Pour commencer, une simple et très anodine information: En date du 14 décembre 1944 (six mois avant la fin de la Guerre) le très sérieux et important quotidien US, le “New-York Time”, publiait pour la première fois, depuis les premières observations dans le monde, de “soucoupes volantes”un article étonnant: ” Les ’soucoupes volantes’ sont des armes secrètes.Une nouvelle arme allemande a fait son apparition sur le front occidental.Les pilotes de l’US Air Force rapportent que des “boules d’argent” survolent l’Allemagne, parfois isolées, parfois en formation. Certaines semblent totalement transparentes“

Que se passa-t-il donc après la guerre et qu’advint-il de ces engins? Un retour en arrière est indispensable : Vers les années 1936, dans la prévision d’un inévitable second conflit mondial, l’Allemagne nazie s’y préparait méthodiquement. Entre autres préparatifs il était indispensable de prévoir une logistique performante pour la guerre maritime. Outre les accords secrets avec des “alliés du Grand Reich”et amis potentiels dans certains pays d’Amérique du Sud pour le ravitaillement et l’avitaillement des navires de guerre, il fallait une base discrète, solide et inattaquable pour les sous-marins de la Kriegsmarine.

En 1938, un porte-avion le “NEUES SCHWABENLAND” embarqua une expédition vers l’Antarctique et, arrivés à l’endroit prévu, situé entre le 10° méridien Ouest et le 20° Est et entre le 70° et 75° parallèle Sud (à 10° sous le cercle polaire antarctique), une région libre de glace avec lacs et montagnes, bordée au nord par l’Océan Atlantique, les allemands s’attribuèrent 600.000 km carrés de terrains qu’ils baptisèrent “NEUES SCHWABENLAND” appellation géographique figurant toujours sur nos atlas sous le nom anglicisé de NEW SCHWABENLAND.. Des flottilles entières de sous-marins firent route vers ce territoire et des centaines de submersibles allemands équipés du schnorkel, connu sous le nom de tuba Walter, leur permettant de naviguer sous l’eau durant plusieurs semaines, se dirigèrent vers cette “base” y faisant escale et un certain nombre restèrent sur place.. et nul ne les revit. Les état-major des marines des Alliés, en particulier ceux de la US-Navy et de la Royal-Navy ont estimé, après avoir des mois durant dressé les inventaires de la flotte sous-marine de la Kriegsmarine depuis le début de la guerre, après avoir comptabilisé les pertes réelles, ont estimé qu’une bonne centaines d’unités, les plus récentes en technologie, les U-21 et U-23, avaient mystérieusement disparu… ni coulées en opérations, ni sabordées par leurs équipages, ni saisies, ni arraisonnées par les forces Alliées.. Officiellement et statistiquement, personne ne sait où sont passés ces sous-marins ! Il est raisonnable de penser que ces sous-marins ne partaient pas à vide, mais outre des “équipages et passagers constitués de techniciens spécialisés”, fuyant sur ordres l’occupation alliée en Allemagne après ou très peu de temps avant la défaite, et du matériel sophistiqué furent débarqués à la base du Neu-Schwabenland, et aussi certainement des disques volants en pièces détachées ou tout au moins tous les plans et documents techniques permettant de les construire y furent mis à l’abri… Ce n’est pas sans une bonne raison évidente que fin 1946 sous le commandement de l’amiral Richard, Evelyn BYRD, ayant un passé d’explorateur de l’Antarctique, une expédition baptisée se mit en place pour une opération de plusieurs mois. Une partie de l’armada quitta la base US de Norfolk en Virginie le 2 Décembre 1946, pour être rejointe par deux autres groupes d’unités vers