 35 membres du CFR qui étaient dans le secret et ceux de la JASON Society. Edward Teller va être invité à participer. Brzezinski en a été le patron pendant 18 mois, Henry Kissinger lui a succédé, en novembre 1955. N. Rockefeller a participé régulièrement à ces réunions.

    Voici la liste des membres de cette commission:

Gordon Dean, président
Dr. Henry Kissinger, vice-président
Dr. Zbigniev Brzezinski
Dr. Edward Teller
Mj. Gen. Richard C. Lindsay
Hanson W. Baldwin
Lloyd V. Berkner
Frank C. Nash
Paul H. Nitze
Charles P. Noyes
Frank Payce jr.
Don K. Pirce
David Rockefeller
Oscar M. Ruebhausen
Lt. Gen. James M. Gavin
Caryl P. Haskins
James T. Hill, jr.
Joseph E. Johnson
Mervin J. Kelly
Frank Altschul
Hamilton Fish Armstrong
Maj. Gen. J. McCormack, jr.
Robert R. Bowie
McGeorge Bundy
William A. M Burden
John C. Campbell
Thomas K. Finletter
George S. Franklin, jr.
I.I. Rabi
Roswell L. Gilpatric
N.E. Halaby
Gen. Walter Bedell Smith
Henry De Wolf Smyth
 Shields Warren
Carroll L. Wilson
Arnold Wolfers

    Les réunions ont continué à Quantico, le groupe a été baptisé Quantico 2. Nelson Rockefeller a construit pour MJ12 et la mission d'enquête un bâtiment spécial, secret, dans le Maryland. On ne pouvait s'y rendre qu'en avion. Les réunions pouvaient se tenir sans éveiller d'intérêt. L'endroit a pris le nom de Country Club. Les bâtiments étaient équipés pour éberger tout le monde et disposaient du confort nécessaire (ne pas confondre le Aspen Institute et le Country Club). À la fin 1956, on a fait semblant de dissoudre la commission. Kissinger a publié en 1957 les conclusions officieles de l'enqu'ête pour le CFR, chez l'éditeur Harper & Brothers de New York, sous le titre "Les armes atomiques et la politique étrangère".

    En réalité, Kissinger avait déjà terminé 80 % de ce manuscrit quand il était étudiant à Harvard. La mission d'ennquête a continué son travail dans le plus grand secret.

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Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 384 à 386)

LE PROJET SIDA ! [1/4]

    Aurelio Peccei a proposé plusieurs projets, tous secrets. Le projet principal consistait à développer un microbe, qui attaquerait le système immunitaire, et pour lequel un vaccin serait presque impossible à développer. L'ordre a donc été donné de développer ce microbe, sans oublier les moyens prophylactiques et une thérapeutique appropriée. Le microbe devait être dispersé dans le population, les moyens prophylactiques seraient réservés à l'élite. Quand la population aurait sffisamment baissé, on pourrait officiellement anoncer la découverte du médicament pour soigner les survivants. Il est clair que le médicament existait depuis le début de l'opération. Ce projet fait partie intégrante du projet Global 2000. Maintenant c'est à vous de deviner comment s'appelle ce microbe? Évidemment, il s'agit du virus du Sida!!

    Le projet a été approuvé par le Congrès en 1969, sous le numéro de code H.B.15090.  10 millions $ ont été versés pour la première tranche. Des témoignages devant la commmission de Sénat ont révélé qu'un « agent synthétique et biologique devait être développé, un agent qui n'existe pas dans la nature et contre lequel l'organisme est incapable de produire des anticorps. Il doit être possible de développer ce micro-organisme dans les 5 à 10 ans à venir Il est primordial qu'il soit résistant à tout processus immunologique et thérapeutique connu ». Sir Julian Huxley dit à ce sujet: « La surpopulation est la plus grande menace que notre espèce aura à affronter dans le futur ».

    Le projet SIDA, qui porte à ce moment-là le nom de MK-NAOMI, a été élaboré à Fort Dertrick, dans le Maryland. D'après les explications du Dr. Strecker, on a mélangé des rétrovirus mortels, des virus de leucémie, (bovin leikemia) avec des virus « visna » du mouton, et on les a injectés dans du tissu humain.

    Comme il fallait agir sur une grande partie de la population, on a commencé par les populations « indésirables »: les Noirs, les hispaniques et les homosexuels ont été encouragés d'un côté à exprimer leur différence, d'un autre côté ils se sot retrouvés sur la liste des personnes à éliminer.
 
 
 

    L'OMS (Organisation Mondiale de la santé) a collaboré à ce projet, aux côtés du National Cancer Institute. Des articles ont été publiés, pour inciter les chercheurs à développer un virus mortel pour l'homme. En 1972, l'OMS publiait ce genre de propos: « Nous faisons des recherches pour savoir si certains virus peuvent agir sur les fonctions immunitaires. Il faut inclure la possibilité que la réaction immunitaire face au virus diminue, si le virus endomageait les processus antiviraux de la cellule ».

    Pour l'exprimer plus simplement il faudrait dire: « Développons un virus qui peut détruire les cellules-T quand on l'administre de façon volontaire ».

    Le continent africain a été infecté en 1977, à travers la campagne de vaccination contre la variole. La vaccination a été réalisée par l'OMS. Le Dr Strecker assurait qu'en l'espace de 15 ans, toute l'Afrique serait dévastée, si on ne trouvait pas le remède! Certains pays ont dépassé depuis longtemps le stade de l'épidémie!

    Le médecin courageux qui a révélé au grand public ce projet s'appelle Théodore A. Strecker. Il aurait dû être récompensé du prix Nobel, mais il peut s'estimer heureux de ne pas avoir été victime d'un suicide (le suicide typique, c'est le célèbre chercheur californien qui s'est ligoté les mains dans le dos, s'est pendu et a sauté ensuite du 20e étage. Aucune trace indiquant une intervention extérieure n'a été retrouvée [...] )

    En 1978, une partie de la population américaine a été contaminée, à travers le vaccinn contre l'hépatite B. Le Dr Wolf Schmugner, l'ancien compagnon de chambre de Jean Paul II, a été l'instigateur de cette opération, réalisée par le "Center for Disease Control",  de novembre 1978 à octobre 1979, et de mars 1980 à octobre 1981. Schmugner est né en Pologne, il a fait ses études en Russie et a ensuite immigré aux États-Unis, en 1969. Par des chemins détournés, il a été nommé directeur de la banque du sang new-yorkaise. C'est lui qui a dispersé le virus du Sida sur l'Amérique du Nord. Il était responsable de la campagne de vaccination contre l'hépatite B, c'est lui qui a décidé du mode d'application, à commencer par les homosexuels. Par voie de petites annonces, on cherchait des homosexuels mâles de 20 à 40 ans. Ce qui a provoqué le Sida était contenu dans le vaccin, était fabriqué à Phoenix, en Arizona et était conditionné en bouteille. Toutes les données sur cette  campagne de vaccination sont entre les mains du ministère de la Justice, où elles sont à l'abri pour longtemps.
 
 

    Le signal de départ a été donné par le comité des Bilderberger, En Suise, en même temps que d'autres directives importantes. Celle qui est la plus facile à démontrer est la Haig-Kissinger-Depopulation Policy appliquée par le State Department. La directive précisait que les pays du tiers-monde devaient entreprendre des actions efficaces pour réduire leur population et la contrôler, pour pouvoir continuer à bénéficier des aides des États-Unis. Si un pays devait contrevenir à cet ordre, il verrait bientôt éclater une guerre civile, montée de toute pièce par la CIA. C'est une des raisons qui font qu'au Nicaragua, au Slvador et dans d'autres pays, plus de jeunes femmes que de soldats ont été tuées. Dans les pays catholiques, ce sont les Jésuites qui ont fomenté les guerres civiles. Le Haig-Kissinger-Depopulation Policy a été soutenue par les gouvernements successifs, elle est devenue partie intégrante de la politique extérieure américaine. Tous lles moyens sont bons pour réduire la population du globe, la guerre, la famine, les épidémies, les stérilisations de masse, par l'USAID par exemple. L'organisme de planification ne se trouve pas à l'intérieur des murs de la Maison Blanche. Cette commission s'appelle Ad Hoc Group on Population Policy, elle dépend du National Security Council. L'état-majo est au State Departement's Office of Population Affairs, créé en 1975 par Henry Kissinger, alors ministre des Affaires Étrangères. C'est le même groupe qui a rédigé le rapport Global 2000, remis entre les mains du président d'alors Jimmy Carter.

    Thomas Fergusen, chargé de mission au State Departement's Office of Population Affairs (OPA) pour l'Amérique latine a dit la chose suivante: « Il n'y a qu'une chose qui compte pour nous, nous devons réduire la densité de population. Soit ils le font comme nous voulons, c'est-à-dire avec des méthodes propres (Sida, stérilisation),   soit nous assisterons à d'autres boucheries, comme au Salvador ou à Beyrouth. La surpopulation est un problème politique. Si elle échappe au contrôle des autorités, il faut un pouvoir autoritaire, s'il le faut fasciste, pour y remédier. Les professionnels ne veulent pas réduire les populations pour des raisons humanitaires. C'est louable, mais il ne s'agit en fait que de matières premières et de facteurs d'environnement. Nous avons des raisons stratégiques qui nous poussent dans cette direction. Le Salvador n,est qu'un exemple parmi d'autres, qui montre que notre échec dans la réduction des populations a conduit à une grave crise nationale. Le gouvernement salvadorien n'a pas réussi, avec nos méthodes, à réduire la population de façon significative. C'est pourquoi il a eu droit à une guerre civile. La guerre cilile est l'ultime tentative pour réduire la population. Le moyen le plus rapide d'y parvenir reste la famine, comme en afrique, ou une épidémie telle que la peste noire, qui pourrait un jour s'abattre sur le Salvador ».
 
 
 

(...)

    Fergusen nous donne encore plus d'explications: « Nous ciblons un pays et disons, voici votre plan de développement. Jetez-le à la poubelle et occupez-vous de réduire d'abord votre population. Si cela ne vous plaît pas de procéder par planification, vous aurez un autre Salvador ou un 2e Cambodge ».

(...)

    Le projet MK-NAOMI  a été développé par des chercheurs de la Special Operations Division (SOD), à Ft. Detrick, Maryland, sous l'égide de la CIA. Mais le Sida est trop lent. À l'automne 1994, nous avons rencontré le Dr John Coleman à Honolulu, l'auteur du livre le comité des 300 et ancien agent du MI 6 britanique. Coleman explique que le « nouveau » virus a été testé pendant un an dans un pays d'Amérique du Sud, et qu'il pourrait être lâché dans la nature au printemps 1995. Quand il deviendra vraiment actif, on pourra dire:  « infecté le matin, mort le jour même ». Ce virus là est transmissible par la salive.

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ENTENTE AVEC LES EXTRATERRESTRES[1/9]

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(page 288 à 298)

    Le ministre de la Défense. James Forrestal, s'opposait à ces pratiques [les activités secrètes concernant MJ12, les OVNI et les extraterrestres]. C'était un homme idéaliste et religieux, qui pensait que l'opinion [publique] devait être informée. Quand il a commencé à évoquer le sujet des extranéens devant des menbres du Congrès et des chefs de parti, Truman lui a demandé de démissionner. Forestal continuait à faire part de ses soucis, il savait qu'il était surveillé. Ceux qui ne connaissaient pas la vérité lui reprochaient d'être paranoïaque. Plus tard, la version officielle précisait qu'il avait été victime d'une dépression nerveuse et qu'il avait été admis au Bethseda Marine Hospital. Ce que l'on craignait le plus, c'est qu'il se mette à parler. Il fallait l'isoler et le discréditer. Le matin du 22 mai 1949, des agents de la CIA ont attaché un drap autour de son cou, fixé l'autre bout autour du lit, et ils l'ont jeté par la fenêtre. Le drap s'est déchiré, il est mort en touchant le sol. C'était une des premières victimes de l'opération de maquillage.

