Drogues et suicide

 

14 - LES LUMIÈRES DE L'ASTRAL

                     Par TUESDAY LOBSANG RAMPA
                     Paris : Éd. J'ai Lu, 1990, 216 P. ;Livre de poche, ©1973. {N° 2739}
                     Montréal : La Presse, 1974.  246 p. ; 21 cm.
                     1973 -> « Candlelight »

Les Lumières de l'Astral /   Par Tuesday Lobsang Rampa---- 1973 -> « Candlelight » ; Montréal : La Presse, 1974.  246 p. ; 21 cm. {(pages 103 et 105)(Extrait 28)}. Drogues et suicide.

     « Vous avez décrit de quelle façon les drogues peuvent nuire à notre spiritualité et lui faire du mal. Un tel dommage peut-il être réparé au cours d'une vie?  Vous dites, également, qu'il ne faut jamais prendre de drogues, mais vous conviendrez que beaucoup de gens ont, par l'usage de drogues, connu des expériences dans le domaine spirituel. Je crois que vous n'avez pas raison en affirmant que les drogues sont dangereuses. J'aimerais savoir ce que vous avez à répondre. »

    Oui, Madame, j'ai dit et je répète que les drogues sont dangereuses, parce qu'en les prenant vous altérez artificiellement vos vibrations et rendez presque impossible (j'ai dit « presque ») votre développement spirituel sans l'aide de tels moyens.

    Les drogues sont de terribles choses qui souillent votre corps astral et détériorent votre corps physique.

    Croyez-vous qu'on devrait droguer des athètes pour augmenter leurs performances? Croyez-vous que les gens devraient prendre des tablettes de Benzedrine pour se mettre en train et tenir le coup? Si c'est votre point de vue, alors je vous conseille de lire quelques-uns des rapports de police. Prenez comme exemple les conducteurs de poids lourds, qui, chaque jour, parcourent des distances considérables. Ils connaissent une énorme fatigue et, tout naturellement, « pour tenir le coup », quelques-uns ont recours aux drogues, aux « goof-balls », comme ils les appellent. Tous les rapports de police et les statistiques des compagnies d'assurance prouvent de manière irréfutable que l'usager de ces produits provoque accidents, morts, et dommages mentaux. Et, si les firmes de produits chimiques pouvaient, sans courir de risque, vendre toutes sortes de drogues, elles le feraient, car après tout ces gens sont dans le business pour gagner de l'argent; mais c'est monstrueux que de continuer à vendre le L.S.D. et autres « goof-balls » du même genre et de découvrir ensuite que ces saletés détruisent un tas d'individus. Ces poisons devraient être interdits.

    Mais, ceux qui ont goûté à la drogue, que peuvent-ils espérer? Rien n'est désespéré en ce qui les concerne, s'ils mangent et boivent de façon raisonnable et ne se livrent pas à trop d'abus divers - onanisme, j'entends. Personne n'est au ban de l'humanité et chacun peut être secouru, s'il le désire. Si vous êtes un toxicomane et que vous souhaitiez fermement vous débarasser de cette habitude, vous le pouvez et, lorsque vous arriverez sur l'autre versant, vous découvrirez que votre forme astrale s'est remise des effets provoqués sur votre psychisme par l'habitude de la drogue.

    Jeveux dire quelques mots ici sur le suicide. J'ai été choqué, en effet, par le nombre de gens qui m'ont .crit ces temps derniers pour me dire qu'ils  se droguaient et ne voyaient aucune issue autre que le suicide à leur problème. Mon Dieu! Le suicide est une erreur. Vous n'arrangerez rien, car vous devrez revenir et vous retrouverez des conditions bien pires. Si vos difficultés sont si écrasantes qu'elles vous amèrent à envisager cette issue, parlez-en avec un prêtre, ou même avec l'Armée du Salut, ou bien ouvrez l'annuaire du téléphone et trouvez une quelconque association d'assistance. Il en existe. Parlez-leur, dites que vous êtes en train de lâcher, mais, de grâce, n'envisagez jamais de vous détruire. Si vous le faites, c'est que vous avez abandonné tout espoir. Si vous demeurez en vie, il y a une solution à votre problème. Le suicide n'en est pas une, car - je le répète - vous revenez à des conditions plus dures.

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