des bases de l’Antarctique prévues à l’avance, mais avec pour objectif parfaitement ciblé, la base de NEU SCHWABENLAND. Après avoir installé un camp de base sur une zone centrale à Little America, les zones Est et Ouest étant couvertes par des patrouilles maritimes et aériennes, le 13 Février 1947 les vols de reconnaissance sur l’objectif commencèrent, mais la perte d’avions et aussi surtout après avoir constaté que les occupants de Neu Schwabenland, disposant d’une telle supériorité technologique inattendue, seraient invincibles face à la logistique militaire dont était dotée les américains et leurs alliés du moment, le 3 Mars 1947, ordre fut donné à toute l’armada d’abandonner l’aventure et de regagner Norfolk.. Ce à quoi cette expédition fut confrontée reste encore un mystère bien épais… (malgré la profusion de “rapports officiels” prêtant plus à sourire qu’à être crédibles!). Le 5 mars 1947, le journaliste Lee van Atta, accrédité lors de cette expédition, publia dans les colonnes du plus grand quotidien sud-américain, “El MERCURIO”, une interview de l’amiral Byrd au cours de laquelle il déclara en substance: “C’est dur à entendre, mais dans le cas d’une nouvelle guerre, il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à un autre” Il laissa aussi comprendre: “Qu’il y avait là-bas une civilisation avancée qui se servait d’une technologie supérieure“ Rappelons nous que ces événements se sont passés en 1947. En résumé que conclure de tout cela : Il y a déjà des millénaires que sur terre, des hommes de civilisations disparues ou venant d’ailleurs disposant de technologies avancées firent voler des engins, tout comme dès le premiers tiers de notre XX°, d’autres furent également capables de rééditer ces “exploits technologiques” dont l’homme de la rue n’a jamais entendu parler, pas plus qu’il ne soupçonne quelle peut bien être la source d’énergie en permettant le fonctionnement… D’après les “Lectures” d’Edgar CAYCE et les “Planches et “Codex” de Pierre GUILDER, force est d’admettre que seules des Intelligences supérieures évoluant hors de portée physique des terriens avaient la connaissance et la maîtrise de la manipulation de ces énergies cosmiques ou solaires que les sciences humaines sont encore maintenant loin d’appréhender. De là, il ne peut être nié que les membres les plus éminents de Sociétés hautement secrètes (VRIL, THULE et l’Ordre Noir de la SS) ayant eu accès à ces informations par « contacts », lesquels ne disposant pas plus que les autres humains d’une science infuse, furent alors en mesure de mettre en oeuvre les techniques permettant de construire des engins et d’élaborer des matériaux aux performances bien supérieures à ce que les industries classiques mettaient au point et d’autres encore plus récentes utilisées actuellement. Il y a pour tous un mystère qui n’en est plus un si l’on accepte avec humilité et sagesse, de vouloir bien admettre que certains humains ont reçu des messages et des informations en provenance de sources nous étant inconnues. Il faudrait être complètement obtus pour ne pas comprendre que de nombreuses lois physiques universelles sont encore inconnues de l’homme (tout comme l’électricité l’était au Moyen-Âge) et que des «initiés», dotés de sens perdus par l’homme après des millénaires d’oubli et d’adaptations génétiques à d’autres milieux successifs, soient capables de recevoir des informations… rejetées par la masse ignorante… mais pouvant très bien être exploitées par des esprits spirituellement ouverts, sans qu’il soit prouvé que ces esprits soient les mieux intentionnés du monde..