    On appelle EBE (Entité Biologique Extranéenne) celui qui a survécu à l'accident de Roswell, en 1949. Ce nom a été proposé par le docteur Vannever Bush. EBE avait tendance à mentir, et au cours de la première année de sa détention, il ne donnait que les réponses que l'on attendait de lui. Il ne répondait pas aux questions qui impliquaient une réponse indésirable. Vers la fin de la deuxième année, il a commencé à s'ouvrir et à livrer des informations qui étaient pour le moins surprenantes. La compilation de ses déclarations a jeté les bases de ce qui est devenu plus tard le "Yellow Book". Bill Englisch et moi-même avons pu voir des photos d'EBE, pendant notre service au département Grudge 13.

    À la fin de 1951, EBE est tombé malafde. Les médrcins spécialistes ne pouvaient pas trouver les causes de la maladie. Il n'y avait eu aucun précédent dont on aurait pu profiter. Les fonctions organiques d'EBE étaient basées sur la photosynthèse, il transformait l'alimentation en énergie, comme les plantes. Ses déchets organiques avaient une apparence végétale. On a décidé d'appeler un botaniste pour aider EBE à guérir. Le docteur Mendoza a fait ce qu'il a pu, mais EBE est mort au milieu de 1952. Mendoza est devenu ensuite un des grands spécialistes de biologie extranéenne.
 
 
 

    Alors qu'ils faisaient tout pour sauver EBE, et pour amadouer ceux qui venaient nous rendre visite, les Américains ont envoyé u message dans le cosmos au début de 1952. Le message est resté sans réponse, mais le projet a continué, comme signe de bonne volonté. Le 4 novembre 1952, le président Truman a fondé la National Security Agency (NSA), chargée de décoder la communication des aliénigènes et d'entrer en contact avec eux. Il était urgent de poursuivre les efforts, l'opération a pris le nom de code Sigma.

    Une des autres tâches de la NSA était d'écouter toutes les communications et émissions dans le monde, indépendamment de leur origine, pour centraliser les informations et maquiller la présence des extranéens. Le projet Sigma a été un succès. La NSA est en communication avec la base LUNA et ses projets dans l'espace. Par ordre présidentiel, la NSA se trouve au-dessus des lois, qui ne la citent pas nommément, mais qui ont été crées pour elle. La NSA accomplit actuellement de multiples tâches, elle est la tête de pont la plus importante des services secrets. 75 % du budget alloué aux services spéciaux lui reviennent. Comme dit le dicton: « Où va l'argent va le pouvoir ». Le directeur de la CIA n'est aujourd'hui qu'un homme de paille que l'on entretient pour l'opinion publique.

    Depuis l'accident de Roswell, le président Truman avait averti les Alliés et l'Union Soviétique du développement du problème aliénigène, afin de préparer la riposte à ce qui pourrait être une menace sérieuse pour l'humanité. Des plans ont été étudiés pour pouvoir se défendre, en cas d'invasion. Le secret était difficile à garder. Une organisation s'imposait pour surveiller et coordonner les efforts internationaux, pour maintenir le secret et protéger les gouvernements des curiosités de la presse. Ce groupe s'est constitué en société secrète, il est connu sous le nom des Bilderberger (d'après le lieu où il a vu le jour, le Bilderberger Hotel à Oosterbeek, Hollande). Le quartier général de cette organisation est à Genève en Suisse. Les Bilderberger se sont transformés en gouvernement mondial qui contrôle toutes les activités de la planète. Les membres des Bilderberger se rencontrent au moins une fois par an, dans des endroits différents. En 1988, c'était à Telfz, près d'Innsbruck, en Autriche. Le chancelier Kohl était présent. En 1989, la rencontre a eu lieu dans le Colorado.
 
 

    En 1953, un nouveau président est appelé à la Maison Blanche ... [il] avait fait une carière fulgurante dans l'armée, il avait atteint le grade le plus élevé du commandement allié, un poste qui lui avait valu 5 étoiles. Il s'agit du général Dwight David Eisenhower. Au cours de la première année de son mandat, en 1953, on a identifié pas moins de 10 soucoupes accidentées, qui avaient fait 26 morts et 4 survivants. 4 engins ont été trouvés en Arizona, 2 au Texas, 1 au Nouveau Mexique, 1 en Loisiane, 1 au Montana et 1 en Afrique du Sud. Des centaines d'OVNI ont pu être observés dendant cette période.

    Eisenhower savait qu'il devait se confronter à ce problème et le résoudre. Il savait aussi qu'il ne pouvait pas impliquer le Congrès dans cette histoire. Au début de 1953, il s'est adressé à un ami et membre comme lui du CFR, Nelson Rockefeller, pour lui demander conseil. Eisenhower et Rockefeller ont décidé de créer une nouvelle organisation, secrète, dont le seul objectif était de surveiller les activités extranéennes. En moins d'un an, elle était sur pied, on lui a donné le nom de MAJESTIC 12 (MJ 12).

    L'oncle de Nelson, Winthrop Aldrich, avait réussi à pousser Eisenhower à se présenter à l'élection présidentielle. Les Rockefeller et leur empire le soutenaient, mais la demande d'aide qu'il avait formulée vis-à-vis de Rockefeller allait se révéler être une de ses plus grandes erreurs, pour l'avenir des États-Unis et du monde entier sans doute.

    Dans les semaines qui ont suivi son élection, Eisenhower a nommé Nelson Rockefeller responsable du conseil présidentiel pour l'organisation du nouveau gouvernement. Les programmes du New Deal ont été rassemblés sous le toit d'un seul ministère, appelé Département de la Santé, de l'Éducation, et des Affaires sociales. Avec l'approbation du Congrès, Rockefeller est devenu sous-secrétaire d'état au ministère Orveta Culp Hobby.
 
 
 

    En 1953, les astronomes ont découvert de nombreux objets dans l'espace qui s'approchaient de la Terre. On croyait tout d'abord qu'il s'agissait d'astéroïdes. Mais les indices montraient clairement qu'il s'agissait de vaisseaux spaciaux. Le projet Sigma réussit à intercepter les communications des aliénigènes. Quand les vaisseaux se sont retrouvés près de la Terre, ils se sont mis en orbite au-dessus de l'Équateur, à très haute altitude. Les vaisseaux étaient gigantesques et personne ne connaissait leurs véritables intentions. Grâce à des contacts radio et l'aide d'un nouveau groupe de surveillance, appelé Platon, un atterrissage a été arrangé, pour permettre un contact de visu avec ses êtres venus du cosmos. L'atterrissage a eu lieu dans le désert. Le film Rencontre du troisième type est la version cinématographique d'événement bien réels. Le projet Platon a été chargé des relations diplomatiques avec les aliens de l'espace. Ceux-ci ont laissé un otage sur terre, en lui promettant qu'il retournerait bientôt chez les siens.

    Entre-temps, une autre race d'extranéens avait établi des contacts avec le gouvenement américain. Ils se sont posés à la base militaire de Homestead, en Floride. Ces extraterrestres nous ont mis en garde contre ceux qui tournaient en orbite autour de l'Équateur, ils nous ont proposé leur soutien pour un développement plus spirituel. La condition était le démantelement et la destruction de l'arsenal nucléaire. Ils refusaient un échange de technologie, en insistant sur notre immaturité spirituelle et notre incapacité à maîtriser la technologie dont nous disposions. Ils pensaient que nous n'utiliserions toute nouvelle technologie que pour nous détruire mutuellement. D'après eux, nous étions sur la voie de l'autodestruction, il fallait l'arrêter, arrêter de polluer la Terre, de piller les ressources naturelles et apprendre à vivre en paix et en harmonie. Évidemment, ces conditions éveillaient des soupçons chez les dirigeants américains, surtout l'abandon de l'arsenal nucléaire. On pensait qu'en détruisant les armes nucléaires, on se retrouverait sans défense face à une attaque éventuellement d'aliens. Dans l'histoire, il n'y avait eu aucun précédent. Le démantèlement nucléaire n'était pas à l'ordre du jour, ce n'était pas dans l'intérêt des États-Unis, l'offre a donc été refusée.

    Au cours de l'année 1954, les extraterrestres gris, qui avaient des grands nez, ont atterri à la Holloman Airfoce Base. Un accord a pu être conclu. Ces êtres prétendaient venir d'une planète de la constellation d'Orion, qui comprenait une étoile rouge que nous appelons Bételgeuse. Ils disaient que leur planète était en train de mourir et qu'ils ne pouvaient plus continuer à vivre là-bas.
 
 
 

    Un 2e rendez-vous a été fixé, cette fois sur la Edward Airforce Base. La base avait été fermée pour 3 jours, personne n'avait le droit d'y pénétrer ou d'en sortir. Cette rencontre historique avait été bien préparée et tous les détails pour un traité futur étaient déjà élaborés. Eisenhower avait arrangé des vacances à Palm Springs. Le jour de la rencontre, le président a été conduit sur la base californienne. Pour la presse, Eisenhower étaient aller à un rendez-vous chez le dentiste. Des témoins oculaires affirment avoir vu ce jour-là 3 vaisseaux extraterrestres survoler la base avant d'atterrir. À cette époque, un nouveau type de DCA faisait l'objet de test sur cette base, et les équipes ffarées avaient commencé à tirer sur les vaisseaux, ne faisant heureusement aucun dégât.

    Le président Eisenhower a rencontré les aliénigènes le 20 février 1954, il a signé un accord formel entre les États-Unis et leur nation. C'est là qu'est apparu le premier ambassadeur de l'espace. Son nom et son titre étaient : Son Altesse Toute Puissante Krll (prononcer Krill). Comme les Américains n'aiment pas les titres ronflants, ils l'ont appelé l'"otage Krill".

    4 autres personnes qui ont assisté à cette rencontre sont Franklin Allen du journal "Hearst Newspaper", Edwin Nourse du "Brookings Institute", Gerald Light, métaphysicien reconnu et l'évêque catholique MacIntyre de Los Angeles. La réaction de ces 4 personnes devait servir de test pour évaluer la réaction de l'opinion publique. En observant leurs réactions, il a été décidé que l'opinion n'était pas mûre pour une publication des événements. Des études ultérieures ont conclu que la décision était justifiée.
 
 

    Une lettre pleine d'émotion de Gerald Light, décrit précisément ce qui s'est passé : "Cher ami, je reviens à l'instant de Muroc. Le rapport est authentifié! J'ai fait le voyage accompagné de Franklin Allen du Hearst Newspaper, d'Edwin Nourse et de L'évêque de Los Angeles. Quand nous avons pu entrer dans la zone interdite, j'ai eu le pressentiment étrange que le monde était arrivé à une conclusion de réalisme fantastique. D'un côté, je n'avais jamais vu autant de personnes réunies qui étaient dans un tel état chaotique d'effondrement nerveux, parce qu'ils avaient réalisé que leur petit monde s'était écroulé. La réalité de la présence de vaisseaux d'une autre dimension a éloigné à tout jamais les spéculations et a laissé une expérience douloureuse dans la conscience des politiques et des scientifiques qui étaient présents. Je suis resté 2 jours sur la base et j'ai pu voir 5 vaisseaux différents, qui faisaient l'objet d'études de la part du personnel de l'Air Force, avec le soutien bienveillant des extranéens (Etherians)!