Que les septiques viennent donc nous expliquer comment ces engins purent être fabriqués et évoluer ainsi., alors que les avions de chasse les plus performants de l’époque de la Seconde Guerre Mondiale, de la Luftwaffe, de la Royal Air Force, de l’US-Air Force et de l’aviation japonaise, n’atteignaient pas les 800 km-heure ! Des vétérans de l’US-Air Force et de la R.A.F.se souviennent encore de ces “bizarres apparitions” durant leurs missions! (Il est vrai, pour les septiques, qu’il est plus simple et, oh combien rassurant, de nier tout en bloc… Rejeter sans chercher à savoir… C’est la réaction primaire du cancre au fond de la classe, près du radiateur!)

Les vagues d’observations de juin à juillet 1947 s’étant multipliées en Amérique du Nord, semblèrent venir narguer et faire toute une série de pied-de-nez aux observateurs officiels, scientifiques, et aux militaires du Pentagone et des Agents de la CIA, placés pour longtemps devant le problème que posait ces manifestations, sans réponse possible quant à la technologie spécifique utilisée par les constructeurs et utilisateurs de ces mystérieux objets volants… à identifier officiellement ! Rien de plus irritant pour un militaire que ne pouvoir trouver la parade à l’arme de l’ennemi (si toutefois dans le cas des ovnis, il s’agisse d’adversaire) et de relever le challenge ! Le double crash de ROSWELL ne permit pas de répondre car, quand bien même les fragments d’un très étrange métal aux surprenantes propriétés, des pièces diverses et à usage inconnu que plusieurs témoins ont effectivement eu en mains et ainsi que la presque totalité du second engin tombé un peu plus loin près d’une falaise, devant les connaissances forcément limitées des sciences humaines, ne permirent apparamment pas de comprendre le fonctionnement, la propulsion de cet engin…pas plus que pouvoir identifier le fameux “métal” dont il était en grande partie composé. Seuls quelques ‘plagiats’ électroniques et chimiques de composants ne permirent certainement pas de reconstituer un tel appareil.. et de l’utiliser ! Les quelques archives, documents, dessins et épures récupérés après la Guerre par les Alliés, ne constituaient que des informations,certes convaincantes, détenues par les Services Secrets de l’Ordre Noir de la SS et récupérées après-guerre mais étaient techniquement inexploitables. Les plans et les documents technologiques, permettant la construction en usine de ces engins étaient entre les mains des spécialistes chargés de l’élaboration, de superviser les assemblages et de faire procéder aux essais en vol et, compte tenu du caractère ultra-secret de leurs contenus, ayant été évacués à temps avant l’arrivée des forces Alliées soit sous la forme classique de papiers, soit plus vraisemblablement sous forme de microfilms, procédé systématiquement utilisé par les technologies de pointe de la production allemande du III° Reich. Beaucoup n’ayant pas le caractère “top secret de la SS” des armes secrètes et engins volants, les films de Carl Zeiss furent facilement “saisis” par les troupes US, sous les ordres du Major-Général ANDERSON de la US-Army, parvenues les premières à Jena le 21 Avril 1945 lesquelles, le jeu de la politique faisant, se sont retirés un peu plus tard, pour laisser une place “nette et bien propre”.. à leurs alliés soviétiques, après que les ingénieurs, technicien de points et leurs familles avaient été emmenées par autocars entiers vers les bases américaines du Sud de l’Allemagne, pour ensuite gagner les USA.

Or, ce procédé d’archivage et de conservation de documents était utilisé dans toutes les industries “sensibles” de l’Allemagne nazie pour mettre en lieux sûrs un ensemble de technologies pouvant éventuellement être facilement reconstituées en cas de destruction locale et aussi faire face à une issue désastreuse de la guerre pour le III° Reich, que beaucoup avaient envisagé bien des mois avant la chute de Berlin ou encore aussi -pourquoi pas- pour des technologies très avancées pour l’époque- servir plus tard pour la “bonne cause” à une survivance du Nazisme.(Car, depuis l’armistice signé à Berlin le 8 Mai 1945, n’oublions pas qu’aucun Traité de Paix n’a été signé avec l’Allemagne nazie depuis la fin de la Guerre. Si l’Allemagne a reconnu sa défaite, les “éléments nazis” ne l’ont jamais reconnue!!… Partant de ce “concept” tout est donc possible…) Survivance sous la forme d’ “organisations nazies” réparties dans quelques bases secrètes prévues, organisées et installées de longue date dans certaines contrées, occupées par des milliers d’hommes bien entraînés et bien sélectionnés, sans attaches familiales pouvant faire preuve de zèle pour les rechercher après guerre, rayés officiellement du monde des vivants et évacués longtemps avant le 8 Mai 1945 et pour certains grands pontes… durant les tous derniers jours de la guerre!! Il était donc facile, sous une forme extrêmement réduite, de transporter tous les plans, cahiers et autres protocoles de fabrication de ces engins volants déjà utilisés auparavant, sans oublier les projets non encore mis en chantier, tel le stupéfiant ANDROMEDE de 139 mètres de long prévu pour emporter environ 130 personnes pour des vols au-delà de la stratosphère, voire intergalactiques(?) Ces hommes embarqués à bord de sous-marins, bénéficiant également de techniques de propulsion très en avance sur celle de l’époque et équipés d’un système de récupération d’oxygène pouvant naviguer sous la surface durant plusieurs mois sans se faire repérer vers, entre autres, la base du NEU SCHWABENLAND en Antarctique.. .précaution supplémentaire doublant ainsi l’envoi en pièces détachées des engins ayant fait leurs preuves. Il est donc loisible d’imaginer sans trop de risques d’erreurs que, de mai 1945 à fin 1946, les techniciens et spécialistes de la base de NEU SCHWABENLAND et également les occupants d’autres bases, pouvaient travailler activement au remontage des engins et aussi, à en élaborer d’autres. Personne ne sait tout ce qui avait pu être stocké et emmagasiné auparavant comme matériel, machines-outils et infrastructures, en bref toute une activité dans l’ordre et la discipline, la méthode, le calme et la sécurité. L’attention des Alliés du conflit terminé se portait vers d’autres préoccupations politiques et économiques prépondérantes plutôt que continuer, après cette “aventure”, à chercher à investir des bases fantômes, pour la plupart très mal localisées …

Outre le territoire antarctique du Neu Swchabenland il existe d’autres territoires à travers la monde où des colonies perpétueraient la survie du régime nazi, avec d’anciens SS et leur descendance, dans des camps parfaitement organisés dont le plus important est situé en Argentine sur un territoire de 16.000 km carrés, acheté avant la fin de la seconde guerre mondiale, sur les bords du fleuve Limay à 2.500 km au sud de l’équateur. Dans un secteur géographique de l’Amérique du Sud, outre le site déjà bien connu en Argentine, il y a au moins une base d’engins volants quelque part dans la Cordillère (la localisation se lit sur certaines planches de Guilder ) grâce aux structures utilisées ou conservées “en l’état” depuis très longtemps.. Des dizaines et dizaines de siècles peut-être.. (les planches de Guilder ayant été toutes “dictées” par une entité atlante.. pouvant très bien avoir la faculté de “voyager” dans le temps et de décrire aussi certaines “choses” plus contemporaines. Une autre encore et non la moindre, se situerait dans le labyrinthe des hautes vallées perdues de l’Himalaya. Là essayons de comprendre pourquoi les forces chinoises ont tenu à occuper à tout prix le Tibet.. malgré le peu d’importance stratégique de ce territoire sacré!.. Une très importante raison occulte. Là ce n’est encore qu’une hypothèse non vérifiable. Puis encore sous les glaces du Groënland(?) et peut-être aussi en d’autres points invisibles car soigneusement et profondément enterrées dans certaines zones souterraines de notre planète où séjourneraient toujours les membres survivants et leurs descendants du dernier Bataillon. Ce fameux dernier bataillon nazi que Hitler citait dans son discours du 24 février 1945: “Je vous prédit aujourd’hui, comme toujours empreint de la foi en notre peuple, la victoire finale du troisième Reich où dans cette guerre il n’y aura ni vainqueur ni vaincu,que des morts et des survivants, mais le dernier bataillon sera allemand !” (Qui se souvient encore de ce fameux discours? Il est trop “gênant” pour avoir été inscrit dans les Livres d’Histoire à faire lire aux jeunes générations d’écoliers d’après-guerre!)

Et la ronde des OVNIS se poursuit. Ces étranges engins viennent toujours narguer les peuples en poursuivant une activité insoupçonnable, surgissant apparemment de nulle part et disparaissant mystérieusement, mettant depuis des décennies des milliers d’ufologues en émoi.. Lesquels cherchant très loin ce qui se trouve peut-être tout simplement, pour la plus grande majorité, basé dans quelques discrets recoins de notre planète.. Ceci n’est plus de la fiction : Ces engins volants existent bel et bien, conçus et pilotés…Mais quels sont ces équipages ? Certains ont été aperçus lors de rencontres dites du deuxième type : De grands blonds, parfois de très grands de plus de 2 mètres, d’autres plus petits, des nains ou des nabots à drôles de têtes, les avis divergent car il y a une diversité entre les occupants de certains engins avec d’autres. Leurs missions restent pour nous du domaine du mystère. Cette question reste encore sans solution…
Source : Karmapolis

Partie :

Au début de l’année 1946, la situation mondiale semblait stabilisée après les horreurs et les morts de la seconde guerre mondiale. Cependant, il restait encore des Nazis en fuite de part le monde, mais aussi des bases secrètes du III Reich. La base de Neu-Schbenland, sur le territoire allemand du même nom, en antarctique existait toujours et des Nazis l’occupait toujours après l’armistice.
Plusieurs missions furent organisées sur ce continent afin d’y déloger les derniers soldats du Reich, sans aucun succès. Les expéditions se sont soldées par beaucoup de morts et une perte de matériel énorme. Plusieurs avions espions ne revinrent jamais du secteur de la base de Neu-Schbenland.