    Les mots me manquent pour expliquer mes réactions. C'est donc bien arrivé. Maintenant, c'est un fait historique! Le président Eisenhower est venu ici à Muroc, pour une nuit. Je suis persuadé qu'il va éluder le conflit extrême qui existe entre les différentes autorités et qu'il va sMadresser à la nation, par la radio et la télévision, si on ne sort pas rapidement de cette impasse. D'après ce que je sais, on est en train de préparer une déclaration officielle qui doit être diffusée à la mi-mai."

    Nous savons qu'il n'y aura jamais de publication officielle. Les « contrôleurs » ont encore bien fait leur travail. Nous savons aussi qu'il y a eu en tout 5 vaisseaux qui ont atterri sur la base militaire. Gerald Light a mis l'accent sur le fait que les vaisseaux étaient au nombre de 5. Il a donné à ces êtres le nom d'Etherians, ce qui est une indication qu'il voyait en eux des « dieux », comme d'autres l'avaient fait avant lui.
 
 
 

    Il faut également préciser que l'on a vu le drapeau de ces aliénigènes : des enseignes trilatérales. On pouvait le voir sur les vaisseaux et sur les uniformes. Les 2 atterrissages et la rencontre ont été filmés. Ces images existent encore quelque part. L'accord prévoyait que les extranéens ne devaient pas s'immiscer dans nos affaires intérieures, et inversement. Nous nous engagions à respecter le secret de leur présence. Ils nous aideraient dans notre développement technologique et scientifique. Ils avaient pris aussi l'engagement de ne traiter avec aucune autre nation de la Terre. Il leur était permis d'enlever des hommes, en quantité et en temps limités, pour les observer, à la seule condition que ces hommes ne subissent aucun dommage et qu'ils soient ramenés à l'endroit où ils avaient été enlevés. Les personnes ne devaient également se rappeler de rien. Les aliénigènes devaient fournir à MJ12 les listes de leurs contacts humains. Il a été convenu d'un échange d'ambassadeur, pour la durée de l'accord., et d'un échange de 16 hommes, pour pouvoir faire connaissance.

    Pendant que les  « invités » extranéens séjournaient sur terre, certains des nôtres devaient faire le voyage sur leur planète d'origine, ce qui a été montré de façon dramatique, comme nous l'avons déjà indiqué, dans le film de Spielberg "Rencontre du troisième type". Pour bien comprendre qui travaille pour qui, il faut savoir que le Dr. Allen Hynek était conseiller technique pendant le tournage du film. Il est intéressant de savoir que le rapport secret, qui contient entre autres les conclusions du projet Grudge, a été écrit par Hynek et le Lt. Col. Friend. Hynek faisait partie du projet Grudge, il était responsable du maquillage des cas d'OVNIs, tout en étant membre scientifique du projet "Bluebook".

    On s'est mis d'accord pour construire 2 bases souterraines, réservées aux aliénigènes, et 2 autres qui devaient être utilisées en commun. L'échange de technologie devait se dérouler dans ces bases communes. Les 2 bases réservées aux extranéens ont été établies dans des réserves indiennes entre l'Utah, le Colorado, le Nouveau Mexique et l'Arizona. Une autre base a été construite dans le Nevada, dans la zone que l'on appelle S4, à peu près à 7 miles au sud de la frontière ouest du territoire 51, connu sous le nom de "Dreamland". "Dreamland" a été construite dans le désert Mojave, près du lieu-dit Yucca. Dans le désert Mojave, on a relevé plus de témoignages que dans d'autres parties du monde sur les OVNIs. Ces témoignages sont si nombreux que les gens du coin n'y font même plus attention. Celui qui se trouve dans cette région pourra constater une activité particulièrement intense au-dessus du désert. Tous les domaines exploités par les aliénigènes sont sous contrôle du ministère de la Marine, le personnel qui y travaille est sous sa surveillance.
 

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    Alors que la construction des bases était terminée, les progrès atteints en 1975 étaient minimes. À partir de cette année-là, les moyens financiers ont été augmentés. Le projet Redlight a vu le jour et on a commencé à faire des essais en vol avec des vaisseaux extraterrestres. Le personnel a été soumis à des tests de sécurité et à l'approbation de la présidence. Ce qui est cocasse, c'est que le président lui-même n'avait pas le droit de pénétrer sur le terrain.

    La base extranéenne où se déroulent des transferts de technologie est située dans la zone S4. On lui a donné le nom de "Face cachée de la lune". D'après le rapport, il y a en permanence 600 aliénigènes sur cette base, mélangés à un nombre inconnu de personnel de la CIA et de scientifiques.

    Par mesure de prudence, il n'y a qu'un nombre restreint de personnes qui travaillent directement avec les extranéens, elles sont constamment l'objet d'une surveillance rapprochée. L'armée a été chargée d'élaborer une organisation ultrasecrète qui doit protéger les projets des aliénigènes. Cette organisation, qui porte le nom de " National Reconnaissance Organisation", est implantée à Fort Carson, dans le Colorado. Des équipes spéciales, chargées de surveiller les projets secrets, portent le nom de "Delta Teams". Le Lt. Col. James Bo Gritz a été un des commandants de ces équipes.

    Un 2e projet a vu le jour, nom de code "Snowbird". Son but était de donner des explications officielles sur des témoignages d'engins de type Redlight. Les avions Snowbird utilisaient une technologie conventionnelle, la presse a pu participer à plusieurs voyages. Snowbird a servi à minimiser les témoignages irréfutables, pour détourner l'attention de l'opinion publique. Le projet a été un grand succès, les témoignages ont diminué dans les années suivantes.
 
 
 

    Le bureau des Affaires militaires de la Maison Blanche dispose d'un fond secret de plusieurs millions $. Cet argent a servi à construire 75 dispositifs souterrains. Au président, on expliquait qu'il s'agissait de zones de sécurité, en cas de guerre. En réalité, très peu ont été construits dans ce but. Des millions $ ont transité dans ce bureau, avant d'être attribués à MJ12 et tout ce qui en découlait. Top-secret! Le président Johnson a utilisé de l'argent de ce fonds pour construire une salle de cinéma et goudronner la route de son ranch. Il ignorait tout de ce qui se passait en coulisses. Ce fonds secret de la Maison Blanche a vu le jour en 1957, sous la présidence Eisenhower. Les moyens financiers ont été versés par le Congrès, avec pour couverture la « construction et l'entretien de dispositifs secrets pour abriter la présidence en cas de guerre ».

    Ces bases étaient de vrais cavités dans la terre, assez profonds pour résister à une explosion nucléaire et équipées de moyens de communication très sophistiqués. À l'heure actuelle, il existe sur le territoire américain plus de 75 bases de ce genre. La commission atomique a construit au moins 32 bases supplémentaires, du même acabit. Tout ce qui concerne ces bases est top-secret. Le bureau des Affaires militaires continue à recevoir les budgets afférents, par un réseau complexe d'attributions. Aucuns espion ou expert comtable n'a pu en déceler les traces. Jusqu'en 1980, la plupart des personnes qui travailllaient dans ces bureaux ignoraient la destination finale de l'argent. Au début, les députés George Mahon du Texas, responsable de la commission d'attribution des budgets de la Chambre des députés, et Robert Sikes, de Floride, responsable de la sous-commission d'attribution des budgets pour les constructions militaires, en étaient les responsables politiques. Aujourd'hui, c'est le porte-parole de la Chambre des représentants, Jim Wright, murmure-t-on, qui serait en charge de ces budgets. Une lutte de pouvoir l'aurait déchargé de cette responsabitité, et c'est le président lui-même, le MJ12, le directeur du bureau militaire et un commandant d'arsenal qui en assumeraient la responsabilité.

    Les budgets sont accordés par la commission, ils font partie des fonds secrets du ministère de la Défense. L'armée n'a aucun droit sur cet argent et ne connaît même pas leur destination finale. L'argent transite en fait par la commission Cheasepeake, qui ne sait rien non plus. Même l'amiral ne sait pas ce qu'il advient de cet argent. Il n'y a qu'un homme qui connaît la vraie destination de ces budgets, un commandant de marine, de la commisson Cheasepeake. Il ne rend des comptes qu'au bureau de la Maison Blanche, lui seul connaît la vérité. Le secret le plus total autour de ces opérations facilite la disparition des traces. Il n'y aura jamais de trace écrite concernant l'utilisation de cet argent.

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Milton William (bill) Cooper [1/2]

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(page 278 à 280)

    Bill Cooper est né le 6 mai 1943, comme fils du Lt. Cl. Milton V. Cooper. En 1961, il obtient l'équivalent du baccalauréat à la Yamamoto High School au Japon. Il postule à L'US Air Force où il est reçu. Il gravit les échelons et travaille pendant un certain temps dans le nucléaire militaire, un service à caractère confidenciel. Son contact avec les OVNIs date de ces fréquentations dans un bar en sortant du travail, où il s'était lié d'amitié avec 2 sergents. Ceux-ci lui racontent un jour, après avoir bu plusieurs bières, qu'ils travaillaient dans une unité spéciale, chargée de récupérer les OVNI qui se sont écrasés. Un des 2 sergents, Meese, lui décrit en détail une expédition qui avait pour mission de récupérer une soucoupe volante qui était si grande, qu'il avait fallu couper les poteaux téléphoniques pour pouvoir la transporter sur certaines routes. Une équipe était chargée de remettre les poteaux en état, après leur passage. Ils voyageaient la nuit, la journée ils cachaient l'appareil sous une bâche, garés loin des regards des curieux.

    À cette époque, Cooper n'attachait pas trop d'importance à ces histoires, car ils buvaient tous plus que de raison. Il pensait que les autres inventaient des histoires pour le faire marcher. À la fin de 1965, il décide de postuler pour la Navy. Il sert dans les sous-marins, entre autres le USS TIRU (SS-416). Un jour que le navire était en pleine mer et qu'il était de quart au périscope, il dit avoir vu une gigantesque soucoupe jaillir des flots, devant lui, rester en suspension quelques instant et disparaître dans les nuages. Elle était d'une taille impressionnante. Il a donné l'alarme, mais personne ne voulait le croire, jusqu'à ce que la soucoupe apparaisse à nouveau à travers les nuages, se remette en suspension quelques instants, avant d'ouvrir un grand trou dans la mer et de s'y enfoncer.

    Le commandant a demandé aussitôt un rapport du sonar, qui a confirmé la présence d'un appareil en mouvement. Dans les minutes qui ont suivi, le scénario s'est répété plusieurs fois, le commandant a même pu prendre des images avec sa caméra 35 mm, jusqu'à ce qu'il n'ait plus de pellicule. Quand ils ont fait escale dans le port de Pearl Harbour, ceux qui ont assisté à l'événement n'ont pas eu le droit de quitter le navire. Un commandant des services secrets est venu enregistrer leur déposition. Il leur a dit, que tous ceux qui parleraient en public de ce qu'ils ont vu, seraient suspendus de leur service, et qu'ils risquaient 10 ans de prison et une forte amande [500 000 $  [= argument massu pour se la fermer!!!]].
 
 
 

Après cet événement, Cooper a été affecté sur le USS Tombigbee (AOG-11) un ravitailleur en mer et il s'est battu au Viêtnam. En 1968, on l'envoie à l'école supérieure de sécurité de la Navy, la Naval Security and Intelligence School for Internal Security Specialist - NEC 9545. À la fin de son cycle d'études, il a pris le commandement d'un petit navire escorrteur de 15 mètres, à Camp Carter, Da Nang,  au Viêtnam. Il dit avoir constaté une grande activité d'OVNI pendant son séjour au Viêtnam. Un système d'alarme spécifique avait été instauré, il fonctionnait 24 h sur 24. C'est là que toutes les informations sur les objets volants non identifiés étaient centralisées et codées. Un jour, un village entier a disparu, après que des engins soient restés en suspension à sa verticale. Des 2 côtés on tirait sur les OVNI, ils ripostaient en envoyant des rayons qui émettaient une mystérieuse lumière bleue. Des rumeurs ont couru sur l'enlèvement de 2 soldats américains qui ont été maltraités et jetés dans le vide, au-dessus de la jugle.

    À cette époque, Cooper ne savait pas encore comment réagir face à de telles informations, dont il ne pouvait discerner le vrai du faux. Ce n'est que peu à peu, au cours des années suivantes, qu'il a découvert que ces rumeurs étaient la plupart du temps fondées. Quand il a quitté le Viêtnam et qu'il a intégré un autre service, on lui a demandé de remplir des formulaires. À la question sur son appartenance à une « organisation fraternelle », il a répondu qu'il était membre de l'ordre De Molay. C'est une des raisons, pense-t-il, qui lui ont ouvert les portes des services secrets. À 4 h du matin, un jour, il a eu un entretient avec un responsable du CINCPACFLT Intelligence Briefing Teams. Ce qu'il a appris ce jour-là lui a ouvert les yeux, et les 15 années qu'il a passées à rechercher la vérité ont débouché sur le rapport que vous allez lire. Le jour où il a découvert que la Naval Intelligence avait participé à l'assassinat de Kennedy, que William Greer, l'agent secret qui conduisait la limousine du président, était celui qui avait tiré sur Kennedy, il a décidé de quitter le service.

    Son ami Bob Swan réussit à le faire revenir. C'est à lui que Cooper a fait part en premier de ses révélations sur l'assassinat de Kennedy, les OVNI, le gouvernement secret, l'Alternative 1, 2, 3, le projet Galileo et le nouvel ordre mondial. Cooper a commencé à donner, au compte-gouttes, des informations à un journaliste. Il a été renversé 2 fois de suite par la même limousine, à un mois d'intervalle. Au 2e accident, il a perdu une jambe. Deux hommes lui ont rendu visite à l'hôpital et lui ont demandé s'il avait encore l'intention de se faire remarquer. Cooper a promis de rester tranquille, mais en son for intérieur, il savait qu'il ne pourrait jamais s'arrêter. Cela lui a pris plus de 15 ans....

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Les Anunnakis [1/5]

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages  173 à 178)

    Nous commencerons notre recherche en allant consulter les récits des Sumériens, qui décrivent avec précision les événements qui se sont produits dans cette partie du monde. Zecharia Sitchin pense que les Anunnakis sont « ceux qui venaient du ciel », des aliénigènes venant d'une planète iconnue, mais que la classe dominante connaissait très bien. Cette planète a une orbite de révolution autour du soleil de 3600 ans.

    Si on en croit les tablettes sumériennes, les Anunnakis (Nephilim) sont venus sur Terre pour la première fois il y a 450 000 ans, dans le but d'essayer de sauver leur propre planète. Comme ils extrayaient de grandes quantités de matières premières, pour pouvoir survivre, ils cherchaient de la main d'oeuvre, et avaient créé, l'homo sapiens après une manipulation génétique avec une femelle humaine.

    Le pays des deux fleuves était leur première colonie. En suivant ce qui est écrit sur ces tabelettes, la création de l'homme serait due au dieu Ea. Il était le roi de ces extraterrestres, qui comme il est écrit, régnait sur un royaume incommensurable. Le prince Ea était connu sous son titre Enki, ce qui veut dire « prince de la terre ». D'anciens textes sumériens précisent que son titre n'était pas complètement justifié, puisqu'il devait partager une grande partie de son royaume avec son demi-frère Enlil.

    On attribue au prince Ea des faits de gloire autres que la création de l'homme. Les textes mésopotamiens racontent qu'il a défendu devant le conseil de son royaume la cause des « nouveaux hommes ». Il ne voulait pas en faire une race d'esclaves comme le voulait son frère Enlil. Mais il ne réussit pas à faire basculer la majorité pour son projet. Les hommes, qui n'étaient que main-d'œuvre, étaient maltraités par des maîtres cruels, comme les hommes blancs ont traité les Noirs et les autres races, et comme beaucoup continuent à le faire.
 
 

    Les famines étaient courantes, les maladies également, les épidémies, tout ce que nous appelons aujourd'hui la guerre biologique. Pour endiguer le flot d'êtres humains qui ne cessaient de proliférer malgré les mauvais traitements, le conseil décida, en dernier ressort, de déclencher un déluge.

    Les archéologues confirment la réalité d'un déluge au Moyen Orient, ce que prouvent également d'autres sources, sémuriennes, ou même de tribus indiennes d'Amérique du Nord. D'après les textes sumériens, Ea avertit un mésopotamien appelé Utnapischtim de l'imminence de l'événement décidé par son frère, et il lui enseigna la façon de construire un grand bateau, une arche, et de prendre la mer en emmenant de l'or, sa famille, du bétail, des ouvriers et quelques bêtes sauvages.

    Cette histoire nous la connaissons bien. Elle vient, comme beaucoup d'autres récits de l'Ancien Testament, d'anciens écrits de Mésopotamie. Les noms ont changé et les Hébreux ont transformé les nombreux dieux en un seul, celui de leur propre religion.

    L'animal le plus significatif et le plus respecté de ces temps-là était le serpent, car c'était aussi l'emblème d'un groupe qui avait une influence considérable. Il rassemblait des hommes qui propageaient des connaissances spirituelles et qui cherchaient avant tout la liberté de l'esprit. Cette Fraternité de savants portait le nom de fraternité du serpent. Elle combattait l'esclavage des esprits, et luttait contre les colonisateurs.

    Le mot serpent du commencement de la Bible est "nahash" qui vient de la racine Nhsh, qui veut dire « déchiffrer, trouver ». Le fondateur de la fraternité est le prince Ea, un rebelle et un combatif. Dans les textes, il est dit que Ea et son père Anu avaient reçu une éducation complète, éthique et spirituelle, qui a influencé plus tard les auteurs de l'histoire d'Adam et Ève de la Bible. C'est à Ea que les hommes doivent la connaissance de leurs origines, de leur créateur et de leur liberté de pensée. Dans le jardin Edin, le verger des Anunnakis (Nephilim), où travaillaient des homo sapiens, il était interdit de goûter les fruits d'un arbre, l'arbre de la connaissance. Manger les fruits de cet arbre (peut-être était-ce une sorte de drogue qui libérait et ouvrait la conscience), était de la première importance pour les hommes, car en leur donnant la connaissance, ils leur permettaient aussi de se reproduire. Jusque-là les hommes n'étaient que des hybrides, stériles comme des mulets.
 
 

    Sitchin avance une interprétation légèrement différente {voir dans: « La 12 ième planète » par Sitchin Zecharie, Éditions Louise Courteau, avril 2000}. Pour lui, nous sommes un mélange de Nephilim et d'homo erectus, le prédécesseur de l'homo sapiens. Évidemment, les Anunnakis-Nephilim n'étaient pas particulièrement enthousiastes de l'instinct de prolifération des humains, puisqu'ils voulaient avoir le contrôle de leurs expériences. Le degré de connaissance que les humains ressentaient après l'absorption de ces fruits n'était pas vraiment scientifique, c'était plutôt une prise de conscience de leur individualité, de la possibilité de se reproduire, pour eux qui étaient jusque-là stériles. Les Anunnakis  en prirent ombrage, ils chassèrent les hommes du jardin Edin. Ea, qui avait aidé les esclaves à s'émanciper et à devenir une nouvelle espèce, ne s'est pas rebellé contre Dieu, comme il est écrit dans la Bible, mais contre les dieux extranéens, ceux qui avaient déclenché les actions cruelles.

    Malgré leurs efforts, Ea et la fraternité du serpent n'ont pas réussi à affranchir l'homme. Dans les tablettes sumériennes, on peut lire que la fraternité du serpent a été vaincue rapidement par d'autres groupuscules d'extraterrestres. Ea a été envoyé en exil sur la Terre, et poursuivi par la calomnie, pour qu'il n'ait plus de disciples parmi les hommes. On a changé son titre de prince de la Terre en prince des ténèbres, en l'affublant de noms terribles, tels que diable, Satan etc. Il a été présenté comme l'ennemi de l'être suprême, du créateur. On a fait croire aux hommes que tout le mal venait de lui, qu'il cherchait en fait à soumettre les esprits à une forme d'esclavage.

    Vu sous cet angle, c'est donc lui qui était le bon et on en avait fait le maudit. La même chose est arrivée à Jésus, qui enseignait l'amour, mais qui était l'ennemi juré des grands prêtres juifs, parce qu'il avait osé dénoncer leurs intrigues. il a été crucifié.

    Les Illuminati ont toujours réussi à retourner la vérité, de telle sorte que les bons ont été punis et que l'on a appelé les méchants à la rescousse.

    L'hypothèse selon laquelle notre planète a été visitée par des êtres vivants venant des profondeurs de l'univers, qui y ont créé de nouvelles formes de vie et qui l'ont ensuite délaissée, n'est pas si absurde. La mythologie  grecque nous parle des dieux qui habitaient l'Olympe, et surtout d'hermès, leur messager qui allait et venait dans le ciel, sur son char.
 
 

    L'épopée hawaiienne de Hula-Hula raconte qu'un vaisseau spatial s'est posé sur le volcan Maunakea de la grande île. Le plus courageux des guerriers est parvenu jusqu'au vaisseau, il a pris pour femme une de celle qui était dans le vaisseau, et a ainsi engendré les Hawaiiens que nous connaissons aujourd'hui.

    Les Mayas et les Hopis prétendent qu'ils descendent des habitants des Pléiades, qu'ils ont d'abord vécu sur un continent qui se trouvait dans l'Atlantique [l'Atlantide], qui a ensuite disparu [il y a environ 12 500 ans], avant de se fixer sur le continent nord et puis sud américain.

    Les arborigènes d'Australie ont également vu des vaisseaux se poser chez eux, il y a très longtemps. Les êtres qui sortaient de ces vaisseaux leur ont enseigné la sagesse de l'esprit, ils leur ont laissé le boomerang en cadeau.

    Les Dogons du Mali ont un savoir depuis plus de 700 ans, que la NASA n'a pu découvrir qu'en 1970, grâce au développement des satellites. Les Dongons prétendent depuis 700 ans que Sirius, une étoile situé dans la ceinture d'Orion, a une petite lune qui fait une révolution en 50 ans, et qui est faite de matériaux parmi les plus denses de l'univers.

    Comme il n'est pas possible de voir cette étoile [ou sa lune]  dans nos télescopes, les ethnologues ont cru qu'il s'agissait d'un mythe. En 1970, les Américains ont envoyé une sonde dans l'espace, qui a fini par découvrir une étoile naine, dont la densité est de 55 kg/cm²,  ce qui est très lourd, et qui tourne autour de Sirius en 50,1 ans.