Aussi En 1946, le commandement allier confia la responsabilité d’une nouvelle et colossale opération à l’amiral Richard Byrd, l’homme le plus expérimenté pour mener cette opération à l’époque. L’Amiral Richard Byrd avait déjà effectué plusieurs vol de reconnaissance au pôle nord et au pôle sud à la fin des années 20 et 30 organisant et participant à plusieurs missions aériennes dans les zone polaires en 1929, 1934 et 1939.

L’Amiral Richard Byrd prépara l’invasion avec des forces spéciales américaines, anglaises et russes (et certainement d’autres nations) : “l’Operation Highjump”.

Une opération militaire mais aussi à but scientifique selon les sources officiels, notament l’étude des pingouins. Le plan d’attaque était d’entrer dans la région opposée de la base de Neu-Schbenland et de traverser tout le territoire Antarctique, dans la direction de l’objectif final. L’opération militaire combina des forces terrestres et navales de façon massive :

- 2 brise glace: le USCGC NORTHWIND et le USS BURTON ISLAND
- 2 navires citerne: le USS CACAPON et le USS CANISTEO
- 2 porte-avions: le USS PHILIPPINES SEA et USS CURRITUCK
- 2 navires cargo de soutien: le USS YANCEY et le USS MERRICK
- 2 destroyers: le USS HENDERSON et le USS BROWNSON,
- 1 sous-marin : le USS SENNET
- 1 navire catapulteur : le USS PINE-ISLAND
- 6500 hommes américains anglais et soviétiques, etc.

Il n’est pas étonnant de trouver des navires de guerre pour une expédition scientifique, en effet nombre de ces bateaux après la seconde guerre mondiale furent utilisés pour des expéditions par l’armée US quand il n’étaient pas vendus ou donnés à des organisations ou firmes non gouvernementales, transformés alors en navire de transports où autres… La Calypso du Ct Cousteau était un ancien démineur par exemple. Il est à noter que le porte-avions USS PHILIPPINE SEA était neuf.

L’expédition est décrite sur ce site officiel du pôle sud : South-pole.com (en anglais) mais relate uniquement les exploits scientifiques sur le territoire du sud. Officiellement il n’y a pas eu de combats contre les Nazis en antarctique.

Le résultat fût un fiasco sur toute la ligne. 1500 morts chez les alliers et une perte de matériel énorme. De retour aux USA par le Chili Richard Byrd dira dans une conférence de presse le 5 mars 1947 que “la menace la plus grande vient maintenant du pôle sud car ils ont observés des engins volants pouvant atteindre des vitesses impressionnantes !”
Aux USA il sera difficile de justifier à l’opinion publique et au congrès la mort de millier d’hommes en antarctique avec de nouvelles opérations. Aussi le sujet sera clos. Cette opération est pourtant bien connue sous le nom de « guerre des pingouins », une fois que le gouvernement fédéral indiqua que dans ce territoire il n’y avait uniquement que des pingouins et qu’il n’y avait aucun nazis.

Mais le 8 janvier 1956, plusieurs scientifiques chiliens revenant d’une expédition sur le continent observèrent pendant plusieurs heures des objets volants en forme de cigare et de disque dans le ciel de la zone de la mer de Weeddell. La même année 1956, une nouvelle opération militaire sera essayée par les américains : l’Operation Deepfreeze. Le résultat sera encore plus dévastateur pour l’armée US quittera se contentera de missions géographiques et de reconnaissances simples au pôle sud.

Plus tard, l’Afrique du Sud détectera deux explosions nucléaires dans la zone de Neu-Schbenland, une explosion en surface et une autre souterraine…