    Quand les scientifiques ont voulu savoir d'où les Dogons tenaient leurs informations, ceux-ci leur ont répondu qu'un engin s'était posé chez eux il y a 700 ans, que l'équipage avait creusé un grand trou, l'avait rempli d'eau, ce qui avait permis à des êtres qui ressemblaient à des dauphins de sortir du vaisseau et de plonger dans le bassin pour communiquer avec eux. D'après les récits des dauphins, il y aurait deux types d'habitants sur Sirius, une race de dauphins et une autre que nous appelons homo sapiens, mais avec des individus qui atteignent 4 mètres de hauteur {13 pieds}

    Les Aztèques ont une histoire similaire. D'après leurs légendes, des vaisseaux spatiaux se sont posés près du lac Titicaca il y a plusieurs milliers d'années, des dauphins en sont sortis, ils ont plongé dans le lac et ils ont raconté la même histoire que celle que nous connaissons des Dongons. [Voir aussi le texte de Fred Idylle: "Le mystère des Dogons" -->

http://perso.wanadoo.fr/fidylle/docs/dogons.html ]
 
 

    Ce que l'on appelle l'époque historique a commencé il y a 3800 ans, dans le royaume de Sumer, apprend-on à l'école. Avant nous n'étions que des sauvages, des barbares. Il y a malheureusement quelque chose qui cloche. On dit que le Grand Sphinx a 2500 ans avant J.C., qu'il a été construit sous le règne de Khephren. L'orientaliste et mathématicien R" Schwaller et l'égyptologue John Anthony West ont pu prouver que les traces d'érosion sur le Sphinx sont dues à l'eau. Leurs travaux ont pu montrer que ce n'est ni le sable ni le vent, mais 70 cm d'eau courante qui sont responsables de l'érosion. West a calculé que le Sphinx a dû être exposé pendant plus de mille ans à des pluies constantes, pour que puissent s'incruster des marques aussi visibles d'érosion. La géologie contredit donc l'archéologie.

    Le Sahara a entre 7000 et 9000 ans, ce qui veut dire que le Sphinx a au moins 8000 à 10 000 ans. D'après nos spécialistes, il n'y avait à cette époque aucune culture assez développée dans ce domaine, et encore moins une qui aurait pu réaliser le Sphinx toute seule. Même pour notre technologie actuelle, sa construction représenterait un défi.

    Les visiteurs nous ont-ils quitté pour toujours ou reviendront-ils un jour? Peut-être que certains ne nous ont jamais quittés? Les grands prêtres juifs ont-ils encore un contact direct avec Yahvé, comme à cette époque?

********** F I N **********

La légende de la Lune morte

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(Extraits des pages  217 à 240)

{...}

    ... Nous allons démontrer, à l'aide de documents non censurés de la NASA,

--> que la Lune dispose d'une atmosphère d'oxygène, qui permet de respirer sans bouteille;

--> que la force d'attraction de la Lune, que l'on évalue officiellement à un sixième de celle de la Terre (17 %), est en réalité 4 fois plus forte, c'est-à-dire à peu près 65 % de celle de la Terre, peut-être même plus;

--> que l'on trouve des nuages, du vent et de l'eau sur la Lune;

--> que la capsule Apollo et le module linaire disposaient de propulseurs secrets à force antigravitationnelle, sans lesquels ils n'auraient jamais pu quitter la Lune, du fait de sa réelle force de gravitation.

   <font color=green> [Pour la série télévisuelle des Apollos], <font color=sapphire>les combinaisons spatiales, le module lunaire qui ressemble à une sauterelle, le drapeau américain<font color=green>[étatsunien]<font color=sapphire> qui ne flotte pas dans le vent mais qui reste fixe, le ciel lunaire que l'on a assombri artificiellement, était en réalité une mascarade qui devait dissimuler les conditions réelles qui règnent sur la Lune. Les grandes puissances auraient été contraintes de coloniser rapidement notre satellite. Cette requête ne devait en aucun cas pouvoir être formulée.

    Premièrement, il y a longtemps que des hommes ont marché sur la Lune. Jean Sendy disait : « La Lune a servi de base
à des extraterrestres voici plus de cent mille ans! Ils y ont creusé des cités souterraines, pour s'y établir, et ce sont eux qui à l'heure actuelle modifient par endroits le paysage à la surface ».

    Deuxièmement, les premiers pas sur la Lune remontent environ à 1950, et non à 1969, ils sont l'œuvre des Américains, des Russes et sans doute aussi des Chinois. Depuis cette période, les grandes puissances ont été très actives. Elles ont édifié sur la Lune une base pour des missions futures dans le cosmos.

    En voici les preuves<font color=green>(malheureusement tès discutables comme nous allons le voir par la suite!]<font color=sapphire>. William Brian, un ingénieur américain, a analysé pendant de longues années les documents de la NASA, les films et les bandes sonores du programme spatial. Il ne s'est appuyé que sur des documents non censurés, mais cela lui a suffi pour démontrer que les conditions qui règnent sur la Lune sont très différentes de ce que l'on essaie de nous faire croire:
 
 
 

Flable N°1 : la Lune a une force de gravitation et d'attraction égale à un sixième (17 % ) de celle de la Terre.

    Cette thèse repose sur la loi de la gravitation universelle de Newton. En respectant cette base de calcul, le point neutre, qui est l'endroit où l'attraction de la Lune est égale à celle de la Terre, devrait se trouver à une distance entre 35 et 40 000 kilomètres à la verticale de la Lune <font color=green>[mes propres calculs m'indiquent 37 230 km de la surface de la Lune en prenant une distance moyenne Terre-Lune de 384 400 km (ou 392 515 km de centre à centre), une masse de la Terre de 5,976 × 10 exp 24 kg et une masse de la Lune de 7,349 × 10 exp 22 kg; pour un système statique uniquement et non en rotation! Et avec la distance d'apogée de 407 000 km -> on obtient 40 722,722 km (ou 38 984,722 km de la surface de la Lune); puis avec le périgée de 356 417 km -> on obtient 35 589,788 km du centre de la Lune (ou 33 851,78 km de la surface){La valeur ponctuelle varrie donc entre 35 590 km et 40 723 km du centre de la Lune dépendamment de sa position autour de la Terre!}]. <font color=sapphire>C'est le chiffre que propose l'Encyclopaedia Britannica de 1960. Si la force d'attraction de la Lune était supérieure, ce point se situerait plus près de la Terre. Voici ce que disent Wernher von Braun, directeur du programme spatial de la NASA, et Frederick Ordway, également de la NASA, dans le livre qu'ils ont publié ensemble sur les missions Apollo, "History of Rocktry & Space Travel" (l'histoire de la fuséologie et des voyages dans l'espace) : « La manœuvre d'approche de la Lune a été si précise que nous avons dû supprimer une correction de cours prévue à 8,26 heures du matin, le 19 juillet. À une distance de 43 495 miles (69 999 km)<font color=green> [ ici mes calculs m'indiquent que la masse véritable de la Lune serait plutôt 2,987 , 10 Exp 23 kg et donnerait une force gravitationnelle de surface de 6,6 N par kg de matière, soit 67 % de celle de la surface de la Terre -> 2/3 -> 4/6 et non 1/6 comme on  nous le dit!!! 4 fois plus quoi! Seulement Si on ne considère que la force statique directe et en ignorant l'existence de la force centripète qui sert à maintenir la Lune et la capsule en rotation autour de la Terre! Dans ce cas de telles données seraient presque normal !]<font color=sapphire>, la capsule Apollo a franchi le « point neutre », à partir duquel c'est l'attraction de la Lune qui domine ».

    Le magazine Time a écrit ceci le 25 juillet, donc 5 jours après le premier alunissage : « À un point qui se trouve à 43 495 miles <font color=green>{43 495 × 1,60935 = 69 999 km}<font color=sapphire>à sa verticale, la Lune exerce une force d'atraction égale à celle de la Terre, qui se situe à environ 200 000 milles (321 870 km) de distance <font color=green>[soit une distance Terre-Lune de 391869 km (surface à surface) ou 399985 km (centre à centre) ~ 400 000 km]<font color=sapphire>». Même l'Encyclopædia Britannica a dû réviser ses chiffres. Dans l'édition de 1973, elle annonce que ce point se trouve à une distance d'environ 39 000 miles (62 765 km) de la Lune<font color=green>[ce qui donnerait une masse lunaire de 2,31 × 10 exp 23 kg --> 5,1 N/ kg --> 3,1 fois plus lourd -> 52 % de la force gravitationnelle de la Terre au lieu de 17 % !!! C'est donc déjà un très gros changement! Si seulement il n'y avait pas de rotation autour de la Terre et un petit autre chose que je vous indiquerai bientôt].
 
 
 

    <font color=sapphire>Les grandes puissances connaissent évidemment les chiffres exacts. Il est surprenant qu'elles aient attendu la mission Apollo 11 pour les rendre public. Surprenant, oui, parce qu'en connaissant ce chiffre et celui de la force d'attraction de la Terre, on peut déterminer facilement la réelle force d'attraction et de gravitation de la Lune. Celle-ci doit être au moins égale à 64 % de celle de la Terre, et non pas 17 % (un sixième), comme on le prétend officiellement! W. Brian conteste même ce chiffre. Vu que la NASA n'arrête pas de donner des informations erronées (les journalistes américains l'ont baptisé en riant « Never A Straight Answer » (jamais de réponse claire), il pense qu'il est possible que la force d'attraction de la Lune soit presque égale à celle de la Terre. Le point neutre se situerait donc encore plus loin de la Lune. Il est clair que ce point ne peut pas se trouver à 20 000 milles <font color=green>{32 187 km}<font color=sapphire>, et l'attraction de la Lune ne peut pas, en tout état de cause, pas être égale à 1/6 de celle de la Terre. <font color=green> [Nous verrons plus loin que oui c'est possible et je vous expliquerai pourquoi!]

    <font color=sapphire>La mission Apollo 8 l'a démontré. La capsule a atteint ce point après un voyage de 55 heures, 39 minutes. Elle a atteint la Lune au bout de 69 heures  <font color=green>[+ 8 min.]<font color=sapphire>, à une vitesse moyenne de <font color=green>3462 <font color=sapphire>milles/h <font color=green>[radialement]{5571 km/h}<font color=sapphire>. Elle a donc mis un peu plus de 13 h<font color=green> [5384,6 km/h en moyenne] <font color=sapphire>pour parcourir la distance entre le point neutre et la Lune. Si le point était à moins de 24 000 milles <font color=green>{38 624 km}<font color=sapphire>,  la capsule aurait mis environ <font color=green>6,9 <font color=sapphire>h. Les données de la NASA confirme que le point neutre est bien à environ 43 000 milles <font color=green>{ 43 495 Milles => 69 999 km} <font color=sapphire>de la Lune.

    Le fait de savoir que la force d'attraction est 3 fois supérieure  <font color=sapphire>a évidemment  des conséquences majeures. Avec une telle force d'attraction, il était impossible de quitter la Lune sans une véritable fusée de propulsion. À la place du fragile module lunaire, il aurait fallu une fusée d'au moins 800 tonnes, un quart de Saturne V, pour décoller. C'est ce que révèle l'ingénieur W. Brian. La fusée Saturne V aurait pesé 64 fois plus sur la lune, donc environ 200 000 tonnes,  elle aurait été 16 fois plus grande. Il devait donc y avoir forcément un tout autre mode de propulsion, mais nous y reviendront plus tard.
 
 
 

  W. Brian a pu vérifier, en regardant les images d'Apollo 14, que tous les films que nous avons pu voir à la télévision étaient diffusés à une vitesse ralentie de moitié, donc en fait au ralenti. C'est pour cela que les astronautes marchent de façon si particulière. En doublant la vitesse de défilement, ils marchent comme sur Terre. La façon de marcher en suspension n'est pas due à la gravitation, c'est un montage de la NASA. W. Brian a écrit dans son livre "Moongate - The NASA Military Cover Up", que le module lunaire aurait dû être complètement différent, avec un sixième de la gravitation terrestre. Il décrit les efforts qu'ont dû faire les astronautes pour décharger leur voiture lunaire. Ils disaient que c'était beaucoup plus dur qu'à l'entraînement à Houston. Des brides comme « take it easy », « atta boy », ou « easy now » montrent bien qu'ils ont eu des problèmes et que cela n'était pas aussi facile que prévu ... À 17 % de la gravitation terrestre, l'engin ne devrait peser que 64 kilos environ,...

    Comme le précise Alfred Nahon dans son livre "La Lune et ses défis à la Science" (Éd. Mont Blanc, 1973): « Dans toute cette affaire, capitale, vitale pour nous, habitants de cette planète, nous sommes traités en enfants et non pas en adultes. Néanmoins, c'est avec l'argent des citoyens « souverains » qu'est entreprise la grande aventure du voyage au 6e continent de la Terre!... Ne l'oublions pas, le programme spatial de la Lune a toujours été, dès son départ, une entreprise militaire! Ne vous laissez pas éblouir par les récits du jargon scientifique et les montagnes de chiffres, sous lesquels on dissimule ce fait fondamental. Tout cela n'est qu'un écran de fumée »!

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http://www.cyber-north.com/ufo/luna.html

Puisque la lune est plus petite que la Terre et a une attraction gravitationnelle d'un-sixième de celui de la Terre (comme on nous a dit puisque Monsieur Issac Newton a formulé la Loi en 1666) le point de gravitation neutre entre la Terre et la Luna doit être tout à fait près de la surface lunaire. On nous a dit et il était à plusieurs reprises renforcé, que le point neutre est approximativement à 24,000 milles du centre de la lune <font color=green>[38624,4 km -1738 =  36886,4 km de la surface]<font color=sapphire>ou environ 220,000 milles du centre de la Terre<font color=green>[354 057 km - 6371 km = 347 686 km de la surface de la Terre] [384 572,4 surface à surface ou 392 681,4 centre à centre -> 244 000 miles].

<font color=sapphire>En employant ce chiffre, les scientifiques américains et Soviétiques ont commencé à lancer des objets à la surface lunaire, le premier d'abord étant "Luna 1" investigation russe le 2 janvier 1959. Il a passé dans 4,660 milles <font color=green>[ 7500 km] <font color=sapphire>de la lune avant la disparition dans l'espace lointain.

Les Etats-Unis ont fait trois tentatives ratées avant qu'un défilé aérien de 37,000 milles [59 546 km] <font color=sapphire>n'ait été réalisé. Luna 2 frappa la lune, Luna 3 a tourné autour de la lune et a pris les images du côté lointain [de la face opposée à la Terre] <font color=sapphire>et les Russes ont immédiatement remis <font color=green>[en question ?] <font color=sapphire>toute la recherche lunaire et ont refusé de sortir n'importe quelle information qu'ils avaient rassemblée.

L'Amérique, seule dans la course pour la lune, a lancé une série d'investigations embarrassantes conçues pour durement atterrir avec des détecteurs sismiques. Ranger 3 a été manqué complètement et est entré en orbite solaire. Ranger 4 frappa la lune, mais n'a envoyé aucune information utile. Ranger 5 a été manqué par  450 milles <font color=green>[724 km]<font color=sapphire>, incitant les ingénieurs à asseoir et à recalculer leurs équations. Quelque part le long de la ligne, ils avaient fait quelques erreurs sérieuses de mathématiques!
 
 
 

Deux ans après, Ranger 6 a été lancé, mais son système électrique a brûlé. Des vols suivants avaient un peu plus de succès et les Russes ont été encouragés à réactiver leur recherche lunaire. Mais Luna 5 s'est effondré à grand vitesse sur la surface. Luna 6 a été  manqué. Luna 7 s'est effondré quand ses fusées rétrogrades ont poussé trop tôt. Luna 8 s'est effondré. Alors Luna 9 est devenu la première investigation de la terre avec succès d'atterrissage en douce sur la surface lunaire.

Des investigations ce temps-là  des Soviétiques et des américaines étaient en grande partie couronné de succès, mais seulement parce qu'ils avaient été capables de recalculer le point neutre de gravitation entre la Terre et la lune.

La révélation la plus étonnante pour expliquer les nombreux échecs consistaient en ce que la NASA était capable de trouver exactement le point de gravité neutre entre les deux corps. Ce nouveau calcul n'a jamais été officiellement révélé ou expliqué, menant à suggérer que la NASA dissimule des données importantes concernant l'origine et la composition de la lune.

Le point neutre, comme publié dans le magazine du temps, le 25 juillet 1969 et la même année dans "l'Histoire de Panoplie de fusées et la Navigation spatiale," était 43,495 milles du centre de la lune <font color=green>[69 999 km - 1738 km = 68 261 km de la surface]<font color=sapphire>. Cela signifie que l'attraction de gravitation de la lune n'est pas un-sixième ou 16.7 % de Terre, mais est en réalité 64 % ou plus grande que la moitié de la gravité de la Terre! <font color=green>[Ici on fait la même erreur que vue précédemment!]

<font color=sapphire>À cause de leurs tailles relatives, si le point neutre est vraiment 52,000 milles <font color=green>[83 686 km ?]<font color=sapphire>, plutôt que 43,495  <font color=green>[69999 km] <font color=sapphire>, l'attraction gravitationnelle de la lune serait identique  <font color=green>[69999 km][faux ! Car cela donnerait plutôt environ 1,8 fois plus lourd que la valeur officielle puisque nous devons tenir compe d'un certain angle comme nous le verrons plus tard, ainsi que du fait de la rotation du vaisseau autour de la Terre comme pour la Lune !]<font color=sapphire>à la Terre. L'homme de 170 livre sur la Terre pèserait 170 livres<font color=green>[ Faux !] <font color=sapphire>sur la lune.<font color=green>[Erreur Watson!] <font color=sapphire>L'information inconséquente et contradictoire concernant le point recalculé neutre mène quelques investigateurs à croire que la NASA conduit une opération de camouflage officielles. En employant les propres chiffres de la NASA, les chercheurs ont décidé que le temps que dure le vol  pour les missions d'Apollon était plus court qu'il devait avoir été, indiquant que le vaisseau spatial a commencé à accélérer plus tôt qu'il aurait dû si la gravité de la lune était seulement un-sixième de celui de Terre. Les chiffres, en fait, valident la revendication que la gravité de la lune est presque la même que celle de  la Terre! <font color=green>[Erreur Watson, ce n'est pas là ce que t'indiquent ces chiffres!]

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Dans ce deuxième exposé, une possibilité d'annomalie importante subsisterait et pourrait nous conduire éventuellement à envisager les conséquences suivantes:

Ce qui pourrait donner les résultats suivants pour les PLANÈTES CREUSES {avec Fz = 1,79832}
[Toutes les masses serait ÷ par Fz sauf celle de la Lune] comme première possibilité:

Terre       -> écorce de 1510,3 km {23,7 % du Rayon -> R /4,22}(densité moyenne de 3066,75 kg/m³)

Mars       -> écorce de 804 km  {23,7 % du Rayon -> R /4,22}(densité moyenne de 2187,3 kg/m³)

Vénus     -> écorce de 1450 km  {23,96 % du Rayon -> R /4,17}(densité moyenne de 2916 kg/m³)?  ou:
Vénus     -> écorce de 1488 km  {24,6 % du Rayon -> R /4,067}(densité moyenne de 2990 kg/m³)?  {Rondeur ?}

Mercure -> écorce de 578,6 km {23,7 % du Rayon -> R/4,22}(densité moyenne de 3017,8 kg/m³)

Jupiter   -> écorce de 16 588 km {23,7 % du Rayon -> R/4,2145}(densité moyenne de 737,4 kg/m³)

Saturn  -> écorce de 13 809 km {23,7 % du Rayon -> R/4,22}(densité moyenne de 382,2 kg/m³)

Uranus -> écorce de 5729 km  {22,6 %  du Rayon -> R/4,427}(densité moyenne de 706,6 kg/m³) ou:
Uranus -> écorce de 6249 km {24,64 % du Rayon -> R/4,059}(densité moyenne de 732,9 kg/m³) {Rondeur ?}

Neptune -> écorce de 5839 km  {23,71 %  du Rayon -> R/4,217}(densité moyenne de 910,7 kg/m³)

 Pluton  -> écorce de 79,3 km  {6,837 %  du Rayon -> R/14,6}(densité moyenne de 612 kg/m³) [???][données de base -> peu fiables]

Lune -> aucun changement de masse ni de densité, mais Flune = 1,7982 × 1,6234 = 2,92 N/kg -> soit 30 % de Fterre
car la constante gravitationnelle serait multiplier par 1,79832.

La deuxième solution consisterait à multiplier par 1,79832   la Masse de la Lune et de ne rien changer d'autres ailleurs -> ici cependant la Lune aurait une densité de 3345,3 kg/m³ × 1,79832 = 6016 kg/m³ et pourrait être difficilement creuse, car il faudrait augmenter encore plus la densité de l'écorce restante ce qui pourrait être aberrant!

Mais continuons l'analyse...

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Explications et mise au point!

Voici maintenant les explications qui sont à la base de la bonne compréhension de ce qu'il en est de tout cela! Il sera questions bien sûr de lois de la physique, d'équations , de calcul vectoriel, de positionnement ponctuelle de la Lune autour de la Terre et plus encore. J'essaierai de conclure en vous disant ce qu'il est nécessaire de savoir à coup sûr pour pouvoir bien conclure...

L'erreur commune d'interprétation est normal et quasi automatique si on ne connaît que peu ou pas la physique du mouvement des corps et surtout si on oublie de considérer la rotation de certains corps dans l'espace autour d'autres corps célestes.

Ainsi il y a deux équations principales à tenir compte:

Fg = GMm/ R²   {où la constante gravitationnelle "G" = 6,67259 × 10-¹¹ Nm²/kg² et M = la Masse principale -> soit de la Terre, de la Lune, du Soleil ou d'une planète; puis m = la masse du petit objet dans nos calculs en kg; puis finalement R la distance entre le centre de passe de M au centre de masse de "m". [ N = Newton] "Fg" représente la Force gratitationnelle}

Fc = ma     {où "m" est la masse de l'objet qui tourne exprimée en kg et "a" son accélération de rotation exprimé en m/s²}
a = v²/R    { "v" est la vitesse tangentielle et "R" la distance de l'objet qui tourne au centre de masse de l'entité autour duquel il tourne -> une planète par exemple}
a = 4¶²R/t² {"t" étant le temps d'une révolution complète autour de la grande Masse (planète) exprimé en secondes}
Fc = m 4¶²R/t² {Ce qu'il nous importe dans nos démonstrations, c'est de faire le calcul pour un kg de matière seulement; "Fc" étant exprimé en Newton ou en Kg-m/s² et représente la Force centripète}

Je vais introduire tout de suite un faux argument utilisé pour dire que quelque chose cloche avec la Lune. Certains disent que la Force d'attraction (gratitationnelle) de la Terre sur la Lune est plus faible que la Force d'attraction du Soleil sur la Lune bien que la Lune continue à tourner autour de la Terre. De plus la Force d'attraction du Soleil sur la Terre est plus grande que celle de la Lune sur la Terre, alors pourquoi est-ce la Lune qui produit des marées et non le Soleil si la Lune n'a que la masse qu'on veut bien nous dire?
 
 
 

En fait la Force d'attraction du Soleil sur la Lune varrie en gros de 0,0059 à 0,005953 N/kg alors que la Force d'attraction de la Terre sur la Lune varrie de 0,00241 à 0,00314 -> en moyenne 0,0027 N/kg; soit un peu moins que la moitié.

Mais il faut savoir que la Force d'attraction du Soleil sert à MAINTENIR EN ROTATION  le système "Terre-Lune" autour de lui {car Fc = ma = Mlune a} et sert de Force centripète pour retenir la Lune tout comme la Terre en rotation et n'est nullement disponible pour compétitionner la Force d'attraction de la Terre sur la Lune. De même, toute la matière contenue sur la Terre, y comprises les eaux, sont maintenues en rotation par la même Force qui, par conséquence, ne sert pas à des perturbations prononcées. Ainsi la Force de la Lune sur les eaux la Terre a le champ libre pour exercer le gros des perturbations {marées}et la masse de la Lune n'a pas à être plus grande pour justifier ce fait...

Comme vous pouvez le voir, l'erreur était facile à faire... il suffisait d'oublier la réalité de la rotation autour du Soleil!

Maintenant, dans la même veine, la même erreur a été commise pour l'engin Apollo 8 ou 11 ou X. Car il faut savoir que nous sommes dans un système dynamique, en mouvement, en rotation; que non seulement la Lune tourne autour de la Terre, mais qu'Apollo aussi a un mouvement de rotation autour de la Terre en plus de son mouvement radiale d'éloignement. Aussi la Lune a le temps de franchir 69 h (à 76h selon les vols) de parcours autour de la Terre durant tout le trajet de la capsule et que lorsque se produit l'ultime point de transition, la Lune a encore 13 heures de trajet final à effectuer.

Ainsi, nous devons considérer la situation cinétique de l'ensemble et non pas le statique.

Statiquement, pour des objets qui ne seraient pas en rotation et qui seraient alignés avec la Terre, nous aurions une distance du centre de la Lune qui varrirait de 35 589,8 km { pour le périgée}à 40 640,7 km  (pour l'apogée) ou 38 384,1 km pour la distance mitoyenne de la Terre de 384 401 km. Car il faut aussi savoir que la Lune a une trajectoire elliptique autour de la Terre et que pour conclure quoi que ce soit il faut savoir où se trouve la Lune dans sa trajectoire à chaque instant. Ainsi l'encyclopédie Britanica en 1960 ne considérait que l'aspect statique. Et en cela ses chiffres étaient bons, mais sans valeur utile en pratique pour la NASA ou pour comprendre ce qui se passe vraiment avec ce fameux point zéro de gravitation ou nul.
 
 

Explications et mise au point! [suite 3]

Ainsi la formule Fterre = Flune laisse présager au moins un autre membre pour tenir compte de la rotation:

GMt/R² - GMl/r² - v²/R² = 0     {où R=distance Terre-Capsule; r  = distance du centre de la Lune à la Capsule; v = vitesse tangentielle de la capsule (vitesse de rotation autour de la terre)}

Ici, plusieurs s'arrêtent et ne prennent pas en considération le fait du déplacement dans le temps de la Lune et par conséquent de l'angle que fait les directions Terre-Capsule et Lune Capsule au point d'équilibre de gravitation; qui n'est pas le Point zéro de Gravitation car il ne se situe pas dans l'axe Terre-Lune. Pour comprendre le présent et la suite, il faut avoir en tête le schéma du parcours de la Capsule de son départ de la Terre jusqu'à la Lune. La capsule décolle et se met en orbite autour de la terre, puis quitte cet orbite à droite de la Terre pour effectuer un genre de "S" en se dirigeant vers "le point de rencontre" avec la Lune et non pas la Lune elle même. Durant ce temps la Lune effectue son trajet habituelle autour de la terre et fait une portion de ce trajet de 69 h avant que la capsule ne se mette en orbite autour d'elle par la gauche. La Lune a une vitesse tangentielle supérieure à celle de la capsule. Cependant, avec sa vitesse radiale, la capsule va plus vite, presque le double.

Mais pour le point de gravitation équilibré entre la Terre et la Lune dans son trajet non alignée avec ces deux astres, il faut considérer que la Lune a encore 13 heures de parcours à faire et que cela implique un angle qu'il faut trouver afin d'effectuer un calcul vectoriel des forces gravitationnelles en présence.
 
 
 

Cependant, si on regarde la situation d'un objet se trouvant au point de gravitation zéro sur l'axe Terre-Lune et en rotation autour de la Terre tout en restant en cet état d'équilibre, nous aurions ce qui suit pour les 5 distances principales et autres entre la Lune et la Terre:

faire les calculs avec 27,32166 jrs -> t² = 5,5723918 × 10¹² s²

67 909,712 km (pour 407 000 km centre à centre) [-1738 = 66 171,712 km]

62 765,000 km (pour  395 403,220 km centre à centre) [-1738 = 61 027 km] Pour L'encyclopédie Britannica 1973

61 304,880 km (pour 391 870 km centre à centre) [-1738 = 59 566,880 km]

58 373,150 km (pour 384 401 km centre à centre) [-1738 = 56 635,150 km]

49 031,654 km (pour 356 417 km centre à centre) [-1738 = 47 293,654 km]

Ici, on voit que le mieux que l'on puisse avoir est 67 910 km lors d'un Apogée. Il resterait toujours un 2090 km d'écart qui nécessiterait une force plus grande de la part de la Lune. Déjà donc on pourrait à juste titre se demander ce qui se passe, car on aurait même un 7235 km d'écart avec ce que promulgue l'Encyclopédie Britannica de l'Édition 1973! Et cela s'approcherait de beaucoup d'un facteur de correction Fz de 1,8 comme dans les calculs d'écorce des planètes ci-haut!
 
 
 

Mais l'analyse complète du phénomène n'est pas encore obtenue. Il nous reste l'élément le plus difficile à circonscrire et à quantifier! Soit l'angle entre l'axe Terre-Lune et l'axe Lune-Capsule:

Nous prendrons la vitesse moyenne de la Lune = 1,03 km/s -> 3708 km/h

Nous prendrons aussi un temps restant de 13 h

Et une position de 70 000 km entre la Capsule et le centre de la Lune

Ainsi que 218 768 milles ou 352 074 508,734 mètres du centre de la Terre à la Capsule{~ 352 074,5 km}

Ainsi que 402 832 508,734 mètres entre la Lune et la Terre {~ 402 832,5 km}

Tout cela ne sera qu'une approximation

Donc 13 h × 3708 km/h = 48 204 km qu'il reste à la Lune à parcourir avant d'être atteinte par la Capsule et qu'elle ne se mette en orbite autour d'elle en haute altitude...

De plus, de ces deux mesures nous trouvons qu'il reste  50 758 km à franchir radialement pour la Capsule durant ces 13 h; et de tout cela on tire l'angle approximatif de la Force de la Lune sur la Capsule : 90° - 46,48° = 43,52° de la verticale radiale à la Terre et à la Lune et ~ 8° pour la force de la Terre.

Maintenant pour vérifier l'annulation des forces en présence par rapport à l'axe Terre-Lune, nous devons utiliser la portion vectorielle de chacune des deux forces qui s'opposent , car il y en a une autre portion qui s'additionne l'une l'autre comme un arc tendu pour tirer une flèche.

Fgt × cos 8° - Fgl × sin 43,52° - Fc = 0  [Fc représente la force centripète qu'exerce la Terre sur la Capsule pour la maintenir aussi en rotation autour de la Terre]

(G Mt/R²) cos 8° - (G Ml/r²) sin 43,52° - v²/R = 0        [par kg de matière]

[6,67259 × 10-¹¹ × 5,972 × 10 exp 24 / (352 074 508,734)²] cos 8° - [6,67259 × 10-¹¹ × 7,349 × 10²² / (70 000 000)²] sin 43,52° - 4¶² × 352 074 508,734/(2,360591424 × 10 exp 6)² =0

0,003183444866363 - 0,00068912579378 - 0,00249432286983= 1,67 × (10 exp -14) N/kg ~ 0
 
 

Comme nous le voyons, il existe une solution mathématique, physique et logique aux données en circulations qui prêtes à contreverse selon plusieurs. Je ne dis pas que j'ai résolu rigoureusement la question et d'une manière définitive. Mais je vous dis qu'il faut faire attention à ces données qui sont souvent des approximations et des mélanges de situations. Les écarts dans la distance entre la Lune et la Terre sont importants et il faut considérer cette distance ponctuellement et pour un seul événement à la fois. De plus si l'événement globale se prolonge dans le temps, il faut regarder et prendre en compte les changements dynamiques qui s'effectuent réellement durant tout le trajet. Et comme tout est en mouvement, il faut aussi calculer vectoriellement les Forces en présence sans oublier de prendre en considération la Force centripète nécessaire à faire tourner des corps dans l'espace et qui doit être soustrait  de la Force gravitationnelle pour savoir quelle résultante il reste pour les relations de gravitation statique.

Il faut aussi avoir en tête la forme particulière que prennent les trajets Terre-Lune selon les conceptions de la NASA {en forme de "8"}.

Bien entendu, j'ai simplifié tout cela pour mes calculs. Car il faudrait en fait savoir quelles sont les vitesse tangentielles véritable impliquées ainsi que les positionnement effectif lors de l'analyse des forces pour un moment précis.

Si jamais la distance effective de la Terre à la Lune, ou de la Terre à la Capsule ne permettait pas de solution raisonnable selon les types de calculs que j'ai effectués, alors il serait de mise de poursuivre l'investigation.

Mais pour l'instant, tant que les distances exactes Terre-Lune, Terre-Capsule et l'angle de désalignement des trois corps avec si possible la vitesse tangentielle de la Capsule lors du franchissement du point de gravitation nul {et non zéro à cause justement du désalignement} ne seront pas connus avec certitude pour un même événement, nous ne pourrons prendre ces soupçons d'anomalies au sérieux pour conclure sur la non validité de la Force gravitationnelle officielle de la Lune, pas plus que pour modifier la Masse de la Lune, ou de la constante "G" de gravitation ou pour calculer l'épaisseur de l'écorce les Planètes Creuses.

Mais cela fait mon affaire car la Lune est sensé être Creuse elle aussi. Et maintenant la généralisation du phénomène pourrait s'appliquer à la Lune. Si on arrive à démontrer que "G" est plus grand et que donc toutes les masses des Planètes, Soleil ou satellites sont moins grandes pour une même Force gravitationnelle, alors le tour sera joué. Nous pouvons encore compter sur la connaissance de l'épaisseur de l'écorce Terrestre pour justement établir le facteur Fz qui doit multiplier "G" et diviser les Masses des Corps célestes et ainsi nous permettre de calculer l'épaisseurs de l'écorce de ces autres corps célestes. Ce facteur sera tout près de 2; je le calculerai bientôt...
 

De plus, avec ces derniers types de calculs je puis dire que les valeurs suivantes varient :

Distance Terre <-> Lune ====> de 407 000 km à 402 832 km

Distance Terre <-> Capsule ==> de 345 230 km à 352 074 km

Distance Radiale à parcourir ==> de 061 770 km à 050 758 km

L'angle de déviation Lune-Capsule par rapport à l'axe Terre-Lune ===> de 28,063325° à 43,52°

L'angle de déviation Terre-Capsule par rapport à l'axe Terre-Lune ==> de 5,4489255° à 8,52°

Comme plage où l'on a une solution possible et cela N'inclue pas la valeur de L'Encyclopédie Britannica de 1973 avec son fameux 62 765,000 km qui demanderait une distance Terre-Lune de 407 456,5648325 km et des angles de déviations de 26,28° et 5,346°. Ce qui n'est pas possible parce que la distance maximale Terre Lune est de 407 000 km!!! [Sauf si on changeait la distance fatidique du 69 999 km pour une distance plus courte => ce qui ferait aussi diminuer les angles de déviations et nous rapprocherait de l'alignement parfait comme vu plus haut et où la solution est donnée.]
 
 

<font color=green>Explications et mise au point! [suite 3]

<font color=sapphire></font>

<font color=blue><a href="http://www3.sympatico.ca/vision_globale/JFORTIER.html">Site de Jacques Fortier</a></font>
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Ésotérisme -  Normal? Paranormal? -  les extraterrese ?? sont-il parmi nous tous ????
radarani - 27/03/2001 01h14 HNE (#22 de 23)

1` les ombrages sont a angle différente. Les roches, le module et l'astronaute.

2` le flague bas au vent.sur la lune y as pas de vent, pas d'atmosphère.

3` Les pattes du module sont propre comme un bijou, supposément a côté d'un moteur de 18000 livre de poussé servant a attérir.

4` J'ai travaille 20 ans dans une fonderie.Faire une belle emprunte dans le sable est une science. Sa  prend un sable fin pas trop mais assez, 8% de farine, de sable ou de glaise. 8% a 10%d'HUMIDITÉ. Pas d'emprunte dans le sable SEC....

5` Il n'y avait pas d'étoiles au dessus de l'horizon.

6` le 2`filme pris as 2 kilomètre plus loin avec le petit bogy était exactement le mème paysage que  le premier.

7` les croix dans la lentille de la caméra, certeine partit était caché derrière le flag. Les croix était  faite dans le décors...

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L'Alternative 3

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.( extraits des pages 339 à 370)
 

    Watkins écrit que toutes les données de ces expériences ont été exploitées en commun avec celles de la clinique psychiatrique de Dnepropetrovsk. « Les banques de données ont été rassemblées, pour permettre de développer des méthodes de fabrication qui pourrait engendrer un espèce "d'esclave"».

    Après ces scénarios de film d'horreur, on se dit qu'il n'est pas impensable que les États-uniens et les Russes disposent de moyens, depuis la fin des années 50, début 60, qui permettent de transformer, par une opération, de futurs travailleurs martiens, pour qu'ils exécutent comme des robots, sans désirs et sans conscience, les ordres que leur donnent « l'élite » des émigrés. Ces hommes de pouvoir, qui planifient et réalisent l'exode d'une certaine partie de l'humanité sur Mars, pensent qu'il faut de toute façon réduire la population du globe par un moyen ou par un autre. Pour eux la bombe à retardement que représente la surpopulation se rapproche de l'explosion finale, et donc de la durée de vie de la Terre, chaque fois que naît un bébé dans le monde.

    Jim Keith révèle une une vérité inquiétante dans le chapitre sur l'explosion des populations. Il dit qu'au début des années 40, le président Franklin D. Roosevelt a développé un plsn géopolitique, le plan M, sur les migrations de populations dues à la Seconde Guerre mondiale, population estimée à 30 millions d'individus. Six cent soixante six études ont été réalisées pour le plan M, jusqu'au mémoire final qui a été présenté à Truman en 1945. Le général W. J. Donovan de l'OSS, Nelson Rockefeller et Sripati Chandsekhar, membre à vie de la Société Britanique d'Eugénie ont participé au projet. Dans un livre paru en 1962, Henry Field, le chef du projet, déclare que le projet M s'est intéressé à : « l'explosion des populations et au rapport futur entre les ressources et l'alimentation, à la surpopulation de la Terre, à l'émigration interstellaire et à la recherche d'organismes vivants sur d'autres planètes ». Il n'exclut pas d'installer des « quartiers temporaires sur Vénus ou sur Mars ».

L'Affaire Jonestown

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 369 à 373)

    Jim Keith révèle une vérité inquiétante dans le chapitre sur l'explosion des populations. Il dit qu'au début des années 40, le président Franklin D. Roosevelt a développé un plan géopolitique, le plan M, sur  les migrations de population dues à la Seconde Guerre mondiale, population estimée à 30 millions d'individus. 666 études ont été réalisées pour le plan M. jusqu'au mémoire final qui a été présenté à Truman en 1945. Le général W. J. Donovan de l'OSS, Nelson Rockefeller et Sripati Chandsekhar, membre à vie de la Société Britanique d'Eugénie ont participé au projet. Dans un livre paru en 1962, Henry Field, le chef du projet, déclare que le projet M s'est intéressé à : « l'explosion des populations et au rapport futur entre les ressources et l'alimentation, à la surpopulation de la Terre, à l'émigration interstellaire et à la recherche d'organismes vivants sur d'autres planètes ». Il n'exclut pas d'installer des  « quartiers temporaires sur Vénus ou sur Mars ».

    Il y a des indices qui montrent que le projet a été réalisé à petite échelle avec des « esclaves » rendus dociles par des produits pharmaceutiques, dans la jungle de Guyana et avec l'appui des services secrets américains. Vous souvenez-vous de la secte autour de Jim Jones et du suicide de masse à Jonestown, en novembre 1978? Il y a des éléments qui indiquent clairement qu'il n'était pas la personne que les médias nous ont présentée. La « carrière » de l'évangéliste Jim Jones commence en 1961, au Brésil, où il avait émigré, soi-disant pour s'occuper d'une mission envers les plus démunis. Pour des raisons que nous ignorons, c'est l'ambassade américaine qui a pris à son compte les frais de transport et de nourriture pendant son séjour. Jones a confié à plusieurs reprises à des habitants du coin qu'il travaillait pour la Naval Intelligence, le service secret de la Marine. Il était accompagné de Dan Mitrione, un ami de longue date, collaborateur de la CIA, pour enseigner aux forces de polices locales les techniques d'interrogatoire et de torture.

    À la fin de sa « mission » au Brésil, Jones est rentré aux États-Unis, il a construit un temple, le "People's Temple" (temple du peuple) à Ukiah, Californie, entouré de barbelés, surveillé par des gardes armés jusqu'aux dents et des chiens d'attaque. Pendant cette période, il y a eu, selon la journaliste Kathy Hunter, 7 morts parmi les membres du temple. 7 personnes qui avaient tenté de s'échapper du camp. Kathy Hunter est morte plus tard dans des conditions non élucidées. Jones mobilisait ses troupes pour soutenir la campagne électorale de Moscone, qui voulait devenir maire de San Francisco. Quand il a été élu, Moscone s'est montré reconnaissant, il l'a nommé resposable de la Commission d'attribution des logements. Plusieurs de ses disciples lui ont été envoyés par le bureau d'aide sociale de la ville. Il n'a pas eu de mal à recruter un grand nombre de personnes pauvres et sans-abri pour son  « église ».

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 369 à 373)

    Beaucoup d'amis proches de Jones avaient des contacts avec les services secrets. Richard Dwyer, chef de mission de la CIA à l'ambassade américaine de Georgetown était souvent l'hôte de Jones, peu de temps avant la fin terrible de la communauté. Sur des bandes qui ont enregistré les péripéties du massacre, on entend Jones hurler: « Sortez Dwyer de là! » Dwyer a reconnu avoir été observé pendant qu'il délestait les victimes de leur portefeuille et d'autres affaires. John Burke, qui travaillait depuis 1963 pour la CIA, a tout fait pour empêcher Ryan, le membre du Congrès de faire une enquête sur le massacre. L'ambassade américaine au Guyana a empêché Ryan de faire des recherches sur les violations des droits de l'homme à Jonestown, elle a surtout donné à Jones[John?] les copies de toutes les questions que poseraient le Congrès sur Jonestown, qui tombaient sous le libre accès à l'information.

    Lawrence Layton et sa famille faisaient partie des principaux financiers de Jones. Ils lui ont donné des centaines de milliers de $. Layton était responsable du département de recherche sur la guerre chimique et écologique aux "Dugway Proving Grounds", en Utah. Plus tard, il est devenu responsable du département des fusées et des satellites à la "Navy Propellant Division" de Indian Head, Maryland. "Dugway Proving Ground" a été mis en cause de façon répétée dans des scandales de mutilations d'animaux, de gaz de combat biologiques et d'expériences génétiques.

    L'endroit où Jonestown a été érigé présente certaines caractéristiques étranges. On y trouve beaucoup de minéraux ainsi qu'une activité minière importante. Des projets de 1919 montrent que l'on cherchait déjà à construire des cités ouvrières pour des travailleurs mal payés. Charles Garry, un avocat du People's Temple explique  que Jones et Jonestown étaient littéralement assis sur une mine d'or. Des relevés confirment cette affirmation.

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 369 à 373)

    N'est-il pas étrange de constater que  Jonestown a été construit en même temps qu'a été développé le projet MK Ultra, et que la population-cible du programme était des Noirs, des prisonniers et des femmes, exactement la composition des « croyants » rassemblés à Jonestown? Quand arrivaient des membres de couleur du temple au Guyana, on les attachait après les avoir bâillonnés et on les conduisait à l'intérieur du camp. Les indigènes voyaient de temps en temps des Blancs, mais jamais ils n'ont pu voir la majorité de Noirs qui peuplaient Jonestown. Une fois qu'ils étaient dans le camp, ils devaient travailler 16 à 18 heures par jour, avec une nourriture rationnée, faite de riz, de pain et de viande avariée. Les agents de sécurité étaient tous blancs, en majorité des hommes. Ils étaient armés, poussaient les Noirs à travailler et les empêchaient de s'enfuir. D'après le chercheur John Judge, les agents de sécurité ne sont pas morts pendant le massacre. Mais rien n'a été entrepris pour les retrouver ou leur demander des comptes.

    Malgré le fait que le médecin du camp tenait des listes précises sur les médicaments qu'il distribuait, celles-ci n'ont pas été retrouvées. Après le massacre on a retrouvé assez  de stupéfiants pour approvisionner 200 000 personnes pendant une année. Les réserves étaient prévues pour 1000 personnes! Peu avant le massacre, 500 000 $ ont quitté le camp. Michael Prokes, qui transportait les fonds, s'est tiré une balle dans la tête pendant une conférence de presse au cours de laquelle il avait reconnu être un agent du FBI...

    Les premières dépêches de presse ont annoncé 400 suicides et 700 personnes qui avaient pris la fuite dans la jugle. Plus tard on en était à 913 morts. La cause de la mort n'était pas le cyanure, selon le Dr. Mootoo, un médecin guyanais. La presse américaine l'a prétendu. Les victimes ne montraient pas de symptôme d'empoisonnement au cyanure. Dr. Mootoo a retrouvé des traces de piqûres chez 90 % des victimes. Il a conclu que toutes les victimes avaient été assassinées, sauf 2 qui s'étaient suicidées. La presse américaine prétendait que toutes s'étaient suicidées. Les cadavres de Jonestown ont été rapatriés très tardivement vers les États-Unis. La décomposition avancée des corps rendait toute autopsie impossible. Sur ordre de Zbigniew Brzezinsky, toutes les traces ont été nettoyées sur les cadavres. Il y a eu des plaintes officielles sur des crémations illégales entreprises par l'armée.

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 369 à 373)

    Reste à savoir si Jim Jones est vraiment mort à Jonestown [...] Le FBI n'a pas fait de test d'identification à partir des dents. Au moment de sa mort[?], Jones disposait d'une fortune collossale, difficile à évaluer, autour de 2 milliards de $. On sait également qu'il utilisait régulièrement des sosies. Joyce Shaw, une responsable du temple, a décrit Jonestown comme étant une « expérience monstrueuse du gouvernement » et un « projet pathologique et raciste, comparable à ceux des nazis, pour éliminer les Noirs ». Joseph Holsinger, l'assistant parlementaire de Leo Ryan ( membre du Congrès) va plus loin: « Il y a des chances pour que Jonestown ait fait partie du projet MK Ultra, une expérience gigantesque de contrôle de la pensée ».

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